lundi 31 août 2009

Lettre ouverte à monsieur le président de la république et madame la première dame

MONSIEUR LE PRESIDENT ET MADAME SARKOSY-BRUNI



Moi j'ai eu dans mon coeur quelqu'un qui m'a dit
Comme une prière, une lythanie de dernier espoir
Que vous m'écouteriez et que vous m'aideriez à en sortir
Pour que toutes les épines sur mon chemin se changent en rose

Moi un citoyen Français, mais de seconde zone, qui survit
Comme tous mes frères et soeurs de douleur dans le noir
Que tout le monde semble vouloir oublier et détruir
Pour que les mots inceste et viol deviennent une insignifiante chose

Moi j'aimerai qu'il existe la possibilité d'une île sécurisée
Comme un havre de paix, pour tous nous retrouver
Que nous puissions vivre notres différences et être compris
Pour que nous ayons plus mal à travers un regard, un rejet

Moi qui ai vu ma jeunesse écrassée et baffouée
Comme un oisillon attend le moment de pouvoir voler
Que se moment n'ai jamais venu, faute d'avoir appris
Pour que je sache dire non à l'adulte, qui m'a prit pour un déchet

Moi aussi j'aimerai déranger les pierres si ordonnées
Comme pour ouvrir toutes ces oreilles sourdes et coeur de pierre
Que l'on sache que ma vie n'a plus été la même
Pour que je n'ai plus a me justifier et être montré du doigt

Moi aussi j'aimerai être l'amoureuse, amoureux aimé
Comme pour me dire que j'ai un peu gagné sur hier
Que je puisse écrire encore et encore sur mes thémes
Pour toucher au coeur et que le monde enfin voit

Moi je voudrai tant rattrapper le temps perdu et volé
Comme pour éffacer toutes ses années stériles d'un otage
Que j'ai été de ceux qui m'ont anéantit, jugé et sali
Pour que je sois enfin moi et que je vive a mon rythme et ma façon

Moi je suis encore cet enfant qui s'ouvrait à sa vie désolée
Comme tant d'autre arrivé sur cette terre d'inégalitée et de rage
Que j'ai fini par subir de tous les fronds pour ma survie
Pour que malgrè l'inceste, les deuils, les maldies, les patrons voyoux, je sois une leçon

Moi je viens de ceux qui sont venus D'Italie, fuyant Mussolini
Comme vous je suis petit fils et fils d'imigré qui ont acceptés la France
Que j'ai dans mon coeur et mon âme à chanque instant
Pour que mon sang Italien et mes gestes latin, ne soient pas apatride

Moi je viens simplement vers vous; Carla Bruni et Nicolas Sarkosy
Comme pour une dernière main tendue et une ultime chance
Que l'avenir de mon horizon voit se compter comme le temps
Pour que sur mon visage et mon corps fatigué, n'apparaissent plus une ride

Moi qui n'ai plus de père, remplacé par un bourreau cru
Comme plus de travail, malgrè toutes mes batailles et mauvais lots
Que j'ai menés de frond, entouré de gens malvaillants sans générosités
Pour me juger, rabaisser, trahir et rendre anéantit d'émotion

Moi qui au 30 octobre 2009 va se retrouver dans le rue perdu
Comme d'autres personnes de l'hotel au mois que j'habite par défaut
Que la préfecture et la mairie ont décidés de fermer pour insécurité
Pour me reloger ils ne s'affolent pas et se moquent dans quelles conditions

Moi qui n'ai pas eut d'autre choix, aprés l'inceste et deux divorces
Comme vie et sexualité de préférer les hommes, pour être " heureux "
Que mon fils de 13 ans à mal prit et c'est détourné de moi
Pour ne plus vouloir me connaître, sans savoir le pourquoi de ma vie

Moi qui n'ai pas céssé depuis plus de trois ans de crier de toutes mes forces
Comme seule raison de vivre, que je voulais un logement pour recevoir mon fils mieux
Que l'on m'avait donné en alternance par jugement, avec grande joie
Pour pouvoir continuer notre relation et complicité, ma plus grande envie

Moi qui n'ai plus personne, parce que j'ai dit la vérité
Comme l'homme droit et sincére que j'ai toujours voulu être
Que j'ai toujours défendu les vraies valeurs, qui sont les miennes
Pour ne jamais me décevoir et me regarder en face dans ma glace

Moi qui ai besoin de vivre à mon rythme et faire de l'écriture ma liberté
Comme ma seule source de revenue et de plaisir, dans l'éssence de mon être
Que je puisse enfin être reconnu et respecté et que l'espoir revienne
Pour que je crois, qu'il existe des bonnes âmes, qui me rendent ma place.


Ecrit par Hugo Gall le 31-08-2009 ( pseudonyme de TH GAL.... )


Laisse aller la musique

" LES MOTS "


Ont les emploient à tous les temps
Ont les crient bien trop souvent
Ont les transforment à notre avantage
Ont les changent suivant notre âge
Ils swinguent toujours sur la musique
Dansent souvent sur la rythmique
Parfois se tappent à la machine
Avant d'être lus en France en Chine



Les mots, les mots
Se bousculent
Les mots, les mots
Me basculent
Les mmots, les mots
Se déchainent
Les mots, les mots
M'emménent



Ont se les lancent à contre sens
Ils pésent lourd dans la balance
Ils changent le vide et le silence
Changent le vulgaire en intélligence
Ont les savourent avec amour
Ont les gardent pour tous les jours
Ils sonnent chic et ordinaire
Marchent tout seul ou vont de paire



Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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l'amour toujour l'amour....

