Essaie de comédie musicale, écrit par Hugo Gall, Henry VIII roi D'Angleterre, il était une fois un tyran

" HENRY VII,LE PREMIER TUDOR "


De la comédie musicale imaginée et écrite par Hugo Gall,la vie des Tudor et D'Henry VIII,roi D'Angleterre et de ses femmes "


Tu étais le fils D'Edmon Tudor
Qui mourût avant ta naissance
Ta mère était Margaret Beaufort
En qui tu avais toute confiance
Tu fus élevé par Jasper Tudor
Ton oncle et frère de ton père
Qui fit de toi quelqu'un de fort
Dans un coin de Bretagne prés de la mer

Henry VII toi le premier Tudor
Qui devint roi de la dynastie
Tu n'imaginais pas ce beau sort
Que pouvait réserver cette vie
Henry VII le roi qu'on disait avare
Qui sortit L'Angleterre des deux roses
Tu fis cesser les guerres et les bagarres
Et l'amour t'apporta de jolies choses

Tu fus poussé sur le trône par ta mère
Qui t'imposa comme la meilleure solution
Face à Richard III remplie de haine amère
Que tu vaincus avec une grande détermination
Tu fus couronné roi D'Angleterre
Et épousa Elisabeth que tu pris comme reine
Unissant ainsi les Yorck et les Plantagenet en une terre
Mettant les Tudor au devant de la scéne

Henry VII toi le premier Tudor
Qui devint roi de la dynastie
Tu n'imaginais pas ce beau sort
Que pouvait réserver cette vie
Henry VII le roi qu'on disait avare
Qui sortit L'Angleterre des deux roses
Tu fis cesser les guerres et les bagarres
Et l'amour t'apporta de jolies choses

Tu connus le grand amour et fus heureux
Quand Betsy te donna sept enfants dont quatre vivant
Qui te permirent d'assurer un avenir radieux
Pour une dynastie qui allait se succéder dans le temps
Tu redressas les comptes et contracta de fortes alliances
Qui permirent de beaux mariages à tes enfants et leurs destins
Mettant hors jeux les prétendants au trône refusant de prêter allégeance
Puis après la mort de ton amour,tu mourus peu à peu de chagrin

Écrit le mardi 28 décembre 2011 à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... )

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Essaie de comédie musicale, écrit par Hugo Gall, Henry VIII roi D'Angleterre, il était une fois un tyran

" MARGARET BEAUFORT "


" De la comédie musicale imaginée et écrite par Hugo Gall,la vie des Tudor et D'Henry VIII,roi D'Angleterre et de ses femmes "

Toi la grande et forte Margaret
Déjà mariée à l'âge de huit ans
Avant d'être une femme de tête
Et remariée à celui qui te donna un enfant
Toi pas encore mère et déjà veuve
Qui protégea ton fils et celui D'Edmon Tudor
Avec force et persuasion dont tu fis preuve
Pour le garder d'une certaine mort
Toi épouse du duc de Buckingham
Qui du encore voir mourir son mari
Avant d'épouser Thomas Stanley et d'être sa femme
Ton quatrième époux pour le reste de ta vie

Chère Margaret Beaufort la louve
Celle qui protège sa progéniture
Qui étend ses ailes comme l'oiseau couve
Pour apporter à son fils amour et nourriture
Chère Margaret Beaufort la fière
Qui fit de son fils Henry un roi
Pour L'Angleterre toute entière
Par conviction et la force de ta foi

Toi qui oeuvra dans l'ombre
Pour préparer l'avènement d'un roi
En voyant Richard III et ces côtés sombres
Remplissant L'Angleterre d'infamie et d'effroi
Toi qui pris sous ton aile la belle Betsy
Qui avait souffert de voir sa famille bafouée
Pour la promettre en mariage à Henry
Le jour où après la victoire il fut couronné
Toi qui su rester la discrète comtesse Derby
En voyant ton fils aimé et tes petits enfants
Avant d'avoir le coeur brisé à la mort D'Henry
Et de le rejoindre deux mois plus tard au firmament

Écrit la mercredi 29 décembre 2011 à Lagny-Sur-Marne,par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... )

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Note de l'auteur:Margaret Beaufort était la grand mére D'Henry VIII et l'arrière grand-mère d'Edouard,de Marie Tudor et D'Elisabeth 1ére.

La bonne année

" NOUVELLE ANNÉE "




Encore une nouvelle année qui arrive
Avec son cortège de bonne et mauvaise nouvelle
Des jours longs et courts qui se suivent
Remplis de souvenirs qui nous interpelles

Encore une nouvelle année qui se dessine
Avec des voeux sincères mais dont on ne peux rien
Des mots chaleureux ou des pensées assassines
Pour des souhaits qui seraient peut-être vain

Encore une nouvelle année à l'horizon
Avec un florilège de couleurs et de musiques
Des instants de folies et d'autres de raison
Moments de feux d'artifices féeriques

Encore une nouvelle année qui vient
Avec de nouvelles rencontres et ruptures
La réalisation de tout ce qui nous tient
Des pages d'écritures parfaites et d'autres de ratures

Encore une nouvelle année qui se profile
Avec des nuits étoilées faites de rêve
Des hasards et aléas en étoiles qui filent
Jeux de dupe et jeu de guerre sans trêve

Encore une nouvelle année de plus
Avec l'espérance que ce ne sera pas la dernière
Que l'on prendra sans se tromper le bon bus
Qui nous conduira vers de grande première

Encore une nouvelle année qui suit
Avec la répétition des gestes et traditions
Des jours et des années qui s'enfuient
Dans les éternels chemins perdus des illusions

Écrit le 27 décembre 2010 à Lagny-Sur-Marne par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... )
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Je souhaite à tous mes lecteurs une très bonne année 2011,de santé,de joies,d'espoir,que la folie des hommes changent en bons sentiments et que l'entraide envers les plus démunis et les plus faibles puisent ouvrir le coeur de tous les hommes,que nous puissions vivre ensemble enfin dans le respect,des uns et des autres,la laïcité,sans oublier l'histoire de la France et ces origines et traditions judéo chrétienne.
Que Dieu veille sur vous et vos proches en cette nouvelle année 2011 et que nous puissions encore partager de nombreux textes ensembles.
Bonne et heureuse année 2011

Le chemin d'un homme

" UN HOMME ENFIN DEVENUE "



Je n'étais qu'un enfant innocent
Quand j'ai subit les épreuves de la vie
Celles qui nous emportent dans ces tourments
Nous clouent le coeur et l'âme à l'infinie

J'ai traversé les planètes de la souffrance
Les déserts assoiffés d'errances et de blessures
Les autoroutes interminables de la maltraitance
Remplissant mon corps sain de souillures

Je me suis accroché contre vent et marée
Défiant les envies de mort au prix de la vie
Me demandant si j'avais vraiment existé
Et si de croire en l'avenir j'avais envie

J'ai grandi et essayé de trouver mon chemin
Tombant d'escaliers en escaliers sans remonter
Accumulant toutes les erreurs comme un gamin
Qui n'as pas pu grandir et se réaliser

Je vivais une vie sans la vivre vraiment
Regardant un film se dérouler devant moi
Comme si j'étais spectateur figer dans le temps
Les bras et les pieds liés sans avoir le choix

Je devais obéir à des codes maternelles et familiale
Embourbé dans des carcans et morales de siècles passés
Dans des erreurs et faux pas matrimoniales
Me faisant comprendre celui que je n'avais pas été

J'ai fini par sombrer dans un monde de néant
Ou le passé se mélangeait au présent et à l'avenir
Après un long passage à vide et de reclusement
Mon âme à retrouvée mon corps et mon coeur à pu repartir

Je pris conscience de ce que j'étais à l'intérieur
De ce que l'on m'avait empêché d'être à mon insu
Cette enfance que l'on m'avait volé et changé en terreur
Puis grâce à Dieu j'ai combattu et me voici,un homme enfin devenue

Écrit le dimanche 26 décembre 2010 à Lagny-Sur-Marne par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... )
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Tous nos souvenirs, nos secrets...

" HOTEL ST CHRISTOPHE "



J'avais 14 ans plus deux mois cette année là
Venant de travailler toutes mes vacances
Chez deux escrocs de patron qui ne me payèrent pas
Alors que ma mère m'avait dit que c'était ma chance

J'arrivais donc en ce mois de septembre
Dans ce grand hôtel restaurant de ma ville
Pour apprendre un métier de janvier à décembre
Prêt à faire comme les autres et suivre la file

J'étais motivé malgré ma déception de l'été
Et quelque chose était entrain de naître
Dans ce lieu immense et à la fois plein d'intimité
Où j'allais passer de l'enfance à un nouvel être

J'allais découvrir une nouvelle famille qui m'aimait
Des êtres qui jalonneraient une partie de ma vie
Partageraient mes blessures;souffrances et me protégeraient
Pourtant tout le mal n'a pas été dit

Je souffrais tellement dans ma vie d'adolescent
D'ailleurs je n'étais que souffrance depuis la petite enfance
La mort de mon père à mes deux ans et l'indifférence des grands
L'éloignement de ma mère et toutes ses absences

J'étais devenu le souffre douleur de mon beau-père
Et ma mère ne pensait pas à partir et me délivrer
Des coups et des insultes de cette vie de galère
Qui me rendait malheureux et envie de m'évader

Je vivais à l'école,au travail et à la maison
Mais j'avais fait mon entourage à l'hôtel
Et dans mon coeur il y avait de nouvelles raisons
Emile,Liliane,Nicole,René,Serge,Odile,Pierre,mes éternels

J'avais une famille avec eux et j'étais bien
Ils veillaient sur moi et je grandissait devant eux
Faisant mes armes de petit serveur,l'air de rien
Moi leurs enfants adoptif avec qui ils étaient si généreux

J'étais pourtant l'agneau dans l'enclos du loup
Même si à plusieurs reprises ils m'ont sauvés de ces serres
Ils n'ont pu empêcher l'impossible en plus des coups
Quand il est rentré dans mon corps et meurtris ma chair

J'étais encore un enfant qui n'avait pu grandir
Et je gardais toutes ces choses atroces en mon âme
J'espérais tellement qu'ils comprendraient et viendraient me secourir
Mais je n'avais pas les mots, que mon coeur et ces lames

J'ai essayé de vivre et de survivre grâce à eux
Et mon adolescence a connu certains jours meilleurs
J'ai connu l'amitié,l'affection,l'amour,les mots chaleureux
Et puis un jour par colère je suis partis vers un autre ailleurs

J'avais plus de dix huit ans et j'ai avancé mon armé
Après avoir souffert d'un mot dur de mon patron
Mais c'était comme ça,l'enfant devait partir vers sa destiné
Suivre le chemin qui mène vers d'autres horizons

J'ai aujourd'hui 47 ans et ma vie a été tumultueuse
Faite d'épreuves,de souffrances,d'errances et reconstructions
Mais je n'ai jamais oublié tout ces instants merveilleux
Et ceux si rare qui m'ont donnés tant et bien plus d'affection

J'ai vécus tant et tant de moment où j'étais absent
Prit autant de portes,que de claques,des catastrophes
Et pourtant au fond de moi vis toujours cet adolescent
Dans les joies et les traces de l'hotel St Christophe

Écrit le samedi 27 novembre 2010 à Lagny-Sur-Marne par Hugo Gall( pseudo de T.G )

Dédié à mon cher regrétté Emile F ex pompier volontaire, monsieur René H de Neufchâteau 88300 Vosges et ceux cités dans le texte.

