samedi 26 septembre 2009

DIEU ni est pour rien, c'est la folie des hommes

" AUX YEUX DE DIEU "



Que tu sois blanc ou noir
Italien ou Africain
Que tu ne connaisses pas la gloire
La lumière et le pain
Que tu sois musulman
Boudhiste ou chrétien
Quelque soit ton sang
Il te tend la main


Aux yeux de Dieu
Nous sommes tous frères et soeurs
Du même sang la même couleur
Aux yeux de Dieu
Nous sommes tous ses enfants
De tout coeur et de tout temps
Aux yeux de Dieu
La terre n'ai qu'une étoile
De son amour dont il nous voile
Aux yeux de Dieu


Que tu sois enfant de guérre
Bléssé ou malheureux
Que tu t'appelles Victor où Pierre
Tu sois jeune ou vieux
Que tu as le coeur sincére
L'amitié au fond de toi
Que tu rêves d'une autre terre
Il sait ce que tu as en toi


Que tu viennes de l'est ou de l'ouest
De gauche ou de droite
Que tu sois de Budapeste
Algérien ou Croate
Que tu aimes les fleurs, la mer
Les oiseaux et les chevaux
Que tu connaisses l'univers
Il sait où vont les bateaux



Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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io sono italiano

" JAMAIS PARTIR SANS TOI "


( essaie texte français sur con te partira D'Andrea Bocelli )



Comme un oiseau s'envol
Sans le bruit d'une parole
Comme un enfant joue
Dans un monde qui s'en fou
Toi et moi c'est comme ça
Comme ça
Sous les fenêtres
C'est la ville et l'espoir peut-être
Sur ton regard
C'est l'amour qui vient se soir



Jamais partir sans toi
Au-delà d'un monde sans poésie
Sans ton corps et ton coeur dans ma vie
Sans amour et sans toi
Jamais partir sans toi
Sans espoir, ni soleil, ni d'autre nuit
Sans tes yeux dans mes yeux et ta voix
Jamais partir sans toi



Comme la pluie tombe
Et néttoie notre vie sombre
Comme l'arc en ciel
Nous promet un amour éternel
J'ai besoin de toi près de moi
Rien que de toi
Dans l'existence
Il faut donner un sens
A toute une vie
Pour vivre à l'infini



Jamais partir sans toi



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io sono italiano

" VIVRE EN ITALIE "



Plonger dans un rêve
Rêver de L'Italie
Faire une grande trêve
Et changer de vie
Prendre le temps de vivre
Parcourir les quartiers latin
Monter sur les gondoles et suivre
Les milles chemins D'Arlequin



Vivre en Italie
Respirer une autre vie
Déclancher les pationnaria
Et se dire vado via
Vivre en Italie
S'aimer à l'infinie
Se dire bonjours
Et réinventer l'amour



Traverser la ville de Rome
Se retrouver à Véronne
Manger pizza et spaghetti
Ne boire que du chianti
S'étreindre à Venise
S'embrasser sous la tour de Pise
Se retrouver à Turin
Et devenir un Italien



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io sono italiano

" L'AMOUR EST EN ITALIE "




Il a neigé se matin sur L'Italie
Le pays est triste et gris
Les cartes postales que je t'écris
On le coeur lourd et les yeux de pluie
Je voudrai te revoir ici
C'est fou comme sans toi je m'ennuie
Notre histoire est née ici
Car l'amour est en Italie


Mon amour attend moi
Mon amour rejoint moi
Je ne suis rien sans toi
Tu ne vis pas sans moi
Mon amour reste avec moi
Mon amour ne t'en va pas
L'amour c'est toi et moi
Rien que toi et moi


La fille D'Italie est seule à Paris
Qu'elles sont longues toutes ses nuits
Je t'attends seul sur le quai de la gare
Marchand au hazard face à mon cafard
J'attends son retour pour vivre notre amour
La serrer dans mes bras, l'aimer pour toujours
La garder près de moi resté ici
Car l'amour est en Italie



Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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vendredi 25 septembre 2009

les hommes sont fous où va le monde

" MANOUCHKA "



Manouchka
Petite fille de l'autre mur
Petite fille au regard si pur
Comment feras-tu pour oublier
Tout ce temps à être déchiré
Manouchka
Tes rêves sont remplis de fusils
D'uniformes et de comédies
Inondés de peines et de haines
Où la dictature est reine

Manouchka
Reprend ton sourire d'enfant
Car il est revenu le temps
De la légalité d'une liberté
Défendue par tes frères décidés

Manouchka
Pourras-tu oublier dans ton regard
Dans le fond de ton cœur, ses années noires
Où tu as espérée plein d'espoir
Se jour plein de gloire, aujourd'hui si dérisoire
Manouchka
Comment ouvrir la bouche que l'on a fermée
Comment ouvrir la porte que l'on a verrouillé
Sur des yeux que l'on a bandés
Sur des frontières que l'on a oubliés

Manouchka
Aujourd'hui tu peux ouvrir ton cœur
Retrouver la maison de ton bonheur
Ouvrir grand et voir de tes yeux
Pour que demain tu vives mieux

Manouchka
Il est revenu le printemps
Celui que tu attendais depuis si longtemps
Espérant un nouveau paradis
Ouvert dans une nouvelle vie à l'infinie
Manouchka
Dans ton cœur outragé
Tu n'oublieras jamais
Et tu battras demain
Pour que tes enfants aient un autre destin
Manouchka

Ecrit par Hugo Gall, pseudonyme de T.G

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Je défends la cause des victimes de maltraitances, inceste et toutes les violences sexuelles,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs, vous pouvez y accéder et le faire connaître sur: http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com

vive la jeunesse

C'ETAIT NOTRE ADOLESCENCE



A quinze ans on rêvait
D'Italie, de Californie
On vivait dans nos pensées
Inconscient d'affronté la vie
A quinze ans on pensait
A l'amour, à la poésie
On était insencé
Mais on aimait la vie



C'était notre adolescence
Bercée par notre insoucience
On était heureux
Amoureux d'innocence
C'était notre adolescence
Passant par la folie
Et l'envie de l'espérance
D'affronter la vie



A quinze ans on se croyait grand
On courrait vers l'infini
On était sur de soi tout le temps
Pour nous c'était ça la vie
A quinze ans, on ne comprenait pas
La jalousie et l'hypocrisie
La mort, la guérre, ça n'existait pas
Et nous elle nous appartenait la vie



Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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La solitude dans un monde surpeuplé

" POUR NE PLUS VIVRE SEUL "





Pour ne plus vivre seul
Je m'inventerai des mots
Des mots qui tiennent chaud
Pour ne plus vivre seul
Je mettrais des fleurs dans ma maison
Et je me donnerais mille raisons
Pour ne plus vivre seul
Je rêverais que j'invite des amis
Qui riront de mes plaisanteries
Pour ne plus vivre seul


Pour ne plus vivre seul
J'oublierai le passé
Le présent, l'avenir
Pour ne plus vivre seul
Je pourrai tout oublier
Jusqu'a vouloir partir
Pour ne plus vivre seul


Pour ne plus vivre seul
Je me jouerai la comédie
Je danserai jusqu'a la folie
Pour ne plus vivre seul
Je mettrais un couvert de plus
Même si je n'en peux plus
Pour ne plus vivre seul
J'achéterai un chien
Qui ne me dira rien
Pour ne plus vivre seul


Pour ne plus vivre seul
J'oublierai d'où je viens, qui je suis
J'inventerai un nouveau paradis
Pour ne plus vivre seul
Je laisserai mes erreurs, mes folies
Je reconstruirai ma vie
Pour ne plus vivre seul
Je boirai jusqu'a l'oublie
A ne plus reconnaître ma vie
Pour ne plus vivre seul
Pour ne plus vivre seul


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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jeudi 24 septembre 2009

l'amour toujour l'amour....

" SI J'ETAIS LA "



Si j'étais là
Comme ton petit chat
Si j'étais simplement pour toi
Un curriculum, un aquarium
Alors peut-être toi et moi
Se serai mieux comme ça
Si j'étais là
Comme un enfant sage
Bien poli qui ne répond pas
Un homme de main, un marin
Alors peut-être toi et moi
Se serai mieux comme ça


Mais l'amour
L'amour serait le même
Se serait toujours
Nous deux quand même
Mais l'amour
L'amour serait le même
se serait toujours
Nous deux sur le même théme
Se serait toujours
Nous deux sur le même théme
Se serait l'amour quand même


Si j'étais là
Comme Roméo sans sa Juliette
Devant une toile de Vincent
Une aquarelle, un cerf volant
Alors peut-être toi et moi
Se serait mieux comme ça
Si j'étais là
Comme Sanson sans sa Dalila
Une riviére, un océan
Qui coulerait en ton sang
Alors peut-être toi et moi
Se serait mieux comme ça


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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La vie l'amour la mort

" COMME UN HOMME DIRA DEMAIN "



C'est une drôle de vie
Ill faut se battre pour la gagner
Et même surtout la nuit
Où tu rentre fatigué
C'est une drôle de raison
De se dire que tout va bien
De se fermer dans sa maison
Et de faire celui qui ne voit rien
C'est une drôle de chanson
Que tout le monde chantera
Jusqu'a la fin de la saison
Quand l'automne sera là
C'est difficile de s'aimer
Quand il n'y a plus d'amour
Quand le vide c'est installé
Dans la vie de tous les jours


Comme un homme dira demain
Que tout ira bien
Que la neige vient au printemps
Dans la pluie, le beau temps
Comme un homme se sera toi
Qui rigolera d'un rien
Quand tu n'auras plus la foi
De tendre la main vers les tiens


C'est un drôle de jeu
Que l'on fait chaque soir
Que l'on joue à deux
Le gagnant c'est le hazard
C'est un drôle de feu
Qui nous anime aujourd'hui
Se regardant les yeux dans les yeux
Même si après tout c'est la vie
C'est une drôle de chance
D'arrivé à survivre
Dans cette jungle qui s'en balance
Et qui appelle ça vivre
C'est difficile de croire
Que tout va allez mieux
De déjà si voir
Même sans croire en Dieu


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Séparation,divorce, etc..

" MARIAGE A L'ABANDON "




Tu garderas l'appartement
Les enfants, mes sentiments
Tout ne sera plus comme avant
Ca s'éffacera avec le temps
On aurra plus rien à se dire
Nous n'auront plus d'avenir
Les mots d'amour bien dépassés
Au moment des amours cassés


Quand viendra l'heure
De nous séparer
Quand le bonheur
Aura tout casser
Nous n'auront plus rien à nous dire
Il n'y aurat plus d'avenir
Plus un seul morceau de bon
Rien qu'un mariage à l'abandon


Tu garderas ta peine
Même si tu ressens de la haine
Nous casserons la chaîne
On essayera d'avoir plus de veine
On gardera nos souvenirs
Même s'il nous font fuir
Les photos seront déchirées
Comme pour oublier le passer


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Les textes D'Hugo écrit pour des artistes...

" NE ME PARLE PAS D'ELLE "


( Ecrit pour Mireille Mathieu )


Ne me parle pas d'elle
De son sourire de sa voix
Ne me dis pas qu'elle est celle
Qui vat vivre auprès de toi
Ne me parle pas d'elle
De l'éclat de ses cheveux
Ne dis pas comme elle est belle
Que tu n'as plus qu'elle à tes yeux
Ne me parle pas d'elle
Des enfants qu'elle veux te donner
De votre amour éternel
Et de ta libertée retrouvée


Demain tu vas partir
Vers un autre avenir
Il n'y aurra plus rien de nous deux
Plus de chemin sur les jours heureux
Nous ne vivrons plus d'autres ciels
Ne me parle pas d'elle


Ne me parle pas d'elle
De sa vie de son visage
Ne me dis pas comment elle s'appelle
Que tu vis sur des nuages
Ne me parle pas d'elle
De tous ces jours ou tu m'as menti
Jusqu'a sa peau au goût de miel
De notre amour que tu as trahi
Ne me parle pas d'elle
Des espoirs qu'elle t'a apportés
Que tu veux lui rester fidéle
Et ne plus jamais cacher la vérité


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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mercredi 23 septembre 2009

A vous tous mes lecteurs, en avant première, l'introduction de mon premier roman

HUGO GALL

DE QUEL CÔTE DE NOTRE AMOUR...

Commençé le 24 : 11 : 2003 HEGP PARIS -

Terminé le 10 : 09 : 2009 HOTEL LE VERSEAU à LAGNY-SUR-MARNE

Reprit le 01 : 07 : 2009 HOTEL LE VERSEAU à LAGNY-SUR-MARNE

MES DEDICACES SPECIALES :

A mon père là-haut, dans les étoiles, avec Dieu et les anges, parti trop tôt, trop jeune à 27 ans,
mais qui m'a tant laissé en héritage, des sentiments et de l'amour .

