samedi 14 mai 2011

Deuxiéme roman,chapitre V,suite

Dépression interdite:chapitre V,un suspect trop idéal,suite.











Quand il arriva à l'hopital dans son service,il

ressentit comme des nausées;il apperçut d'abord le corps du surveillant que l'inspecteur Patrick

Charcot lui avait détaché dans son service,c'était un jeune policier de 28 ans,qui en venant ici


pour surveiller les allez et venus,faire son devoir de policier et au mieux arrêter cet assassin


pour l'empêcher de nuir,avait sans le savoir écrit les derniers instants de son destin.



Le docteur Tojeman se sentait vraiment désolé et


impuisant face à cela,il continua à avancer avec l'esprit embué de contrariété,observant à son


passage,les agents de police qui avaient prit maintenant place dans son service.



Devant la chambre 202,D'Arthur Jacquemin,il


apperçut son ami Patrick Charcot,à la recherche d'indice,autour du corps sans vie du patient;


quand l'inspecteur se rendit compte que le docteur Tojeman était entré dans la chambre,il se


dirigea vers lui et lui serra la main,d'une façon qu'ils se regardérent dans les yeux avec une


expréssion qui voulait dire,qu'ils étaient éfondrés par ce qui venait de se passer,ils étaient aussi


d'accord sur cette sensation d'être impuisant face à une personne qui risquait le tout pour le


tout sans se poser de question.


Le docteur Tojeman demanda à l'inspecteur,s'il


pouvait le retrouver dans son bureau quand il aurait fini de relever touts les indices possibles et

ce qui lui restait à faire;l'inspecteur lui répondit oui,puis le docteur rejoignit son bureau pour

faire le point et éssayer de se remettre un peu de toutes ces émotions,qui l'avait profondément

marqué.

Allait-il pouvoir continuer son travail après tout

ça,il finissait par se poser la question;au début de toute cette affaire,il pensait que tout cela

passerait et que tout reprendrait le cour normal des choses,mais avec cette continuité dans le

tragique,il finissait par se remettre sérieusement en question.

Malgré touts les agréables moments qu'il vivait

avec Héléne Portal,cela ne changeait rien,que pouvait-il à tout ça,il n'avait pas de réponse qui

assurerait une réussite à 100%,pourtant là,c'était tout ce don il avait envie,trouver l'unique

parade qui lui permettrait d'arrêter définitivement cet assassin,sans apparement la moindre

partie,même infime,d'humanité.



*


Héléne Portal se réveilla peu à peu,avant de bien

ouvrir les yeux et de s'étirer de tout son corps,elle chercha instinctivement le corps de son

amant,se sentant déçu de constater qu'il n'était déjà plus là,elle se sentit soudain,mal à l'aise,car

elle n'était pas chez elle.

Joseph Tojeman avait insisté la veille au soir,pour

qu'elle vienne chez lui,avec une certaine hésitation elle avait fini par dire oui,heureuse

finalement de découvrir l'intimité dans laquelle il vivait et peut-être aussi de rencontrer,puis de

faire connaissance avec ces deux fils;mais à cet instant,elle se sentait térriblement seule,mal

partie pour se présenter à des jeunes garçons qui étaient chez eux,face à une femme qu'ils ne

connaissaient,ni d'Eve ni D'Adam et qui en plus couchait avec leurs père,dans ces conditions,

cette entrevue ne l'enchantait pas le moindre du monde,si elle avait pu s'habiller,puis sauter par

la fenêtre,sans se faire remarquer et fuire à toute jambe sans se faire voir,elle n'aurait pas hésité

une seule seconde.

Seulement elle devait se repprendre,ne pas agir

comme une ado,fuire à la moindre contrariété,elle devait affronter ce qui la mettait en êtat de

panique,elle le devait bien à celui qu'elle aimait,qui lui montrait tant de confiance,de sentiment,

en l'emmenant chez lui où il vivait avec ses enfants,où personne depuis la mort de leurs mère

n'était rentré en tant qu'une possible remplaçante.

Elle se ressaisie,puis se leva,prête à faire face à ce

qui de toute façon deviendrait dans l'avenir une habitude quotidienne,si son histoire d'amour

avec Joseph Tojeman prennait son éssor,comme elle le désirait tant;elle tendit l'oreille à travers

la porte de la chambre,pour entendre s'il y avait du bruit,si les deux garçons étaient dans le

couloir,mais elle n'enttendit rien,même pas le maître de la maison,puis soudain il y eut des allez

et venus,la porte des toilettes qui claque,la chasse d'eau,il était 7 heure 30 et les garçons se

préparaient pour aller à leurs cours,alors après avoir prit une grande respiration,elle se lança et

ouvrit la porte,en tombant nez à nez,sur un des deux garçons,qui passait devant elle,en simple

caleçon,avec une démarche à l'aveuglette,qui semblait dire,qu'il n'était pas très bien réveillé.

