‘’ LE TEMPS A EU RAISON DE NOUS ‘’
On se regarde dans les yeux
Comme si de rien était
On a une fois encore joué le jeu
De croire que tout était parfait
On s’embrasse par habitude
En se forçant d’y croire encore
Malgré une grande lassitude
Qui laisse entrevoir une dernière aurore
On a fini par oublier le premier jour
Celui ou notre cœur à battu pour l’autre
Ou l’on c’était promis de s’aimer toujours
Toute une vie qui serait la notre
Mais le temps a eu raison de nous
De nos promesses et de nos cœurs
Les longs silences nous on fait devenir fou
Pour des mal être transformés en rancœur
Mais le temps a eu raison de nous
Des mots d’amour qu’on ne dira plus
Comme une mauvaise loterie qui tourne sa roue
Sur des mensonges et des vérités toutes nues
On attend plus l’autre dans ces retards
Comme on l’attendait autrefois jusqu’au petit jour
On se croise le plus souvent quand on part
Sans même avoir le temps de se dire bonjour
On fait des projets d’avenir avortés
Comme des enfants qu’on aura jamais
On ne sait plus ce que l’on c’est apporté
Déjà trop sur que l’on a mal fait
On a essayé de continuer plus par devoir
Comme des soldats qui se battent par obligation
Mais on se réveil pour se dire au revoir
Prenant chacun un chemin dans l’autre direction.
Ecrit le lundi 28 janvier 2013 à Lagny-Sur-Marne par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
Merci de vos encouragements, de faire partager et faire connaître ce blog.
Vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr
mercredi 30 janvier 2013
dimanche 27 janvier 2013
Nos enfants
‘’ LES ENFANTS S’EN VONT ‘’
On fait des enfants
Qui un jour grandiront
Et qui avec le temps
Un beau jour partiront
On les aime de tout notre cœur
Sans être parfait, loin de là
Ensemble on croit vivre le bonheur
Puis un jour tout s’en va
On leur apprend ce que l’on sait
Ce que l’on croit être bon
On ne compte pas ce que l’on fait
Sachant pourtant qu’ils s’en iront
On assiste à leurs premiers pas
Comme si on décrochait la lune
Une autre fois ils nous appellent papa
Avant qu’ils nous prennent pour des prunes
On les veille quand ils sont malades
Avec le cœur serré de les voir souffrir
On part avec eux en ballade
Pourtant sans se retourner ils vont partir
On les emmène à leurs premiers jour d’école
Malheureux de voir leurs larmes couler
En regardant nos pieds s’éloigner sur le sol
Mais un jour c’est eux que nous verrons s’éloigner
On les contemple entrain de grandir
Des années après ils deviendront des hommes et des femmes
On les sentira vivre leurs premiers émois avec le sourire
Voyant leurs cœurs et leurs pensées devenir des flammes
On prendra aussi en pleine figure
Tous leurs reproches et leurs jugements
Leurs condamnation et abandon qui dure
De ne pas avoir compris notre histoire et nos sentiments
On aura beau vouloir tout oublier
De souffrir de ne pas comprendre
Mais à jamais on saura les aimer
Car dés le début, on a du tout leur apprendre.
Ecrit le Dimanche 27 janvier 2013 à Lagny-Sur-Marne par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
( à mes enfants )
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mardi 8 janvier 2013
‘’ L’ENFANT SANS PERE NI MERE ‘’
Il naît sans père ou sans mère
D’un ovule ou d’un don de sperme
Pour vivre avec deux mères ou deux pères
Sans qu’on lui avoue les vrais termes
Il vit sans savoir de qui il est né
On dit qu’il n’a pas de problème
Qu’il n’a pas d’objection avec ce qui c’est passé
Que la seule chose qui compte c’est qu’on l’aime
Il va à l’école avec les autres enfants
Les voit et les imagine dans leurs maisons
Se demande comment sont ces autres parents
Si les siens n’ont pas perdu la raison ?