( Ville de coeur:Aoste,Valpelline,Paris,Coulommier,Neufchâteau )

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à ceux qu'on a aimé

" LE REGARD DE MON GRAND-PERE "



Dans le regard de mon grand-père
Il y avait tout un beau ciel bleu
Des instants de doute et qui espère
Moments fragiles,douloureux et heureux

Dans le regard de mon grand-père
Il y avait la flamme de l'amour et la vie
Les années difficiles de toutes ses guerres
La tristesse de n'avoir pas pu vivre ses envies

Dans le regard de mon grnad-père
Il y avait la chaleur et l'humanité
Les douleurs de la perte d'enfant dont mon père
Les sourires profonds et l'affection sincère donnée

Dans le regard de mon grand-père
Il y avait l'amour vrai qu'il me portait
Les injustices qui le mettait en colère
La richesse de son âme et son coeur qu'il gardait

Dans le regard de mon grand-père
Il y avait la tendresse d'un petit garçon
Les mots qu'on a pas su se dire et tous les vers
Les souvenirs qui restent en nous comme une chanson

Dans le regard de mon grand-père
Il y avait la certitude que la bonté n'ai pas un rêve
Et il me reste ses leçons dont je me sert
Son image intact que je reverrai sans trêve

Écrit le mercredi 24 novembre 2010 à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... )

( Ville de coeur:Aoste,Valpelline,Paris,Coulommier,Neufchâteau )

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Les fables d'hugo

" D'UNE LIBELLULE A L'AUTRE "



Il y a quelque temps déjà, dans une région arboré d'arbres bien vert, traversée par de belles grandes rivières, vivait Eléonore, une libellule magnifique, profitant de l'air du temps, batifolant de droite à gauche et chantant du soir au matin ces quatre vers:<
" c'est moi la libéllule, si belle qui déambule, par le vent, par tout les temps, à contre soleil, à tout moment.>
C'était ainsi de l'hiver à l'été, de janvier à décembre, elle ne pensait qu'a profiter de chaque instant, sans jamais travailler, ni même aider son prochain qui était dans le besoin.
C'est ainsi que par un beau jour, un séduisant et fort monsieur libellule, intrigué par ce chant si étrange et par tant de nonchalance, vint à voler à hauteur des ailes D'Eléonore, pour briser la glace et faire la cour à la belle:<
" bonjour à vous belle et élégante princesse, je me présente Charly, chevalier des libellules pour vous servir; dîte moi, que fait une si charmante personne parmis ces eaux si tranquille?.
N'avez vous donc personne avec qui partager un exil et dans un nid douillet pondre quelques moufflets?
Je connais un coin de rivage merveilleux et tout près d'un village; voudriez vous donc y venir avec moi et nous y construir un toît?.>

Totalement exaspérée Eléonore répondit à son interlocuteur sur ce ton:<
dite donc mon bonhomme, me prendriez vous pour une poule pondeuse, vous êtes bien pressant et bien maladroit, on peut vous trouvez beau, mais on peut aussi vous prendre pour un nigaud, regardez vous et regardez moi, je n'ai pas la moindre envie de dépendre de qui que se soit et je n'ai pas non plus le moindre temps à vous accorder; il faut que je m'occupe de mes ailes et les faire voler, je dois rester belle et surtout garder ma ligne de ficelle, alors pensez donc, mêttre des enfants au monde, cela m'ait totalement impossible à envisager, malséant et desespérant, ne pensez pas non plus que je vais partager votre toît, pour me retrouver à néttoyer votre intérieur, faire votre léssive, à manger, moi je vous le dit, je laisse cela à d'autre, rien que d'y penser cela me fatigue, alors je vous en prie, laissez moi tranquille et aurevoir très cher, certainement trouverez vous ailleurs votre âme soeur...>

Repartant aussi fière qu'a son habitude, elle se remit à chanter:<
" c'est moi la libéllule, si belle qui déambule, par le vent, par tout les temps, à contre soleil, à tout moment ".>

Encore tout retourné par tout ce qu'il venait d'entendre et de tant de mauvaise fois, de mépris et d'égoïsme, Charly se résigna blessé et partis sur le champs et aussi vite qu'il le pouvait pour fuir cet endroit et ne pas se retrouver face à cette mégère, en pensant à tout cela en son for intérieur, il se dit:<
" qu'elle tyrannie cette princesse de scandale, belle certainement, mais que lui à ton mit dans sa cervelle d'oiseau? Qu'elle aille chez sa manucure, son coiffeur et qu'elle déploit ses ailes autant qu'elle veut, moi je l'a laisse à sa solitude éternelle ".>

C'est ainsi qu'en cet instant le chemin de ces deux quidams de libellule se sépara et que le temps se mit à passer, passer, passer et repasser, jusqu'à des années plus tard où au même endroit une vieille libellule usée par le temps, par les vents, passa en chantant quelques vers d'une chanson démodée avec une voix rocailleuse, mais au combien familière:<
" chez moi l'ail biballule, chi balle qui dechamboule, par la vente, par toute la temps, à conte solail, à touze mamon ".>

Les paroles semblaient avoir changées, mais une famille libellule qui passait par là, reconnaissa cet air qui rappela quelques souvenirs à son chef, se rapprochant de la vieille chanteuse, il l'interpella ainsi:<
" oh bonne vieille dame, ne seriez vous pas cette si charmante et magnifique créature que j'ai rencontré il y a si longtemps, qui voulait soigner son corps et sa personne, contre le vent, contre le temps et ne pas se laisser envahir par une famille qui l'a rendrait dépendante? Esce vous Eléonore?.">

Stupéfaite de cette rencontre inattendue, la vieille chanteuse reprit ses esprits avant de répondre:< "
C'est bien vous monsieur Charly? L'air du temps et le vent ne semble pas avoir eut de prise sur vous, vous semblez aussi jeune qu'a notre dernière rencontre, quel est donc votre secret que je l'applique aussitôt? Mis à part vos mains abîmées, vous êtes encore un jeune homme et dite moi, ces personnes à vos côtés sont-ils vos neveux qui prenent soin de vous?
Moi je suis bien las et je n'ai personne pour prendre soin de moi, la vie est bien triste ne croyez vous pas? Mais répondez moi, que devenez vous? ".>

Toujours aussi étonné par tant de suffisance que le temps n'avait pas changé, Charly lui rétorqua:<
" Ma pauvre Eléonore, sachez que mon secret de jeunesse n'ait pas dans un pot de crême contre les rides, mais dans la chaleur d'un doux et tendre foyer; ou dans l'amour de celle que l'on aime et l'affection de ses enfants, nous aide à traverser l'espace du temps qui nous conduit vers un eternel paradis.
Quand à mes mains qui vous semble abîmées, dite vous bien que moi j'ai travaillé pendant tout ce temps pour faire vivre ma famille, mon travail m'a peut-être abîmé les mains, mais cela m'a donné d'être honnête, respecté et apprécié des autres, j'ai aussi appris à les respecter et à leur venir en aide.
Ainsi le jour où moi même j'ai été dans le besoin, eux sont venus à leurs tours à mon aide.
Sachez que l'on voit toujours le maçon au pied du mur, c'est ainsi qu'un travailleur est respecté, qui a t-il de plus grand bonheur que de donner sa vie pour ceux qu'on aime?
Si vous êtes là aujourd'hui, c'est bien pour cela, vous n'avez su que vous aimez et prendre soin de vous même, comment les autres pourraient-ils vous rendre ce que vous n'avez donné qu'a votre propre personne? Que vous reste-il maintenant?
Le temps, les vents se sont empréssés de vous rider, malgrè les soins quotidiens que vous avez apporté à votre corps et aucun enfant n'ait sortis de ce corps sec et vide de sentiment pour vous aimer et accompagner vos vieux jours.
Voyez ce ne sont pas mes neveux, mais mes propres enfants et la femme qui à bien voulu me donner ce que vous m'avez refusé daidaigneusement avec mèpris, pour finir seule; laide, ratatinée et desespérement de plus en plus seule avec vous même, idiote et méprisable.
Apprenez qu'il y a plus à donner qu'a recevoir et qu'un beau jour ou l'autre on s'en va, n'emportant rien avec soi, mais vous, vous emporterez au moins cela: l'image de votre laideur qui est celle de votre bétise et la froideur de votre coeur; allez ma chère Eléonore, adieu et soignait bien vos rides ".>

Cette bonne vieille libellule aurait du être blessée et méditer toutes ces paroles philosophique, mais savez vous ce qu'elle fit après ça? Et bien:<
" chez moi l'ail biballule, chi balle qui dechamboule, par la vente, par toute la temps, à conte solail, à touze mamon ".>

Comme quoi l'égoïsme conduit jusqu'au bout de la bêtise et que le miroir renvoie toujours une seule image: la notre.

Écrit par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... ) Lagny-Sur-Marne

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Ainsi va la vie...