Se sentant d'un seul coup moins bête,elle en profita

pour lancer un bonjour assez fort sur un ton cordial,pour être enttendu et ne pas être prise pour

une personne inamicale,le garçon très surpris par une voix féminine en ces lieux,stoppa sa

marche de semi somnanbule,puis se retourna pour voir à qui appartenait cette voix,mais

surtout pour être sur qu'il n'était pas encore dans son lit entrain de rêver.

A la vue de ce jeune garçon,affichant sa virilité

devant elle ;en petite tenue qui ne cachait rien de bon matin de sa bonne santé sexuelle,comme

tout garçon normal,un peu géné quand même,elle lui tendit la main et se présenta: " salut,moi

c'est Héléne,Héléne Portal,mais tu peux m'appeller Héléne,je suis désolé de te déranger dans

ton élan et dans ton intimité ".

Le garçon la regarda bien dans les yeux,avant de

prendre soudain conscience de la situation,ne sachant plus quoi faire,il fini par lui tendre la main

à son tour,en mettant malhabillement son autre main devant son caleçon,pour cacher le mieux

possible sa virilité matinale,devant cette femme qu'il ne connaissait pas encore: " euh,bonjour,

moi c'est Maxime,Maxime Tojeman,le frère ainé,je suis désolé par la situation,mais je ne savait

pas que vous étiez là,papa nous avait parlé un peu de vous,mais il nous avait pas dit que vous

seriez là cette nuit,je vais au toilette et je m'habille plus décemment,ensuite je vous prépare

votre petit déjeuner si vous voulez bien? ".

" Merci c'est très gentil Maxime,si tu permet ?;

Très contente de te connaître,ton père ma tant parler de vous,ne t'inquiéte pas pour ta tenue,

je suis habituée aux corps nus,n'oublie pas que je suis médecin quand même,alors ne te

formalise pas,en plus c'est moi l'intruse,je ne veux en aucun cas bousculer tes habitudes à toi et

ton frère ".

Tout à coup,Maxime se sentit plus à l'aise,pensant

que cette femme était bien sympathique,en plus elle était médecin,ce qui pouvait laissé penser

qu'elle était loin d'être bête,en plus elle avait réussit à plaire à son père et le sortir enfin de la

solitude dans laquelle il c'était enfermé depuis le décés de leurs mère,ça méritait bien toute son

attention,ainsi que son amitié,en plus elle était belle,ce qui ne gâchait vraiment rien,carton plein,

pensa t-il...

" C'est vrai,j'avais oublié que vous étiez médecin

vous aussi,comme papa,enfin pas dans la même spécialité,bon maitenant je dois vraiment y aller

si vous permettez,vous pouvez m'attendre en bas,dans la cuisine si vous voulez bien,je me

dépêche et j'arrive ".

Pas de probléme,prend ton temps et va y vite,je ne voudrais pas être responsable de la moindre

fuite ".

maxime sourit,se disant,en plus elle a de l'humour,

bravo papa,tu as gagné le gros lot,elle mérite vraiment d'être connu...



Ecrit en février 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )

Merci de vos encouragements,impessions,fidélité,de faire connaître ce blog,vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr

Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fleaux destructeurs, accés sur:

http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com/

mercredi 4 mai 2011

Deuxiéme roman,chapitre v

Dépression interdite:chapitre V,un suspect trop idéal.










La nuit était profonde et d'un noir plus fort et épais que d'habitude;dehors il faisait froid,du gel

avait recouvert les pare-brises des voitures en blanc.

Quand l'ombre atteignit l'hopital Européen Georges Pompidou,elle fut soulagée de trouver la

chaleur en rentrant dans le hall sans se faire voir.

Bien qu'habillait chaudement,le froid plus le stress ,qu'engendrait la raison pour laquelle l'ombre

était encore là,lui donnait quelques frissons,qu'accentuaient la sensation de froid.

Vétu de noir et d'une capuche qui ne laissait rien deviner de sa réelle identité,avec la nuit des

plus sombres,l'heure de 3 heure 15 du matin,l'ombre était tranquille et non reconnaissable.

Quand la porte du service du docteur Tojeman s'ouvrit doucement,avec silence et minutie,sur

ces gardes,l'ombre s'avança à pas de loup dans le long couloir;au loin elle enttendit des éclats de

voix qui venaient du bureau du surveillant de nuit,qui l'obligea à redoubler de vigilance.

Cette situation était inattendue,en temps normal il ni avait qu'un surveillant de nuit,mais là

apparement il y avait une personne en plus,il était évident qu'un changement avait été fait sans

avoir été divulgué;il fallait impérativement trouver une parade pour neutraliser ce nouveau

danger potentiel,afin d'acceder à la chambre 202.

L'ombre réffléchissait à ce qui pourrait éloingner l'un des deux surveillant,voir les deux,quand

soudain un bruit de chaise se fit enttendre et que l'un des deux quitta le bureau,pour partir dans

le sens inverse où l'ombre était caché,plaqué dans le renfoncement d'un mur.

