vendredi 18 décembre 2009

la vie des femmes

" FEMMES BLESSEES "



Elles rêvaient toutes d'un amour éternel
De l'homme qui les séduirait d'un regard
Qui leur dirait qu'elles sont les plus belles
Et qui leur ferait la cour sans retard
Elles pensaient à un beau mariage
A un plus beau jour de cérémonie
Qui illuminerait de joie leurs visages
Unissant leurs destins pour la vie


Elle en a passée des nuits
A se demander pourquoi
Pas un autre plutôt que lui
Qui a agit sans aucunes lois
Elle a versée des larmes amères
A se demander ce qui c'est passé
Implorant le Dieu de la terre
Pour toutes les femmes bléssées


Elle lui a pourtant donnée des enfants
S'accrifiant sa carriére et ses envies
Qui l'a éloignée de tout au fil des ans
Et être son objet sans un merci
Elle a fini par sentir d'autres parfums
Raccrocher a des coups de fil anonymes
Affronter des regards moqueurs plus qu'anodins
Et être la dernière a assouvir ses désirs intimes


Elle se souvient du jour et de l'heure
De se mot déchiré dans son pantalon
Qui voulait dire qu'une autre donnait son coeur
Et qu'il était temps qu'elle retrouve la raison
Elle le revoit évitant ses yeux et leurs discussions
De tout ce qu'elle avait en elle à lui dire
A un moment où il ni avait plus de solution
Méttant un trait sur tout projet d'avenir


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de Th..... GAL.... ) Le 17-12-2009 à Lagny-Sur-Marne
Vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr bonne lecture et évasion

Vous pouvez devenir un abonné fidéle en vous inscrivant à ce blog, c'est gratuit, merci à vous

la vie des femmes

" LES LARMES D'UNE FEMME "


Elle avait gardée de son enfance
Blanche neige et son prince charmant
Un amour idéal et sans offence
Elle voulait être la belle au bois dormant
Elle imaginait être marquise des anges
Traverser les nuages avec son Aladin
Mais la vie d'une petite fille change
Et le coeur des hommes et assassin


Les larmes d'une femme
C'est un ciel de pluie
C'est le feu et les flammes
Des bléssures dans sa vie
Les larmes d'une femme
C'est un poignard dans le coeur
Quand son corps s'emflamme
Pour l'homme qui fait son malheur


Elle attendait celui qui la protégerait
Qui lui donnerait des gestes de tendresse
La serrant dans ses bras, lui disant qui l'aimerait
La rassurant avec toutes ses carresses
Elle rêvait d'un idéal impossible
Quand aujourd'hui elle compte les coups
Les insultes et la terreur invisible
D'un prince devenu un bourreau fou


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH..... GAL.... ) LE 16-12-2009 à Lagny-Sur-Marne

Merci de vos encouragements, impréssions, de partager ce blog en familles, amis, connaissances
Vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr bonne lecture et évasion

Vous pouvez devenir un abonné fidéle en vous inscrivant à ce blog, c'est gratuit, merci à vous

éssai de comédie musicale, écrit par Hugo Gall; Henry VIII, D'Angletterre, il était une fois un tyran

" THOMAS SEYMOUR "

De la comédie musicale imaginée et écrite par Hugo Gall; " la vie des Tudor et D'Henry VIII, roi D'Angleterre et ses femmes "


Tu étais l'oncle du roi Edouard
Le frère de sa mère et l'amant de sa soeur
Pleins de rêves, d'ambitions et d'espoirs
Aspirant au meilleur et au bonheur
Tu as parcouru les océans et les mers
Pour ta faire un nom et une renommée
D'abord proche du terrible Henry D'Angleterre
Puis de sa femme Catherine que tu as convoité

Que reste-t-il de toi ?
L'impétueux Thomas Seymour
De tes mauvaises voies
De ses reines pleines d'amour?
Que reste-t-il de tes choix?
Irraissonnable Thomas Seymour
De tes propres lois
Qu'une hache a arrêtée pour toujours?

Tu es devenu proche D'Edouard
A la mort du roi Henry son père
Tu as alors dessiné ton destin noir
Qui ton fait verser des larmes amères
Tu as épousé Catherine, la dernière reine
Qui t'a donnée une fille avant de mourir
Tu as conspiré, assoiffé de haine et de peine
Avant d'être condamné à l'échafaud et y périr

Écrit le 17-12-2009 à Lagny-Sur-Marne par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL....

Merci de vos encouragements,impressions, de partager et faire connaître ce blog,vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr

Autres blogs disponibles du même auteur:

Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
Http://etrelibredesafoietpenseesendieu.blogspot.com

mardi 1 décembre 2009

L'amour pur et gratuit

" L'AMOUR, D'après la bible, 1 Corinthien : chapitre 13: verset 13 "


Quand je saurai donner tout de moi
Sans jamais m'en vanter
Quand j'aurai respecté la loi
Aimer sans aucun intérêt
Quand je saurai aider ceux qui n'ont rien
Réconforter ceux qui ont du chagrin
Quand je ne compterai plus mes jours
Tout sera vain, si je n'ai pas l'amour

L'amour est vrai
Et ne meurt jamais
Le monde passe
Et l'amour reste
L'amour est grand
Et traverse le temps
L'amour est éternel
Aux yeux du ciel

Quand j'aurai toute la foi en moi
A en transporter les montagnes
Quand je n'attendrai plus rien de toi
Et de ce que je gagne
Quand je laisserai brûler mon corps
Sans un regret, sans un remord
Quand le mal partira pour toujours
Rien ne restera s'il n'y a pas l'amour

Aujourd'hui il y a l'espérance
Toute la foi et l'amour
Mais malgré toutes ces chances
La seule chose qui compte, c'est l'amour


Ecrit par Hugo Gall, pseudonyme de T.G

Merci de vos encouragements, impréssions, de faire connaître ce blog, vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr

Je défends la cause des victimes de maltraitances, inceste, de toutes les violences sexuelles, en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs, vous pouvez y accéder et le faire connaître au: http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com

Un sauveur est né, il s'appelle Emmanuel

" LE VRAI NOËL "


Trônant dans la grande salle à manger
Il était là notre sapin vert, blanc de neige
On l'avait revêtu, comme l'année passée
De guirlande bleus, rouges, violettes, jaunes et beiges
Il y avait aussi une grande guirlande électrique
Qui clignotait de mille couleurs scintillantes
Des étoiles et des anges magnifiques
Avec des boules multicolores et étincelantes
On semblait sentir l'odeur de noël
Tout était soigneusement décoré
La cheminée arborait une chaleur de cent étincelles
Et la cuisine débordait de mets, nous invitant à manger
Tout le monde était parti se préparer
S'habiller d'habits de fête et de joie
Autour de la table, les chaises étaient rangées
Et la nappe était en dentelle avec des serviettes en soie
La famille allait pouvoir se réunir
Dans la chaleur de l'amour et de la nativité
Pour célébrer ce jour de passé et d'avenir
Qui rassemble ceux qui s'aiment pour l'éternité
Dans l'espérance et les tourments vécus
D'une naissance tant annoncée et glorifiée
Que nous fêtons tous autour de l'enfant Jésus
En cette nuit qui est la sienne depuis toujours et à jamais

Ecrit par Hugo Gall, pseudo de T.G

Que le partage, la compréhension, la compassion, soient en vous en ses jours de fêtes et de fraternité et d'amour, sans oublier que cette fête n'ait pas une fête païenne, mais qu'elle est la fête de la naissance du Christ sauveur de tous les hommes, joyeuses fêtes de fin d'années à tous

Merci de vos encouragements, impréssions, de faire conaître ce blog, vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr

Je défends la cause des victimes de maltraitances, d'inceste et de toutes les violences sexuelles, en consacrant un blog sur ces fléaux destructueurs, vous pouvez y accéder et le faire connaître au: http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com

DIEU ni est pour rien, c'est la folie des hommes

" JE VEUX ÊTRE UN HOMME LIBRE "



Je voudrai oublier le nucléaire
Guérir toutes les bléssures
Reconstruire des espaces verts
Recoller toutes les cassures
Je voudrai vivre heureux
Voire des enfants tout content
Que les gens soient heureux
La vie et l'avenir apaisant
Je voudrai vivre d'amour
Aimer ceux qui me sont cher
Ne plus devoir compter mes jours
Oublier la couleur de l'enfer


Je veux être un homme libre
Oublier tout de ma vie
Ne plus connaître l'ennui
Pour simplement aimer vivre
Je veux être un homme libre
Pouvoir aller où je veux aller
M'envoler loin vers l'éternité
Pour être un homme libre


Je voudrai trouver l'espoir
Arrêter toutes ses guérres
Avoir la paix et la victoire
Ne plus jamais devoir me taire
Je voudrai une vie meilleure
Faite de ciel bleu et de soleil
Ne plus compter les heures
Être un enfant qui s'émmerveille
Je voudrai ouvrir mes yeux
Ecrire des chansons d'espoir
Avoir au coeur la foi en Dieu
Pour ne plus vivre dans le noir


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH..... GAL.... )

Merci de vos encouragements, impréssions, de partager se blog en familles, amis, connaissances
Vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr bonne lecture et évasion
Vous pouvez devenir un abonné fidéle en vous inscrivant à se blog, c'est gratuit, merci à vous

A mon fils, mon sang, ma chair ...