Il grandit comme tous les enfants de son âge
Regardant son corps changer avec mille questions
Cherchant de qui il pourrait avoir le visage
Qui est cet être dont il n’a pas eu d’affection
Il sera un homme ou une femme un jour
Il se mariera peut-être et aura des enfants
Mais personne ne l’empêchera de penser toujours
Qu’il aurait pu avoir un papa et une maman
Qui a le droit de priver un enfant de son nécessaire
De connaître le père ou la mère grâce à qui il vit
D’avoir une idée de qui ils sont sans rien d’extraordinaire
Cela n’empêchera pas d’aimer et de l’être aussi
Personne ne peut occulter que pour faire un enfant
Depuis la nuit des temps, il faut un homme et une femme
Et ne pas respecter cela, c’est mettre en danger l’innocent
Le priver de ce à quoi il a droit pour voir de ses yeux la flamme
Faire naître un enfant en le privant de cela
C’est être égoïste et faire peux de cas de lui
Car un jour ou l’autre le naturel reviendra
Et rien ne le retiendra de savoir de qui il doit sa vie.
Ecrit le mardi 8 janvier 2013 à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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Il naît sans père ou sans mère
D’un ovule ou d’un don de sperme
Pour vivre avec deux mères ou deux pères
Sans qu’on lui avoue les vrais termes
Il vit sans savoir de qui il est né
On dit qu’il n’a pas de problème
Qu’il n’a pas d’objection avec ce qui c’est passé
Que la seule chose qui compte c’est qu’on l’aime
Il va à l’école avec les autres enfants
Les voit et les imagine dans leurs maisons
Se demande comment sont ces autres parents
Si les siens n’ont pas perdu la raison ?
Il grandit comme tous les enfants de son âge
Regardant son corps changer avec mille questions
Cherchant de qui il pourrait avoir le visage
Qui est cet être dont il n’a pas eu d’affection
Il sera un homme ou une femme un jour
Il se mariera peut-être et aura des enfants
Mais personne ne l’empêchera de penser toujours
Qu’il aurait pu avoir un papa et une maman
Qui a le droit de priver un enfant de son nécessaire
De connaître le père ou la mère grâce à qui il vit
D’avoir une idée de qui ils sont sans rien d’extraordinaire
Cela n’empêchera pas d’aimer et de l’être aussi
Personne ne peut occulter que pour faire un enfant
Depuis la nuit des temps, il faut un homme et une femme
Et ne pas respecter cela, c’est mettre en danger l’innocent
Le priver de ce à quoi il a droit pour voir de ses yeux la flamme
Faire naître un enfant en le privant de cela
C’est être égoïste et faire peux de cas de lui
Car un jour ou l’autre le naturel reviendra
Et rien ne le retiendra de savoir de qui il doit sa vie.
Ecrit le mardi 8 janvier 2013 à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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lundi 7 janvier 2013
‘’ LA PENSEE UNIQUE ‘’
Elle s’immisce dans les cœurs
Dans le corps de certains hommes
Elle court, elle s’incruste, en amenant la peur
Elle juge, elle insulte, elle condamne, elle tue
Elle a envahie le cœur des Romains
Qui ont persécutés et sacrifiés les Chrétiens
Puis elle a gagnée les Musulmans et la terre des saints
Qui les ont tués et chassés de leurs pays comme des chiens
Elle a remplie l’âme des révolutionnaires assoiffés de sang
Guillotinant le roi et la reine en apportant la terreur
Pour faire de même avec des hommes, des femmes, des adolescents
Sans un regret, sans compassion et avec une infinie rancœur
Elle a touchée la grande Russie qui a vu rouge
Assassinant la famille impériale et ceux qui ne se soumettaient pas
Gangrenant à son tour la Chine du levant avec ses tyrans sanguinaires
Qui ne montraient aucune humanité au regard de million de vie détruite
Après l’Arménie elle contamina l’Allemagne du 3éme Reich avec Hitler
Ajoutant à la pensée unique, l’holocauste contre les Juifs, sans précédant
Anéantissant dans des chambres à gaz des familles entières
Des homosexuels, des résistants, communistes, des millions d’innocents