A mon fils, la chair de mon sang, mon plus beau cadeau, que j'ai tant désiré et aimé, que Dieu
veille sur lui et qu'il accomplisse de belle chose dans sa vie et qu'il soit très heureux, sans oublié
une seule seconde que son père l'aime de tout son coeur et de toute son âme .

Aux enfants que l'on aime, que l'on éléve et qui un jour s'en vont sans que l'on sache pourquoi,
ou qui ne vous comprenne pas, ne vous aimes pas, tous les grands mystére de la vie à qui je
dirait simplement : même si les liens sont difficiles et étroits, les portes ne sont jamais fermées,
je vous laisse vous envoler et vous ouvrir comme de beaux papillons, qui un jour apprendrons
qui ils sont, pour ainsi mieux connaître leurs pères .

A mon grand-père paternel et son regard intense bleu si profond, de générosité, de tendresse et
d'amour, qui m'a tant donné, qui était la créme des hommes .

A ma grand-mère maternelle, qui m'a tellement marqué, par sa force de carractére, pour qui je
garde du respect et de l'amour réservé, que je qualifierai toujours de '' mama Italienne '', qui a
su tenir le mieux possible sa famille et ses traditions, malgrè certains dérapages et inégalités,
mais qu'a sa mort, se sont évaporés ...

A ceux que je garde à jamais dans mon coeur : Jean-P K, Valkyrie B, Papy et Mamy B, Phyl V S
Pierre MA, Serge V, Emile F; Martine M, Didier D, Régis ?; vous m'avez tant donné et apporté,
Je vous aime .

A tous les enfants, adolescents qui ont subit des violences physiques, psychiques, sexuelles, par
leurs parents, familles et qui les ont lâchements abandonnés, préférant l'ombre à la lumière
le mensonge à la vérité, les coupables aux victimes ...

Et tous ceux qui ont passés dans ma vie, m'ont aimé et compris, merci pour tout, je vous aimes,
Merci Seigneur de m'avoir permis d'aller jusqu'au bout de mes rêves ...
Lagny-Sur-Marne Le 08-09-2009 Hugo Gall l'auteur

Quelques mots de l'auteur :

J'ai aimé en tout point écrire se roman, créer et donner vie à ses
personnages, leurs donner un souffle, une âme, les décrires .
J'ai passé beaucoup de temps avec eux, ils sont à la fois un peu de moi
et beaucoup de toutes les personnes que j'ai rencontré dans ma vie, mais je les ait voulu,
fort, fragile, troublé, pour qu'ils ne soient pas parfait, comme personne ne l'ait sur cette terre .
Ils ont chancuns leurs vies d'avant, leurs bléssures, leurs félures, mais
ils ont aussi ce que chacuns de nous ont, des rêves, des envies, une aspiration à être meilleur
et surtout à découvrir toutes les belles choses qui nous entourent, l'air, le paysage, la nature,
l'affection et l'amour .

J'étais partis pour mêttre en avant deux hommes et une femme, laissant
un des personnages masculins prendre le plus de place, mais inconsciemment la personne de
Déborah c'est imposé à moi et à cette histoire, c'est alors tout naturellement qu'elle devient le
point central de cette histoire, le ciment entre tous les protagonistes, elle est celle du début et
de la fin .

Je vous remercie à l'avance de l'accueil que vous réserverez à ces héros
des temps modernes, ainsi qu'a mon romman, j'y ai mit tout mon coeur, toute mon âme et
beaucoup de moi même, merci à vous et bonne lecture et évasion .

Lagny-Sur-Marne le 08-09-2009 Hugo Gall l'auteur


De quel côté de notre amour ...

Introduction:

Dans les rues marchandes de Vancouver au Canada, elle

marchait doucement, respirant à grande bouffée cet air frais qui venait de l'océan pacifique, qui

longeait la ville, face à l'île du même nom; Vancouver; regardant une à une chaque boutique avec
une minutie toute particulière et observant plus précisément les vitrines dont elle appréciait

chaque décoration et détail, ici elle se sentait libre, respirer cet air là et vivre à cet endroit du

monde était pour elle un signe de grande liberté et un immense privilège qu'elle avait su

s'accorder au bon moment de sa vie, avec des gestes détachés et calmes, une façons posée et

sereine de se tenir, elle savourait enfin chaques instants de sa nouvelle vie à cet endroit du

globe, avec une délectation toute particuliére et tout cela durait depuis trois ans déjà !!!.

Elle était venu ici pour créer sa propre société d'art et de décoration, d'où son intérrésement à

tout ce qui se faisait dans ce domaine; les vitrines des magasins en étant un bon exemple pour y

puiser des idées et aussi des choses à ne pas faire.

Elle avait baptisée sa petite société RJJ et CO ''; Ce petit jeu de mot qui avait l'air si innocent,

était en fait un clin d'oeil à son passé, à tout ce qu'elle avait fuit, mais qui était resté dans son

coeur et qui représentait malgrès tout chaque seconde de sa vie d'avant et qui était aussi

finalement une partie intégrante d'elle même que quoiqu'elle fasse, elle ne pourrait jamais

dissocier et oublier.

Elle savait qu'il ne suffisait que d'un geste, où même d'un mot de sa part, pour que se passé

qu'elle avait volontairement voulu laisser derrière elle, redevienne une chose et un avenir actuel,

mais, même si ses deniers jours elle se mèttait à y repenser plus souvent, elle ne se croyait pas

encore prête à rejoindre ce qu'elle avait laissé des années auparavant, sans regarder en arrière,

pour ne pas tomber, ne pas céder; alors oui le moment viendrait, elle en était consciente, elle le

savait, mais pour cela, elle voulait avoir la certitude, qu'elle avait fait ce qu'elle avait à faire et

être enfin elle même, ce qu'aujourd'hui elle était enfin devenue et dans ces rues qu'elle

parcourait, elle en avait la certitude, elle était sereine et elle-même ...

Elle continuait à marcher avec une certaine nonchalance comme à contre courant de tout ces

gens qui passaient devant elle et dont elle ne distinguait finalement, que des ombres lointaines,

des formes indescriptibles, à cet instant là, elle était plongée dans un monde qui n'appartenait

plus qu'a elle, que seul ceux qui lui était très proche, aurrait pu comprendre et percer .

