mercredi 31 juillet 2019

La tête dans les étoiles

       "   Entre ciel et terre     "

Sur mon lit
Voilà que je m'endors
Je rêve et je survol ma vie
Je vois tout ce qui n'était pas le

Sûr mon lit
Soudain je m'évade de mon corps
Je me vois allongé entre douceur et ennuyes
Au fond de moi une pensée, suis-je encore?

Sur mon lit
Comme une ballade de Julien Clerc
Je parcours les hauts et les bas  de ma vie
Ce qui me reste de tous mes repérés

Sur mon lit
Je nage dans le ciel comme un oiseau
Regardant toute cette insupportable lié
Ces jours et ces nuits pas toujours beaux

Sur mon lit
J'ai la sensation d'être un nuage
Rempli de tout ce que mon coeur fuit
De ce que mon corps refusé avant d'être en nage

Sur mon lit
Je refais et refais sans savoir
Tous ces sentiers battus par les vents d'ici
Bien trop fort et épuisant, étouffant pendant le soir

Sur mon lit
Aprés les orages et les tempêtes, je me réveil
Ai-je vraiment été en apesanteur ce temps béni?
Où est-ce une nouvelle vie qui s'offre à mon éveil?

Sur mon lit
Je refais ma vie
Malgré ce qui tonne au loin
Et l'âge qui passe comme des meules de foin

Écrit le mardi 30 juillet 2019, de 14h25 à 14h35, à Chamigny, La-Ferté-Sous-Jouarre, 77260, par Hugo Gall pseudo de T-G

samedi 20 juillet 2019

Un petit coup de pouce à d'autre poétes et écrivains non connu, etc

        "   Au hasard d'un couloir    "

Au hasard d'un couloir
Dans une maison de fous
Un échange d'histoires
Un soir, entre chiens et loups

Touchée par le personnage
Cultivé, sensible et bavard
Je ne lui donne pas vraiment d'âge
Mais l'homme n'est pas avare

Toujours à rire où à sourire
Un mot et c'est le fou rire
C'est mieux que de pleurer
Ici, il n'y a personne à leurrer

Écrit le mercredi 17 juillet 2019, à Chamigny, La-Ferté-Sous-Jouarre, 77260, par Anastasie Alamartine, pour moi et mon pseudo Hugo Gall pseudo de T-G.

Ma chère L merci tu m'as touché mais pas coulé, tes mots me vont droit au coeur, bienvenu dans mon monde, prends bien soin de toi et que DIEU te garde...H.G

Les yeux dans les yeux

     "  Ton regard dans me mien   "

Tu auras les yeux plein de larmes
Sans savoir pourquoi ni pour qui
Ton coeur sera comme en alarme
Loin de ton sourire et de la vie
Tu te poseras mille questions
Sans en avoir les réponses nets
Prés de moi tu trouveras les solutions
Qui enflammeront ton coeur comme des allumettes

Tu me regarderas
Et je soignerai tes bléssures
Je panserai le mal que tu as
Pour te serrer contre moi et mes yeux azur
Tu me regarderas
Et je te dirais des mots qui rassurent
Je serais là pour toi
Pour que ton âme et ton corps restent pur

Tu regarderas tout autour de toi
Le monde te semblera gris-bleu
Les choses et les gens qui tournaient
Te laisseront un goût amer et de trop peu
Tu essayeras de comprendre les autres
Mais à force tu ne ressenriras plus rien
Tout en toi sera sec, comme le lieu oû ils se vautrent
À cet instant tu placeras ton regard dans le mien

Écrit le mercredi 17 juillet 2019 à 20h55 et le jeudi 18 juillet 2019 à  13h40, à Chamigny, La-Ferté-Sous-Jouarre, 77260, clinique de l'Ange-Gardien, post-cure repos, par Hugo Gall pseudo de T-G.

mardi 16 juillet 2019

Un amour à la vie et à la mort

             "   Au moindre de tes mots   "

Je partirais sur le champs
Sans même me retourner
Tel la lave du volcan
Comme le vent qui m'a fait m'envoler

Je partirais sur un simple mot de toi
Sans chercher si c'est vrai ou pas
Comme les tempêtes emportent les toits
Juste à côté de toi, je serais là