" LES ILLUSIONS PERDUES "



Quand on est petit on rêve sa vie
On voudrait être médecin ou comédien
Avoir une grande maison bien remplie
Deux gros chiens labrador ou dalmatien
Quand on est petit on idéalise l'avenir
On ne comprend pas le monde des adultes
Leurs conversations et leurs souvenirs
Chacune de leurs paroles ou insultes

Le temps passe et l'on grandit
Et nos ambitions que sont elles devenues?
Dans les jours qui se sont suivis
Il ne reste que les illusions perdues
Le temps passe et l'on se dit
Que notre temps est venu
Dans le monde qu'on avait envie
Il ne reste plus que les illusions perdues

Quand on regarde les grands vivre
On se dit qu'ils ont de la chance
être des hommes et des femmes libres
Et faire ce qu'ils veulent de leurs existences
Quand on regarde son père et sa mère
On voit dans leurs difficultés et leurs larmes
Les jours ou malgré tout ensemble ils espèrent
Et quand heureux ils s'abandonnent et baise les armes

Le temps passe et l'on grandit
Et nos ambitions que sont elles devenues?
Dans les jours qui se sont suivis
Il ne reste que les illusions perdues
Le temps passe et l'on se dit
Que notre temps est venu
Dans le monde qu'on avait envie
Il ne reste plus que les illusions perdues

Quand on est adolescent on se jure
Qu'on fera mieux que ses parents
Que notre vie sera moins dure
Et que l'on aura moins de tourment
Quand on entend ses parents se quereller
Pour des soucis d'argent ou pour la famille
On se dit qu'on trouvera la personne à aimer
Que l'on soit un garçon ou une fille

Écrit le samedi 20 novembre 2010 à Lagny-Sur-Marne,par Hugo GAll ( pseudo de TH..... GAL.... )
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Quand on a que l'amour

" VOUS SOURIEZ MADEMOISELLE "



Vous souriez mademoiselle
A la porte de votre maison
Vous étiez toujours la plus belle
Tout au long des quatre saisons

Je me souviens de votre robe à fleurs
Virevoltant aux quatre vent
Comme il battait fort mon coeur
Quand votre bouche souriait à pleine dent

Vous bougiez mademoiselle
A chaque pas avec une telle grâce
Vous ressembliez à une aquarelle
Que l'on peint pour que le temps garde sa trace

Je me souviens de vos yeux clairs
De votre teint aux couleurs du miel
Comme je ne savais plus quoi faire
Tant vous regarder me donnais des ailes

Vous souriez mademoiselle
En étant éblouie par le soleil
Dans votre belle robe en dentelle
La vie semblait être merveille

Vous m'avez tendue la main
Pour que je pose la mienne dans la votre
Et en ce jour vous teniez mon destin
Pour devenir celui qui deviendrait le notre

Vous étiez heureuse madame ce samedi
Quand dans votre belle robe blanche
Au sortir de la mairie vous aviez dit oui
Portant mon nom pour devenir un arbre à plusieurs branches

Écrit le vendredi 19 novembre 2010 à Lagny-Sur-Marne,par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... )
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Essaie de comédie musicale, écrit par Hugo Gall, Henry VIII roi D'Angleterre, il était une fois un tyran

" AMIS D'ENFANCE "


De la comédie musicale imaginée et écrite par Hugo Gall, " la vie des Tudor et D'Henry VIII, roi D'Angleterre et ses femmes "


A la mort au champs d'honneur
Du père de Charles pour celui D'Henry
Qui devint roi D'Angleterre avec bonheur
Il te prit dans sa famille pour partager leurs vie

A la cours les enfants furent élevés ensembles
Charles,Henry,Mary,devinrent les meilleurs amis
Henry et Charles comme deux frères qui se ressembles
Sont devenus inséparable pour la vie

A la mort du prince futur roi Arthur
Henry prit sa place par obligation royale
Lui qui ne voulait pas de ce genre de futur
Mais étant roi,il te choisit toi le loyal

A la vie de votre enfance tu pensais à Mary
Que le sang royal ne pouvait accorder
Alors que son coeur à elle ne battait que pour ta vie
Lorsqu'elle du épouser le roi de France,contrainte et obligée

A la cours D'henry tu restas cependant un fidèle
Partageant comme toujours ses hauts et ses bas
Jusqu'à la mort du roi Français où tu te sentis des ailes
Et après avoir rejoins Mary,vous vous tombèrent dans les bras

A la barbe D'Henry vous devinrent secrètement mari et femme
Pour votre plus grand bonheur et les foudres du roi
Qui malgré son amour pour vous était en flamme
Jusqu'à ce qu'il soit apaisé par Wolsey et pardonne de bonne foi

A ton retour en Angleterre,tu rejoins Henry
Qui après avoir dit ses pensées,te redonna son affection
Dès cet instant tu étais désormais de sa famille pour la vie
Avec les enfants que te donna Mary en ligne direct de succession

A sa rupture du mariage avec Catherine D'Aragon
Au remariage avec la Boleyn si peu vertueuse
Tu le soutint même dans ses passions de déraison
Où parfois comme Mary,tu les trouvas vénéneuses

A la mort de Mary, le roi et toi furent dans le chagrin
Mary était ta femme et pour henry sa soeur bien aimé
Puis il y eut d'autre matin et vous suivirent vôtres destin
Toi vers Catherine Willoughby,lui vers Jeanne Seymour sa nouvelle aimé

A l'heure de ta mort tu avais beaucoup reçu et une vie remplie
Grandit dans la famille D'Henry,ton meilleur ami,son frère
Eut épousé quatre femmes dont tu avais eu envie
Et eut six enfants,tout ce qu'un homme espère

A la Guiford tu rendis ton âme et Henry te pleura
Toi qui avais été pour lui le plus grand des fidèles
Trois ans plus tard Henry à son tour trépassa
Et au coeur de l'infini,deux amis d'enfance unissent leurs ailes

Écrit le jeudi 18 novembre 2010 à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... )
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Essaie de comédie musicale, écrit par Hugo Gall, Henry VIII roi D'Angleterre, il était une fois un tyran

" THOMAS CRANMER "


De la comédie musicale imaginée et écrite par Hugo Gall, " la vie des Tudor et D'Henry VIII, roi D'Angleterre et ses femmes "


D'études de droit et théologie
Pour être prêtre et suivre ta voie
Tu réussis vite dans la société et ta vie
En croisant la route des Boleyn et leurs foi
Confesseur D'Anne qui te présenta au roi
Tu le soutenas et l'aidas dans son divorce
En l'aiguillant vers la réforme et ces lois
Où tu mis à sa disposition toutes tes forces
Déclaré archevêque de Cantorbery
En remplacement de Volsey et Moore
Tu fus un grand appuis pour Henry
Qui te garda sa confiance jusqu'à son dernier souffle

Rare sont ceux qui ont survécus à henry
Quand il régnait sur L'Angleterre
Pourtant un nom résonne à l'infinie
Celui de Thomas Cranmer
Rare sont ceux qu'a pu supporter henry
Mais de la-haut dans le ciel à la terre
De sa naissance à la fin de sa vie
Il y eut Thomas Cranmer

De réussite en élévation vers le pouvoir
Entre des condamnations injuste et ciel pluvieux
Avant de connaître de nouveaux jours d'espoir
Et de voir mourir Henry et de lui fermer les yeux
Par fidélité à Henry tu offris tes services à son fils Edouard
Avec qui tu continuas de faire la route de ton choix
Jusqu'à la mort du jeune roi adolescent au teint blafard
Qui fit Jane Grey son héritière pour protéger la nouvelle foi
Après avoir pris cause pour la jeune reine
Trop rapidement destituée par la légitime Marie Tudor
Qui déversa sur toi sa vengeance et sa haine
Tu fus condamné au bûcher vivant ou tu te montra fort


Écrit le mercredi 17 novembre 2010 à Lagny-Sur-Marne par hugo Gall( pseudo de TH..... Gal.... )

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" THOMAS CROMWELL "


De la comédie musicale imaginée et écrite par Hugo Gall, " la vie des Tudor et D'Henry VIII, roi D'Angleterre et de ses femmes "


Toi qui parti de rien dans la vie
Avec un père indigne et assoiffé d'alcool
Qui sur une ultime confrontation s'enfuit
Vers d'autre terre pour prendre ton envol
Toi qui t'engagea dans l'armée Française
Puis rejoignit L'Italie à Florence
Où dans le commerce tu fus à ton aise
Et pu faire tes preuves et avoir ta chance
Toi qui rentra dans ton pays natal
Qui t'élevas par les études et l'expérience
Après avoir été employé par le cardinal
Qui te fit rencontrer le roi et ces exigences

Oh pauvre Thomas Cromwell
Qui pensa être l'ami du roi
Mais qui te brûla les ailes
Dans ces mensonges et sa mauvaise foi
Oh pauvre Thomas Cromwell
Qui ne vit pas venir l'ultime erreur
Celle qui est devenue éternelle
Et qui t'a détruit et fait ton malheur

Toi qui épousa Elisabeth par amour
Qui te donna un fils qui fit ta joie
Jusqu'à la fin de chacun de tes jours
Où tu fut désigné par Henry homme de loi
Toi qui avait la confiance du roi tyran
Qui fut son conseillé et soutient dans son divorce
Et qui l'aida à la réforme et tous les changements
Confisquant les biens de l'église ou ton honnêteté fit des entorses
Toi qui trouva sa quatrième femmes avec soucis
Qu'Henry repoussa avec dégoût et véhémence
Entraînant ta disgrâce et la joie de tes ennemis
Qui te firent décapiter cruellement en secret par vengeance

Écrit le mardi 16 novembre 2010 à Lagny-Sur-Marne par Hugo Gall( pseudo de TH..... Gal.... )

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Note de l'auteur: Thomas Cromwell eut le tort de se tromper dans le choix de la 4 ème femmes D'Henry VIII, il avait choisi Anne De Cléve, une princesse Flamande, pour consolider L'Angleterre avec un pays qui avait en commun la réforme protestante, le grand peindre Holbein en avait fait un portrait élogieux, mais la réalité en était tout autre et lorsque le roi l'a vit,il en eut une grande répulsion, il l'a nomma même la jument Flamande, le mariage dura 5 mois, sans que les époux ne consume leur mariage, mais le roi en voulu énormément à Thomas Cromwell, car diasait-il, il connaît mes préférences en matière de femme, il ne comprenait pas cette grosse erreur, à ce moment les ennemis de Thomas Cromwell se jettent sur lui comme des loups auprès de la brebis, l'arrêtant en plein conseil, ils le firent emprisonner à la tour de Londres, en attendant l'obtention du divorce du roi, puis à cette échéance, il est décapité en secret à la tour le 28 juillet 1540.
Le bourreau choisi volontairement sans expérience pour rendre l'exécution plus cruelle, Thomas Cromwell subit un supplice horrible, le bourreau du s'y reprendre à trois reprise pour trancher sa tête, qui fut ensuite bouillie et exhibée sur un pique sur le pont de Londres.

Essaie de comédie musicale, écrit par Hugo Gall, Henry VIII roi D'Angleterre, il était une fois un tyran

" MARGARET POLE, COMTESSE DE SALISBURY "

De la comédie musicale imaginée et écrite par Hugo Gall " la vie des Tudor et D'Henry VIII, roi D'Angleterre et ses femmes ".