Elle continuait sa quêtte de nul part, quand au coin d'une rue, à un boutique qui faisait l'angle,

elle fût presque aimantée par la vitrine, qui l'arrêta net dans sa marche, elle se colla presque à la

surface vitrée de l'enseigne de ce magasin qui était en fait une grande librairie et marchand de

journaux en tout genre et en beaucoup de langue, elle cherchait dans toute cette décoration ce

pourquoi elle s'était arrêtée, où plus précisément ce qui l'avait poussée à venir s'aglutiner à cette

vitrine; car en plus c'était une des choses qu'elle ne se serait jamais permise de faire des années

auparavant, elle trouvait ça si ennuyeux les livres, de se plonger pendant des heures dans des

pages qui n'en finissaient pas, pour rien au monde à ce moment là, elle ne se serait arrêtée

devant une vitrine de librairie, mais depuis ce temps il s'était passé des choses importantes dans

sa vie et surtout une forte et belle rencontre avec un certain Benjamin, dit Ben, qui allait tout

bousculer dans sa vie, comme un raz-de-marée, avec d'ailleurs un autre du nom de Jerémy

dit Jerry, seulement pour ce qui était la litérrature et ce pourquoi elle était là, à cet instant, le

coupable était bien Ben, qui aimait beaucoup l'écriture et tout ces nids à poussière, qu'elle aimait

tant appeler avant, Ben était en passe de devenir un auteur romancier au moment de leurs

rencontrer et il mit tout en oeuvre pour soigner son incompétence et ses lacunes en matière

litérraire, il lui fit une telle éducation, qu'elle devint une lectrice assidue et presque érudite, qui

l'aurrait dit, surtout pas elle, ni sa mère qui pourtant avait bien plus qu'éssayée de lui faire lire

tant et tant de livres quand elle était petite, mais qu'elle laissait sur une table avaler la poussière,

grace à Ben, elle s'ouvrit enfin à des trèsors de connaissance, un or à porté de main, surtout la

sienne, tout ces livres étaient une immense richesse intellectuelle et culturelle, qui nourrissait

l'esprit, lui permettant de s'enrichir et de se nourrir, éveiller son âme et la grandir, changer les

choses d'une certaine manière, ses propres pensées, remplir son coeur et transformer

spirituellement son corps pour être plus à l'écoute de soi et surtout des autres .

C'est ainsi que sous les bons conseils de Benjamin, elle découvrit un autre monde, celui

merveilleux des livres, de la belle litérrature, écrit par tant de bon auteurs et romanciers, de

plus ancestraux, aux plus récents et petits nouveaux qui n'étaient pas en reste par leurs talents,

elle apprit ce qu'était dévorer un livre, quand on le commençait et qu'on était passionné par

l'histoire et que l'on ne voulait pas arrêter de le lire tant que l'histoire n'était pas fini, chose

souvent impossible, mais au combien fascinante, oui elle avait apprit tout ça et s'en sentait si

heureuse, qu'elle lui en serait toujours redevable d'une certaine façon ...

Elle regardait les livres dans l'étalage de la vitrine, quand une pulsion qu'elle n'aurait pu définir,

la poussa à regarder d'un peu plus prés la couverture d'un des livres mit en valeur parmis toute

une sélection de roman, là à cet instant lorsqu'elle lu le titre du livre sous ses yeux, elle su en son

coeur, qui était l'auteur de ce livre, le livre avait pour titre '' de quel côté de notre amour ... '' et

son auteur était un certain Benjamin Corbernlet, à ce nom elle en fut certaine, c'était lui et ce

nom, quand elle y réffléchissait de plus près, était l'addition de trois des syllabes prisent dans

chacuns de leurs noms à tous les trois; elle en fut figée, avant de se sentir fière et si heureuse

pour lui, c'était son troisiéme roman en dehors d'un livre d'histoire qu'il avait aussi écrit et publié

sur une de ses passions, là, de l'autre côté du monde, elle en avait la primeur et cela lui chauffait

son coeur de tout un tas de merveilleux sentiments qu'elle semblait avoir oubliée, ou simplement

mit de côté, oui cela la réchauffait d'une chaleur intense qui n'avait rien à voir avec ce soleil de

mois de mai, qui lui chauffait le dos, mais tous ses bons moments et tout cet amour si fort qu'elle

avait véccus durant tant d'années, si intense en émotions, tendresses, complicités et beautées,

elle en avait été bercée, remplie, avant de s'en sentir saturé, cet à ce moment là, qu'elle choisie

de partir, tant elle se sentait mourir étouffée à petit feu, comme prise au piège, des années après

d'un grand bonheur intime, qui finalement l'avait privé d'une liberté qui ne lui était plus permise

de s'offrir et de pouvoir vivre, comme elle l'avait toujours voulu et même battue pour garder.

En cet instant précis, elle comprennait pourquoi elle avait été attirée comme un aimant, à lêcher

cette vitrine, elle avait désormais cette intuition en elle que le signale qui lui était parvenue et

dont quelques instant beaucoup plus tôt, elle en attendait encore la certitude, était arrivé jusqu'à

elle, là, maintenant; devant cette vitrine, face à ce livre révélateur, qui la ramenait à tant de bons

souvenirs; la femme de 40 ans qu'elle était devenue, se rendait soudain compte qu'il était tant,

qu'il était venu l'heure de rejoindre et de retrouver tout ce qu'elle avait laissé dérriére elle, des

années plus tôt, par un beau matin, aux premières heures du jour, il y avait trois ans déjà .

Tout ces signes qui étaient venus jusqu'a elle, devenait le signe précurseur et évident qu'il fallait

enfin rentrer; pour plus de certitude et par conviction personnelle, pour aussi ne pas avoir le

moindre regret, elle se décida à entrer dans la boutique, où elle acheta se livre tellement

providentiel, qu'elle prit dans ses bras avant de le serrer fort tout contre son coeur, comme on le

ferait avec un trésor inestimable; puis elle le retourna et en lu le résumé du dos, ou elle trouva

inscrit en gros carractéres soutenus par une couleur or, ces quelques mots de dédicace, qui

finirent par lever en elle, toutes les barrières de tous ses doutes qui l'avait envahit depuis si

longtemps : '' A Déborah et Jerémy '' .