" POUSSIERE D'ETOILE "



Petit bou t chou
Toi fait de cahoutchou
Pour un rien
Tu m'atteins
Petit bou t chou
Toi de qui je suis fou
Chaque jour tu m'émerveilles
Tu es mon coin de soleil
Mon bébé de mon sang
Mon fils, mon petit enfant


Poussiére d'étoile
Tu es ma poussiére d'étoile
Sur la lune
Tu m'allumes
Poussiére d'étoile
Tu es ma poussiére d'étoile
Toi tu tisse ta toile
D'un bateau tu es la voile
Poussiére d'étoile
Tu es ma poussiére d'étoile


Petit bou t chou
Toi pour qui je ferai tout
Pour aujourd'hui et demain
Tu partages mon destin
Petit bou t chou
Toi qui es si doux
Qui m'émoi d'un sourire
Pour regarder l'avenir
Ma chair, mon innocence
Mon plein de délivrance


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH..... GAL.... )

Merci de vos encouragements, impréssions, de partager se blog en familles, amis, connaissances
Vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr bonne lecture et évasion
Vous pouvez devenir un abonné fidéle en vous inscrivant à se blog, c'est gratuit, merci à vous

lundi 30 novembre 2009

Je rêve d'une autre vie,de gens qui savent respecter la nature,les uns et les autres, pour le bruits, etc..

" PARLEZ MOI D'AMOUR ENCORE "



Je regarde et écoute le monde qui se perd
Il tangue comme un bateau en péril sur l'océan
Comme une personne atteint de folie erre
Attirée inoxérablement par je ne sais quel néant
Je regarde tout ces gens se construirent et se détruirent
Ils vivent dans un monde égoïste et déhumanisé
Comme aucune ouverture vers un avenir
Assoifé d'envie, de haine et de perversité


Parlez-moi d'amour encore
N'arrêtez pas une seconde, même un heure
Laissez le pénêtrer en mon corps
Pour que je réjouisse mon coeur
Parlez-moi d'amour encore
Ne me parlez plus de rien d'autre
Laissez moi le rêver de l'aube à l'aurore
Pour que mon âme ci vautre


Je regarde l'univers tourner à contre-sens
Il me semble plus faire te tour complet
Comme s'il avait oublié les saisons et leurs essences
Attristé de larmes et de sangs dont l'homme se plait
Je regarde les communautés vouloir dominer l'humanité
Ils veulent chacun mieux que l'autre le dernier mot
Comme s'ils avaient tout appris, tout vu, dans l'éternité
Aglutiné devant leurs télés, espérant la pillule qui soigne tous les maux


Parlez-moi d'amour encore
Ne cherchez pas à me faire avaler autre chose
Laissez moi être à son bord
Pour m'en nourrir à l'over-dose
Parlez-moi d'amour encore
Ne regardez pas entre les pages
Laissez moi avoir raison ou tort
Pour avoir l'impréssion de ne plus avoir d'âge


Je regarde la misére et les souffrances de cette génération
Il n'y a pas de dimanche et de jour férié pour les arrêter
Comme si personne ne ressentait de compassion
Appeuré de croire que c'est un mal qu'on peut contracter
Je regarde la nature ignorée de toute dignité
Il n'y a pas que le temps qui présse, mais la conscience
Comme si on pouvait tout faire et laissait poluer
Alléger son sac de détritus et de douleur dans l'insouscience


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH..... GAL.... ) le lundi 30 novembre 2009

Merci de vos encouragements, impréssions, de partager se blog en familles, amis, connaissances
Vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr bonne lecture et évasion
Vous pouvez devenir un abonné fidéle, en vous inscrivant à se blog, c'est gratuit, merci à vous

Identité nationale

" PATRIE, HISTOIRE, RELIGION, SPORTS ET COMMUNAUTARISME "



J'ai appris l'histoire et la géographie
Que mon pays était la France
Même si mes racines étaient de l'Italie
Toute ma famille lui devait l'espérance

J'ai appris le respect et une façon de vivre
Que l'Europe était mon continent
Même qu'il y avait des régles à suivre
Toutes des institutions et des monuments

J'ai appris nos valeurs et nos traditions
Que notre société était Judéo-Chrétienne
Même s'il existait différentes institutions et nations
Toutes civilisations et coin de terre avaient les siennes

J'ai appris l'amour pour mon pays
Que l'on imposait pas sa loi et sa religion
Même si on ramenait un peu ce qu'on a fui
Toutes personne qui répond à une invitation
Même si elle n'ai pas invité, se doit d'être polie
C'est le b a b a des bonnes convenances de la vie

J'ai appris que la France était la priorité
Que mon pays de coeur n'avait pas la premiére place
Même si je l'aimais aussi, car c'est ici que je vivais
Toute ma vie avait trouvée ses raisons dans cet espace

J'ai appris qu'on imposait pas sa loi dans un pays étranger
Que si on devait y vivre, on devait adopter ses coutumes
Même si ce n'était pas les nôtres et qu'il n'y avait pas danger
Tout ce qui comptait, c'était de n'avoir aucune amertume

J'ai appris qu'aimer sa patrie, c'était la soutenir
Que c'était rester attacher à ses valeurs politiques et spirituelles
Même chaque victoire participait à maintenir son avenir
Toute identité nationale passait obligatoirement par ce panel


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH..... GAL.... ) le lundi 30 novembre 2009

Merci de vos encouragements,impréssions, de partager se blog en familles, amis, connaissances,
Vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr bonne lecture et évasion
Vous pouvez devenir un abonné fidéle en vous inscrivant à se blog, c'est gratuit, merci à vous

jeudi 19 novembre 2009

Petite nouvelle de la vie d'une mère ...

JUSQU'A CE QUE JE TE RETROUVE ...


( nouvelle écrite par Hugo Gall le 11-11-2009 - pseudonyme de TH..... GAL.... )



Dans la clartée de cette journée d'automne, elle était à sa fenêtre à regarder ce paysage roux, avec les feuilles qui tournoyaient en tombant des arbres, entrainées par les vents.

Son regard se portait plus précisément sur la statue, représentant un angelot avec ses ailes déployées, prêt à s'envoler, qui trônait au beau milieu de la pelouse du grand parc, entouré de parre-terre de roses rouges .

Elle ne pouvait quitter des yeux cette magnifique statue au ton laiteux ivoire, elle savait que trop bien pourquoi elle était là, pourquoi elle avait eu besoin d'acheter pareil objet; devait-elle encore se souvenir à s'en faire mal, à compresser son coeur si fatiguer d'en avoir tant pleuré, tant souffert, oui on lui avait prit ce qu'elle avait de plus cher, on lui avait amputé une partie d'elle même, en lui saccrifiant son fils bien aimé de 10 ans, sans même savoir pourquoi cette haine c'était abattue sur elle et sa famille et surtout sans savoir qui avait pu commettre un tel acte innomable, inacceptable; elle aurrait voulu avoir un fusil deux ans auparavant, quand on lui a annoncé la térrible nouvelle, elle aurrait aimé avoir devant-elle cet assassin ignoble et de son coup de fusil, le pulvériser, d'une balle bien placée, pour que toute cette souffrance en elle puisse trouver une sortie, une fin et que tout parte avec la vie de celui ou celle qui lui avait prit pour toujours son jouyau extraordinaire .

Elle ne comprenait pas son pays qui avait aboli la peine de mort, des assassins sans scrupules, sans âmes, sans aucuns respects de l'être humain et de toutes vies insufflées dans leurs corps, tuaient au hazard de leurs rencontres et envies, ou simplement par simple haine et réglement de compte, c'était intolérable, surtout pour une mère à qui on avait tué son fils, la chair de sa chair, avec qui elle n'avait fait qu'un pendant neuf mois.

Ceux qui avaient réussi à faire supprimer la peine capitale, n'avait surement jamais connus une telle souffrance de perdre de façon si tragique et brutale, l'être qui leurs étaient le plus cher, sinon elle était certaine qu'ils n'aurraient jamais eut l'idée d'abolir cette loi.

Elle était aussi en colére contre ces socialistes Mittérandiens qui avaient tout fait pour ça et qui non seulement ça, se battaient aussi pour réduire les temps de peines et de condamnations; comment pouvait-ils faire de telles choses, elle repensait à cette affaire du petit Bertrand qui avait été assassiné par un certain Patrick Henri, elle le revoyait parler aux journalistes avec assurance, expliquant que celui qui tuait un enfant méritait la peine de mort; alors que finalement le pauvre petit Bertrand était mort sous son lit et qu'il avait assassiné de ses propres mains ...

Elle ne pouvait pas penser, qu'échappant à la peine de mort, des années plus tard, une certaine garde des sceaux du nom D'Elisabeth Guigoux, allait remettre cet individu en liberté sous un régime socialiste, qu'elle honte, qu'elle horreur avait-elle ressentie alors et qu'elle souffrance avait-elle eut pour ses pauvres parents, qui devaient être immensément malheureux et triste de savoir que des années aprés avoir assassiné leurs fils, le coupable allait être libéré; comment une femme, de surcroit, avait-elle fait pour accepter une telle chose, surtout que des semaines après sa libération, l'homme fut arrêté pour de grosses inffractions, ainsi que pour avoir utilisé un site pornographique concernant des enfants; on peux dire que madame Guigoux à vite payé la note de son erreur, le retour de baton ne c'est pas fait attendre ...