" AIME MOI ENCORE "



De ce que la nuit
Fait de nos différences
De ce que l'ennui
Fait de nos érrances
De ce que l'amour
Nous donne chaque jour
De ce que la vie
Plonge dans l'oublie



Aime moi encore
De la nuit à l'aurore
Malgrè nos déssacords
Aime moi encore

Aime moi encore
De plus en plus fort
Sérré sur ton corps
Aime moi encore

Aime moi encore
Peu importe qui a tort
Au delà de nos remords
Aime moi d'abord


De ce que le monde
En dit et en pense
De ce que les rondes
Nous enchantent quand on danse
De ce que nos erreurs
Font que l'on avance
De ce que le bonheur
Nous donne la transparence


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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les bléssures, les souffrances, l'impensable de ce qui est fait aux enfants

" MON ENFANCE "


Mon enfance à le goût des souvenirs amers
Elle en a le dégoût rejeté par la mer
C'est un pays hostile que l'on éviterait
Une terre d'exil que l'on détruirait
Mon enfance à la couleur d'un jean délavé
Gravé de douleur dans ma mémoire traquée
C'est l'odeur de la pluie, après les grands orages
La souffrances d'une vie et de tous ses ravages

Les cris et les larmes
Les luttes, la violence
Des chemins de drame
A travers l'existence

Mon enfance à le vent qui l'éloigne de moi
Emportant ses tourments dans l'angoisse qui se noie
C'est un cœur déchiré qui voulait mourir
Une âme condamnée à toujours souffrir
Mon enfance à le sang qui touche l'innocence
De tous les tyrans qui tuent l'enfance
C'est une lumière éteinte, un bateau qui sombre
Les blessures d'une étreinte que l'on force dans l'ombre

Les cris et les larmes
Les luttes, la violence
Des chemins de drame
A travers l'existence

Mon enfance s'enfonce dans des sables mouvant
Ecorchée par les ronces d'un passé troublant
C'est un regard perdu, sans espoir, ni avenir
Une confiance à jamais déçue, des hommes et leurs sourires



Ecrit à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall ( pseudonyme de T.G )

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les bléssures, les souffrances, l'impensable de ce qui est fait aux enfants

" LA MAISON DE MON ENFANCE "


Dans cette maison vide
Où je n'entend que me pas
Le temps m'a laissé des rides
Et porté ma vie à bout de bras
De ma vie ici, il n'y a plus rien
Que des souvenirs à oublier
Le froid envahi mes mains
Devant ces murs blancs délavés


La maison de mon enfance
Du sous-sol à son grenier
Où j'ai subit mille outrances
Sans jamais être épargné
La maison de mon enfance
Garde les stigmates des coups
Que j'ai reçus dans l'indifférence
De ceux qui étaient autour de nous


Dans cette maison à brûler
Sur le bûcher des souvenirs amers
Le théâtre de ma vie c'est joué
Sans protection de ma mère
Comme un phare perdu dans la nuit
Pleurant mon père disparu trop tôt
Subissant le plaisir des grands, sans bruit
J'ai jeté la clé de maison de mes fardeaux


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de T.G )

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dimanche 30 août 2009

Prendre conscience...

" LE REVEIL DU POETE "



A travers la vitre de ma chambre
Passent les rayons vifs du soleil
Cette lueur me réchauffe tous mes membres
Mon esprit quitte mon corps qui s'éveil
Mon âme vagabonde dans le monde des morts
Dans des univers inconnus où je rêve tout éveillé
Je cherche, je retiens et j'écris, malgrè mes maux
Essayant de marquer sur le papier ma réalité
L'espace du temps ne compte plus
Quand en mes mains, je tiens un crayon
J'ai l'irrésistible envie de me mettre à nu
Ecrivant comme si ma bouche avait un baillon
Je suis ici pour me donner la chance
De pouvoir éloigner la souffrance et les démons
D'un passé et d'une vie trop lourde à porter depuis l'enfance
Maintenant il faut que de moi sortent tous les sons
Pour l'avenir de ma famille et le mien demain
Plus rien ne doit être comme avant, dès aujourd'hui
C'est une question de survie dans une tête et un corps sain
Je souhaite que mon crayon puisse transmettre la vie
J'en appelle à Dieu et à la fée bleue de Pinocchio
Pour qu'ils changent la mauvaise direction que j'ai prise
Et me rendent la bonne raison, la vision et un équilibre bio
Alors là, je saurai le moment venue, que j'ai surmonté la crise
A travers la vitre de ma chambre
Le soleil c'est couché, la nuit est venue
Mais mon coeur avec ses mots à rassuré tous ses membres
La lucidité a reprit tous ses droits sur ce que je suis devenue
N'oublie pas toi l'auteur, le poéte qui écrit au crayon noir
Que la musique noire et les notes noires, peuvent être signes d'espoir


Ecrit par Hugo Gall hospitalisation 2005 ( pseudonyme de TH GAL.... )

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Les fables D'Hugo

" L'ECUREUIL ET LE DINDON "



Il est petit animal aussi magnifique que prévoyant, qui à pour nom : l'écureuil; il vit d'arbre en arbre, dans de belles fôrets avec toute sa famille et ci trouve très bien .

Non loin de là, dans la ferme d'un village voisin nous trouvons : Marcel; un gros et vilain dindon,
préférant mieux marcher que courir et prendre ce qui est à autrui, plutôt que de le gagner lui même; s'amusant à longueur de journée à mêttre la pagaille parmis les poules et les canards et tous les autres animaux de la ferme .

Et voici que par une belle journée d'automne; Martial le beau petit écureuil, s'en alla se promener à la recherche de quelques noisettes ou glands, qui l'aiderait à faire des provisions pour l'hiver; quand passant devant la ferme de Courtepaille, par le bois qui la longeait; il fût
interpellé par des cris de vollailles, qui piallaient, jacassaient, gloussaient, dans un tintamare de
1000 volts .

Tout ce petit monde semblait affolé et tournaiit dans tous les sens.

Martial se rendit bien vite compte, qu'a l'évidence, c'était se dindon farceur, qui était la cause de
tout ce trouble et remue ménage .

Se sentant solidaire de ces pauvres bêtes importunées, il décida de prendre la défense de cette
cours de ferme, face à un tel énerguméne .

C'est ainsi que se mettant sur le chemin de Marcel, il l'apostropha ainsi :

Mon bon monsieur, pourquoi un tel raffut, pourquoi vos hôtes sont-ils si affolés ?
Ne me dite pas que cela est votre oeuvre, un dindon glousse et rien de plus, mais quand à faire
autre chose, cela me parait bien impossible ...
Faut-il que je crois que vous semez la terreur et la désolation dans toute votre basse cours; je suis fort de rencontrer le premier dindon qui ne se contente pas de glousser, comme une grosse
baudruche, mais en plus joue les généraux d'infanterie ...