Dés cet instant, il n'y eut plus d'intérrogation dans son esprit, l'heure de la capitulation et le

moment de rendre les armes, les armes de la colére, de la révolte d'une femme en manque de

liberté, était arrivé, aujourd'hui elle était sereine, en paix avec elle même, avec ses propres luttes

intérieures, ses bagares tiraillées entre ses besoins d'indépendance, la femme au foyer, la femme

amoureuse, de tout cela, elle en avait finalement bien fait le tour, pour enfin retrouvé cette

énergie, ce bien être, qui la carractérisait tant et qu'au moment où elle avait son petit nid amour

bien douillet, elle n'avait plus !!!.

Elle n'oubliait pas non plus, que lorsqu'elle décida de tout quitter pour venir ici, il y avait une

autre raison plus intime qui la poussait à prendre cette forte décision, elle devait aussi partir

sans avouer le secret qu'elle emmenait avec elle, car à cet instant, il était certain que si elle était

restée, elle n'aurrait pas pu faire autrement que de dire cette vérité et pour elle, tout aurrait été

fini, elle aurrait définitivement tombée dans une spirale destructrice qui l'aurrait anéantit, ainsi

que ceux qu'elle aimait, elle savait que c'était la meilleure des décisions qu'elle eut à prendre de

sa vie et elle en était très fiére et heureuse, ici elle avait du se battre, lutter contre elle même et

ses si grands changement de son corps, qui se battaient avec se grand mystére qui entourait son

départ et qu'elle avait si bien protégé et caché jusqu'à maintenant, ce qu'elle hantait aujourd'hui,

c'était de dévoiler se secret en revenant sur le lieu même ou elle l'avait emporté avec elle, même

si elle avait désormais très envie de retrouver tout cet affection et amour, elle avait peur de la

réation de ceux qui étaient concernés par son non dit quand ils l'apprendraient, il était quand

même important pour tout homme normalement constitué de savoir, ce qu'elle c'était refusé à

dire, elle pensait qu'ils comprendraient tous, les connaissants, elle en était même sur, mais cela

restait une incertitude, elle prennait conscience d'une certaine manière de l'ampleur de sa

désertion et du mal qu'elle avait occasionnée, mais elle ne regréttait vraiment rien, surtout d'être

venue dans se Canada qui lui avait fait tant de bien et guérie de ses souffrances intimement

féminine et hormonales, qui à chaque périodes charnières de sa vie de femme, l'avait laissée

destabilisée et méconnaissable, en plus avec se secret qu'elle avait emportée dans ce coin du

monde avec elle, elle ne c'était jamais sentie seule, même si la vie n'avait pas été facile au début

de son arrivée, aujourd'hui elle n'avait aucun regret et se sentait enfin vivre et ressentir avec

plaisir chaque joie de la vie, de sa vie ...

Maintenant plus que jamais; elle ressentait le besoin de revoir tous ses regards complices, ses

sourires, qui lui manquaient plus qu'elle ne l'aurait pensé; elle avait une forte envie de se sérrer

dans les bras de ceux qu'elle aimait, leur dire '' je vous aimes, vous m'avez manqué '' , de leur

avouer toutes les circonstances de son départ, il y avait tout juste trois ans et leur rendre le

secret qui leur appartenaient finalement autant qu'a elle, afin de le partager tous ensembles,

comme il aurrait du l'être, si toutes les choses de sa vie avaient été normal à se moment

là, mais pour elle cela resterait l'un des plus beaux cadeaux que la vie lui avait donnée et

qu'aujourd'hui elle raménerait avec elle comme pour rattrapper le temps qui avait passé, pour

aussi en partager le plaisir et toute la joie .

Elle essuya ses larmes, qui soudain n'arrêtaient plus de lui couler le long de ses joues, aveuglant

ses yeux magnifiques, serrant encore plus fort se livre sur son coeur, comme un trèsor précieux

au prix inestimable, elle était encore sous le coup de l'émotion qui avait envahit tout son corps, il

fallait qu'elle rentre maintenant chez elle et qu'elle reprenne ses esprit, qu'elle réffléchisse à ce

qu'elle devait faire en priorité et biensûr, plus que tout, elle devait lire se livre, aussi elle se hâtta

de rentrer le plus vite qu'elle pu à son appartement, puis de se jeter à coeur perdu dans la

lecture de se livre si inattendue .

Elle eut finie par lire le livre de Ben, plutôt dévorer, eut été le mot exact, toute la nuit, toutes les

pages y étaient passées et repassées, au fur et à mesure elle c'était replongée dans ce qui avait

été son quotidien, chaque jour d'une vie d'amour était dans se livre, une grande part d'elle

même, un grand pan de sa vie, tout y était noir sur blanc, sans y être éronné, la vérité toute nue,

Ben l'avait écrit avec pudeur, avec ses mots à lui, sa profondeur d'âme, sa sensibilité qui le

carractérisait tant et qui faisait de lui cet être à part, cela ressemblait à une belle et délicate

poésie, tout y était si bien dit, raconté, comme un hymne à la vie, un ode à l'amour; on ne

pouvait pas faire autrement que d' y souscrire, elle encore plus que d'autre, puisqu'elle l'avait si

intensement véccus, comme chaques pages de se livre, d'ailleurs elle se dit que le titre aurait pu

être '' la vraie vie de Déborah '' , accompagné de la chanson titre de Michel Sardou '' Déborah '' .

Puisqu'elle en était à rendre hommage à des chanteurs qu'elle apréciait beaucoup, elle se

remémora pourquoi elle avait été poussée à venir dans cette belle région du monde au Canada,

où les hivers sont si vigoureux, mais les printemps et été plein de beautées, tout cela elle le

devait à un certain chanteur du nom de Roch Voisine, beau ténébreux, sexy et talentueux,

qu'elle adopta comme son chanteur préféré, à sa première chanson et tube, qui s'appellait en son

temps '' Héléne '', une belle chanson, comme il venait de cette région dans laquelle elle se trouvait

aujourd'hui, elle se mit à chercher tout se qui concernait et parlait de se pays et c'est ainsi qu'elle

en a tomba en amour, comme il disait ici, cette passion ne la quitta jamais, jusqu'à ce qu'elle la

réalise enfin, après elle apprécia aussi des chanteuses comme la grande Céline Dion, avec une

voix intense et magnifique et autant de chansons superbe comme ses préférées: s'il suffisait

d'aimer, l'amour existe encore, je t'aime encore, l'immensité, pour que tu m'aimes encore, etc;

puis aussi Isabelle boulay et sa douce voix : quelques pleures, ton histoire, tout au bout de nos

peines, dis-moi et la belle et chaleureuse Natasha St Pier avec : je n'ai que mon âme, tu

trouveras, mourir demain, tant que c'est toi, un ange frappe à ma porte, embrasse-moi, nos

rendez-vous manqués,etc; elle avait très appréciée ses chanteuses, qu'elle continuait à écouter et

apprécier, elles avaient d'une certaine manière contribuée à son envie de venir vivre ici, mais