Tu étais la cousine de la mère D'Henry
Nièce du roi Edouard D'Angleterre
Descendante des York et de leurs dynastie
Que ton oncle Richard a mit à terre
Tu étais gouvernante de la princesse Mary
Quand elle fut retirée à Catherine D'aragon
Que le roi répudia pour celle de ses envies
Mais a qui tu ne donnais pas raison

Margaret tu resteras le symbole
De la cruauté et l'infamie d'un tyran
Qui voulait avoir tout le monopole
Du pouvoir qui conduit au néant
Margaret tu fus déclarée sainte
Pour avoir subit un sacrifice bestial
Que tu dus subir avec crainte
Sur l'ordre d'exécution D'Henry l'animal

Tu étais la comtesse de Salisbury
Et tu ne demandais rien à personne
Que de vivre heureuse toute ta vie
Avec ta foi en un Dieu qui pardonne
Tu étais loin de toutes ces politiques
Des ambitions et manipulations royale
Que le roi utilisait de façon machiavélique
Pour tester celui qui lui était loyal

Margaret tu resteras le symbole
De la cruauté et l'infamie d'un tyran
Qui voulait avoir tout le monopole
Du pouvoir qui conduit au néant
Margaret tu fus déclarée sainte
Pour avoir subit un sacrifice bestial
Que tu dus subir avec crainte
Sur l'ordre d'exécution D'Henry l'animal

Tu as été emprisonnée par Henry
Et traitée avec mépris à la tour
Il a fait décapiter ton fils Henry
Par peur que vous lui preniez sa place un jour
Tu as été enfermée pendant des années
Et un jour à 67 ans, sans préavis on t'a emmenée
Jusqu'au billot ou tu refusas de t'agenouiller
Mais après plusieurs coups de hache on t'a décapitée

Écrit la dimanche 14 novembre 2010 à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall ( pseudo de TH..... Gal.... )
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Notes de l'auteur: Margaret Pole, comtesse de Salisbury, à subit la mauvaise humeur du roi Henry VIII D'Angleterre, ainsi que toute sa famille, elle était aussi de foi catholique, ce qui irisait le roi, qui voulait qu'elle et sa famille le reconnaisse comme maître de l'église Anglicane, Margaret Pole était aussi de lignée royale par son père Georges,frère des rois Edouard et Richard York, ce qui faisait d'elle et Henry des cousins par la mère D'Henry VIII, qui était la fille du roi Edouard York, mais cela faisait peur à Henry qui était de plus en plus malade à voir des conspirations partout, et le plus crédible, c'est qu'il se servit d'une pseudo conspiration pour faire emprisonner Margaret Pole et sa famille, certain ont pus s'enfuir, mais les autres ont étés emprisonnés et exécutés, dont le fils de Margaret Pole, Henry Pole qui fut décapité, quand à Margaret, il l'a fit attendre dans une prison mal aménagé qui la rendit malade, la fit mal traitée, la nourrisant mal, tout cela pendant des années, puis quand sa 5ème femmes, kateryne Howard revint de l'avoir visité, car elles étaient proches, elle dépeint les conditions mauvaises de détentions de la comtesse et demanda au roi de lui donner une meilleur vie et condition, le roi promis, mais dès le lendemain, il donna ordre de la faire décapiter, à 67 ans, sans la prévenir, on traîna la pauvre vieille femme, malade, en colère et pas du tout d'accord de ce qu'on allait lui faire subir, car disait elle, elle ne méritait pas pareil sort comme une criminelle, elle n'avait rien fait de mal, mais rien y a fait, on l'a fit s'agenouiller devant le billot, mais elle refusa, alors le bourreau lui donne un 1er coup de hache, qui entailla son épaule, mais elle était toujours vivante et consciente, alors il continua son oeuvre malgré tout et comme il n'était pas un spécialiste, peu habitué à cet exercice d'exécution il s'y reprit à plusieurs reprises, avant de finir par séparer la tête du corps de la pauvre suppliciée.
Le Vatican qui apprit ce qui c'était passé, fit passer cette exécution pour un martyre et éleva Margaret Pole au rang de sainte Margaret, elle fut définitivement béatifiée en 1886 par le pape.

Essaie de comédie musicale, écrit par Hugo Gall, Henry VIII roi D'Angleterre, il était une fois un tyran

" LES PAPISTES ET LA PUTAIN "

De la comédie musicale imaginée et écrite par Hugo Gall " la vie des Tudor et D'Henry VIII,roi D'Angleterre et ses femmes "

Quand Anne Boleyn se promit d'épouser le roi
Elle ne capitula pas et alla jusqu'au bout
Rien ne la fit changer de but et de foi
Puisque le roi la désirait, il lui faudrait prendre tout

Quand le pape et ses cardinaux en eurent vent
Ils rirent en se moquant, que ne durerait pas la rose
Persuadé que le roi n'y perdrait pas son temps
Mais de leurs Vatican, ils ne constatèrent aucune pause

Quand le roi demanda vivement son divorce
Pour prendre Anne pour femme et en faire sa reine
Il était déterminé à utiliser toutes ses forces
Et faire annuler sa précédente union stérile et vaine

Quand le Pape s'entêta et se montra intransigeant
Il dicta ses propres désirs et se joua du roi
En refusant d'accéder à la volonté du plaignant
Dirigeant de L'Angleterre et de sa putain de joie

Quand Anne comprit que rien ne viendrait de là
Elle prit les dispositions pour passer outre ces manigances
Quitte à faire admettre au roi de fouetter d'autres chats
Et de chasser ces Papistes remplis d'orgueil et d'influence

Quand le pape compris que rien ne ferait changer le roi
Et que sa putain mettait tout en oeuvre pour réussir
Il s'acharna à contrarier le roi et imposer ses lois
Se croyant maître d'une religion unique, des rois et de leurs avenirs

Quand Henry en eut assez de ce faire manipuler et dicter sa vie
Il choisit comme nouveau dogme religieux la réforme protestante
Que lui avait habilement soufflée Anne par conviction et envie
Assisté par Thomas Cranmer qui devint archevêque de la foi naissante

Quand après tant de luttes Anne épousa enfin le roi
Elle devint reine et fut grand défenseur de la nouvelle réforme
S'évertuant à rendre le culte plus libre de ces choix
Bannissant le culte des images, le pouvoir et les richesses hors normes

Quand le Pape apprit que Moore et Fisher avaient étés décapités
Pour n'avoir pas reconnu le roi comme dirigeant de l'église Anglicane
Il l'exclu définitivement de l'église catholique et après l'avoir excommunié
Il ordonna aux rois catholique d'en faire l'ennemie qu'on condamne

Quand le roi s'aperçut que les ecclésiastiques ne voulaient pas se plier
Il fit saisir tous les biens des églises D'Angleterre et emprisonna les rebelles
Puis il alluma les bûchers et dressa des échafauds pour décapiter
C'était le message qu'il envoyât à celui qui lui cherchait querelle

Quand le schisme fut acquis et la séparation de Rome consommée
Anne avait gagnée et grâce à sa volonté, la réforme s'appliqua
Le Pape avait sous estimé la putain qu'il avait tant méprisé
Et aujourd'hui encore L'Angleterre reste Anglicane et le restera

Quand on s'aperçoit qu'un dirigeant de l'église se croit le maître
Et qu'il voit sa religion comme la seule, l'unique, au prix de sacrifice
Il n'ait plus un homme de Dieu, mais dicté par son ambition de traître
Anne Boleyn malgré ses erreurs à vaincu le Pape et tous ces artifices.

Écrit le vendredi 12 novembre 2010 à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... )

Notes de l'auteur: Quand on regarde les livres d'histoires et les dictionnaires, on se rend compte que l'on ne rend pas hommage à celle qui fut la plus importante femme D'Henry VIII D'Angleterre avec Catherine Parr ( 6 ème ), la deuxième de la liste, certes, mais celle qui à le plus agit,qui à fait de L'Angleterre ce qu'elle est aujourd'hui et à travers le monde, elle était moderne et en avance sur son temps, sur beaucoup de sujet,spirituel,sexualité,etc...,elle l'a aussi payé au prix de sa vie, mais aussi à cause de son caractère exécrave et d'une promesse faite au roi qu'elle seule ne pouvait pas prétendre, lui donner un héritier mâle viable, malheureusement elle donna en premier une fille et fit fausse couche sur fausse couche, avant de mettre un fils mort né au monde, ainsi que de manipulation en manipulation, crises de jalousie et une trop grande envie de mettre son nez partout, le roi Henry fini par plus supporter tout cela et après avoir rencontrer une jeune fille qui lui plus énormément ( Jane Seymour ) il mit tout en oeuvre pour se débarrasser de celle qu'il avait tant aimé et qui l'avait poussé bien haut et faire des choses que sans elle, il n'aurait jamais faite, devenir le maître extrême de L'Angleterre, en chef d'état et d'église.
Elle fut aussi la mère D'Elisabeth 1ère, l'une des plus grande reine D'Angleterre,tyrannique comme son père et au caractère de sa mère.
Anne Boleyn fut arrête en mai 1536 et enfermée à la tour de Londres, puis accusée d'adultère, d'inceste, de sorcellerie, elle fut condamnée à mort, comme son frère George Boleyn, et 4 autres hommes censés être ses amants, le 19 mai 1536 au matin, Anne Boleyn est décapitée à l'épée, par un bourreau Français venu spécialement pour elle à sa requête, accordé par le roi Henry VIII, elle fit preuve d'un grand courage et d'une grande dignité...

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Tous nos souvenirs, nos secrets...

" AU FOND DES TIROIRS "


Au fond des tiroirs
Il y a tant de chose
Ce qu'on ne voit pas dans le miroir
Qui nous donne des overdoses

Au fond des tiroirs
On cache ce qui nous fait mal
Que l'on laisse dans le noir
Comme des piles de linge sale

Au fond des tiroirs
On met les vêtements que l'on aime
Ceux qui font partis de notre mémoire
Comme des petits cailloux que l'on sème

Au fond des tiroirs
Il y a des secrets intime
Des objets privés sans faire valoir
Venant des alcôves divers et infime

Au fond des tiroirs
On cache nos espérances
Nos rêves chimériques et d'espoir
Comme un enfant remplis d'innocence

Au fond des tiroirs
Se niche nos tempéraments et tourments
Au gré des couleurs et accessoires
Que l'on adapte à nos humeurs du moment

Au fond des tiroirs
Attend l'enveloppe de notre testament
Qu'on ouvrira le jour d'un départ sans gloire
Où nous partirons vers le firmament.

Écrit le lundi 15 novembre 2010 à Lagny-Sur-Marne par Hugo Gall ( pseudo de TH..... Gal.... )
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Ne plus penser...

" LÂCHE L'AFFAIRE "



Quand tu t'accroches à des chimères
Que tu ne sais plus quoi faire
Quand tu n'as plus que ça dans ta tête
Et que dans ta vie ce n'ai plus la fête
Quand les routes que tu prends
Ne t'emmènent pas là où tu attends
Quand autour de toi, il ni a plus que des tourments
Et qu'au fond de ton corps, tu sais que tu te mens

Lâche l'affaire, lâche l'affaire
Laisse toi aller, ne cherche pas de raison
Ne te prends pas la tête, laisse tourner la terre
Elle tournera tu verras, laisse tomber la tension
Lâche l'affaire, lâche l'affaire
Laisse partir tes peurs, vit au jour le jour
Ne vit pas dans tes rêves, ne revient pas en arrière
L'avenir t'appartient, l'amour pour toujours

Quand tu te fais des cheveux blancs de tes soucis
Que tu dors plus, à faire des insomnies
Quand la politique te révolte et te démoralise
Et que tu veux fuir comme un ours sur sa banquise
Quand tu comptes les années qui passent sans préavis
Que tu vois dans ta glace les rides que laisse la vie
Quand tu regardes ton petit dernier quitter la maison
Et que dans ton coeur les larmes te feraient perdre la raison

Écrit le samedi 13 novembre 2010 à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... )
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L'amour dans toutes ces différences...