Marcel très irrité par cet animal mal venue et moralisateur, lui répondit du tac au tac : ''

Tiens, tiens, un écureuil, moi qui pensait qu'il ne savait qu'être beaux et amasser et amasser des
provisions pour l'hiver ?
Me serait-je trompé ?
Je ne crois pas, je pense plutôt que vous vous êtes égaré cher ami .
Quelqu'un de si petit ne devrait pas se promener tout seul, mais je vais vous prévenir, ne restait pas là, à me provoquer, car voyez vous tous ses vollatiles, ils me craignent et ils me plait de les
malmener, pour leur montrer ma suprématie.
Aussi ne mettrait-je pas longtemps à vous transformer en une misérable peau séchée, si vous vous obstinez .
Vous connaissez la sortie, puisque c'est par là, que vous êtes entré, alors courrez y et bon vent ...

Pendant ce temps, le peuple de la basse cours, profitant de ce moment inespéré, se rassemblérent tous ensembles pour décider que cela suffisait de se faire ainsi traiter par un simple dindon; roi du gloussement et de la béttise.

C'est ainsi que dans un grand conseil de guérre, ils décidérent de régler une bonne fois pour toute
son compte à se satané dindon.

C'est alors que débouchant en force dans la cours, ils s'arrêtérent tous devant l'abject Marcel, qui était entrain d'écouter la réponse de Martial : "

Pauvre sot, savez vous que nous autres les écureuils, nous ne faisons pas qu'être beaux, mais que nous conjugeons la beauté et l'intélligence, ce qui fait que nous sommes moins sots.
Quand à amasser et amasser, comme vous le dites, sachez que l'on ne vit pas impunément au
dépent des autres et que nous avons choisis de ramasser nous mêmes nos provisions qui sont le
fruit d'un travail bien fait.
Ce qui nous aides à passer l'hiver en toute quiétude, sans le devoir à quelqu'un.
Sachez aussi mon cher ami, que lorsque l'on affâme le peuple, il se range en bataille pour vous
assaillir et faire de votre fortune mal gagnée, sa ration de pain.
Je ris aussi fort que celui pour lequel vous vous prenez, car chez les faibles monsieur, l'union fait
la force et je vois devant moi, que votre rêgne de térreur et de trouble fête, arrive à sa fin.
Votre peuple se révolte et va se venger de votre infâmie .
Craignait donc cette rébéllion et puisque vous m'indiquiez vous même la sortie; perméttez moi à
mon tour, de vous y accompagner, car le vent dans lequel vous semblez vouloir me chasser à
assurement l'envie de vous emporter.
Alors fuyez avant que vous ne deveniez le dindon de la farce et allez user de votre influence ailleurs, peut-être les arbres feront l'affaire et vous écouteront " ???.

C'est ainsi que bien courageux, mais pas du tout téméraire, notre dindon constata, que les évênements avaient tournés en sa défaveur, alors il prit ses pates à son cou et il courrut aussi vite qu'il le pu.

Une fois partie et bien loin de tous les animaux en révolution, la ferme fit une ovation à Martial
le petit écureuil valeureux, qui devint la vedette nationnale de toute la basse cours libérée; qui en se jour apprit à son avantage, que le raison du plus fort, n'ai pas forcémment celle des plus
faibles !!!.

Adieu dindon et bonjours les canons !!!.


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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Des louves ..

" TOUTES DES JACKIE KENNEDY "




Des femmes de président ou de simple paysan
Elles ont la même force de vivre
Pour ce grand indestructible sentiment
Que leurs coeurs ne cessent de poursuivent
Des femmes riches ou dans la misére
Elles offrent jusqu'a leurs dernières goûtes de sang
Pour cet amour unique et sincére
Que leurs yeux jamais ne ment



Toutes de Jackie Kennedy
Des louves auprès de leurs enfants
Prêtes à donner leurs vies
Pour ce qui leurs est plus grand
Toutes des Jackie Kennedy
Des oiseaux couvant leurs petits de leurs ailes
Prêtes à se battrent pour sauver leurs nids
Et tout ce qui n'appartient qu'a elles



Des femmes de pouvoir ou de simple maman
Elles sont toujours aux aguets et prêtes à bondir
Pour être face à face devant les évênements
Que leurs enfants verront un jour surgir
Des femmes vivant le bonheur ou des drames
Elles gardent en elles toutes leurs bléssures
Pour laisser aller chacunes de leurs larmes
Que leurs raisons emportera sur des batailles, des mots d'injures



Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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Les louves

" TOUTES DES JACKIE KENNEDY "





Des femmes de président ou de simple paysan

Elles ont la même force de vivre

Pour se grand indestructible sentiment

Que leurs coeurs ne cessent de poursuivrent

Des femmes riches ou dans la misére

Elles offrent jusqu'a la dernière goûte de leurs sang

Pour cet amour unique et sincére

Que leurs yeux jamais ne ment




Toutes de Jackie Kennedy

Des louves auprès de leurs enfants

Prêtes à donner leurs vies

Pour ce qui leurs est plus grand

Toutes des Jackie Kennedy

Des oiseaux couvant leurs petits de leurs ailes

Prêtes à se battrent pour sauver leurs nids

vendredi 28 août 2009

Femmes, femmes, femmes ....

" SIMPLEMENT FEMME ET FEMININE "



En talon haut ou en talon aiguille
En juste au corps ou moulée sur leurs corps
Femme classique, femme fatale ou petite fille
Tant qu'elles sont femmes, j'en veux encore
En tailleurs chic, chemisier de soie et bas noirs
En robes longues avec le dos nu, pour soirée de gala
Femme de télévision, femme de passion, pour la douceur d'un soir
Quand je les vois femme, j'ai le coeur qui bat



Simplement femme et féminine
Pleine de charme et de beauté
Eclairant les yeux de la faune masculine
Le temps d'une valse Viennoise enfflammée
Simplement femme et féminine
Pleine de fraicheur et légérement maquillée
Le coeur tendre et l'âme caline
Pour leurs sentiments lentement dévoilés



En dessous de soie ou lingerie de dentelle
En blonde ou brune et rousse flanboyante
Femme connue ou simple mortelle
Qu'elle soit femme pour répondre à nos attentes
Merveilleusement habillée et belle comme Héléne Ségara
Délicieuse et volcanique, talentueuse Sofia Loren
Sexy aux yeu profond océan, au coeur qui kaas comme Patricia
Du charme de Claire Keim, à la jolie Sheila sur scéne .



Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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Quel monde vivons nous ...