Roch Voisine n'en restait pas moins le détonateur principale, dire qu'en ce temps là, elle en était

amoureuse, elle aurrait sautait dans ses bras si elle avait pu, elle l'aurrait même embrassée et

surement plus si il avait voulu, mais elle n'avait jamais pu l'approché et ses désirs étaient restés

de doux réveries de jeune fille tout juste sortie de l'adolescence, restait de belles chansons qui la

ramenait des années en arrière : comme, avant de partir, une femme parle avec son coeur, laisse

la rêver et tant d'autres qu'elle ne césserait pas d'écouter, comme une flirt de jeunesse, cela dit

elle le trouvait toujours aussi craquant .

Sa décision était maintenant prise et après avoir lu se livre, elle avait envie d'enttendre leurs

voix, de repprendre contact avec cet univers qui lui était si famillier, maintenant comme à son

habitude, une fois qu'elle avait prit sa décision, elle ne pouvait plus attendre, alors elle composa

un numéro de téléphone qu'elle gardait depuis toutes ses années ici et qu'elle n'avait jamais

utilisée jusqu'à maintenant, c'est ainsi qu'après quelques sonneries inffructueuses, elle fût mise

en relation avec un répondeur, qui aux premières intonations de la voix qui donnait le méssage,

elle reconnue et se retrouva propulsée des années en arriére, comme si rien ne c'était passé; au

premier bip d'usage, elle parla la gorge sérrée en disant ces quelques mots : « bonjours à tous,

c'est moi Déborah, j'espére que vous allez bien, que tout va bien, j'ai acheté le livre de Benjamin

et je l'ai beaucoup aimé et je pense que si vous voulez toujours de moi, alors il est temps pour moi

de rentrer et de vous retrouvez, je reviens dans trois jours; je serais très heureuse de vous

serrez dans mes bras et de vous apportez un merveilleux cadeaux que la vie m'a donnée et que

j'ai emporté avec moi quand je suis partie la dernière fois; mais il vous appartient autant qu'a

moi et nous le partagerons ensemble, je vous aimes; à très bientôt ''; puis elle raccrocha, le coeur

encore tout retourné et battant plus vite qu'il n'avait jamais battu ...

L'émotion était à son apogé, elle ne pouvait arrêter ses torrents de larmes qui la submergée, la

faisaient frissonner dans tout son corps, la laissant sans force et presque sans défense, mais elle

avait cette lumiére nouvelle dans son coeur, qui la rendait plus heureuse que jamais, grace à un

bonheur retrouvé et une nouvelle envie d'écrire un nouveau et inédit chapître de sa vie ...

Elle était pleine d'une toute nouvelle énergie et d'un enthousiasme digne d'une petite fille, excitée

à l'idée de vivre un instant magique de sa série préférée, mais cela ne l'empêchait pas d'avoir

certaines craintes et appréhensions qui la mettait dans le doute, elle ne méttait pas de côté de

son esprit qu'elle était quand même partie pendant trois ans, dans la fraicheur d'un petit matin,

sans prévenir personne, avec juste un mot de réconfort et de semi explication sur une table de

cuisine; certe elle avait gardée un contact minimum avec l'autre côté de l'Atlantique en France et

elle avait ses méssagers, qui sans nul doute lui transméttaient toutes les nouvelles dont elle avait

besoin de savoir, mais ce n'était jamais en direct , elle avait trop peur, qu'en entendant ses voix si

familière, elle ne revienne sur sa décision et ne resiste pas à l'appel du coeur et des sentiments,

mais pourtant elle avait eut se courage et cette force des années plus tôt,pour tout laisser

derrière elle et venir ici, dans une autre partir du monde qu'elle ne connaissait qu'a travers des

livres et documentaires et où elle ne connaissait personne, seulement le non d'un docteur réputé

et le nom d'un chanteur dont elle avait été éprise jeune fille et dont elle savait qu'il ne l'attendait

pas .

Plus le temps avançait et plus les questions allaient bon train, du style : allaient-ils lui pardonner

cette longue incartade, la repprendre comme avant, sans lui poser aucune question, sans

amertume et surtout sans aucun repproche ???, que de question dont elle n'aurait les réponses

qu'au moment de leurs retrouvailles; si son coeur obstinément connaissait les réponses, son côté

humaine, ne l'empêchait pas d'avoir de multiple crampe d'estomacet des nausées ...

Puis vint le moment de faire les bagages, qui furent fait en trois temps et trois mouvement, elle

n'emportait que le strict nécéssaire, car elle n'abandonnait rien, elle gardait tout ce qu'elle avait

construit ici, qui était une grande part d'elle même et de cette liberté pour laqu'elle elle c'était

tant battue et avait tant besoin au plus profond elle, cette vie ici était vital aujourd'hui dans son

équilibre et elle avait bien l'intention de continuer d'en profiter à sa manière, ne serait-ce pour se

ressourcer; fut-il ici cet endroit à l'autre bout de la terre, elle se dit aussi qu'ainsi ils auraient tous

un pied à terre au Canada, comme le chantait si bien Line Renaud '' ma cabanne au Canada '';

tout ça mettrait un peu de sel dans leurs existences, avec un petit goût d'aventure, qui n'était

biensûr pas pour lui déplaire .

Le départ approchait à pas de géant et elle ne pouvait faire autrement que de ressentir une

grande culpabilité pour ces années d'absences, elle c'était pourtant toujours promis qu'elle n'avait

rien à se repprocher, qu'elle était libre, commel'air, mais après avoir lu se beau livre, plein

d'émotion, de tendresse, d'amour cash, elle se sentait si petite et méprisable, que sa lutte de

libéralisation fémministe, lui semblait bien désuette, il était évident que rien ne changerait et

puis ce qui était fait était fait, il était impossible de revenir en arriére, mais elle sentait la douleur

qu'avait ressenti Ben à son départ, à travers tous ses mots, elle n'en était pas très fière, mais ce

qui comptait là, dans ces instants; c'était ce qu'elle avait dans le coeur; la vérité et l'amour qui ne

meurt jamais, ça elle le pensait très fort !!!.