" UN HOMME TOUT SIMPLEMENT "



Il n'ait pas différent des autres humains
Pourtant les autres le juge sans même réfléchir
Que c'est Dieu qui lui a choisit son destin
Comme à chacun son passé et son avenir
Il a lutté si longtemps contre sa différence
Cherchait à comprendre ce qu'il était dans son corps
Essayé de répondre aux affronts par de l'indifférence
A ceux qui disent savoir comment vivre, mais ont tort

Un homme qui aime un homme
C'est un homme tout simplement
ça n'a rien d'irrépressible et c'est comme
Tous les amoureux remplis de sentiments
Un homme qui aime un homme
C'est l'amour qui naît intimement
Loin des histoires hors-norme
Naturellement un homme tout simplement

Il sait qu'il est né comme ça et ni peut rien
Dés sa conception il a reçu d'autres savoir
Que seul ceux qui sont comme lui ont dans leurs mains
Mais que trop souvent ils vivent comme un désespoir
Il sait que des hommes comme lui ont toujours existes
Que la peur de leurs sexualités différentes
A souvent suscité l'incompréhension et la méchanceté
Que des religions ont attisées par des paroles intolérantes

Un homme qui aime un homme
C'est un homme tout simplement
Ça n'a rien d'irrépressible et c'est comme
Tous les amoureux remplis de sentiments
Un homme qui aime un homme
C'est l'amour qui naît intimement
Loin des histoires hors-norme
Naturellement un homme tout simplement

Il n'a jamais rien fait de mal aux autres hommes
Qui confondent par ignorance ou malveillance
Avec les pédophiles pervers qui font du mal en somme
Aux enfants, adolescents,en les atteignant dans leurs innocences
Il a parcouru de long chemin de ronces et de souffrances
Pour savoir qui il est aujourd'hui et enfin s'aimer
Sans se sentir responsable, ni anormal, de ces influences
Qui font de lui un homme comme tous ceux de l'humanité

Un homme qui aime un homme
C'est un homme tout simplement
Ça n'a rien d'irrépressible et c'est comme
Tous les amoureux remplis de sentiments
Un homme qui aime un homme
C'est l'amour qui naît intimement
Loin des histoires hors-norme
Naturellement un homme tout simplement

Il veut mettre en garde ceux qui montrent du doigt
Que c'est les hommes et non Dieu qui juge et méprise
Les églises dirigées par des humains qui manipulent la foi
Pour imposer leurs façons de vivre aux hommes, à leurs guises
Il veut dire que ce qui se passe dans son lit et intimité
Comme chez chacun d'entre tous les mortels de l'univers
Ne regarde personne et surtout pas les dirigeants d'églises conditionnées
A faire de nous des marionnettes à leurs services sur terre

Écrit par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... ) le jeudi 28 octobre 2010 à Lagny-Sur-Marne
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Les acquis perdus

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Quand on a que l'amour

" RÉAPPRENDRE A S'AIMER "



Comment s'entendre quand on ne se parle plus
Que l'on vit à côté de l'autre sans faire attention
Comment continuer quand on ne peut plus se mettre à nu
Que le feu brûlant des sentiments à éteint la passion
Comment espérer d'autre lendemain ensoleillé
Quand chaque jour sont des jours de novembre gris
Comment ouvrir les portes que l'on a fermées
Que des mots blessants ont emportées dans le néant des nuits
Comment vouloir prendre le chemin de sa maison
Que les scènes de jalousie et les colères ont éloignées
Comment après avoir perdu l'espoir, retrouver la raison
Que tous les maux ont gravés dans notre tête désabusée

Réapprendre à s'aimer
Comme le premier jour
Se dire et se donner
Les mots, les gestes d'amour
Réapprendre à s'aimer
Comme une première fois
Laisser tout le passé
Loin derrière soi

Comment faire des projets d'avenir à deux
Quand on ne sait même plus qui est dans son lit
Comment reconnaître le bonheur quand on ait pas heureux
Quand au fond de son coeur on a plus d'envie
Comment ranimer l'étincelle d'une flamme étouffée
Quand deux corps à l'opposé ne se touchent plus
Comment regarder les joies d'avant dans un miroir piqué
Quand on ne pense pas à ce qu'on a voulu
Comment revenir vers l'autre quand l'orgueil nous dévore
Quand on se dit avoir raison et qu'au fond de soi on se ment
Comment regarder l'autre pour un nouvel aurore
Quand on c'était juré de ne plus avoir de sentiment

Écrit le lundi 25 octobre 2010 par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... ) à Lagny-Sur-Marne

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Pour l'amour de son fils

" POUR TOI MON FILS "



Je suis heureux pour toi mon fils
Que tu n'ai pas vécus ce que j'ai subit
Heureux car les nouveaux liens que tu tisses
Te font pouvoir prendre en main ta vie

Je suis heureux car moi déjà à ton âge
J'étais passé par bien des blessures
Après avoir perdu mon père, comme un naufragé
Mon enfance et mon avenir étaient des déchirures

Je suis heureux car ton innocence est restée intact
Alors que la mienne après 14 ans n'était que désolation
Comme des coups de cannons, après leurs impacts
En moi tout était champs de révolte et d'incompréhension

Je suis heureux car tu as un père
Même si pour toi tout semble si incompréhensible
A 2 ans je n'avais déjà plus le mien qui était en terre
Et dés cet instant mon chagrin a été incompressible

Je suis heureux car tu n'as pas subit le reniement des tiens
Ceux que tu crois ta famille et que lorsque vient la vérité
Les mots fusent, les regards menacent, et il ne reste plus rien
Que le souvenir de moment que l'on croyait vrai, mais qui était rêvé

Je suis heureux car tu es un garçon comme tant d'autre
Qui vit son enfance, son adolescence et qui la ressent en lui
Moi je vivais dans la peur de la violence d'un autre
Faisant et refaisant les mêmes cauchemars dans mes nuits

Je suis heureux car tu n'as pas a rougir et avoir honte de moi
A aucun moment tu n'as à rougir de ce qu'ai ton père
Car j'ai fait preuve de courage, de force et de foi
Et peu de père on vécu ce que j'ai vécu dans cet univers

Je suis heureux car saches que seul Dieu à le droit de juger
Et lui seul ne me juge pas, il n'y a que les hommes qui se l'octroient
Des hommes d'église qui font dire à la parole de Dieu ce qu'ils ont inventés
Mon fils ce qui compte,c'est de penser,réfléchir,par son âme, son coeur et être doit

Je suis heureux car Dieu à fait les hommes tous diffèrent
Il a voulu ainsi, pour que chacun apporte aux autres humains
Qu'il soit poète, charpentier, marchand, petit, grand, homme, femme, enfant
Et qu'a chaque instant nos sentiments, l'amour, nous porte vers demain

Je suis heureux mon fils car je t'aime de tout mon coeur
A travers le temps qui passe et à chaque instant tu fais partis de moi
Et il n'y a rien de plus beau que cela, pour comprendre le bonheur
Celui qui fait de toi mon fils et de moi ton père, au nom de toi.

Écrit le vendredi 22 octobre 2010 par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... ) à Lagny-Sur-Marne

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Une femme libre

" JUSTE UNE FEMME "



Elle est née d'un père et d'une mère
Comme chacun de ses congénères
Mais elle est née fille au féminin
L'autre côté de tout ce qui est masculin
Elle jouait à la poupée avec ses copines
Rêvait de petite sirène en allant à la piscine
Mais au fond elle tout ça n'était qu'un cliché
La femme qui était en elle rêvait de liberté
Elle voulait être maître de son corps
A l'heure où d'autres avaient déjà des enfants
D'un mari qu'elles avaient épousées à tort
Pour être dans la norme des bien pensants

Juste une femme d'aujourd'hui
Dans ses gestes et son histoire
Qui reste sensible et qui sourit
Mais qui ne veut pas céder au désespoir
Juste une femme qui écrit sa vie
Dans les dentelles et la soie
Qui veut vivre avec qui elle a envie
Et pas forcément sous le même toit

Elle rêve à toutes ses héroïnes du passé
D'Elysabeth Tudor à Catherine De Russie
Ces femmes qui se sont battues seules pour s'élever
Et être à la tête de leurs pays et leurs vies
Elle s'attendrit sur Madame de Maintenon
Qui partie de rien, fini femme de Louis XIV le roi
Après avoir gravit un à un tous les échelons
Grâce à sa force et la confiance en sa foi
Elle est une femme humaine et singulière
Une Marie Curie qui recherche le meilleur
Ou une Simone Veil décidée et téméraire
Égale aux hommes qui se croyaient supérieur

Écrit le lundi 18 octobre 2010 par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... ) à Lagny-Sur-Marne

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Essaie de comédie musicale, écrit par Hugo Gall, Henry VIII roi D'Angleterre, il était une fois un tyran

" GEORGES BOLEYN "


De la comédie musicale imaginée et écrite par Hugo Gall; " la vie des Tudor et D'Henry VIII, roi D'Angleterre et ses femmes "


Toi qui étais né si différent
Qui aimais tant ta tendre mère
Lui apportant tes joies d'enfant
Qui aurait prédit ces jours d'enfer
Toi qui avait tant d'amour
Pour tes deux soeurs Anne et Mary
Heureux de vivre ensemble tout ces jours
Tu ne te rendais pas compte que filait ta vie
Toi le jeune homme qu'Anne appréciait tant
Qui la baignait dans l'insouciance et l'enfance
L'entourant d'amis poètes et musiciens chantants
Comment n'a-t-on pas voulu croire en ton innocence

Pauvre Georges épris d'ambition et de passion
Pourquoi as tu suivis ton père et Anne ta soeur
Emportés dans les tourbillons du pouvoir et de la religion
Dirigé par ton oncle howard sans remord, ni coeur
Pauvre Georges un pion sur l'échiquier des ambitieux
Pourquoi as tu voulus rester dans cette cours piégée
Entouré des ennemis de ta famille les plus envieux
Décidé à perdre ta soeur Anne si mal aimée

Toi qui rêvais de prestige et d'affection
Que Francis cède à tes regards de velours
Pour vivre de caresses et loin des illusions
Des jours et des jours baigné d'amour
Toi qui du prendre Jane pour femme
Reniant ainsi la vraie nature qui était en toi
Ne pouvant le crier aux hommes et le jeter aux flammes
Pour protéger les honneurs de ta famille et ces lois
Toi tu n'as pas sentis venir la fin et la disgrâce
La folie despotique D'Henry et sa soif de sang intense
Qui voulait effacer D'Anne et de toi, toutes traces
Avant que la hache n'applique à vos corps sa sentence