Aujourd’hui encore elle s’installe chez les personnalités
Les politiques, les animateurs, les artistes et les stars
Qui se servent de leurs renommées pour l’imposer
Pour mépriser tous ceux qui ne plaisent pas à leurs regards
Oui il est insupportable ce climat de révolution en France
Ces jugements bas, jetée en pâture au nom d’une vision unique
Ceux la même qui reprochaient aux précédant leurs intolérances
Alors que cesse la haine, les jalousies, les règlements de compte cynique
Que s’arrête ces sentiments de méchancetés maléfiques
Sachez que le cœur et la nature, n’appartiennent à aucun parti
Alors que chacun retrouve la raison sans ces pensées uniques
L’unité, les valeurs, les racines que vous avez souillés et pourris
Ecrit le dimanche 6 janvier 2013, à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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Elle s’immisce dans les cœurs
Dans le corps de certains hommes
Elle court, elle s’incruste, en amenant la peur
Elle juge, elle insulte, elle condamne, elle tue
Elle a envahie le cœur des Romains
Qui ont persécutés et sacrifiés les Chrétiens
Puis elle a gagnée les Musulmans et la terre des saints
Qui les ont tués et chassés de leurs pays comme des chiens
Elle a remplie l’âme des révolutionnaires assoiffés de sang
Guillotinant le roi et la reine en apportant la terreur
Pour faire de même avec des hommes, des femmes, des adolescents
Sans un regret, sans compassion et avec une infinie rancœur
Elle a touchée la grande Russie qui a vu rouge
Assassinant la famille impériale et ceux qui ne se soumettaient pas
Gangrenant à son tour la Chine du levant avec ses tyrans sanguinaires
Qui ne montraient aucune humanité au regard de million de vie détruite
Après l’Arménie elle contamina l’Allemagne du 3éme Reich avec Hitler
Ajoutant à la pensée unique, l’holocauste contre les Juifs, sans précédant
Anéantissant dans des chambres à gaz des familles entières
Des homosexuels, des résistants, communistes, des millions d’innocents
Aujourd’hui encore elle s’installe chez les personnalités
Les politiques, les animateurs, les artistes et les stars
Qui se servent de leurs renommées pour l’imposer
Pour mépriser tous ceux qui ne plaisent pas à leurs regards
Oui il est insupportable ce climat de révolution en France
Ces jugements bas, jetée en pâture au nom d’une vision unique
Ceux la même qui reprochaient aux précédant leurs intolérances
Alors que cesse la haine, les jalousies, les règlements de compte cynique
Que s’arrête ces sentiments de méchancetés maléfiques
Sachez que le cœur et la nature, n’appartiennent à aucun parti
Alors que chacun retrouve la raison sans ces pensées uniques
L’unité, les valeurs, les racines que vous avez souillés et pourris
Ecrit le dimanche 6 janvier 2013, à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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Politique et mauvais mélange des genres
‘ ‘ CONTRE CE MONDE ‘’
Avant que le jour se lève
Faisons l’amour toi et moi
Pour avoir la force et le sève
De rejoindre le monde et ses lois
Avant que la vie ne nous sépare
Mélangeons nos corps toute la nuit
Regardons nous dans nos yeux hagard
Assoiffés du désir qui nous remplis
Avant que le matin nous entraîne
Chacun d’un autre côté de notre lit
Ne laissons pas les abjects et leurs haines
Transformer nos ébats en sinistre dépit
Contre ce monde qui s’embrase
Cette politique qui nous divise
Avec leur haine comme des métastases
Restons l’un dans l’autre comme une devise
Contre notre pays qui se perd
A vouloir rejouer la révolution et la terreur
En mettant des hommes plus bas que terre
Utilisant notre jouissance contre la peur
Avant que la nuit appel le jour
Laissons nos lèvres chaudes se réunir
Pour lutter contre ceux qui jugent toujours
Qui sacrifient leurs Dieux et leurs racines pour réussir
Avant qu’il ni ait plus de début ni de fin
Prends possession de mon corps qui ruisselle
Avide de sentir le tien contre le mien