Quand l'avion posa son train d'attérissage sur l'aéroport, D'Orly, elle sentit son coeur battre à

plus de cent à l'heure, elle sérrait les accoudoirs de son siège avec force et semblait avoir du mal

à les lâcher, mais les dés étaient désormais lancés et plus rien ne les arrêteraient, le verdict des

réponses qu'elle se posait, allait bientôt tomber sur elle, mais surtout se qu'elle attendait, c'était

de retournait chez elle, cette image la rassurait plus que les autres, car elle avait un sentiment de

bien être, de bonne odeur, qui la ratachait à sa maison, c'est finalement ce qu'elle s'éfforça de

garder en tête, jusqu'a son arrivée, pour rester la plus déttendue possible ...

Quand elle mit son pied sur le sol, elle se mit à penser au pape et à se qu'il faisait quand il arrivait

dans un autre pays en avion, alors elle se dit qu'elle était prête à se mettre à genoux et

embrasser le sol, elle ne voulait pas faire concurrence à ce souverain pontife, mais pour elle

c'était le signe d'un nouveau départ, qu'elle voulait sous les meilleurs hospices possibles.

Après être sortie de l'avion, avoir récupérée ses valises, elle avait encore un bon bout de chemin

à faire; le métro, puis le taxi jusqu'à la gare de Lyon et encore le train, le taxi, avant d'arriver à

son étape finale, cela lui laissait encore largement le temps des refflexions, mais maintenant elle

avait fait un grand pas, même si ses bras lui semblaient lourd et pesaient des tonnes,( à cause de

se merveilleux cadeaux qu'elle leurs apportait )elle était plus que jamais déterminée et sur d'elle.

Le voyage parru plus long qu'elle ne l'aurai imaginée et quand le taxi arriva devant la maison; le

soleil brillait de mille feu; elle regarda tout autour d'elle avant de payer le chauffeur; rien avait

changé, on aurait dit que c'était hier, qu'elle avait simplement fait un allez-retour, le chauffeur

descendit pour l'aider avec ses bagages, la voyant si encombrée, les bras déjà bien occupés, ce

qui le fit sourire tendrement, puis l'ayant bien remercié, elle s'avanca pas après pas, comme en

reconnaissance d'un térrain que l'on voit pour la première fois, devant le grand portail qu'elle

avait fermé des annés auparavant, elle mit un centiéme de seconde avant de l'ouvrir, il était

beaucoup plus léger que lorqu'elle l'avait prit dans l'autre sens, soudain tous les bons moments

passé ici lui revinrent à l'esprit, tous ses moments de sa vie, les week-end, les sorties, les

anniversaires, les noëls et jours de l'an, etc ...; quand elle regarda enfin devant elle, aprés avoir

franchi le portail d'entrée, une fois dans la grande cour, elle découvrit une grande banderolle,

attachée au mur de la maison sur laquelle il était écrit en grandes lettres bleues : '' bienvenue à

toi, Déborah, tu nous a manqué '' . A ces mots, elle en oublia tous ses derniers doutes et se mit à

pleurer de joie, là, devant ceux qu'elle aimait, qui lui tendait déjà les bras, sans aucune retenue, à

cet instant précis; elle se dit ''oui, tout est comme avant '' ; alors elle posa ce qu'elle portait dans

ses bras avec fragilité et douceur, qui était l'un des plus beaux cadeaux que la vie lui ai offert

quand elle était partie d'ici et qu'elle avait décidé d'emporter avec elle sans un mot, il y avait

trois an.

Oubliant alors tous ce qui pouvait encore la faire douter et comprenant qu'ils lui avaient déjà tout

pardonné, elle leurs fit partager ce magnifique trésor, exit les années de séparations et

d'absences, dès cet instant, la vie reprit bien vite son cours, doux, plein de tendresse, d'affection,

d'amour, gardant toujours à l'esprit, ses quelques vers de poésies dont ils avaient tous fait leurs

banières et leurs proverbes préférés : '' un jour sans amour et un jour sans lumière '' ...

mardi 22 septembre 2009

La vie l'amour la mort

" AU FIL DE L'EAU, AU FIL DU TEMPS "




Au fil de l'eau, au fil du temps
La vie sépare tous les amants
On voit grandir tous les enfants
Qui s'en irons un jour surement
Au fil de l'eau, au fil du temps
On laisse aller ses sentiments
Priant qu'il dure très longtemps
On l'espére pationnément
Au fil de l'eau, au fil du temps
Ca s'éffacera avec le temps
Ca passera en grandissant
C'est aussi bien très souvent
Au fil de l'eau, au fil du temps
Ca n'ai plus un jeu d'enfant
On se retrouvent dans la cour des grands
Tout a filé comme le vent
Au fil de l'eau, au fil du temps
Même les regards deviennent blanc
Cela veux dire évidement
Qu'un jour on partira pourtant
Au fil de l'eau, au fil du temps
La vie nous a donnée tous ses tourments
Dans la folie de l'avenir ou du présent
Mais rien ne sera plus comme avant

Au fil de l'eau, au fil du temps
On oublie de dire je t'aime aux vivants
Parmis des sourires inquiétants
On ne juge plus obstinément
Au fil de l'eau, au fil du temps
La rivière remonte le courant
Ou l'on a laissé nos parents
Avec nos souvenirs d'adolescents
Au fil de l'eau, au fil du temps
On c'est éloigné pour longtemps
De son passé, de ses accents
Mais on y revient assurement
Au fil de l'eau, au fil du temps
Même de nous le plus violent
Se trouvera un innocent
Quand il retrouvera la couleur de son sang

Au fil de l'eau, au fil du temps

Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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l'amour toujour l'amour....

" UN JOUR ON S'EN VA "




Il est loin le premier jour
La dernière scéne d'amour
Les valises sont dans l'entrée
Un seul mot qui dit, je m'en vais

Je m'en vais


Un jour on s'en va
Et un jour vado via
C'est toujours comme ça
La dernière fois
Un jour on s'en va
Et un jour vado via
Juste un arrivederci
Pour vous dire merci

Pour vous dire merci


Il ne reste que pour souffrir
Qu'un lit défait pour souvenir
Le début d'une longue absence
Un vide pour meubler ton silence

Pour meubler ton silence


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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l'amour toujour l'amour....