Elle espérait que c'était une des justices divine qui avait remise les choses à leurs places, là ou elle devait être; il était impenssable que lorsque des êtres fragiles et innocents comme des enfants, étaient assassinés, que l'on était sur de l'assassin, il ne soit pas condamné à mort.

Elle souhaitait du fond de son coeur que l'on retrouve le meurtrier de son fils, c'était vital et de plus en plus persistant pour elle, elle savait qu'elle ne pourrait jamais revivre, si elle ne savait jamais qui avait fait ça et il n'était pas question de lui parler de remise de peine, cette peine il faudrait qu'il avale jusqu'au bout de son souffle, sinon elle serait capable de tout, il y avait tellement d'exemple ces derniers temps, tous ses violeurs et meurtriers que l'on relâchait comme ça, sans s'occuper des victimes et de leurs familles, pour que une fois dehors ils recommençent de plus belle et tuent, qu'elle justice, une société c'était pas basé sur le laisser tout faire et vive la liberté à 100% pour tous, non il y avait des régles de respect et il fallait les suivrent, les socialistes qui ont amené cette abominable façon de voir la justice et la liberté, étaient tout simplement dangereux pour les autres et l'avenir d'un pays comme le notre, elle ne voulait pas que d'autres mères et parents vivent l'enfer par lequel elle était passée et celui dont elle vivait encore, attendant et espérant le dénuement qui rendrait plus '' acceptable '' la perte de son enfant, sachant dans le plus profond de son âme et son coeur, que plus jamais elle ne serait la même, jamais, jamais ...


Ecrit par Hugo Gall à Lagny Sur Marne le 11-11-2009 ( pseudonyme de TH..... GAL.... )

Merci de vos encouragements, impréssions, de partager se blog en familles, amis, connaissances,
vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr bonne lecture et évasion
Vous pouvez devenir un abonné fidéle en vous inscrivant à se blog, c'est gratuit, merci à vous

mardi 17 novembre 2009

Condoléances et hommages

" A TOI JOCELYN "

( A la compagne, fils, familles et amis de l'acteur Jocelyn Quivrin et à son âme )


Toi que j'ai découvert
Dans Rastignac et les ambitieux
Qui a touché mon cœur ouvert
Par ton sourire et le talent de ton jeu
Toi qui a été l'enfant des lumières
Dans l'histoire de la France
Qui a fait brillé ton visage clair
Par ton charme naturel et ton élégance
Toi qui m'a bluffé dans grande école
Dans un rôle sulfureux difficile
Qui a su être un autre homme
Par ton interprétation habile
Toi qui a été dans l'empire des loups
Dans tant d'autre peaux de personnages
Qui te promettaient un succès fou
Par ta volonté et le choix de tes tournages
Toi qui en se lundi matin aux informations
Dans les nouvelles que je n'attendais pas
Qui m'ont fait sursautés et me remplir d'émotion
Par ton départ si brutal et trop tôt pour l'au-delà
Toi de qui je garderai l'image d'un sourire
Dans mon âme et mon cœur interloqué
Qui avait présagé pour toi un meilleur avenir
Par la photo que tu m'as envoyée et dédicacée
Toi qui laisse une compagne qui t'aimait
Dans ta vie intime hors du cinéma et de son temps
Qui laisse aussi le fis que tu espérais
Par tout nos sentiments, reçois un merci sur grand écran

Ecrit à Lagny Sur Marne le 17-11-2009 par Hugo Gall( pseudonyme de T.G )

En hommage à l'acteur Jocelyn Quivrin, décédé dans un accident de voiture à Paris, ce dimanche 15-11-2009, à l'âge de 30 ans

Vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr

lundi 16 novembre 2009

Les quatres saisons

" LA BLANCHE SAISON "



Le ciel est bas
L'hiver est là
La neige tombe et s'étalle
Dans une douceur qui s'installe
Le paysage change de teint
Comme une blancheur que l'on peint
De blanc s'habille le sapin vert
De l'approche de Noël les enfants espérent
Les rues, les routes, les avenues, se marquent de pas
Les plaines, les monts et les champs, s'enneigent en gros tas
Dans la cour des écoles, bohomme de neige prend vie
Et dans les maisons la cheminée brûle le bois coupé par la scie
Les villes et les villages s'illuminent de milles lumiéres
Et les églises préparent la crêche de l'enfant roi, dans la priére
Les vitrines des boutiques affichent un air de fête
Alors que dans les salons un sapin fiérement décoré à prit la tête
C'est ainsi que nullement triste, apparait la blanche saison
Accueillit par pleins de coeurs battants à l'unissons
Qui n'oublient pas qu'un enfant tant aimé nous ait né
Pour espérer, la solidarité, la fraternité et l'amour d'une fin d'année


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH..... GAL.... )

Merci de vos encouragements, impréssions, de partager se blog en familles,amis, connaissances,
vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr bonne lecture et évasion
Vous pouvez devenir un abonné fidéle en vous inscrivant à se blog, c'est gratuit, merci à vous

mercredi 11 novembre 2009

Le mal de l'être

" DEPRESSION REPRESSIVE "



Quand on arrive plus
A faire le vide en soi
Que tout semble perdu
Qu'il n'y a plus de loi
Quand on arrive au bout
Comme un funambule sur un fil
Que plus rien ne tient debout
Qu'on se fait trop de bile


Dépréssion répréssive
Que personne ne comprend
Comme alternative
Même si l'on se ment
Dépréssion répréssive
Plus rien ne nous raccroche
Aucune tentative
C'est trop tard on déccroche

Dépréssion répréssive, répréssion négative ...


Quand il n'y a plus d'espoir
A force de se faire des illusions
Dérriére les portes, c'est le noir
Qui se mélange aux confusions
Quand chacun de nos éfforts
Arrive sans arrêt nul part
Que tout le monde, nous donne tort
Qu'il est maintenant bien trop tard


Quand on a échappé à cette mort
A force de ne plus ressentir battre son coeur
Que l'on a offert jusqu'a son corps
Qui ne reste plus une lumiére de bonheur
Quand entre toutes ces mains étrangéres
A défilés jour après jour, tout ces docteurs
Que rien ne semble être leurs affaires
Il reste à se battre pour ne plus avoir peur


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH..... GAL.... )

Merci de vos encouragements, impréssions, de partager se blog en familles, amis, connaissances,
vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr
vous pouvez aussi devenir un abonné fidéle en vous inscrivant à se blog, c'est gratuit, merci à vous

A chaque saisons

" L'AUBE BLANCHE "




La nuit fuit
Dans le plus grand silence
Sur la pointe des pieds
La voilà qui s'enfuit
Dans l'arrivé du jour qui s'élance
Comme une robe blanche de mariée
La rosée coule
Sur toutes les fleurs, les herbes des champs
La lumiére timidement apparait
Les goûttes d'eaux saoules
De toutes les bonnes odeurs du temps
S'évaporent avec le brouillard qui disparaît
La nuit n'ait plus
Elle c'est envolée, partie en voyage
Mais c'est sur, elle reviendra
La voilà perdu
Dans d'autres rêves, d'autres nuages
Sur des rivages qu'elle noircira
Mais voici le jour
Transparent, limpide de lumiére
Comme une bête indomptable sans tâche
C'est le jour
Celui de toutes les vies, de toutes les priéres
Commandait par les anges, pour l'aube blanche .


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH..... GAL.... )

Merci de vos encouragements, impréssions, de partager se blog en familles, amis, connaissances,
vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr
Vous pouvez vous inscrire comme abonné fidéle à se blog, c'est gratuit, merci à vous

les bléssures, les souffrances, l'impensable de ce qui est fait aux enfants

" LA PAGE TOURNEE "



J'étais là, comme pour des premiers pas
Je regardai à travers un voile gris
Toute une enfance, une adolescence
J'étais là, les regardant partir à grands pas
Emportant dans un ultime bruit
Ces montagnes de détritus de mes souffrances
J'étais là, comme un passager clandestin
Témoin volontaire d'un grand départ
Qui devait à jamais tourner la page
J'étais là, accueillant l'homme disant adieu au pantin
S'en allant sans retour, sur un quai de gare
Wagons remplis de mes années de rages
J'étais là, ombre regardant s'envoller son fantôme
Habillé de deuil et de brouillard
Qui faisait définitivement place à la lumière
J'étais là, le coeur retrouvant ses atomes
Heureux d'avoir dépoussiéré ce grenier de vieillards
Remerciant à jamais Dieu de milles priéres
J'étais là, réalisant sans le savoir
Que les chemins nouveaux de ma vie
Fermaient la porte lourde de tout mon passé
J'étais là, décidé à laisser le Seigneur pourvoir
Me laissant guider par ce prince de vie
Qui m'avait dans ses bontées exaucé .