" J'ALLUCINE "



Les gens me regardent dans la rue
Comme si j'étais de la planéte Mars
Ils me scrute d'un air jamais vu
Comme on regarde une belle garce


J'allucine, j'allucine, j'allucine


On me parle d'écologie et de polution
Mais dans ma ville, c'est plein de papier parterre
Tous les gens ne font pas attention
Qu'a leurs portes, ils détruisent l'univers


J'allucine, j'allucine, j'allucine


on me dit qu'il n'y a plus de logement
Que bientôt je n'aurrai plus de retraite
On cotise des années et on nous ment
La France ne fait plus recette


J'allucine, j'allucine, j'allucine


La violence s'accroche aux jeunes envieux
Qui veulent tout ce qu'ils n'ont pas
Elle investie toutes les banlieues
Qui ne font rien pour arrêter tout ça


J'allucine,, j'allucine, j'allucine


Le bruit est partout autour de nous
Il perturbe toutes nos nuits
Comment ne pas devenir fou
Quand il est là, chaque jour dans nos vies


J'allucine, j'allucine, j'allucine



Les religions et la politique nous dirigent
Ils mettent le monde à sang et à feu
On nous fait vivre ensemble, on nous oblige
A accepter tout ce que personne ne veux


J'allucine, j'allucine, j'allucine
J'allucine, j'allucine, j'allucine
J'allucine, j'allucine, j'allucine.


Ecrit par Hugo Gall le 24-09-2007 ( pseudonyme de TH GAL.... )

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Souvient toi, l'école, le collége, etc...

" LES LAITS FRAISES "



Tous les lundi à huit heure
C'était la ruée dans le bar
Tous les jeunes ados en fleur
Venaient faire disparaître leurs cafards
Tous les jours entre les cours
C'était café et petits encas
Tout le monde chacun son tour
Faisait la queue au tabac



On en a bu des laits fraises
Sur un morceau de comptoir
En espérant écrire sa thése
Jusqu'a la dernière heure du soir
On en a passé des heures
Dans le café des étudiants
En se réchauffant le coeur
A écouter parler les clients



Tout au long de l'année
Du lundi au vendredi
Tous les midi au déjeuner
C'était pizza et spaguéttis
Tous les soirs à cinq heure
C'était l'heure de la sortie
Tous les éléves, frères et soeurs
Reprennaient le cours de leurs vies



Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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Sa vie par tous les bouts ...

" JOUER AVEC LE FEU "



Tu allumes ta cigarette
Et tu éteints ton allumette
Le cendrier fûme encore
De ce qui détruit ton corps
Te voilà un verre à la main
Buvant jusqu'au petit matin
Pour oublier tes soucis
Ce qui encombre ta vie
Tu n'arrives pas à planer
Dans ce monde supermarché
Et les dancings où tu danse
Ne te mettent plus en transe



Tu ne fais que jouer avec le feu
Et brûler ta vie par les deux bouts
Tu prends ton destin pour un jeu
Pour une loterie à quatre sous
Tu ne fais que jouer avec le feu
Miser ta vie sur le hazard
Tu ne te sens jamais heureux
Pour toi c'est toujours trop tard



Tu fais l'amour sans aimer
Une aujourd'hui, l'autre demain
Sans même vous protéger
Après tout tu verras bien
Tu roules à cent à l'heure
Sur des routes de quartier
Rien que pour te faire peur
Il te faut tout éssayer
Tu vis ta vie comme une ombre
A trop chercher ta liberté
Dans les plaisirs où tu sombres
Qui un jour vont te tuer



Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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Les fables D'Hugo

" LA PIE ET LE CASTOR "



Des animaux de notre planéte, il en est un des plus bavard, qui à pour nom : la pie .

Jaccasant du soir au matin, de commérage en bruit de couloir, son bec n'arrêtait pas de s'ouvir pour ne rien dire ...

De l'autre côté nous avons : le castor; animal doté d'une force de travail surpuissante; n'arrêtant pas du soir au matin de : creuser, couper, tailler, travailler et travailler .

Ainsi bien malgrè le vent et les saisons, Joséphine la pie et Alban le castor, se rencontrèrent par un beau matin, sur les bords du lac de la prairie de Chantecoq .

Il y avait là, Alban qui avait décidé de faire un abri dans un vieux troc d'arbre récement déraciné
et il était entrain de : creuser, couper, tailler, travailler et travailler, pour que lorsque arrive la
pluie, son travail fut terminé et que sa petite famille soit à l'abri .

C'est ainsi que bien intriguée par sa curiosité habituelle, Joséphine se mit à faire la conversation
à notre brave castor : " Que faites-vous là, mon bon monsieur et quel bon entrain vous pousse
avec tant d'ardeur ?; ne vous accordez vous pas un instant de repos ?
Vous pourriez prendre un petit déjeuner, vous reposer un moment et redémarrer avec encore plus d'élan .
Pourquoi vous acharner ainsi sur se pauvre bois mort ?
Avez-vous quelque chose à y faire ?
Voulez-vous arrêter un instant et faire avec moi, un brin de caussette ? " .

Poliment, mais un rien agacé, Alban répondit ainsi à son interlocutrice : " Oh bonne dame, je me ravis de voir que mon travail vous intérrésse, mais je ne saurais vous répondre et prendre du
temps pour discuter avec vous, car je ne peux en perdre, il me presse déjà et je dois bientôt finir
mon labeur, afin que lorsque viendra la tempête et la pluie, mon épouse et mes enfants soient à
l'abri, aussi veuillez m'excuser, mais je ne puis passer mon temps à répondre à toutes vos questions, aurevoir et bonne journée " .

Se sentant offensée et sentant sa couleur de teint passer au rouge de rage, Joséphine reprit la parole d'un ton agréssif : " On ne m'a jamais traitée ainsi jeune homme, comment refuser de
converser avec moi, moi qui connait tout le monde et qui sait tout ce qui se passe à travers nos bois, nos prairies, nos campagnes et nos vallées; grossier personnage, vous devriez apprendre la
sociabilité et les bonnes manières, quand à vous dépêcher à cause de la tempête et la pluie, espéce de crapaud vaniteux, me prendriez-vous pour un pigeon et vous pour monsieur météo ?
Le ciel est bleu et bien dégagé, le vent souffle à peine et vous; vous voudriez me faire croire que la tempête et le pluie arrive ?
Hypochryte mangeur de bois, vous éssayez par tous les moyens de me faire partir en me prennant pour une idiote ?!!!
Et bien soit, creusez, coupez, taillez, travaillez et travaillez, moi que ça vous plaise ou non, je reste ici " .