Au moindre de tes mots
Il ni aura plus rien pour me retenir
Je ne verrais plus que toi, si beau
Tu seras mon présent, mon avenir
Au moindre de tes mots
Je te rejoindrai même au delà des étoiles
Il ni aura plus rien qui sonne faux
De ma vie et de mes yeux, plus aucun voile

Je m'échapperai de ce monde si triste
Sans laisser la moindre trace de vie
A tous ceux qui ont un air si sinistre
Qui pensent que tout était ainsi

Je m'en irais aussi loin que je peux aller
Sans laisser le moindre message de moi
À tous ceux qui m'ont depuis longtemps oubliés
Sans rancune,  sans regard, sans émois

Au moindre de tes mots
Il ni aura plus rien pour me retenir
Je ne verrai plus que toi, si beau
Tu seras mon présent, mon avenir
Au moindre de tes mots
Je te rejoindrai même au delà des étoiles
Il ni aura plus rien qui sonne faux
De ma vie et de mes yeux, plus aucun voile

Je partirais bien avant que l'aube se lève
Avant les premiers rayons de soleil
Que les journaux éditent leurs brèves
J'irai vers toi comme un enfant s’émerveille

Je te suivrai aussi loin que tu partiras
Dans mon cœur il ni aura rien d'autre
Pour la première fois je sourirais et suivrais tes pas
Quoiqu'il y ait là-bas, tout sera nôtre

Écrit le mardi 16 juillet 2019, à Chamigny, La-Ferté-Sous-Jouarre, 77260, entre 15h05 et 15h20, clinique post cure repos de l'Ange-Gardien, par Hugo Gall pseudo de T-G

mercredi 10 juillet 2019

Course vers l'amour vrai

              "     Tu me consolera     "


J'ai tellement cherché
Dans chaque recoins, chaque rues
Tant de fois j'ai espéré
Mais toujours je me suis perdu
J'ai tant rêvé ce jour
Essayé de voir à travers un regard
Des sentiments partagés pour toujours
Mais j'ai trop eu de trains en retard
J'ai aimé comme dit la chanson
Plus qu'aimer à perdre la raison

C'est toi qui me consolera
C'est toi qui me prendras dans tes bras
Toi seul qui me diras
Que c'est Toi qui m'aimeras
C'est toi qui me consoleras
C'est toi qui me regarderas
D'un seul regard je saurais que c'est Toi
D'autres que toi il ni en aura pas

J'ai voulu m'attacher
À une voix, un regard, un corps
Mais je me suis trop cherché
Et l'aube à passé trop vite à l'aurore
J'ai tendu plus d'une fois la main
Vers une personne pour d'autres matins
Mais j'ai perdu mes illusions sur des lits
Qui se sont changés en interminables ennuis
J'ai donné et tout autant perdu
Mais aujourd'hui, je veux aimer, retrouver ma vie

Écrit le mercredi 10 juillet 2019, entre 13h30 et 13h44, à Chamigny, La-Ferté-Sous-Jouarre, clinique post cure repos de l'Ange-Gardien,77260, Par Hugo Gall pseudo de TG

Dédié et offert à travers mon âme reconnaissante, à mon sauveur le Christ

Un homme et son fils

    "    Pour un fils devenu grand   "

Quand je suis parti
Tu n'étais encore qu'un enfant
Jouant avec tes cartes, faisant des parties
Tu ne connaissais pas encore les tourments

Quand je suis parti
Tu es venu un petit peu me voir
Cela n'a pas duré longtemps, juste des regards
Puis tu es plus venu, j'ai perdu l'espoir

Je veux chanter
Pour un fils devenu grand
Je veux prier
Qu'il soit heureux maintenant
Je veux lui dire
Bienvenue mon fils chez les grands
Fait attention à toi à l'avenir
Et ne claques pas la porte de l'enfant

Quand je suis parti
Tu es resté dans l'appartement
En regardant partir celui qui était petit
Serrant tes chats dans tes bras plein de sentiments

Quand je suis parti
Une partie de toi c'est brisée
L'enfant que tu étais n'a pas compris
Mais à présent tu as dépassé le passé