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH..... GAL.... )

Merci de vos encouragements, impréssion, de partager se blog en familles, amis, connaissances,
vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr
Vous pouvez devenir un abonné fidéle en vous inscrivant, c'est gratuit, merci à vous

les bléssures, les souffrances, l'impensable de ce qui est fait aux enfants

" EN TOUTE INNOCENCE "



Les yeux profond plein de desespoir
Ils espérent une autre vie, un autre monde
Un monde débordant d'amour et d'espoir
Sans méchanceté, ni orage qui gronde
Le coeur meurtrit, à jamais anéantit
Ils élévent un mur de silence innaccéssible
Innocente victime restant inerte sans vie
Brebis fragiles détruites par des loups nuisibles
Leurs vies n'a plus de goût et va nul part
Ils sont à jamais malheureux dans leurs coeurs
Errant dans une existence, commesur un quai de gare
Où on attendrait personne, ni rien, aucune valeur
Leurs pensées ne cesse de revoir ces instants horribles
Ils ne peuvent fixer ces regards, ces gens qui jugent
Violés, battus, baffoués, enfants à l'âme sensible
Priant pour qu'un jour vienne le bonheur dont-ils rêvent ...


Ecrit par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... )

Merci de vos encouragements, impréssions, de partager se blog en familles, amis, connaissances,
vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr
vous pouvez devenir un abonné fidéle, simplement en vous inscrivant, c'est gratuit, merci à vous.

samedi 26 septembre 2009

DIEU ni est pour rien, c'est la folie des hommes

" AUX YEUX DE DIEU "



Que tu sois blanc ou noir
Italien ou Africain
Que tu ne connaisses pas la gloire
La lumière et le pain
Que tu sois musulman
Boudhiste ou chrétien
Quelque soit ton sang
Il te tend la main


Aux yeux de Dieu
Nous sommes tous frères et soeurs
Du même sang la même couleur
Aux yeux de Dieu
Nous sommes tous ses enfants
De tout coeur et de tout temps
Aux yeux de Dieu
La terre n'ai qu'une étoile
De son amour dont il nous voile
Aux yeux de Dieu


Que tu sois enfant de guérre
Bléssé ou malheureux
Que tu t'appelles Victor où Pierre
Tu sois jeune ou vieux
Que tu as le coeur sincére
L'amitié au fond de toi
Que tu rêves d'une autre terre
Il sait ce que tu as en toi


Que tu viennes de l'est ou de l'ouest
De gauche ou de droite
Que tu sois de Budapeste
Algérien ou Croate
Que tu aimes les fleurs, la mer
Les oiseaux et les chevaux
Que tu connaisses l'univers
Il sait où vont les bateaux



Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

Merci de vos encouragements, impréssions, de partager se blog en familles, amis, connaissances,
vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr bonne lecture et évasion
vous pouvez devenir un abonné fidéle en vous inscrivant à se blog, c'est gratuit, merci à vous

io sono italiano

" JAMAIS PARTIR SANS TOI "


( essaie texte français sur con te partira D'Andrea Bocelli )



Comme un oiseau s'envol
Sans le bruit d'une parole
Comme un enfant joue
Dans un monde qui s'en fou
Toi et moi c'est comme ça
Comme ça
Sous les fenêtres
C'est la ville et l'espoir peut-être
Sur ton regard
C'est l'amour qui vient se soir



Jamais partir sans toi
Au-delà d'un monde sans poésie
Sans ton corps et ton coeur dans ma vie
Sans amour et sans toi
Jamais partir sans toi
Sans espoir, ni soleil, ni d'autre nuit
Sans tes yeux dans mes yeux et ta voix
Jamais partir sans toi



Comme la pluie tombe
Et néttoie notre vie sombre
Comme l'arc en ciel
Nous promet un amour éternel
J'ai besoin de toi près de moi
Rien que de toi
Dans l'existence
Il faut donner un sens
A toute une vie
Pour vivre à l'infini



Jamais partir sans toi



Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

Merci de vos encouragements, impréssions, de partager se blog en familles, amis, connaissances,
vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr bonne lecture et évasion
vous pouvez devenir un abonné fidéle en vous inscrivant à se blog, c'est gratuit, merci à vous

io sono italiano

" VIVRE EN ITALIE "



Plonger dans un rêve
Rêver de L'Italie
Faire une grande trêve
Et changer de vie
Prendre le temps de vivre
Parcourir les quartiers latin
Monter sur les gondoles et suivre
Les milles chemins D'Arlequin



Vivre en Italie
Respirer une autre vie
Déclancher les pationnaria
Et se dire vado via
Vivre en Italie
S'aimer à l'infinie
Se dire bonjours
Et réinventer l'amour



Traverser la ville de Rome
Se retrouver à Véronne
Manger pizza et spaghetti
Ne boire que du chianti
S'étreindre à Venise
S'embrasser sous la tour de Pise
Se retrouver à Turin
Et devenir un Italien



Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

Merci de vos encouragements, impréssions, de partager se blog en familles, amis, connaissances,
vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr bonne lecture et évasion
vous pouvez devenir un abonné fidéle en vous inscrivant à se blog, c'est gratuit, merci à vous

io sono italiano

" L'AMOUR EST EN ITALIE "




Il a neigé se matin sur L'Italie
Le pays est triste et gris
Les cartes postales que je t'écris
On le coeur lourd et les yeux de pluie
Je voudrai te revoir ici
C'est fou comme sans toi je m'ennuie
Notre histoire est née ici
Car l'amour est en Italie


Mon amour attend moi
Mon amour rejoint moi
Je ne suis rien sans toi
Tu ne vis pas sans moi
Mon amour reste avec moi
Mon amour ne t'en va pas
L'amour c'est toi et moi
Rien que toi et moi


La fille D'Italie est seule à Paris
Qu'elles sont longues toutes ses nuits
Je t'attends seul sur le quai de la gare
Marchand au hazard face à mon cafard
J'attends son retour pour vivre notre amour
La serrer dans mes bras, l'aimer pour toujours
La garder près de moi resté ici
Car l'amour est en Italie



Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

Merci de vos encouragements, impréssions, de partager se blog en familles, amis, connaissances,
vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr bonne lecture et évasion
vous pouvez devenir un abonné fidéle en vous incrivant à se blog, c'est gratuit, merci à vous

vendredi 25 septembre 2009

les hommes sont fous où va le monde

" MANOUCHKA "



Manouchka
Petite fille de l'autre mur
Petite fille au regard si pur
Comment feras-tu pour oublier
Tout ce temps à être déchiré
Manouchka
Tes rêves sont remplis de fusils
D'uniformes et de comédies
Inondés de peines et de haines
Où la dictature est reine

Manouchka
Reprend ton sourire d'enfant
Car il est revenu le temps
De la légalité d'une liberté
Défendue par tes frères décidés

Manouchka
Pourras-tu oublier dans ton regard
Dans le fond de ton cœur, ses années noires
Où tu as espérée plein d'espoir
Se jour plein de gloire, aujourd'hui si dérisoire
Manouchka
Comment ouvrir la bouche que l'on a fermée
Comment ouvrir la porte que l'on a verrouillé
Sur des yeux que l'on a bandés
Sur des frontières que l'on a oubliés

Manouchka
Aujourd'hui tu peux ouvrir ton cœur
Retrouver la maison de ton bonheur
Ouvrir grand et voir de tes yeux
Pour que demain tu vives mieux

Manouchka
Il est revenu le printemps
Celui que tu attendais depuis si longtemps
Espérant un nouveau paradis
Ouvert dans une nouvelle vie à l'infinie
Manouchka
Dans ton cœur outragé
Tu n'oublieras jamais
Et tu battras demain
Pour que tes enfants aient un autre destin
Manouchka

Ecrit par Hugo Gall, pseudonyme de T.G

Merci de vos encouragements, impréssions, de faire connaitre ce blog,
vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr

Je défends la cause des victimes de maltraitances, inceste et toutes les violences sexuelles,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs, vous pouvez y accéder et le faire connaître sur: http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com

vive la jeunesse

C'ETAIT NOTRE ADOLESCENCE



A quinze ans on rêvait
D'Italie, de Californie
On vivait dans nos pensées
Inconscient d'affronté la vie
A quinze ans on pensait
A l'amour, à la poésie
On était insencé
Mais on aimait la vie



C'était notre adolescence
Bercée par notre insoucience
On était heureux
Amoureux d'innocence
C'était notre adolescence
Passant par la folie
Et l'envie de l'espérance
D'affronter la vie



A quinze ans on se croyait grand
On courrait vers l'infini
On était sur de soi tout le temps
Pour nous c'était ça la vie
A quinze ans, on ne comprenait pas
La jalousie et l'hypocrisie
La mort, la guérre, ça n'existait pas
Et nous elle nous appartenait la vie



Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

Merci de vos encouragements, impréssions, de partager se blog en familles, amis, connaissances,
vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr bonne lecture et évasion
vous pouvez devenir un abonné fidéle en vous inscrivant à se blog, c'est gratuit, merci à vous

La solitude dans un monde surpeuplé

" POUR NE PLUS VIVRE SEUL "





Pour ne plus vivre seul
Je m'inventerai des mots
Des mots qui tiennent chaud
Pour ne plus vivre seul
Je mettrais des fleurs dans ma maison
Et je me donnerais mille raisons
Pour ne plus vivre seul
Je rêverais que j'invite des amis
Qui riront de mes plaisanteries
Pour ne plus vivre seul


Pour ne plus vivre seul
J'oublierai le passé
Le présent, l'avenir
Pour ne plus vivre seul
Je pourrai tout oublier
Jusqu'a vouloir partir
Pour ne plus vivre seul


Pour ne plus vivre seul
Je me jouerai la comédie
Je danserai jusqu'a la folie
Pour ne plus vivre seul
Je mettrais un couvert de plus
Même si je n'en peux plus
Pour ne plus vivre seul
J'achéterai un chien
Qui ne me dira rien
Pour ne plus vivre seul


Pour ne plus vivre seul
J'oublierai d'où je viens, qui je suis
J'inventerai un nouveau paradis
Pour ne plus vivre seul
Je laisserai mes erreurs, mes folies
Je reconstruirai ma vie
Pour ne plus vivre seul
Je boirai jusqu'a l'oublie
A ne plus reconnaître ma vie
Pour ne plus vivre seul
Pour ne plus vivre seul


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

Merci de vos encouragements, impréssions, de partager se blog en familles, amis, connaissances,
vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr bonne lecture et évasion
vous pouvez devenir un abonné fidéle en vous inscrivant à se blog, c'est gratuit, merci à vous

jeudi 24 septembre 2009

l'amour toujour l'amour....