Alban encore tout étourdi par tant de culot et de mépris répondit instentanement à cette mégére
non apprivoisée sur ce ton directif : '' Comment pouvez-vous madame être aussi mal élevée, moi
qui ne vous ai point offensé ?
Vous chercher querelle à des travailleurs honnêtes, aussi sachez que celui qui séme le vent, récolte la tempête, puisque vous ne voulez pas écouter mon conseil sur ce qui va arriver d'un
moment à l'autre, faite comme bon vous semblera, mais ne venez pas vous plaindre après,
insignifiante commére, pérruche des champs, oiseau de mauvaise augure.
Si vous croyez que je n'ai que ça à faire d'écouter vos sornettes et inepties de toutes sortes, sortant de votre langue de vipére, vous vous trompez; car moi madame, je travaille et je n'ai pas le temps de m'occuper de la vie des autres et encore moins de parler de la mienne .
D'ailleurs ce que je fais ne vous regarde en rien et votre curiosité malsaine vous laissera bientôt
trempée, sachez également que l'oisiveté et la mère de tous les vices.
Quand à moi, mon travail est fini et regarder; déjà le ciel s'assombrit et je dois mêttre ma famille à l'abri; alors salût et n'oubliez pas de vous mêttre sous votre parapluie ''.

Sur ces dernièrs mots, Joséphine eut juste le temps de constater que le ciel avait changé de couleur, que la pluie se mit soudain à tomber avec une telle force, qu'en un instant notre pie fut
transformée en éponge.
Elle comprit tardivement, que dans les langages et expréssions, la meilleure des langues : c'était la langue de bois et que comme le bon Alban, il ne fallait pas parler pour ne rien dire, mais tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de prendre la parole .

Elle le savait maintenant et ça au prix d'un grand bain gratuit .

savez-vous ce qui se passa après l'orage ?

Et bien on vit sortir d'un tronc en bois transformé en maison : papa, maman et trois enfants castor, tout sec et en pleine forme; qui se mirent tous aussitôt à : creuser, couper, tailler,
travailler et travailler, dans la joie et la bonne humeur ...


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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jeudi 27 août 2009

Chanter, chanter, être un artiste

" LE CHANTEUR "




Quand il rentre chez lui et retrouve ses enfants
Il n'y a plus de star, plus de public, ni de bravos
Comme tout le monde il redevient un parent
Un père et un mari, quand tombe le rideau
Quand il n'y a plus de scéne et de musique
Il entend rire ses enfants et souffler le vent
Comme à chanque fois, il profite de ses instants unique
Qui le reméne à la réalité qui passe avec le temps



Et quand s'allume les spots et les projecteurs
Que l'artiste avance en pleine lumière
Il donne tout ce qu'il a dans le coeur
A tous ceux qui le suivent depuis le début de sa carrière
Et quand l'orchestre joue la musique
Qu'il chante en y méttant toute son énergie
L'émotion dans la salle devient magique
Et plus rien existe entre son public et lui



Quand il s'endort dans son grand lit
Il n'ait rien d'autre qu'un homme de passion
Qui aime et qui continue au rythme de sa vie
loin des journaux à scandale et des télévisions
Quand il emméne sa famille en vacance
Il met ses lunettes noires et se fait discret
Pour garder son intimité et son indépendance
Comme un trèsor protégé et un plaisir secret



Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )
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Patinage artistique, le leader

" LE PATINEUR "



Dans tous ses rêves d'enfant
Il s'imaginait glisser sur la glace
Devenir meilleur en devenant grand
Et prendre les premières places
Dans ses danses sur la patinoire
Il ne faisait qu'un avec le froid
Le coeur toujours plein d'espoir
Au fond de lui il gardait la foi



De triple saut en double axel
De salto en grande frayeur
D'envol à attrapper le ciel
L'ange blond est le patineur
De championnat de cour d'école
De défaite aux joies de vainqueur
De victoire à ne plus toucher le sol
L'ange blond est le patineur



Dans tous ses jours difficiles
Il n'a pas arrêté de se battre
Se surpassant pour être agile
Et se battant comme quatre
Dans ses matins debout aux aurores
Il paufinait ses belles chorégraphies
Avec l'envie d'y croire encore
Brian vivait le rêve de sa vie



Ecrit par Hugo Gall le 17-03-2007 pour Brian Joubert patineur Français
( pseudonyme de TH GAL.... )
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Cigogne,rose et choux, une naissance ... la vie

'' UN HEUREUX EVENEMENT "



Tu n'étais plus la même
Loin de tout et de nous
Il n'y avait plus de je t'aime
Et ça me rendait plus fou
Tu riais et tu étais mélancolique
Les matins te rendait nauzéeuse
Il tournait autour de toi du magique
Et ça te donnait des airs mystérieux


Un heureux événement
La dans la chaleur de ton corps
Se préparait de ta chair et de ton sang
Pour venir quand il serait fort
Un heureux événement
Nous arriverait un prochain jour
Plein de chaleur et de sentiment
Pour être la trace de notre amour


Tu étais épanouie de bien être
Loin des facéties de ce monde
Il se passait en toi un amour à naître
Et tes pensées voyageaient dans une ronde
Tu regardais ton ventre rond
Loin des futilitées de la beauté
Il bougeait à tous tes sons
Et ça te remplissait de sérénité


Tu semblais si heureuse
Loin dans ton monde de douceur
Il n'existait plus que cette venue mystérieuse
Et ça te donnais un grand bonheur
Tu étais déjà comme une mère
Loin du passé et proche de l'avenir
Il n'attendait plus qu'a venir sur terre
Et de mes bras je viendrai l'accueillir



Ecrit par Hugo Gall le 03-11-2007 ( pseudonyme de TH GAL.... )

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Un père se flambeau qui nous guide

" LE MANQUE D'UN PERE "




Quand on manque d'un père
Pour tracer son chemin
Quand on manque d'un père
Qui nous emméne vers demain
Quand on manque d'un père
C'est comme si on avait rien
Quand on manque d'un père
On attend que vienne la fin
Quand on manque d'un père
On reste toujours le gamin
Qui attend les bras de son père
Pour y faire un calin


Un père c'est comme un mère
Dans sa vie on en a qu'un
Qui vous donne le nom de son père
Et qui pour nous tuerait les assassins
Un père, c'est l'ombre de ce que l'on sera
Quand on aurra grandi avec lui
Un père ça vous donne le flambeau des combats
Le jour où il s'en va, lui qui nous a donné la vie


Quand on manque d'un père
On est une rivière sans courant
Quand on manque d'un père
On court après le temps
Quand on manque d'un père
On ne comprend pas ses sentiments
Quand on manque d'un père
On se sent seul bien souvent
Quand on manque d'un père
On se cherche dans les folies de la vie
Comme si après on trouvait son père
Avant de se perdre dans son infini


Quand on manque d'un père
On a des larmes qui écrassent le coeur
Qui nous font manquer de se père
Pour se construir un vrai bonheur
Quand on manque d'un père
On aimerait tant qu'il soit fier
De ce qu'il a donné pour être père
Et le garder sa vie entière
Quand on manque d'un père
On se lance cent mille défis
Pour oublier qu'on a plus de père
Et on espére qu'au denier jour on sera réuni ...