Loin de ceux qui font de l’excès de zélé
Avant que demain nous ne sommes plus
Laissons nous pénétrer de sensualité et de pulsion
Pour laisser ceux qui haïssent à en perdre la vue
Se noyer dans le rouge de leurs tristes aversions
Ecrit le samedi 5 janvier 2013 à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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Avant que le jour se lève
Faisons l’amour toi et moi
Pour avoir la force et le sève
De rejoindre le monde et ses lois
Avant que la vie ne nous sépare
Mélangeons nos corps toute la nuit
Regardons nous dans nos yeux hagard
Assoiffés du désir qui nous remplis
Avant que le matin nous entraîne
Chacun d’un autre côté de notre lit
Ne laissons pas les abjects et leurs haines
Transformer nos ébats en sinistre dépit
Contre ce monde qui s’embrase
Cette politique qui nous divise
Avec leur haine comme des métastases
Restons l’un dans l’autre comme une devise
Contre notre pays qui se perd
A vouloir rejouer la révolution et la terreur
En mettant des hommes plus bas que terre
Utilisant notre jouissance contre la peur
Avant que la nuit appel le jour
Laissons nos lèvres chaudes se réunir
Pour lutter contre ceux qui jugent toujours
Qui sacrifient leurs Dieux et leurs racines pour réussir
Avant qu’il ni ait plus de début ni de fin
Prends possession de mon corps qui ruisselle
Avide de sentir le tien contre le mien
Loin de ceux qui font de l’excès de zélé
Avant que demain nous ne sommes plus
Laissons nous pénétrer de sensualité et de pulsion
Pour laisser ceux qui haïssent à en perdre la vue
Se noyer dans le rouge de leurs tristes aversions
Ecrit le samedi 5 janvier 2013 à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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mercredi 2 janvier 2013
L'habitude
‘’ Trop souvent on s'habitue ‘’
Des femmes sont rabaissées et violentées
Par des hommes qu’elles aiment elles sont battues
Devant leurs enfants terrorisés elles sont bafouées
Pourtant avec le temps trop souvent on s’habitue
Des enfants, adolescents sont maltraités et détruits
Par des hommes, leurs pères, ont les violent et les tuent
On musèle leurs paroles et tous leurs cris
Pourtant jour après jour trop souvent on s’habitue
Des animaux sont massacrés sans humanité
Des bébés phoques, des éléphants sont abattus
Pour de l’ivoire, pour des peaux, rien que des futilités
Pourtant tout continu, trop souvent on s’habitue
Des tyrans, des guerres, abattent des millier d’innocents
Anéantissant des familles, des civilisations à jamais perdues
Pour garder le pouvoir totalitaire, on verse le sang
Pourtant mois après mois, trop souvent on s’habitue
Des hommes méprisent la vie au nom d’une religion
D’un Dieu qu’ils font parler à leur guise, à en perdre la vue
Ils avilissent les femmes, ceux qui ont différentes visions
Pourtant on continue à laisser faire, trop souvent on s’habitue
A travers le monde on ne respect pas notre terre
Chaque jour on saccage, on détruit, on pollue
On met à sac nos richesses naturelles dans l’univers
Pourtant on laisse faire, trop souvent on s’habitue
Aujourd’hui, maintenant on sait tout de tout
Mais il semble que l’on agisse comme si tout était perdu
Que l’on ne pouvait rien faire, rien changer à tout,
Pourtant nous devons nous lever et faire que plus jamais on s’habitue.
Ecrit le mardi 1er janvier 2013 à Lagny-Sur-Marne par Hugo Gall ( pseudo de T-G )
Je vous souhaite une bonne et heureuse année 2013, santé, travail, argent, bonheur, amour, fraternité.
Je souhaite que cette année on prenne plus conscience des ravages de la maltraitance et de l'inceste, que la loi soit plus dure et quelle considére l'inceste comme un crime comme les autres, que les politiques changent les mentalités, les lois, et surtout que les victimes sient mieux prit en charge, aidé, enfin comme il se doit, bonne année à toutes les victimes et soyez fort, gardez la foi et que Dieu vous garde.
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