" SI J'ETAIS LA "



Si j'étais là
Comme ton petit chat
Si j'étais simplement pour toi
Un curriculum, un aquarium
Alors peut-être toi et moi
Se serai mieux comme ça
Si j'étais là
Comme un enfant sage
Bien poli qui ne répond pas
Un homme de main, un marin
Alors peut-être toi et moi
Se serai mieux comme ça


Mais l'amour
L'amour serait le même
Se serait toujours
Nous deux quand même
Mais l'amour
L'amour serait le même
se serait toujours
Nous deux sur le même théme
Se serait toujours
Nous deux sur le même théme
Se serait l'amour quand même


Si j'étais là
Comme Roméo sans sa Juliette
Devant une toile de Vincent
Une aquarelle, un cerf volant
Alors peut-être toi et moi
Se serait mieux comme ça
Si j'étais là
Comme Sanson sans sa Dalila
Une riviére, un océan
Qui coulerait en ton sang
Alors peut-être toi et moi
Se serait mieux comme ça


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

Merci de vos encouragements, impréssions, de partager se blog en familles, amis, connaissances,
vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr bonne lecture et évasion
vous pouvez devenir un abonné fidéle en vous inscrivant à se blog, c'est gratuit, merci à vous

La vie l'amour la mort

" COMME UN HOMME DIRA DEMAIN "



C'est une drôle de vie
Ill faut se battre pour la gagner
Et même surtout la nuit
Où tu rentre fatigué
C'est une drôle de raison
De se dire que tout va bien
De se fermer dans sa maison
Et de faire celui qui ne voit rien
C'est une drôle de chanson
Que tout le monde chantera
Jusqu'a la fin de la saison
Quand l'automne sera là
C'est difficile de s'aimer
Quand il n'y a plus d'amour
Quand le vide c'est installé
Dans la vie de tous les jours


Comme un homme dira demain
Que tout ira bien
Que la neige vient au printemps
Dans la pluie, le beau temps
Comme un homme se sera toi
Qui rigolera d'un rien
Quand tu n'auras plus la foi
De tendre la main vers les tiens


C'est un drôle de jeu
Que l'on fait chaque soir
Que l'on joue à deux
Le gagnant c'est le hazard
C'est un drôle de feu
Qui nous anime aujourd'hui
Se regardant les yeux dans les yeux
Même si après tout c'est la vie
C'est une drôle de chance
D'arrivé à survivre
Dans cette jungle qui s'en balance
Et qui appelle ça vivre
C'est difficile de croire
Que tout va allez mieux
De déjà si voir
Même sans croire en Dieu


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

Merci de vos encouragements, impréssions, de partager se blog en familles, amis, connaissances,
vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr bonne lecture et évasion
vous pouvez devenir un abonné fidéle en vous inscrivant à se blog, c'est gratuit, merci à vous

Séparation,divorce, etc..

" MARIAGE A L'ABANDON "




Tu garderas l'appartement
Les enfants, mes sentiments
Tout ne sera plus comme avant
Ca s'éffacera avec le temps
On aurra plus rien à se dire
Nous n'auront plus d'avenir
Les mots d'amour bien dépassés
Au moment des amours cassés


Quand viendra l'heure
De nous séparer
Quand le bonheur
Aura tout casser
Nous n'auront plus rien à nous dire
Il n'y aurat plus d'avenir
Plus un seul morceau de bon
Rien qu'un mariage à l'abandon


Tu garderas ta peine
Même si tu ressens de la haine
Nous casserons la chaîne
On essayera d'avoir plus de veine
On gardera nos souvenirs
Même s'il nous font fuir
Les photos seront déchirées
Comme pour oublier le passer


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

Merci de vos encouragements, impréssions, de partager se blog en familles, amis, connaissances,
vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr bonne lecture et évasion
vous pouvez devenir un abonné fidéle en vous inscrivant à se blog, c'est gratuit, merci à vous

Les textes D'Hugo écrit pour des artistes...

" NE ME PARLE PAS D'ELLE "


( Ecrit pour Mireille Mathieu )


Ne me parle pas d'elle
De son sourire de sa voix
Ne me dis pas qu'elle est celle
Qui vat vivre auprès de toi
Ne me parle pas d'elle
De l'éclat de ses cheveux
Ne dis pas comme elle est belle
Que tu n'as plus qu'elle à tes yeux
Ne me parle pas d'elle
Des enfants qu'elle veux te donner
De votre amour éternel
Et de ta libertée retrouvée


Demain tu vas partir
Vers un autre avenir
Il n'y aurra plus rien de nous deux
Plus de chemin sur les jours heureux
Nous ne vivrons plus d'autres ciels
Ne me parle pas d'elle


Ne me parle pas d'elle
De sa vie de son visage
Ne me dis pas comment elle s'appelle
Que tu vis sur des nuages
Ne me parle pas d'elle
De tous ces jours ou tu m'as menti
Jusqu'a sa peau au goût de miel
De notre amour que tu as trahi
Ne me parle pas d'elle
Des espoirs qu'elle t'a apportés
Que tu veux lui rester fidéle
Et ne plus jamais cacher la vérité


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

Merci de vos encouragements, impréssions, de partager se blog en familles, amis, connaissances,
vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr bonne lecture et évasion
vous pouvez devenir un abonné fidéle en vous inscrivant à se blog, c'est gratuit, merci à vous

mercredi 23 septembre 2009

A vous tous mes lecteurs, en avant première, l'introduction de mon premier roman

HUGO GALL

DE QUEL CÔTE DE NOTRE AMOUR...

Commençé le 24 : 11 : 2003 HEGP PARIS -

Terminé le 10 : 09 : 2009 HOTEL LE VERSEAU à LAGNY-SUR-MARNE

Reprit le 01 : 07 : 2009 HOTEL LE VERSEAU à LAGNY-SUR-MARNE

MES DEDICACES SPECIALES :

A mon père là-haut, dans les étoiles, avec Dieu et les anges, parti trop tôt, trop jeune à 27 ans,
mais qui m'a tant laissé en héritage, des sentiments et de l'amour .

A mon fils, la chair de mon sang, mon plus beau cadeau, que j'ai tant désiré et aimé, que Dieu
veille sur lui et qu'il accomplisse de belle chose dans sa vie et qu'il soit très heureux, sans oublié
une seule seconde que son père l'aime de tout son coeur et de toute son âme .

Aux enfants que l'on aime, que l'on éléve et qui un jour s'en vont sans que l'on sache pourquoi,
ou qui ne vous comprenne pas, ne vous aimes pas, tous les grands mystére de la vie à qui je
dirait simplement : même si les liens sont difficiles et étroits, les portes ne sont jamais fermées,
je vous laisse vous envoler et vous ouvrir comme de beaux papillons, qui un jour apprendrons
qui ils sont, pour ainsi mieux connaître leurs pères .

A mon grand-père paternel et son regard intense bleu si profond, de générosité, de tendresse et
d'amour, qui m'a tant donné, qui était la créme des hommes .

A ma grand-mère maternelle, qui m'a tellement marqué, par sa force de carractére, pour qui je
garde du respect et de l'amour réservé, que je qualifierai toujours de '' mama Italienne '', qui a
su tenir le mieux possible sa famille et ses traditions, malgrè certains dérapages et inégalités,
mais qu'a sa mort, se sont évaporés ...

A ceux que je garde à jamais dans mon coeur : Jean-P K, Valkyrie B, Papy et Mamy B, Phyl V S
Pierre MA, Serge V, Emile F; Martine M, Didier D, Régis ?; vous m'avez tant donné et apporté,
Je vous aime .

A tous les enfants, adolescents qui ont subit des violences physiques, psychiques, sexuelles, par
leurs parents, familles et qui les ont lâchements abandonnés, préférant l'ombre à la lumière
le mensonge à la vérité, les coupables aux victimes ...