Ecrit par Hugo Gall le 08-06-2006

Le passé derrière, l'avenir devant

'' DANS LE RETROVISEUR ''



On se penche sur notre vie
Essayant de comprendre les pourquois
On repense à ce qu'on a dit
Libérant ce qu'on a gardé pour soi
On se rappel du bon et du mauvais
Faisant le tri de ce qu'on veut garder
On revoit chaque instant et l'on sait
Ce qui nous a dépassé et fait nous séparer



Dans le rétroviseur
Tu regardes partir
Le meilleur de tes heures
Tous tes bons souvenirs
Dans le rétroviseur
Tu vois s'éloigner
Le pire et le meilleur
Tout ce qui fut ton passé



On cherche une réponse aux questions
Priant pour qu'elles nous rassurent
On se retrouve plein d'émotion
Laissant son coeur refermer ses bléssures
On ressent toutes ces odeurs et ses sentiments
Espérant qu'ils nous bercerons toujours
On ferme le livre qui court après le temps
Regardant devant pour gagner un jour



Ecrit par Hugo Gall le 04-08-2009 ( pseudonyme de TH GAL.... )

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mercredi 26 août 2009

Sacrée Geneviéve

" LA DAME AUX CHAPEAU "





Elle se démarque par ses coléres
Qui font la une de tous les journaux
Comme si ça poluait son athmosphère
Et que le monde tournait autour de ses maux
Elle s'imagine qu'on vit comme ses vingt ans
Que les codes et les filles sont les mêmes
Comme si elle allait traversait le temps
Et qu'il n'y a qu'elle qui en connait le théme


Sous la chevelure de Madame
Fume des idées dans son cerveau
Pour mener à la baguette les femmes
Conduit par la dame au chapeau
Sous tous ses couvres chefs guindés
Elle impose les idées qu'on lui connait
Pour brûler de mille feu à la télé
Au côté de toutes ses miss Fontenay


Elle joue sans arrêt les offusquées
Pour une fille en maillot de bain
Comme si le corps devait être caché
Et que nous devrions cacher tous les seins
Elle se croit parole d'évangile
La sainte Geneviève au drapeau immaculé
Comme si elle était devenue la vigile
De la bigote aveuglée et incarnée


Sous la chevelure de Madame
Il y a aussi une simple femme
Qui n'a pas que du mépris dans le vie
Mais aussi des sentiments et des envies
Et on peux espérer qu'un jour nouveau
On verra enfin le ceour de la Dame au chapeau.


Ecrit par Hugo Gall le 04-08-2009 ( pseudonyme de TH GAL.... )

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Toutes les différences, l'autisme

" SIMON, ALICE, ACCACIO, MOI ET LES AUTRES ... "



Si je fais des bruits d'animaux
Si je pousse des tas de cris
Si je tappe comme un marteau
C'est pour dire que je vis
Mon monde est intérieur et sourd
Mais je vis dans le même que le vôtre
Quand je fais peur ou que je cour
Dans un sens ou d'une extrémité à l'autre
Si je refuse la communication
C'est avec le monde extérieur
Mais je suis doué d'une grande compréhension
Et je connais les souffrances du coeur
Je ne suis pas facile à vivre
Pour mes proches et soignants
Mais grace à eux je peux suvivre
Et espérer la découverte d'un traitement
Je suis différent et cela peut parraître triste
Pour ceux qui ne me connaissent pas, moi et les autres
Moi, Simon, Alice, Accacio, nous et les autres sommes autistes
Et nous voudrions que vous appreniez à connaître les nôtres
Dieu a dit que le royaume de Dieu appartenait
Aux faibles et simples d'esprits, aux coeurs purs et aux innocents
Et a tous ceux qui vers lui se tournerait
Alors priez pour nous ses enfants différents.


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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Souvenirs, souvenirs ...

" AU JOUR DE MES SOUVENIRS "




Je me souviens des matins pains grillés
De la douce et bonne odeur
Je me souviens du bon café que buvait ma mère
Des bols de chocolats au bon lait chaud
Je me souviens l'hiver, de la chaleur de la cheminée
De l'amour dans nos coeurs, d'un simple bonheur
Je me souviens des jours doux et amères
De la couleur du ciel pas toujours beau
Je me souviens d'une école, d'une cour de récréation
De plein de petits écoliers en rangs sérré
Je me souviens d'un maître et d'un tableau noir
La craie qu'une main décidée inscrivait à la couleur blanche
Je me souviens de ces petites têtes blondes et de leurs hésitations
De la couleurs des cartables les soirs pour rentrer
Je me souviens du délicieux gouter avant les devoirs
Du pain et du chocolat sur la mie blanche
Je me souviens du temps qui a passé doucement
De la façon dont j'ai grandi pour être là aujourd'hui
Je me souviens des heures, des mois et des saisons
De la pluie et de la neige glissant sur les carreaux
Je me souviens, mais ce n'ai pas si loin surement
Dans ces instants et ces tourments, c'est le puzzle de ma vie
Je me souviens peut-être n'ai-je pas raison
Tous mes souvenirs restent et je les emporte vers mes jours nouveaux.