Écrit le mardi 19 octobre 2010 par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... ) à Lagny-Sur-Marne
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Essaie de comédie musicale, écrit par Hugo Gall, Henry VIII roi D'Angleterre, il était une fois un tyran

" BESSIE "


De la comédie musicale imaginée et écrite par Hugo Gall; " la vie des Tudor et D'Henry VIII, roi D'Angleterre et ses femmes "


Petite princesse à l'enfance dorée
Entourée de tes frères et soeurs
D'une mère et d'un père tant aimé
Tu n'as pas vu s'envoler ce grand bonheur
Petite fille aînée du roi Edouard
Tu étais si heureuse au palais de ton enfance
Ou grandissante tu attirais tous les regards
Au moment ou tu perdais ton innocence
Petite femme à la force qui ne romps pas
La mort de ton père te donna des larmes
Et en haine et colère elle se transforma
Quand ton oncle Richard usurpa le pouvoir dans les drames

Bessie tu n'avais pas imaginée
Combien la vie pouvait être cruelle
Toi qui pensait avoir un avenir bien rangé
Au milieu de ta famille si belle et fidèle
Bessie tu luttas pour la justice
Que l'infamie avait piétinée sans remord
Toi qui te promis à Henry sans artifice
Pour que triomphe la paix et apaise les morts

Petite princesse qui eut le coeur brisée
Par la cruauté de l'usurpateur et son ignominie
Quand il fit assassiner tes frères tant aimés
Et qu'il vous confina pour dépendre de lui
Petite fille qui joua les amoureuses
Pour mieux mettre à terre Richard le judas
Qui comprit trop tard qu'un autre te rendrait heureuse
Quand sur le champs de bataille Henry le trépassa
Petite femme qui devint reine D'Angleterre
En épousant Henry Tudor ton aimé
A qui tu donnas cinq enfants, dont deux que tu mis en terre
Mère du futur Henry VIII dévasté à ta mort après avoir accouchée

Écrit le mardi 19 octobre 2010 par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... ) à Lagny-Sur-Marne

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Vivre et s'en sortir vers un bel horizon

" NE BAISSE PAS LES BRAS "



Toi qui as souffert dés ta naissance
Subit tant d'humiliation et de mépris
Qui t'ai senti trop longtemps sans importance
Au point que ta vie n'était qu'un défi
Toi qui as perdu ta mère ou ton père
Ressenti un grand vide et beaucoup de peine
Qui as connu un beau-père ou une belle-mère
Remplissant leurs perversités dans tes veines

Ne baisse pas les bras
Et ne lâche rien
N'abandonne pas
Un jour tout ira bien
Ne baisse pas les bras
Soit fort et bas toi
Un jour tu verras
Tu marcheras droit

Toi qui as pleuré seul dans ta chambre
Lorsqu'on souillait ton corps innocent
Que la souffrance envahissait tout tes membres
Sans qu'on t'apporte le moindre sentiment
Toi qui as craché dans les miroirs
Parce que tu te sentais sale et désespère
Ne voyant rien d'autre que le noir
La mort et l'oublie dans toute l'éternité

Ne baisse pas les bras
Et ne lâche rien
N'abandonne pas
Un jour tout ira bien
Ne baisse pas les bras
Soit fort et bas toi
Un jour tu verras
Tu marcheras droit

Toi qui as si souvent pris des routes de hasard
Qui t'on mené vers le néant et la solitude
Abandonné de ceux qui disaient t'aimer, sans égard
Incompris et mal aimé des entreprises et leurs habitudes
Toi qui as lutté avec tes armes et l'amour de Dieu
Qui a perdu tant de faux amis et de famille indigne
Tu ne dois jamais baisser la tête et les yeux
Car un jour tu verras l'amour et l'amitié te faire un signe

Écrit le mercredi 20 octobre 2010 par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... ) à Lagny-Sur-Marne

( écrit en hommage pour toutes les victimes de maltraitances et d'inceste )

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La folie de notre temps présent...

" JUSQU'À QUAND ? "



A la télé chaque jour
On voit le pouvoir de l'amour
Mais toujours les mêmes atrocités
Avec de plus grandes inégalités
A la télé chaque jour
Des débats qui tournent court
La guerre de l'ambition et du pouvoir
De gauche à droite c'est toujours le désespoir

Jusqu'à quand accepterons nous
D'être des esclaves de la république
Des hommes dont le monde des puissants se fout
Se joue de nous et sème la panique
Jusqu'à quand verrons nous
L'avenir de nos enfants en danger
Notre vie mise sans dessus dessous
Avant de nous lever pour nous libérer

A la télé chaque jour
Des sondages des contres et des pour
Un monde de sang et de haine
Couvert par la peur et les peines
A la télé chaque jour
C'est repartit pour un tour
La richesse côtoie la misère
Le pire c'est que l'on semble s'y faire

A la télé chaque jour
Des sourires pour un monde sourd
Conduit par des aveugles assoiffés d'or
Semant autour d'eux la souffrance des corps
A la télé chaque jour
On rejoue le même film toujours
Des systèmes financiers qui nous maltraitent
Qui nous prennent tout jusqu'à nos retraites

A la télé sur les écrans noirs
On veut ramollir notre mémoire
Nous dire quoi penser et qui juger
Qui détester et qui encenser
A la télé quand l'écran devient blanc
un journaliste se prend pour un commandant
Bascule à droite ou à gauche avec ces mots
Condamne d'une parole ce qu'il juge faux

Écrit par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... )Le jeudi 14 octobre 2010 à Chelles gare de rer ( pendant la grève, lorsque j'attendais mon train )

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Paris, Paris

" NE A PARIS "


Comme mon sang suit la seine
De l'île Saint-Louis à Notre-Dame
Son cours suis mes joies et peines
De Paris où je suis né, sont mes états d'âme

Comme au Panthéon reposent les illustres
A la basilique Saint-Denis nos rois
De Montmartre au Père-Lachaise les artistes
En mon coeur vibre tout ces endroits

Comme le Sacré-Coeur protège Paris
Les grands musées s'ouvrent sur toiles et palettes
Du Louvre au jardin des tuileries
Je marche dans les pas de Marie-Antoinette

Comme le centre Pompidou à bien fait sourire
L'arche de la défense a posée des interrogations
Ici l'histoire côtoie le présent et l'avenir
La souffrance et la joie, l'indifférence et la passion

Comme l'hôtel de ville, autrefois place de grève
Place de la concorde résonne encore les morts
Ou la vie de millier d'âmes devint trop brève
Dans une révolution avec la veuve pour décor

Comme la vieille dame de fer éternelle
Symbole d'un Paris ouvert à l'art et aux matières
Défendu par Eiffel à l'exposition universelle
J'avance vers l'avenir et reviens en arrière

Comme le passé nous dit d'où l'on vient
Les pavés à qui la révolution redonne vie
On revoit tout ceux qui voulaient notre bien
Et je n'oublierai jamais que je suis né à Paris

Écrit par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... ) Le Mardi 12 octobre 2010 à Lagny-Sur-Marne

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Essaie de comédie musicale, écrit par Hugo Gall, Henry VIII roi D'Angleterre, il était une fois un tyran

" THOMAS MOORE "


De la comédie musicale imaginée et écrite par Hugo Gall; " la vie des Tudor et D'Henry VIII, roi D'Angleterre et de ses femmes "


Tu as été l'ami du roi
Son conseillé le plus fervent
Tu étais un homme de foi
Un humaniste de ton temps
Tu as avec lui refait le monde
Durant des heures en toute amitié
Comme une danse, une ronde
Vous sembliez tout deux liés
Tu as eu l'admiration D'Henry
Le respect de ta femme et tes enfants
Tu avais ta vision de la vie
Et la sincérité de tes sentiments

De l'au-delà Henry regrettera toujours
L'ami qu'aujourd'hui il aime encore
Et qu'il a du renier pour vivre son amour
Pour une Anne préféré à Thomas Moore
De l'au-delà peut-être ce jour
Un roi et son ami parle encore
De tous leurs accidents de parcours
Entre le roi et Thomas Moore

Tu as été au côté du cardinal
Qui a sombré devant toi impuissant
Pour un divorce qui lui fut fatal
Et que tu as jugé indécent
Tu as fini par d'entêter dans tes idées
Chancelier tu as fait preuve d'intolérance
Et sacrifié des innocents sur les bûchers
Au nom d'un extrémisme en manque de connaissance
Tu as refusé de te soumettre
Et quitté la cours que tu n'aimais pas
Tu as rejeté le roi comme suprême maître
Et il a signé pour que la hache soit ton trépas

Écrit le Mercredi 13 octobre 2010 à Lagny-Sur-Marne par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... )

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Essaie de comédie musicale, écrit par Hugo Gall, Henry VIII roi D'Angleterre, il était une fois un tyran

" LE CARDINAL "


De la comédie poétique et musicale imaginée et écrite par Hugo Gall; " la vie des Tudor et D'Henry VIII, roi D'Angleterre et ses femmes "


Toi petit homme de la rue
Qui est devenue son éminence
Grâce au roi que tu as soutenue
Et dont tu as parfait l'intelligence
Toi qui as su si bien faire profit
De tes connaissances et des traîtres
Comme un caméléon tu as mené ta vie
Par fidélité ou par simple paraître
Toi qui était assoiffé d'ambition
Dans une robe de prélat trop étroite
Tu avais oublié la foi de ta religion
Pour asseoir ton autorité et tes ruses adroites

Sonnent, sonnent, les cloches du Vatican
Pour les rêves de Thomas Wolsey
Dépassé d'amour et de sentiments
Que personne d'autre que lui ne sait
Chantent, chantent, jeunes chantres
Que vos voix volent jusqu'à Rome
Pour que le cardinal enfin rentre
Dans la cours de Dieu loin des hommes

Toi qui rêvait d'être un jour pape
De briller dans le ciel du paradis
Tu n'as pas vu le danger sous cape
Tournoyer autour de toi et atteindre à ta vie
Toi qui voulait pour le roi une épouse française
Pour qu'il puisse signer un traité d'alliance
Tu as vu arriver Anne Boleyn L'anglaise
Dont la famille voulait ta déchéance
Toi qui n'as pas su obtenir le divorce
Voyant s'éloigner tes rêves de Saint-père
Tu n'as pas supporté ta disgrâce précoce
Et la mort t'a surpris dans ta prison austère

Écrit le mercredi 13 octobre 2010 à Lagny-Sur-Marne par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... )

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Essaie de comédie musicale, écrit par Hugo Gall, Henry VIII roi D'Angleterre, il était une fois un tyran

" LORD HENRY FITZROY "


De la comédie musicale imaginée et écrite par Hugo Gall; " la vie des Tudor et D'Henry VIII, roi D'Angleterre et ses femmes "