Et tous ceux qui ont passés dans ma vie, m'ont aimé et compris, merci pour tout, je vous aimes,
Merci Seigneur de m'avoir permis d'aller jusqu'au bout de mes rêves ...
Lagny-Sur-Marne Le 08-09-2009 Hugo Gall l'auteur

Quelques mots de l'auteur :

J'ai aimé en tout point écrire se roman, créer et donner vie à ses
personnages, leurs donner un souffle, une âme, les décrires .
J'ai passé beaucoup de temps avec eux, ils sont à la fois un peu de moi
et beaucoup de toutes les personnes que j'ai rencontré dans ma vie, mais je les ait voulu,
fort, fragile, troublé, pour qu'ils ne soient pas parfait, comme personne ne l'ait sur cette terre .
Ils ont chancuns leurs vies d'avant, leurs bléssures, leurs félures, mais
ils ont aussi ce que chacuns de nous ont, des rêves, des envies, une aspiration à être meilleur
et surtout à découvrir toutes les belles choses qui nous entourent, l'air, le paysage, la nature,
l'affection et l'amour .

J'étais partis pour mêttre en avant deux hommes et une femme, laissant
un des personnages masculins prendre le plus de place, mais inconsciemment la personne de
Déborah c'est imposé à moi et à cette histoire, c'est alors tout naturellement qu'elle devient le
point central de cette histoire, le ciment entre tous les protagonistes, elle est celle du début et
de la fin .

Je vous remercie à l'avance de l'accueil que vous réserverez à ces héros
des temps modernes, ainsi qu'a mon romman, j'y ai mit tout mon coeur, toute mon âme et
beaucoup de moi même, merci à vous et bonne lecture et évasion .

Lagny-Sur-Marne le 08-09-2009 Hugo Gall l'auteur


De quel côté de notre amour ...

Introduction:

Dans les rues marchandes de Vancouver au Canada, elle

marchait doucement, respirant à grande bouffée cet air frais qui venait de l'océan pacifique, qui

longeait la ville, face à l'île du même nom; Vancouver; regardant une à une chaque boutique avec
une minutie toute particulière et observant plus précisément les vitrines dont elle appréciait

chaque décoration et détail, ici elle se sentait libre, respirer cet air là et vivre à cet endroit du

monde était pour elle un signe de grande liberté et un immense privilège qu'elle avait su

s'accorder au bon moment de sa vie, avec des gestes détachés et calmes, une façons posée et

sereine de se tenir, elle savourait enfin chaques instants de sa nouvelle vie à cet endroit du

globe, avec une délectation toute particuliére et tout cela durait depuis trois ans déjà !!!.

Elle était venu ici pour créer sa propre société d'art et de décoration, d'où son intérrésement à

tout ce qui se faisait dans ce domaine; les vitrines des magasins en étant un bon exemple pour y

puiser des idées et aussi des choses à ne pas faire.

Elle avait baptisée sa petite société RJJ et CO ''; Ce petit jeu de mot qui avait l'air si innocent,

était en fait un clin d'oeil à son passé, à tout ce qu'elle avait fuit, mais qui était resté dans son

coeur et qui représentait malgrès tout chaque seconde de sa vie d'avant et qui était aussi

finalement une partie intégrante d'elle même que quoiqu'elle fasse, elle ne pourrait jamais

dissocier et oublier.

Elle savait qu'il ne suffisait que d'un geste, où même d'un mot de sa part, pour que se passé

qu'elle avait volontairement voulu laisser derrière elle, redevienne une chose et un avenir actuel,

mais, même si ses deniers jours elle se mèttait à y repenser plus souvent, elle ne se croyait pas

encore prête à rejoindre ce qu'elle avait laissé des années auparavant, sans regarder en arrière,

pour ne pas tomber, ne pas céder; alors oui le moment viendrait, elle en était consciente, elle le

savait, mais pour cela, elle voulait avoir la certitude, qu'elle avait fait ce qu'elle avait à faire et

être enfin elle même, ce qu'aujourd'hui elle était enfin devenue et dans ces rues qu'elle

parcourait, elle en avait la certitude, elle était sereine et elle-même ...

Elle continuait à marcher avec une certaine nonchalance comme à contre courant de tout ces

gens qui passaient devant elle et dont elle ne distinguait finalement, que des ombres lointaines,

des formes indescriptibles, à cet instant là, elle était plongée dans un monde qui n'appartenait

plus qu'a elle, que seul ceux qui lui était très proche, aurrait pu comprendre et percer .

Elle continuait sa quêtte de nul part, quand au coin d'une rue, à un boutique qui faisait l'angle,

elle fût presque aimantée par la vitrine, qui l'arrêta net dans sa marche, elle se colla presque à la

surface vitrée de l'enseigne de ce magasin qui était en fait une grande librairie et marchand de

journaux en tout genre et en beaucoup de langue, elle cherchait dans toute cette décoration ce

pourquoi elle s'était arrêtée, où plus précisément ce qui l'avait poussée à venir s'aglutiner à cette

vitrine; car en plus c'était une des choses qu'elle ne se serait jamais permise de faire des années

auparavant, elle trouvait ça si ennuyeux les livres, de se plonger pendant des heures dans des

pages qui n'en finissaient pas, pour rien au monde à ce moment là, elle ne se serait arrêtée

devant une vitrine de librairie, mais depuis ce temps il s'était passé des choses importantes dans

sa vie et surtout une forte et belle rencontre avec un certain Benjamin, dit Ben, qui allait tout

bousculer dans sa vie, comme un raz-de-marée, avec d'ailleurs un autre du nom de Jerémy

dit Jerry, seulement pour ce qui était la litérrature et ce pourquoi elle était là, à cet instant, le

coupable était bien Ben, qui aimait beaucoup l'écriture et tout ces nids à poussière, qu'elle aimait

tant appeler avant, Ben était en passe de devenir un auteur romancier au moment de leurs

rencontrer et il mit tout en oeuvre pour soigner son incompétence et ses lacunes en matière

litérraire, il lui fit une telle éducation, qu'elle devint une lectrice assidue et presque érudite, qui

l'aurrait dit, surtout pas elle, ni sa mère qui pourtant avait bien plus qu'éssayée de lui faire lire

tant et tant de livres quand elle était petite, mais qu'elle laissait sur une table avaler la poussière,

grace à Ben, elle s'ouvrit enfin à des trèsors de connaissance, un or à porté de main, surtout la

sienne, tout ces livres étaient une immense richesse intellectuelle et culturelle, qui nourrissait

l'esprit, lui permettant de s'enrichir et de se nourrir, éveiller son âme et la grandir, changer les

choses d'une certaine manière, ses propres pensées, remplir son coeur et transformer

spirituellement son corps pour être plus à l'écoute de soi et surtout des autres .

C'est ainsi que sous les bons conseils de Benjamin, elle découvrit un autre monde, celui

merveilleux des livres, de la belle litérrature, écrit par tant de bon auteurs et romanciers, de

plus ancestraux, aux plus récents et petits nouveaux qui n'étaient pas en reste par leurs talents,

elle apprit ce qu'était dévorer un livre, quand on le commençait et qu'on était passionné par

l'histoire et que l'on ne voulait pas arrêter de le lire tant que l'histoire n'était pas fini, chose

souvent impossible, mais au combien fascinante, oui elle avait apprit tout ça et s'en sentait si

heureuse, qu'elle lui en serait toujours redevable d'une certaine façon ...

Elle regardait les livres dans l'étalage de la vitrine, quand une pulsion qu'elle n'aurait pu définir,

la poussa à regarder d'un peu plus prés la couverture d'un des livres mit en valeur parmis toute

une sélection de roman, là à cet instant lorsqu'elle lu le titre du livre sous ses yeux, elle su en son

coeur, qui était l'auteur de ce livre, le livre avait pour titre '' de quel côté de notre amour ... '' et

son auteur était un certain Benjamin Corbernlet, à ce nom elle en fut certaine, c'était lui et ce

nom, quand elle y réffléchissait de plus près, était l'addition de trois des syllabes prisent dans

chacuns de leurs noms à tous les trois; elle en fut figée, avant de se sentir fière et si heureuse

pour lui, c'était son troisiéme roman en dehors d'un livre d'histoire qu'il avait aussi écrit et publié

sur une de ses passions, là, de l'autre côté du monde, elle en avait la primeur et cela lui chauffait

son coeur de tout un tas de merveilleux sentiments qu'elle semblait avoir oubliée, ou simplement

mit de côté, oui cela la réchauffait d'une chaleur intense qui n'avait rien à voir avec ce soleil de

mois de mai, qui lui chauffait le dos, mais tous ses bons moments et tout cet amour si fort qu'elle

avait véccus durant tant d'années, si intense en émotions, tendresses, complicités et beautées,

elle en avait été bercée, remplie, avant de s'en sentir saturé, cet à ce moment là, qu'elle choisie

de partir, tant elle se sentait mourir étouffée à petit feu, comme prise au piège, des années après

d'un grand bonheur intime, qui finalement l'avait privé d'une liberté qui ne lui était plus permise

de s'offrir et de pouvoir vivre, comme elle l'avait toujours voulu et même battue pour garder.