Je veux chanter
Pour un fils qui a grandi
Je veux crier
Tout ce qui dans mon coeur est à lui
Je veux pleurer
Sur tous ces jours sans lui
Je veux regarder
Devant nous et recommençer nos vies

Quand je suis parti
Je n'étais pas heureux chez elle
Personne ne m'avait encore compris
Je suis parti comme un oiseau à tire-d'ailes

Quand je suis parti
J'ai eu si mal de ta laisser là
Mais mon fils la vie est ainsi
Et pour toi je serais toujours là, ton papa

Écrit le mercredi 10 juillet 2019, entre 10h35 et 10h47, à Chamigny, La-Ferté-Sous-Jouarre, clinique post cure repos de l'Ange-Gardien, 77260, Par Hugo Gall pseudo de T.G
À toi mon fils

mardi 9 juillet 2019

Les mamans requins et les enfants baleines

  " Les bébés requins, Les bébés baleines  "

Ils sont si petits, si beaux, si fragiles
Les bébés requins, les bébés baleines
Dés leurs naissances ils se faufilent
Contre le corps de leurs méres sans peine

Ils sont des nouveaux êtres aquatiques
Attachés aux flancs de leurs méres fragiles
Aucun d'eux ne connaît encore la panique
Contre le corps de leurs méres non fragile

Moi je suis né d'une mère humaine
Je suis sortie de toute son eau
Ce jour de joie était un manque de veine
Elle voulait une fille, pas un sot

Je n'étais pas un bébé baleine
Elle n'était pas une mére requin
Pas même des taureaux dans les arêtes
Pourtant les jours viendraient oû se serait un contre l'un

Je n'ai jamais été un bébé requin
J'ai aimé ma mére plus fort que tout
Mais ma mére n'était pas baleine, j'avoue
Elle n'a jamais tout donné à son bébé rouquin

J'ai aimé une mére de l'eau et de la terre
Mais d'elle en grandissant il ne me reste rien
Ça n'a pas été les dents de la mer, mais la guerre
Elle n'a jamais su me faire du bien

Mes jours sont devenus des jours sans amour
Alors qu'en moi criaient ses bras tendres et laiteux
Puis un jour de printemps elle est partie pour toujours
Sans criée égare, en me laissant encore plus malheureux

Les bébés requins, les bébés baleines ont grandit
Ils sont partis seuls dans les fonds de l'océan, les mers
Moi j'ai marché seul en éssayant de vivre ma vie
Mais elle n'a jamais voulu de moi, qui depuis erre .

Écrit le mardi 9 juillet 2019, entre 11h40 et 12h08, à Chamigny, La-Ferté-Sous-Jouarre, clinique post cure repos de l'Ange-Gardien, Par Hugo Gall pseudo de T-G

mardi 2 juillet 2019

hommes et femmes

             "      Les hommes et les femmes     "


Tous les hommes sont appelés
À naître et mourir un jour
Tous les hommes ne sont que chair et fumée
Quand arrivé leurs derniers  jour

Toutes les femmes sont faites
Pour aimer et pour donner la vie
Toutes les femmes sont en quêtes
De trouver l'amour d'un homme à l'infini

Tous les hommes voient toujours plus haut
À travers la couleur de leurs yeux plus loin
Dans ce monde qu'on leur à donné plus beau
Et qu'aujourd'hui ils n'ont pas pris soin

Tous les hommes rêvent de conquérir
Un nouvel espace une nouvelle planéte
Tous les hommes sont meilleurs ou pire
Suivant qu'ont les regarde du côté de la lorgnette
Toutes les femmes veulent le grand amour
Elles le cherchent sans  vraiment le trouver
Du fond des nuits, dans le brouillard, la pluie, chaque jour
Leurs coeurs épuisés de vouloir trop espérer
Toute les hommes et les femmes
Portent les garde aux de leurs ancêtres
Ils sont aveuglés devant DIEU qui les blâme
Peut-être un jour ouvriront-il leurs fenêtres


Écrit le mardi 2 juillet 2019, à Chamigny, La-FFerté-Sous-Jouarre, 77260, clinique post cure repos de l'Ange-Gardien, par Hugo Gall pour T.G , fait entre 12h10 et 13h39