Tu es né d'un hasard de la vie
Un moment ou l'on ne t'attendait pas
D'une mère déjà mariée et du roi Henry
Qui fut touché dans son coeur à ce moment là
Tu as fait le bonheur de ton père
En déclenchant la colère de la reine
Qui ne pouvait plus devenir mère
Et en ressentie une grande peine

Lord Henry Fitzroy bâtard du roi
Tu étais promis à un avenir doré
Appelé à détenir les clés du pays et ces lois
Que ton père semblait vouloir te préparer
Lord Henry Fitzroy bâtard du roi
Enfant mâle tant désiré et inattendu
Tu as apporté la joie autour de toi
Avant les larmes quand tu as disparu

Tu as grandi dans l'amour des tiens
De la belle Béssie blount et D'Henry Tudor
Jalousé par les Boleyn et leurs venins
Avec Anne qui voulait t'empoisonner et ta mort
Tu as été éduqué comme un prince de sang
Par le roi qui te voulait l'égal de ses filles légitimes
Te faisant le 1er héritier au trône des prétendants
Comme une infinie preuve d'amour ultime

Tu as épousé lady Mary Howard cousine D'Anne
Faisant de toi un jeune homme heureux
Pour un bonheur que rien ne condamne
Alors que ton avenir devenait nuageux
Tu es devenu malade et ta vie précaire
Laissant le roi désespéré et en proie aux doutes
Quand la mort t'a saisie et qu'on t'a mit en terre
Dans l'année de tes 17 ans qui te promettait une belle route

Écrit Le jeudi 14 octobre 2010 à Lagny-Sur-Marne par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... )

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Mon histoire, c'est votre histoire

" LES BLESSURES DE L'ENFANCE "


Les enfants maltraités et violés ont les mêmes tourments
Les mêmes blessures et les mêmes lignes d'horizon
Ils courent dans les brouillards de leurs larmes d'innocents
A la recherche de gestes de tendresses et d'amour, comme seule raison

Les enfants que l'on a bafoués, tués dans leurs beautés profondes
Errent dans leurs vies comme des wagons vide partis sans locomotives
Envoyant des messages de cris étouffés que ne recevront jamais les ondes
Ni les coeurs de ceux qui ne comprennent pas et jugent de façon hâtive

Les enfants que l'on a oubliés de voir grandir et devenir adulte
Ont gravés en eux à jamais les cicatrices remplies de solitude et d'abandon
Ils se sentent comme des coupables mit au piloris que l'on insulte
A la dérive d'une identité qu'on leur a broyé sans aucun pardon

Les enfants qui ont subit tant de violences et de maltraitances
Ont étés livrés en pâture à des hommes pervers par leurs mères insensées
Trop souvent absentes et non concernées par leurs manques de méfiances
D'autres par leurs consentements à tout les abus qu'elles n'ont pas avouées

Les enfants qui ont étés salis et infectés dans leurs corps par des impies
Ont gardés sur eux comme des tâches inlavables de scènes abjectes
Ils n'ont jamais pus grandir dans leurs âmes et subit les échecs de leurs vies
En subissant les regards malveillants et les mots qui assassinent de ceux qui rejettent

Les enfants que l'on a accablés de maux et d'indifférences
Se sont retrouvés dans un monde hostile, de haine et d'incompréhension
Ils n'ont pu suivre cet univers si rapide et agressif dénué de confiance
Et sont restés avec les blessures de l'enfance,espérant que vienne leurs rédemption

Écrit pour toutes les victimes de maltraitances et d'inceste, par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... ) à Lagny-Sur-Marne, le mercredi 22 septembre 2010

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Ainsi va la vie...

NAIS,VAS,VIS,MEURT

Un jour tu nais par hasard
Par le désir de deux corps qui s'attirent
Qui se rencontre sur le quai d'une gare
Ou sur une plage,quand la mer se retire

D'échange de baisers en caresses et voluptés
De bouquets de roses en dîners à la bougie
Au longues nuits et doux matins s'éterniser
Dans des draps où l'on s'ébat jusqu'a l'oublie

Un jour tu épouses celle que tu aimes
Tu quittes ton petit nid qui était chéri
Pour vivre une vie à deux sur le même théme
Et aller chaque jour au bout de ces envies

D'habitudes à prendre en désir de se comprendre
Tu tisses des liens qui seront l'aurore d'une famille
Celle que tu auras construite à force d'attendre
Telle la minutie et l'entêtement d'une fourmi

Un jour tu la sent venir vers toi différente
Elle est hésitante,boulevercée et heureuse à la fois
comme un secret,elle te défie dans cette attente
Pourtant tout cela vous appartient à elle et à toi

Cette petite boule en elle et la moitié de ton être
C'est la combinaison de sa porte,qu'a ouvert ton corps
Poussé par l'irrationnel désir de nos ancêtres
Qui laissent une partie de nous au delà de la mort

Un jour tu te retrouve avec un nouveau né
Couché entre toi et elle,souriant à l'avenir
Alibi et témoin,de ce que vous avez été
Premier arrivé de ses soeurs et fréres à venir

Déjà la vie à passée et ils sont devenus grands
Tu ne comptes plus les rires,les cris,l'amour et les pleurs
Dans vos yeux à toi et elle,se reflétent vos cheveux blancs
Mais tout est ainsi,nais,vas,vis et meurt

Ecrit le lundi 20 septembre 2010,à Lagny-Sur-Marne,Marne la Vallée 77,Seine Et Marne,ïle De France,France.

( Ville de coeur:Aoste,Valpelline,Paris,Coulommier,Neufchâteau )

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Italie mon amour...

" PLACE SAINT MARC, A VENISE "


Elle aurait pu être une île inconnue
Avec sa place principale sans un pigeon
Un peu comme une grande avenue
Qui mène nul part, un château sans donjon

Seulement elle est la grande cité des doges
Une ville éternelle dans la latine Italie
Entourée d'eau et de canaux que rien ne déroge
Avec son histoire illustre remplie de magie

Elle aurait pu être un autre atlantide
Disparaître sous les eaux profonde de l'océan
Une douce fable pour jeunes filles candides
En mal de romance et de beaux princes charmants

Seulement elle est la ville des gondoliers
Qui chantent ô solé mio aux amoureux de l'univers
Rêvant de romantisme et d'amour au duo singulier
Pour une vie sans pont des soupirs en pleine hiver

Elle aurait pu être une planète non découverte
Qu'aucune fusée où un pas d'homme n'as souillé
Briller de mille feu comme un diadème sur une tête
Sans jamais avoir réussi à être trouvée

Seulement elle est la belle et désirable Venise
Entourée de magnifique palais et de monument célèbre
Elle est la reine de cristal sucré comme une friandise
Qui envoûte de sa voix son opéra sortie des ténèbres

Elle aurait pu sortir de l'imagination D'hugo
Entre poésie et mot douloureux, dédié à l'humanité
Un titanic qui sombre, comme un capitaine Nemo
Avant de s'envoler et d'atteindre l'éternité

Seulement elle est celle qui restera toujours
Du pont de Rialto, à son carnaval qui se déguise
Le symbole de l'éternité, de la beauté et de l'amour
De la grande place Saint Marc, à Venise ...

Écrit par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... ) à Lagny-Sur-Marne le mardi 21 septembre 2010

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Essaie de comédie musicale, écrit par Hugo Gall, Henry VIII roi D'Angleterre, il était une fois un tyran

" CHARLES BRANDON "


De la comédie musicale imaginée et écrite par Hugo Gall; " la vie des Tudor et D'Henry VIII, roi D'Angleterre et ses femmes "



Toi l'ami d'enfance, celui de toujours
Tu as connu les joies et les infortunes
Les longues nuits et les grands jours
Remplies de soleil et de clair de lune
Toi l'ami d'enfance, comme un frère
Tu as combattu à chaque fois à ces côtés
Des jours de paradis, aux jours d'enfer
Jamais tu ne l'as une seule abandonné

Charles et Henry, c'est pour la vie
Une histoire d'amour en amitié
Partageant leurs espoirs et les folies
Comme un pacte de fraternité
Charles et Henry, deux doigts de la main
Comme deux David et Jonathan
Pour vivre ensemble leurs destins
Inscrit dans l'histoire du temps

Toi l'ami d'enfance, celui tant aimé
Tu as vécus son amour des femmes
Les trahisons de celles qu'il a adoré
Et tu as vu son regard jeter des flammes
Toi l'ami d'enfance, qui a tant donné
Tu as souvent eu peur pour toi et lui
Les colères et les actes inconsidérés
Ont trop souvent sur son passage tout détruits

Toi l'ami d'enfance, le plus droit
Tu as su lui garder ta fidélité
Le réconforter quand son coeur avait froid
Dans ces doutes et ces contrariétés
Toi l'ami d'enfance, Charles Brandon
Tu es partis avant lui, le laissant triste
Mais son coeur pour toujours te pardonne
Car il sait qu'il te rejoindra sur la même piste

Écrit le mercredi 22 septembre 2010 à Lagny-Sur-Marne par Hugo GAll ( pseudo de TH..... GAL.... )

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Essaie de comédie musicale, écrit par Hugo Gall, Henry VIII roi D'Angleterre, il était une fois un tyran

" LE ROI EST MORT "


De la comédie musicale imaginée et écrite par Hugo Gall; " la vie des Tudor et D'Henry VIII, roi D'Angleterre et ses femmes "


Le roi Henry, ce tyran se meurt
Il se croyait éternel à l'abri du ciel
Sûr de n'avoir fait aucune erreur
Il priait Dieu de lui rester fidèle
Le roi Henry, se sent mourir
Il revoit les jours de sa jeunesse
La douceur de sa mère et son sourire
Son frère Arthur et sa soeur la princesse

Un, deux, trois, la pendule du temps
Ne te laissera pas de répit Henry
Le compteur de ta vie souffle le vent
Qui t'emporte loin dans la nuit
Un, deux, trois, que sonne l'heure
Pour la dernière danse d'un Tudor
Que s'envole les désirs et la peur
Car maintenant le roi est mort

Le roi Henry voit partir sa vie
Les douleurs de sa jambe s'efface
Il est déjà dans ses pensées et la nuit
Demain, il aura laissé sa trace
Le roi Henry sent son souffle ralentir
Il pense à Catherine l'infante D'Espagne
Qu'il a répudié et celles qu'il a fait mourir
Alors qu'aujourd'hui elles seront ses compagnes

Le roi Henry, sent son coeur qui s'éteint
Il s'en va retrouver ceux qu'il a aimé
Son cher ami Charles et tous les siens
Pour être unis dans toute l'éternité
Le roi Henry ce soir s'endort
Mais bientôt François 1er le suivra
Les rois seront réunis dans la mort
Laissant leurs enfants pleurer leurs trépas

Écrit le mercredi 22 septembre 2010 à Lagny-Sur-Marne par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... )
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Quand la vie était plus belle...