En cet instant précis, elle comprennait pourquoi elle avait été attirée comme un aimant, à lêcher

cette vitrine, elle avait désormais cette intuition en elle que le signale qui lui était parvenue et

dont quelques instant beaucoup plus tôt, elle en attendait encore la certitude, était arrivé jusqu'à

elle, là, maintenant; devant cette vitrine, face à ce livre révélateur, qui la ramenait à tant de bons

souvenirs; la femme de 40 ans qu'elle était devenue, se rendait soudain compte qu'il était tant,

qu'il était venu l'heure de rejoindre et de retrouver tout ce qu'elle avait laissé dérriére elle, des

années plus tôt, par un beau matin, aux premières heures du jour, il y avait trois ans déjà .

Tout ces signes qui étaient venus jusqu'a elle, devenait le signe précurseur et évident qu'il fallait

enfin rentrer; pour plus de certitude et par conviction personnelle, pour aussi ne pas avoir le

moindre regret, elle se décida à entrer dans la boutique, où elle acheta se livre tellement

providentiel, qu'elle prit dans ses bras avant de le serrer fort tout contre son coeur, comme on le

ferait avec un trésor inestimable; puis elle le retourna et en lu le résumé du dos, ou elle trouva

inscrit en gros carractéres soutenus par une couleur or, ces quelques mots de dédicace, qui

finirent par lever en elle, toutes les barrières de tous ses doutes qui l'avait envahit depuis si

longtemps : '' A Déborah et Jerémy '' .

Dés cet instant, il n'y eut plus d'intérrogation dans son esprit, l'heure de la capitulation et le

moment de rendre les armes, les armes de la colére, de la révolte d'une femme en manque de

liberté, était arrivé, aujourd'hui elle était sereine, en paix avec elle même, avec ses propres luttes

intérieures, ses bagares tiraillées entre ses besoins d'indépendance, la femme au foyer, la femme

amoureuse, de tout cela, elle en avait finalement bien fait le tour, pour enfin retrouvé cette

énergie, ce bien être, qui la carractérisait tant et qu'au moment où elle avait son petit nid amour

bien douillet, elle n'avait plus !!!.

Elle n'oubliait pas non plus, que lorsqu'elle décida de tout quitter pour venir ici, il y avait une

autre raison plus intime qui la poussait à prendre cette forte décision, elle devait aussi partir

sans avouer le secret qu'elle emmenait avec elle, car à cet instant, il était certain que si elle était

restée, elle n'aurrait pas pu faire autrement que de dire cette vérité et pour elle, tout aurrait été

fini, elle aurrait définitivement tombée dans une spirale destructrice qui l'aurrait anéantit, ainsi

que ceux qu'elle aimait, elle savait que c'était la meilleure des décisions qu'elle eut à prendre de

sa vie et elle en était très fiére et heureuse, ici elle avait du se battre, lutter contre elle même et

ses si grands changement de son corps, qui se battaient avec se grand mystére qui entourait son

départ et qu'elle avait si bien protégé et caché jusqu'à maintenant, ce qu'elle hantait aujourd'hui,

c'était de dévoiler se secret en revenant sur le lieu même ou elle l'avait emporté avec elle, même

si elle avait désormais très envie de retrouver tout cet affection et amour, elle avait peur de la

réation de ceux qui étaient concernés par son non dit quand ils l'apprendraient, il était quand

même important pour tout homme normalement constitué de savoir, ce qu'elle c'était refusé à

dire, elle pensait qu'ils comprendraient tous, les connaissants, elle en était même sur, mais cela

restait une incertitude, elle prennait conscience d'une certaine manière de l'ampleur de sa

désertion et du mal qu'elle avait occasionnée, mais elle ne regréttait vraiment rien, surtout d'être

venue dans se Canada qui lui avait fait tant de bien et guérie de ses souffrances intimement

féminine et hormonales, qui à chaque périodes charnières de sa vie de femme, l'avait laissée

destabilisée et méconnaissable, en plus avec se secret qu'elle avait emportée dans ce coin du

monde avec elle, elle ne c'était jamais sentie seule, même si la vie n'avait pas été facile au début

de son arrivée, aujourd'hui elle n'avait aucun regret et se sentait enfin vivre et ressentir avec

plaisir chaque joie de la vie, de sa vie ...

Maintenant plus que jamais; elle ressentait le besoin de revoir tous ses regards complices, ses

sourires, qui lui manquaient plus qu'elle ne l'aurait pensé; elle avait une forte envie de se sérrer

dans les bras de ceux qu'elle aimait, leur dire '' je vous aimes, vous m'avez manqué '' , de leur

avouer toutes les circonstances de son départ, il y avait tout juste trois ans et leur rendre le

secret qui leur appartenaient finalement autant qu'a elle, afin de le partager tous ensembles,

comme il aurrait du l'être, si toutes les choses de sa vie avaient été normal à se moment

là, mais pour elle cela resterait l'un des plus beaux cadeaux que la vie lui avait donnée et

qu'aujourd'hui elle raménerait avec elle comme pour rattrapper le temps qui avait passé, pour

aussi en partager le plaisir et toute la joie .

Elle essuya ses larmes, qui soudain n'arrêtaient plus de lui couler le long de ses joues, aveuglant

ses yeux magnifiques, serrant encore plus fort se livre sur son coeur, comme un trèsor précieux

au prix inestimable, elle était encore sous le coup de l'émotion qui avait envahit tout son corps, il

fallait qu'elle rentre maintenant chez elle et qu'elle reprenne ses esprit, qu'elle réffléchisse à ce

qu'elle devait faire en priorité et biensûr, plus que tout, elle devait lire se livre, aussi elle se hâtta

de rentrer le plus vite qu'elle pu à son appartement, puis de se jeter à coeur perdu dans la

lecture de se livre si inattendue .

Elle eut finie par lire le livre de Ben, plutôt dévorer, eut été le mot exact, toute la nuit, toutes les

pages y étaient passées et repassées, au fur et à mesure elle c'était replongée dans ce qui avait

été son quotidien, chaque jour d'une vie d'amour était dans se livre, une grande part d'elle

même, un grand pan de sa vie, tout y était noir sur blanc, sans y être éronné, la vérité toute nue,

Ben l'avait écrit avec pudeur, avec ses mots à lui, sa profondeur d'âme, sa sensibilité qui le

carractérisait tant et qui faisait de lui cet être à part, cela ressemblait à une belle et délicate

poésie, tout y était si bien dit, raconté, comme un hymne à la vie, un ode à l'amour; on ne

pouvait pas faire autrement que d' y souscrire, elle encore plus que d'autre, puisqu'elle l'avait si

intensement véccus, comme chaques pages de se livre, d'ailleurs elle se dit que le titre aurait pu

être '' la vraie vie de Déborah '' , accompagné de la chanson titre de Michel Sardou '' Déborah '' .

Puisqu'elle en était à rendre hommage à des chanteurs qu'elle apréciait beaucoup, elle se

remémora pourquoi elle avait été poussée à venir dans cette belle région du monde au Canada,

où les hivers sont si vigoureux, mais les printemps et été plein de beautées, tout cela elle le

devait à un certain chanteur du nom de Roch Voisine, beau ténébreux, sexy et talentueux,

qu'elle adopta comme son chanteur préféré, à sa première chanson et tube, qui s'appellait en son

temps '' Héléne '', une belle chanson, comme il venait de cette région dans laquelle elle se trouvait

aujourd'hui, elle se mit à chercher tout se qui concernait et parlait de se pays et c'est ainsi qu'elle

en a tomba en amour, comme il disait ici, cette passion ne la quitta jamais, jusqu'à ce qu'elle la

réalise enfin, après elle apprécia aussi des chanteuses comme la grande Céline Dion, avec une

voix intense et magnifique et autant de chansons superbe comme ses préférées: s'il suffisait

d'aimer, l'amour existe encore, je t'aime encore, l'immensité, pour que tu m'aimes encore, etc;

puis aussi Isabelle boulay et sa douce voix : quelques pleures, ton histoire, tout au bout de nos

peines, dis-moi et la belle et chaleureuse Natasha St Pier avec : je n'ai que mon âme, tu

trouveras, mourir demain, tant que c'est toi, un ange frappe à ma porte, embrasse-moi, nos

rendez-vous manqués,etc; elle avait très appréciée ses chanteuses, qu'elle continuait à écouter et

apprécier, elles avaient d'une certaine manière contribuée à son envie de venir vivre ici, mais

Roch Voisine n'en restait pas moins le détonateur principale, dire qu'en ce temps là, elle en était

amoureuse, elle aurrait sautait dans ses bras si elle avait pu, elle l'aurrait même embrassée et

surement plus si il avait voulu, mais elle n'avait jamais pu l'approché et ses désirs étaient restés

de doux réveries de jeune fille tout juste sortie de l'adolescence, restait de belles chansons qui la

ramenait des années en arrière : comme, avant de partir, une femme parle avec son coeur, laisse

la rêver et tant d'autres qu'elle ne césserait pas d'écouter, comme une flirt de jeunesse, cela dit

elle le trouvait toujours aussi craquant .