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C'est la rentré

" RENTREE DES CLASSES "





C'était le mois de spetembre
J'avais le coeur sérré
Mes affaires rangés dans ma chambre
L'heure avait sonnée, il fallait me lever
Hier encore, c'était les vacances
Et aujourd'hui c'était la rentrée
Ecoliers et lycéens dans la même ambiance
Reprennaient en ce jour le chemin de la scolaritée
Le café et le chocolat parfumaient la maison
Les tartines de pain avec le beurre et la confiture
Commençaient à me donner mille raisons
De devoir repprendre ces cycles de culture
Dans la salle de bain mes vêtements neufs repassés
Etaient pliés et bien préparés par maman
Dans le sous-sol mes dernières chaussures cirées
Etaient sorties de leur boîte en m'attendant
Et puis dans le bureau mon cartable brillait
Comme pour un jour de cérémonie
Il sentait bon et impatiement m'attendait
Pour me dire que c'était repartie
Dedans, il y avait plein de crayons de couleurs
Des feuilles et des petits cahiers à carreaux
Il y avait aussi des stylos et un crayon gommeur
Tout était prêt et déjà je méttait mon manteau
J'embrassai ma mère et je partai
Allant à la rencontre d'autres camarades
Qui eux aussi avaient le coeur sérré
Battant au même rythme la chamade
C'était il y a longtemps pour moi
Mais ses souvenirs sont toujours présents
Et aujourd'hui les mêmes sentiments m'émois
Quand à la rentrée des classes, je vois partir mes enfants.


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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jeudi 20 août 2009

Je rêve d'une autre vie,de gens qui savent respecter la nature,les uns et les autres, pour le bruits, etc..

" QUAND CHANGERONS NOUS ? "


Si tu voyais toutes les inepties gravées sur les murs
Dans les immeubles délabrés, le long des voies férrées
Tous ces graffitis délavés, ces pornographies, ces souillures
Le mal du siécle pourri, par tout ces jeunes en manque d'identité
Si tu regardait dans les villes, tout les rats des champs
Déverser leurs détritus, dans toutes les allées, les avenues
Tout les parcs en gazon, ornés de tout les eccréments
Qui alimentent avec les pots d'échappements l'ozone perdu



Quand changerons-nous ?
La face du monde
De se prendre pour des fous
Avec des attitudes immondes
Quand changerons-nous ?
Nos habitudes qui tuent
Les animaux, l'univers partout
Avec les catastrophes qui se ruent
Quand changerons-nous ?


Si tu rêvais à une autre façon de vivre
De respirer un air pur, qui ne pus pas l'acide
En regardant des millier de voitures se suivrent
Et tout ces beaux champs, de fruits frais à l'insecticide
Si tu refusais pour une fois de te taire
De ne plus vouloir être dirigé par le pouvoir du fric
Qui nous souffle dans nos poumons des poussiéres de cancer
Entre l'amiante et le sang contaminé qui nous panique


Si tu voulais que plus rien ne recommence
Qu'on ne te prenne plus pour un imbécile
Et te faire voter en restant dans l'ignorance
Pour que demain tu ne sois plus libre de bouger un cil
Si toi aujourd'hui tu changeais de vie
Que tu rayais des listes, la drogue et le fanatisme
Pour ressentir les valeurs et savoir de quoi tu as envie
Se serait bye bye aux dealers et aux tyrans sans humanismes.


Ecrit par Hugo Gall le 15-04-2005 ( pseudonyme de TH GAL.... )

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La vie l'amour la mort

" JULES ET JULIEN "



Ont les appellaient Jules et Julien
Ils étaient comme les deux doigts d'une main
Traversant les années, renforçant leurs liens
Pour eux c'étaient toujours on verra demain
Quand il y avait Jules et Julien
La maison s'animait de leurs présences
Les béttises, ils les connaissaient bien
Même si aprés c'était la pénitence


Que sont devenus nos jeunes soldats
Offrant leurs vies à celle des canons
D'aujourd'hui à hier, il n'y a qu'un pas
Il ne faut pas oublier avec le pardon
Que sont devenus nos jeunes soldats
maintenant encore, ils vont nous défendre
Pour d'autres raisons, bien d'autres combats
Regardez leurs larmes et leurs coeurs se fendrent


Ont les appellaient Jules et Julien
Deux frères qui s'aiment si fort
Ils ont grandis si vite et maintenant
Leurs routes va croiser celles des grands
De la vie de Jules et Julien
Il ne reste que deux tas de pierres
Quand la vie leur à reprit leurs biens
Pour mourir si jeune dans tant d'injustes guérres


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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vieillesse et sagesse

" LA DEMOISELLE "



Elle regarde passer au loin les amoureux
Sa lui fend le coeur, ça lui glace le sang
Main dans la main, comme des gens heureux
Ils s'enlacent comme tous les amants
Elle écoute les bruits que font les enfants
Dans le parc voisin où elle c'est attendrie
Ses lunettes cachent les larmes de ses sentiments
De toute ces promesses qu'elle attendait de la vie


Mais toutes les nuits, elle s'endort avec lui
Tout contre son corps, elle ressent la chaleur
De ce qu'en lui, lui donnait tant l'envie
D'être pour la vie, la seule femme de son coeur
Et dans tous ses rêves, elle ressent son parfum
Sur son corps nu abandonné à son amour
De ce qui les lient pour toujours jusqu'a la fin
De cette vie sans issue en fin de parcourt


Elle voit le temps qui passe et compte les jours
Qui la rapproche un peu plus du grand voyage
Où se sera enfin le temps que vienne son tour
Pour la réparer de tous ses outrages
Elle pense à ses vingt ans avant la guérre
A son insoucience et ses tendres rendez-vous
Leurs baisers échangés dans ce début de l'enfer
Où ils se jurérent de vivre un amour fou


Elle voit toutes ces filles en robes blanche
Sortir des églises aux bras de leurs maris
Se donnant corps et âmes jusqu'a remonter leurs manches
Pour préserver leurs bonheurs à l'infini
Elle se rappelle de ce jour où elle lui a dit oui
De sa voix qui lui disait combien elle était belle
Mais les canons et les fusils ont arrêtaient sa vie
Et depuis ce jour rien que pour lui, elle restera la Demoiselle .