L'implacable tueur,satisfait de la tournure des évenements,qui lui apportait la solution sur un

plateau,se saisit d'une ampoule qui était dans sa sacoche,avant de verser son contenu dans une

seringue qui était dans une des poches de son blouson,puis quand l'opération fut terminé,il

avança dans un silence de fantômatique,comme l'ombre qu'il était en cet instant précis,puis

arrivé à la hauteur du bureau du surveillant,qui était de dos,entrain de laver de la vaiselle,qu'il

avait surement utilisé avec son collégue.

Le bruit de l'eau et de la vaiselle que manipulait le surveillant ne lui permis pas d'enttendre,

comme de voir l'ombre meutrière,qui était rentré dans le bureau et qui c'était placé dérrière

lui,pour lui planter d'un seul coup l'aiguille de la seringue au contenu mortel,dans le dos,qui allait

aller faire son oeuvre aussitôt,car en quelque seconde seulement aprés avoir sentit l'aiguille lui

piquer le dos,le surveillant s'écroula sur lui même.

Ayant cru à une piqure d'insecte,il avait juste eu le temps de poser sa main à l'endroit qui l'avait

piqué,comme pour se gratter,mais déjà il était trop tard,le poison c'était déversé en lui dans tout

son corps,il avait vascillé,sa vue se troubla,puis son coeur s'emballa,sa respiration devint de plus

en plus difficile,enfin son corps se déttendit,ses yeux grands ouverts,il expira.

Sans la moindre compassion,regret,regard en arrière,l'ombre avait déjà reprit son chemin,pour

accomplir ce pourquoi il était là,avec ce qu'il venait de faire il devait être encore plus sur ces

gardes,il ne pouvait pas laisser le surveillant restant trouver son collégue dans le bureau et

donner l'alerte,aussi avançant pas à pas,il se rendit compte que l'autre était aux toilettes,alors

très vite,il su comment réagir,il plaça une clé dans la sérrure de la porte qui donnait accés aux

toilettes et la cassa à l'intérieur,une fois la porte fermée à clé,personne ne pouvait plus en

sortir,ce qui lui laissait maintenant le temps d'agir sereinement.

Content d'avoir réussit à neutraliser les dangers qui aurraient pu l'empêcher d'acquiter sa

besogne à tout prix,il sourit avec une ironie à glacer le dos,avant de se dépêcher d'atteindre la

chambre 202,où se trouvait Athur Jacquemin,qui dormait à poing fermé,aprés les tribulations

qu'il venait de vivre,l'assassin espérait qu'enfin les choses se passent sans probléme.

Devant le corps allongé D'Arthur Jacquemin,le crime fut facile et en peu de temps,avec

l'habilité,la rapidité,une certaine habitude,l'ombre avait déjà rejoint la sortie de l'hopital,après

avoir fait son travail.

Au moment où le surveillant s'apperçut qu'il était enfermé dans les toilettes et donna l'alerte en

frappant et criant pour qu'on vienne lui ouvrir,le tueur était loin de l'hopital.

Une patiente fini par enttendre le bruit que faisait le surveillant,puis enfin donna l'alerte dans

tout l'hopital,avant que les personnes de surveillances dans l'hopital arrivérent pour ouvrir la

porte des toilettes et libérer le surveillant,pour ensuite ne pouvoir que constater et déplorer la

mort de l'autre surveillant et celle du patient de la chambre 202,Arthur Jacquemin;devant toute

cette horreur impenssable,ils restérent choqués et remplis d'incompréhension.

Quand vers 4 heure 30 du matin le téléphone résonna dans la chambre du docteur Tojeman,une

grande appréhension le saisit avant de déccrocher,à une heure pareille,il était sur que quelque

chose de grave c'était passé à l'hopital,surtout dans son service,pourtant le fait d'avoir mit une

autre personne à la surveillance exclusivement,non infirmier,cela semblait une bonne idée

partagée avec son ami l'inspecteur Patrick Charcot.

La pensée éffrayante qui lui vint à l'esprit soudainement,quand il déccrocha et qu'il fut mit au

courant de ce qui était arrivé,lui fit froid dans le dos,qui pouvait être cet ignoble assassin pour

agir ainsi,sans avoir peur de rien,jusqu'au point de tuer tout ceux qui se méttaient sur son

passage?

Il n'en pouvait plus de cette tragique histoire,qui semblait se répéter à l'infinie,il fallait arrêter

tout ça et au plus vite,il se tourna vers Héléne qui dormait calmement et l'embrassa

tendrement,avec délicatesse pour ne pas la réveiller,avant de se lever doucement sans faire de

bruit et d'aller s'habiller pour rejoindre l'hopital au plus vite....






Ecrit en février 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île de France,france,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )

Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr

Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:

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Merci à vous tous mes lecteurs fidéles et vous les nouveaux,de votre fidélité et appréciation.