Sa décision était maintenant prise et après avoir lu se livre, elle avait envie d'enttendre leurs

voix, de repprendre contact avec cet univers qui lui était si famillier, maintenant comme à son

habitude, une fois qu'elle avait prit sa décision, elle ne pouvait plus attendre, alors elle composa

un numéro de téléphone qu'elle gardait depuis toutes ses années ici et qu'elle n'avait jamais

utilisée jusqu'à maintenant, c'est ainsi qu'après quelques sonneries inffructueuses, elle fût mise

en relation avec un répondeur, qui aux premières intonations de la voix qui donnait le méssage,

elle reconnue et se retrouva propulsée des années en arriére, comme si rien ne c'était passé; au

premier bip d'usage, elle parla la gorge sérrée en disant ces quelques mots : « bonjours à tous,

c'est moi Déborah, j'espére que vous allez bien, que tout va bien, j'ai acheté le livre de Benjamin

et je l'ai beaucoup aimé et je pense que si vous voulez toujours de moi, alors il est temps pour moi

de rentrer et de vous retrouvez, je reviens dans trois jours; je serais très heureuse de vous

serrez dans mes bras et de vous apportez un merveilleux cadeaux que la vie m'a donnée et que

j'ai emporté avec moi quand je suis partie la dernière fois; mais il vous appartient autant qu'a

moi et nous le partagerons ensemble, je vous aimes; à très bientôt ''; puis elle raccrocha, le coeur

encore tout retourné et battant plus vite qu'il n'avait jamais battu ...

L'émotion était à son apogé, elle ne pouvait arrêter ses torrents de larmes qui la submergée, la

faisaient frissonner dans tout son corps, la laissant sans force et presque sans défense, mais elle

avait cette lumiére nouvelle dans son coeur, qui la rendait plus heureuse que jamais, grace à un

bonheur retrouvé et une nouvelle envie d'écrire un nouveau et inédit chapître de sa vie ...

Elle était pleine d'une toute nouvelle énergie et d'un enthousiasme digne d'une petite fille, excitée

à l'idée de vivre un instant magique de sa série préférée, mais cela ne l'empêchait pas d'avoir

certaines craintes et appréhensions qui la mettait dans le doute, elle ne méttait pas de côté de

son esprit qu'elle était quand même partie pendant trois ans, dans la fraicheur d'un petit matin,

sans prévenir personne, avec juste un mot de réconfort et de semi explication sur une table de

cuisine; certe elle avait gardée un contact minimum avec l'autre côté de l'Atlantique en France et

elle avait ses méssagers, qui sans nul doute lui transméttaient toutes les nouvelles dont elle avait

besoin de savoir, mais ce n'était jamais en direct , elle avait trop peur, qu'en entendant ses voix si

familière, elle ne revienne sur sa décision et ne resiste pas à l'appel du coeur et des sentiments,

mais pourtant elle avait eut se courage et cette force des années plus tôt,pour tout laisser

derrière elle et venir ici, dans une autre partir du monde qu'elle ne connaissait qu'a travers des

livres et documentaires et où elle ne connaissait personne, seulement le non d'un docteur réputé

et le nom d'un chanteur dont elle avait été éprise jeune fille et dont elle savait qu'il ne l'attendait

pas .

Plus le temps avançait et plus les questions allaient bon train, du style : allaient-ils lui pardonner

cette longue incartade, la repprendre comme avant, sans lui poser aucune question, sans

amertume et surtout sans aucun repproche ???, que de question dont elle n'aurait les réponses

qu'au moment de leurs retrouvailles; si son coeur obstinément connaissait les réponses, son côté

humaine, ne l'empêchait pas d'avoir de multiple crampe d'estomacet des nausées ...

Puis vint le moment de faire les bagages, qui furent fait en trois temps et trois mouvement, elle

n'emportait que le strict nécéssaire, car elle n'abandonnait rien, elle gardait tout ce qu'elle avait

construit ici, qui était une grande part d'elle même et de cette liberté pour laqu'elle elle c'était

tant battue et avait tant besoin au plus profond elle, cette vie ici était vital aujourd'hui dans son

équilibre et elle avait bien l'intention de continuer d'en profiter à sa manière, ne serait-ce pour se

ressourcer; fut-il ici cet endroit à l'autre bout de la terre, elle se dit aussi qu'ainsi ils auraient tous

un pied à terre au Canada, comme le chantait si bien Line Renaud '' ma cabanne au Canada '';

tout ça mettrait un peu de sel dans leurs existences, avec un petit goût d'aventure, qui n'était

biensûr pas pour lui déplaire .

Le départ approchait à pas de géant et elle ne pouvait faire autrement que de ressentir une

grande culpabilité pour ces années d'absences, elle c'était pourtant toujours promis qu'elle n'avait

rien à se repprocher, qu'elle était libre, commel'air, mais après avoir lu se beau livre, plein

d'émotion, de tendresse, d'amour cash, elle se sentait si petite et méprisable, que sa lutte de

libéralisation fémministe, lui semblait bien désuette, il était évident que rien ne changerait et

puis ce qui était fait était fait, il était impossible de revenir en arriére, mais elle sentait la douleur

qu'avait ressenti Ben à son départ, à travers tous ses mots, elle n'en était pas très fière, mais ce

qui comptait là, dans ces instants; c'était ce qu'elle avait dans le coeur; la vérité et l'amour qui ne

meurt jamais, ça elle le pensait très fort !!!.

Quand l'avion posa son train d'attérissage sur l'aéroport, D'Orly, elle sentit son coeur battre à

plus de cent à l'heure, elle sérrait les accoudoirs de son siège avec force et semblait avoir du mal

à les lâcher, mais les dés étaient désormais lancés et plus rien ne les arrêteraient, le verdict des

réponses qu'elle se posait, allait bientôt tomber sur elle, mais surtout se qu'elle attendait, c'était

de retournait chez elle, cette image la rassurait plus que les autres, car elle avait un sentiment de

bien être, de bonne odeur, qui la ratachait à sa maison, c'est finalement ce qu'elle s'éfforça de

garder en tête, jusqu'a son arrivée, pour rester la plus déttendue possible ...

Quand elle mit son pied sur le sol, elle se mit à penser au pape et à se qu'il faisait quand il arrivait

dans un autre pays en avion, alors elle se dit qu'elle était prête à se mettre à genoux et

embrasser le sol, elle ne voulait pas faire concurrence à ce souverain pontife, mais pour elle

c'était le signe d'un nouveau départ, qu'elle voulait sous les meilleurs hospices possibles.

Après être sortie de l'avion, avoir récupérée ses valises, elle avait encore un bon bout de chemin

à faire; le métro, puis le taxi jusqu'à la gare de Lyon et encore le train, le taxi, avant d'arriver à

son étape finale, cela lui laissait encore largement le temps des refflexions, mais maintenant elle

avait fait un grand pas, même si ses bras lui semblaient lourd et pesaient des tonnes,( à cause de

se merveilleux cadeaux qu'elle leurs apportait )elle était plus que jamais déterminée et sur d'elle.

Le voyage parru plus long qu'elle ne l'aurai imaginée et quand le taxi arriva devant la maison; le

soleil brillait de mille feu; elle regarda tout autour d'elle avant de payer le chauffeur; rien avait

changé, on aurait dit que c'était hier, qu'elle avait simplement fait un allez-retour, le chauffeur

descendit pour l'aider avec ses bagages, la voyant si encombrée, les bras déjà bien occupés, ce

qui le fit sourire tendrement, puis l'ayant bien remercié, elle s'avanca pas après pas, comme en

reconnaissance d'un térrain que l'on voit pour la première fois, devant le grand portail qu'elle

avait fermé des annés auparavant, elle mit un centiéme de seconde avant de l'ouvrir, il était

beaucoup plus léger que lorqu'elle l'avait prit dans l'autre sens, soudain tous les bons moments

passé ici lui revinrent à l'esprit, tous ses moments de sa vie, les week-end, les sorties, les

anniversaires, les noëls et jours de l'an, etc ...; quand elle regarda enfin devant elle, aprés avoir

franchi le portail d'entrée, une fois dans la grande cour, elle découvrit une grande banderolle,

attachée au mur de la maison sur laquelle il était écrit en grandes lettres bleues : '' bienvenue à

toi, Déborah, tu nous a manqué '' . A ces mots, elle en oublia tous ses derniers doutes et se mit à

pleurer de joie, là, devant ceux qu'elle aimait, qui lui tendait déjà les bras, sans aucune retenue, à

cet instant précis; elle se dit ''oui, tout est comme avant '' ; alors elle posa ce qu'elle portait dans

ses bras avec fragilité et douceur, qui était l'un des plus beaux cadeaux que la vie lui ai offert

quand elle était partie d'ici et qu'elle avait décidé d'emporter avec elle sans un mot, il y avait

trois an.

Oubliant alors tous ce qui pouvait encore la faire douter et comprenant qu'ils lui avaient déjà tout

pardonné, elle leurs fit partager ce magnifique trésor, exit les années de séparations et

d'absences, dès cet instant, la vie reprit bien vite son cours, doux, plein de tendresse, d'affection,

d'amour, gardant toujours à l'esprit, ses quelques vers de poésies dont ils avaient tous fait leurs

banières et leurs proverbes préférés : '' un jour sans amour et un jour sans lumière '' ...