Ecrit par Hugo gall le 15-05-2005 ( pseudonyme de TH GAL.... )

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vieillesse et sagesse

" LE VIEUX MONSIEUR "




Il est assis sur son vieux banc
Comme chaque jour à son habitude
Le vieux monsieur aux cheveux blancs
Cherche à passer sa solitude
Il vient là depuis plus de vingt ans
Pour y noyer tous ses souvenirs
L'absence de celle qu'il aimait tant
Mais qu'a force de souffrir, à finie par mourir
Il regarde s'envoler le temps
Comme sa jeunesse qu'il n'a pas vu passer
Les guérres qui ne sont pas si loin pourtant
Ont laissaient des traces, qu'il n'a pas oublier


Et toutes les nuits, tous les jours
Il se demande se sera quand
Le dernier souffle pour toujours
C'est si long tous ses printemps
Et dans ses rêves, ses espérances
Il n'attend plus qu'une seule chose
Le droit de faire une dernière danse
Avec celle qui l'attend dans sa robe rose


Il regarde passer tout ces gens
Qui se retournent sur lui en silence
Tout ces jeunes si inconscients
De vivre dans un monde d'abondance
Il ne reconnait plus rien de sa vie
Comme les maisons et tout ces batîments
Qui ont sacrifiés la nature pour tant de profit
Multipliant toutes ces voitures avec tuyants d'échappements
Il voit tout ce qu'oublie les autres
Comme un bilan à l'automne de sa vie
Dans la poussière et le bruit desquels ils se vautrent
En sachant que ce monde qu'on détruit, il n'en a plus envie ...


Ecrit par Hugo Gall le 07-05-2005 ( pseudonyme de TH GAL.... )

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éssai de comédie musicale '' la vie et les femmes D'Henri VIII D'Angletterre ''

" MARIE TUDOR "

De la comédie musicale imaginée et écrite par Hugo Gall; " la vie des Tudor et D'Henri VIII, roi D'Angleterre et ses femmes


Tu étais la fille du roi Henri
Et de L'Espagnole Catherine D'Aragon
Que le roi répudia sans merci
Avant de te renier, sur d'avoir un garçon
Tu étais triste du sort de ta mère
Et tu étais en colère contre celle qui la remplaçait
Qui enflammait le coeur du roi ton père
Avant de lui donner une autre fille qui le désespérait
Tu vis arriver sa disgrâce et son exécution
Et tu pris ta soeur sous ton aile
Que le roi renia comme toi sans affection
Avant qu'il n'épouse encore une nouvelle

Qu'il fait froid dans le coeur
De la fille d'un tyran mort
Combien y a t-il de rancoeur
Chez l'aînée des Tudor
Qu'il fasse chaud ou froid
De l'intérieur ou du dehors
Chacun portera sa croix
Même l'aînée des Tudor

Tu étais là, à la naissance D'Edouard
Et quand on mit sa mère en terre
Que de souffrance tu devais boire
Avant que n'arrive Catherine comme une mère
Tu étais avec ta soeur et ton frère
Et la reine Catherine Parr prit soin de vous
Que de bons instants jusqu'à la mort de ton père
Avant que tous les vautours ne veuillent prendre tout
Tu dus te battre pour sauver ta vie des traîtres
Et la dynastie de tous les Tudor menacée
Quand survint la mort de ton frère roi et maître
Avant qu'on ne place Jeane Grey sur le trône tant convoité

Qu'il fait froid dans le coeur
De la fille d'un tyran mort
Combien y a t-il de rancoeur
Chez l'aînée des Tudor
Qu'il fasse chaud ou froid
De l'intérieur ou du dehors
Chacun portera sa croix
Même l'aînée des Tudor

Tu réussis à protéger ta vie devenue vulnérable
Et à soulever une résistance acquise en ta faveur
Qui te conduisit à prendre le pouvoir instable
Avant que tu ne règles le compte de tes inquisiteurs
Tu pris le nom de Marie la sanglante
Et tu fis couler beaucoup de sang
Qui fut le prix à payer pour une meilleure entente
Avant que la vie ne te laisse plus trop de temps
Tu pris Philippe D'Espagne pour unique mari
Et tu protégeas ta soeur contre vent et marée
Qui avait partagée tant de douleur dans ta vie
Avant que la maladie ne t'ai emportée


Écrit par Hugo Gall à Lagny-Sur-Marne le 17-08-2009( pseudonyme de TH..... GAL.... )

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éssai de comédie musicale '' la vie et les femmes D'Henri VIII D'Angletterre ''

" CATHERINE PARR "

De la comédie musicale imaginée et écrite par Hugo GAll; " la vie des Tudor et D'Henry VIII, roi D'Angleterre et ses femmes "


Toi jeune femme instruite et spirituelle
Déjà veuve de deux maris et sans enfants
Tu plus au roi Henri qui eut pour toi l'étincelle
Qu'il n'avait plus après tant de tourments
Toi qui fut sa sixième et dernière femme
Déjà très intelligente et pleine d'adresses
Tu savais préserver ta vie et la flamme
Qui n'était pas de trop avec ta sagesse
Toi qui su si bien gagner le respect D'Henri
Déjà en la réconciliant avec ses deux premières enfants
Tu sus prendre soin d'elles, de leurs frère et de leurs vies
Qui t'aimèrent en retour en faisant de toi leurs confident

En Angleterre résonne encore
Dans les châteaux et quelque part
Quand souffle le vent et le son du cor
La voix et les pas de Catherine Parr
En Angleterre l'ombre d'une reine
Dans les cours et les lieux ou l'on veille tard
Semble se rappeler toutes les peines
Les joies et le souvenir de Catherine Parr

Toi qui fut désigné gérante de L'Angleterre
Quand le roi parti en guerre pour la France
Tu fis face à la tâche avec force de caractère
Qui t'apporta du roi toute sa confiance
Toi qui pris partie pour les protestants
Quand le roi et les grands de l'état les haïssaient
Tu sus rassurer le roi face à tes ennemies influents
Qui t'évita la prison et une exécution que tu pressentais
Toi qui réussis à survivre au roi
Déjà tu aimais plus fort que tout Thomas
Tu brûlais d'amour pour lui et d'émoi
Il fut le dernier de ta vie que tu épousas

En Angleterre résonne encore
Dans les châteaux et quelque part
Quand souffle le vent et le son du cor
La voix et les pas de Catherine Parr
En Angleterre l'ombre d'une reine
Dans les cours et les lieux ou l'on veille tard
On semble se rappeler toutes les peines
Les joies et le souvenir de Catherine Parr

Toi femme et reine de volonté
Déjà veuve de trois maris
Tu sus te battre face à l'adversité
Qui voulait ta perte et ta vie
Toi qui te donna à un Seymour
Déjà oncle D'Edouard le fils du roi
Tu étais pour lui pleine d'amour
Qui avait bercé ton enfance de joie
Toi qui donna la vie à son enfant
Déjà la mort envahissait ton corps
Tu lui donna sa fille Mary avant
Qu'il n'y ait plus de souffle de tous tes efforts


Écrit par Hugo Gall à Lagny-Sur-Marne le 17-08-2009( Pseudonyme de TH..... GAL....

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