" COMPLAINTE D'UN VIEUX CHEVAL "



Le vieux cheval se meurt
Il ne sort plus de son écurie
Non, il n'a pas peur
Mais il n'en a plus envie
IL ne reconnaît plus son monde
Tout ce qu'on lui a appris
Les longues marches et les rondes
Tout semble disparu aujourd'hui

Le vieux cheval se meurt
Il repense aux années d'autrefois
Où la vie ressemblait au bonheur
Quand on l'appelait tant de fois
Il servait si souvent pour les labeurs
Pour un champs, une charrette, un carrosse
Des guerres à la fête des fleurs
Traité avec respect ou en rosse

Le vieux cheval se meurt
Il ne reconnaît plus les humains
Qui détruisent sa terre et son coeur
Sans comprendre ce qu'ils seront demain
Il se souvient si bien du temps d'avant
Où il entendait le chant des oiseaux
Dans un silence si bienveillant
Et une nature où tout était beau

Le vieux cheval se meurt
Il a mal de voir le monde déchirer
Les hommes courir après des faux bonheurs
Pour de l'argent si vite brûlé
Il attend que vienne son heure
Où il s'en ira avec ses bons souvenirs
Laissant aux terriens leurs rancoeurs
Dans un monde qu'ils croient bon, mais pire

Le vieux cheval se meurt
Il implore de tout son être son Dieu
D'éclairer tous les hommes de coeur
Pour vivre sous de meilleurs cieux
Il s'en va, déjà il n'ai plus là
Redevenant un jeune cheval, il s'envol
Les ailes sur sa robe, il atteint l'au-delà
Soulagé de ne plus vivre l'inconscience des sols

Écrit par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... ) le vendredi 17 septembre 2010 à Lagny-Sur-Marne
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Essaie de comédie musicale, écrit par Hugo Gall, Henry VIII roi D'Angleterre, il était une fois un tyran

" LADY JANE "



De la comédie musicale imaginée et écrite par Hugo Gall; " la vie des Tudor et D'Henry VIII, roi D'Angleterre et ses femmes "



Petite femme si frêle et sage
Tu désirais tant avoir le temps
De découvrir la vie page après page
Pour en connaître chaque mouvement
Petit être de chair et de sang
Tu rêvais à d'autre lendemain
Loin des obligations du à ton rang
Et dans un monde plus serein

Petite reine des neufs jours
Emportée dans un tourbillon
Sans envie et sans amour
Ta bouche n'était qu'un bâillon
Petite reine des neufs jours
Dans un monde d'illusion
Sans espérance et sans retour
Ta vie n'as été que résolution

Petite femme encore adolescente
Tu n'envisageais pas un avenir si sombre
Couvert de souffrance qui nous hante
Faisant de nous des ombres
Petite fille encore si fragile
Tu étais descendante des Tudor
Ton père était ton talon D'Achile
Lui qui précipita ta mort

Petite reine des neufs jours
Emportée dans un tourbillon
Sans envie et sans amour
Ta bouche n'était qu'un bâillon
Petite reine des neufs jours
Dans un monde d'illusion
Sans espérance et sans retour
Ta vie n'as été que résolution

Petite femme tendre lady
Tu fus utilisée par des hommes avides
Dont le pouvoir rendaient fou d'envie
Prêt aux conspirations qui mènent au vide
Petite flamme des Grey
Héritière du jeune roi Edouard
Qui du épouser l'un des Dudley
Pour que sa famille accède au pouvoir

Petite reine des neufs jours
Emportée dans un tourbillon
Sans envie et sans amour
Ta bouche n'était qu'un bâillon
Petite reine des neufs jours
Dans un monde d'illusion
Sans espérance et sans retour
Ta vie n'as été que résolution

Petite reine à peine éclose
Si vite détrôné par Marie la sanglante
Au coeur remplie d'épine de rose
Elle la Catholique, toi la protestante
Petit oiseau aux ailes pleins d'espoir
Qui était si dévouée à Dieu
Tu fus exécutée comme victime expiatoire
Pour asseoir un règne qui fut odieux


Écrit le vendredi 17 septembre 2010 à Lagny-Sur-Marne par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... )

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Le souffle du temps et des saisons

" UNE JOURNÉE DE SEPTEMBRE "



Les derniers jours de soleil
Éclaboussaient de leurs chaleurs
Les gens, la terre et le ciel
Qui semblaient en être ivre de bonheur

Les vacances d'été avaient passées
Comme autant de souvenir en mémoire
Des photos revues et sans cesse ressassées
De visage, paysage, plein d'espoir

Les derniers teints de bronzage
Souriaient encore aux derniers revenant
Qui portaient comme un halage
Cette marque comme preuve d'ancien estivant

Les habitudes de chacun avaient reprises
Avant qu'ils ne puissent oublier le moindre geste
Dans la joie ou dans le stress de la crise
Accroché comme dernier rempart à ce qui nous reste

Les enfants avaient repris le chemin de l'école
Rencontrant de nouveaux et anciens camarades
Allant sans comprendre encore plus loin qu'un rôle
Pour assurer un avenir loin de toute barricade

Les jours se faisaient de plus en plus court
Emmenant la fraîcheur dans nos nuit
Nous découvrant et recouvrant tour à tour
Comme le parapluie nous protège de la pluie

Les mois sont passés comme autant de semaine
Nous rapprochant déjà de trois mois de décembre
L'été s'enfuit emportant avec lui ses peines
Par une belle journée de septembre

Écrit par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... ) Le dimanche 5 septembre 2010 à Lagny-Sur-Marne

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Amour, sexe et fantaisie

" UNE HISTOIRE DE TOI ET MOI "

( Un historia di te e di me )


Ils se cherchent en se réveillant
Dans les premières lueurs du jour
Comme deux vieux tendres amants
Qui se sont juré un éternel amour

Ils se désirent et s'attirent
Se font l'amour comme une première fois
Comme deux coeurs qui s'aspirent
Deux âmes qui ne connaissent plus de loi

Ils se disent des je t'aimes intenses
S'embrassent à en perdre haleine
Dans les mots doux que l'autre pense
Qui coulent comme l'eau de la seine

C'est comme des rêves fous
Que l'on vit sans s'éveiller
Des litanies qu'ont répètes à genoux
Comme une prière pour l'éternité
C'est comme une chose impossible
Qu'on réalise avec la force et sa foi
Des choses qu'on voit qui sont invisible
Une histoire de toi et moi

Ils se font des petits déjeuners à deux
Croquent dans les tartines de l'autre
Comme des adolescents indolent et heureux
Courant dans les jardins de Lenôtre

Ils vivent leurs idylles à cent à l'heure
Comme si elle pouvait s'arrêter demain
Avant que l'un d'eux ne meurt
Laissant l'autre avec son chagrin

Ils savent que la vie est un parcourt
Qu'il faut suivre jusqu'au bout du chemin
En vivant le plus de bonheur et d'amour
Pour ne jamais regretter la fin

Écrit par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... ) Le dimanche 5 septembre 2010 à Lagny-Sur-Marne

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La petite chronique D'Hugo, tiré de notre quotidien

Mes petits billets d'humeur et d'humour:


" Une femme est-elle une mère en devenir ou une mère pour huit corps de bébé "


Une grande question telle qu'une femme est-elle une future mère
Chaque femme aspire telle à devenir une mère un jour où l'autre?
Contrairement a ce que peuvent en dire tous les religieux du monde
C'est une réponse négative et sans appelle, toutes les femmes ne sont pas maternelle

Avec ce dernier fait divers qui nous à fait découvrir l'assassinat de 8 bébés
Par leurs propres mère, qui refusait d'avoir plus d'enfant que ces deux filles
Beaucoup se sont demandé et se demande encore ce que faisait le père?
Mais doit on répondre à ça, quand on connaît vraiment les femmes?

Nous les hommes en majorité sommes réputés pour réfléchir par le bas de nos ceinture
Alors que les femmes réfléchissent plus souvent et mieux avec leurs têtes
Ce qui fait qu'une femme qui n'a aussi pas le même corps qu'un homme
Peut sans problème cacher tout ce qu'elle veut à son mari et son entourage

Il faut être un moine, un bonne soeur, lesbienne, gay, pour croire autre chose
Car tout le monde sait qu'une femme est la reine de la simulation quand elle veut
Des maux de têtes devant le devoir conjugal dont elle n'a aucunement envie
A autant de petits artifices pour obtenir ce qu'elle veut ou ne veut pas

Mais la vraie question est: une femme peut-elle être une mère en devenir?
Certes il y a un grand nombre d'entre telles qui le deviendront avec une joie immense
Mais aussi d'autre qui le deviendront par accident, par obligation, par erreur
Oui la maternité n'ait pas contrairement à ce qu'on croit un immense instant de joie

Pour corroborer tout cela, prenons les enfants abusés par leurs pères, beau-pères
Près de chacun d'eux,il y a une mère qui se trouve dans l'ombre à côté,à chaque acte
Mais la plus part savent et se taisent,d'autres voient rien, d'autres demandent à leurs enfants de se taire
Oui exactement, alors comment une vraie mère peut-elle se comporter ainsi, comment?

Simplement parce que ces femmes là, ne sont pas vraiment des mères
Elles le sont devenus par force, par obligation d'une société religieuse
Qui fait que l'on pense qu'une femme ou un homme sans enfant n'a pas fait sa vie
Que ce n'ai pas normal, qu'il y a forcément quelque chose qui cloche et qu'on cache

Pourtant lorsque l'on voit des curés d'églises s'épouvanter de ces faits immonde
Il est tout aussi déconcertant et même étonnant de constater que lorsqu'il s'agit de viol
Tout le petit monde de Don Camillio se tait et met des décennies avant de réagit
Des bébés tués à ça non, mais des enfants bien vivant violés dans leurs murs, oui

Deux poids et deux mesures pour des faits détestables, mais différents
Cependant il est certain d'une chose élémentaire et immuable
Une mère a droit de vie et de mort sur son enfant et personne d'autre
C'est elle qui peut décider de le laisser en vie, de le rendre heureux, le protéger

Une mère est une femme avant tout, mais a aussi des sentiments bons ou mauvais
Avec beaucoup plus d'avantages sur l'homme, celui de porter son enfant
A cet instant elle a l'unique pouvoir du monde et de tous les hommes
Et il n'appartient qu'a elle d'en faire un pouvoir diabolique ou de bonté extrême

Une mère qui tue ou laisse maltraiter et violer ces enfants et coupable
Une femme qui en fait tout autant et aussi responsable et meurtrière
Ont-elles simplement pensés à toutes ces femmes qui espèrent tant en avoir un un jour
Mais que la nature à désavantagé, alors pourquoi avant de les tuer ne pas les avoir offert avec amour?

Écrit Mercredi 4 août 2010 par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... ) à Lagny-Sur-Marne
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