" MÊME SI TU PARS "




J'aimerai te dire
Des mots plein d'avenir
Des mots de l'amour
Des mots de tous les jours
J'aimerai te dire
La couleur de la vie
Le meilleur et le pire
Pour vivre nos enives
J'aimerai te dire
Mes rêves chaque nuit
Mes angoisses mes soupirs
Le temps qui tue l'ennuie



Et même si tu pars
J't'aimerai quand même
Même si tu pars
Et quand bien même
Même si tu pars
Nous serons deux
Même si tu pars
Deux à être heureux


J'aimerai te dire
Des tas de souvenirs
Revenir en arrière
Tout casser, tout refaire
J'aimerai te dire
Nos momments de plaisir
Enlacé et heureux
Comme des amoureux
J'aimerai te dire
Avant de finir
Combien je tiens à toi
Ma vie c'est toi


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Les textes D'Hugo écrit pour des artistes...

" CORSE "


( ECRIT POUR PATRICK FIORI )



J'ai son soleil dans mon coeur
Dans ma mémoire ses paysages
Des tas de souvenirs de bonheur
De mon enfance à mon âge
Je garde devant mes yeux
Cette île de beautée
Donnée par le bon Dieu
A cette grande Méditérrannée



Corse, toi mon pays
Là où j'ai grandi
Corse, mon paradis
Où l'on m'a donné la vie
Corse, j'ai ton accent
Celui de tes sentiments
Corse, de tous mes cris
Je te dis merci


J'ai souvent la nostalgie
Quand je suis sur le continent
Je ne suis jamais vraiment parti
Car en moi je la ressent
Il y a toujours papa, maman
Toute la famille et les amis
Je les sent toujours présent
A chaque instant de ma vie


J'ai la chaleur de son âme
Son sang chaud dans mes veines
En moi brûle sa flamme
Quand je suis sur la scéne
Je sais qu'un jour viendra
Ma femme et mes enfants la verront
Elle les tiendra dans ses bras
Pour les accueillir à la maison


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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vendredi 18 septembre 2009

La vie l'amour la mort

" GOOD BYE CHERI "




Nous marchions seuls
Sur cette plage de Normandie
Nous marchions seuls
L'été était bien fini
Nous étions des amants
C'était la fin de notre chanson
Tout était bien mieux avant
Aujourd'hui les bateaux s'en vont


Tu m'as dit good bye chéri
Sur tes lévres maquillées
C'était la fin d'une love story
Un dernier regard pour le passé
Tu es partie good bye chéri
Sans te retourner, ni même me regarder
Tu es partie aussi loin que l'infini
Par se jour d'automne qui avait commençé


Nous marchions seuls
Comme deux enfants qui étaient perdus
Nous étions seuls
Le sable et le vent à perte de vue
Nous étions des amants
Qui voulaient s'aimer à en mourir
C'était il y à bien longtemps
Et on doit plutôt en rire


Tu as pleurée, good bye chéri
Des larmes sur tes joues roses
Tes yeux vert aux refflets gris
Tu te sentais en overdose
Tu ne t'ais pas retournée, good bye chéri
Tes empreintes sont restées sur la plage
Emportant nos traces dans la mer en furie
Fermant le livre en tournant la page


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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l'amour toujour l'amour....

" RESTE AVEC MOI "




Parce que nous deux
C'était de l'amour
Que l'on était heureux
Je croyais pour toujours
Parce que nous étions beaux
Que la musique réchauffait nos coeurs
Un matin, tu as brisée la photo
Et le sol c'est remplie de tes pleures


Reste avec moi, réveille-moi de se monde
J'ai tant besoin de toi, je tourne en rond
Reste avec moi, sur cette terre ronde
Regarde tout ce que nous y ferons
Reste avec moi, emmene-moi dans tes rêves
Pour que je comprenne, ce qui se passe en toi
Reste avec moi, accorde nous une trêve
Pour venir te serrer dans mes bras


Parce que nous deux
C'est comme la foudre
Qu'aujourd'hui on est malheureux
Tes bléssures il faut les recoudrent
Parce que nous deux
C'est une chanson que je chante
Pour repeindre ton ciel gris en bleu
Et éffacer ce qui te hante


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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Elle adoucie les moeurs

" SANS LA MUSIQUE "




Un morceau de guitare
Quelques notes de pianos
Pour faire partir mes idées noires
Dans l'écriture de quelques mots
Une soirée à chanter mes émotions
Jouer la musique jusqu'a l'ivresse
pour se donner toutes les sensations
Dans la réalité qu'il me reste
Une chanson qui me rappelle
Les meilleurs de mes souvenirs
Dans un écrin de soie et de dentelle
Pour embellir les jours de mon avenir


Sans la musique je ne suis rien
Qu'un homme sans espérance
Perdu dans un monde éteint
Entre le vide et l'absence
Sans la musique je ne suis rien
Qu'un homme sans existance
Perdu dans ses lendemains
Entre la nuit et le silence


Un long sanglot sur un violon
Quelques éclats de blues et de gospell
Pour me rendre l'illusion
Que je suis encore réel
Un quatuor de violoncelle
Dans une chorale d'anges
Pour voir la vie plus belle
Avant qu'on me dérange
Un dîner aux chandelles
Face à un orchestre symphonique
Qui me fait pousser des ailes
Pour rester sur la rythmique


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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les bléssures, les souffrances, l'impensable de ce qui est fait aux enfants

" POURQUOI VIVRE ? "



Pour vivre ce que je vis
Je n'ai pas besoin de vivre
Tous ses moments de dépit
Cette bléssure d'être libre
Pour supporter cette vie
Qui ne sera jamais la mienne
Combler aucunes de mes envies
Aussi loin que ma mémoire se souvienne
Pour être quelqu'un de différent
Que personne ne semble comprendre
Tout ce que je vois et j'entend
Et ses envies d'apprendre


Pourquoi vivre ?
Quand il n'y à pas d'amour
Et être libre
Quand trop long sont les jours
Pourquoi vivre ?
Quand on a trop attendue
Et continuer à survivre
Quand on y croit plus


Pour se forcer de poursuivre
Tous ses rêves inaccéssibles
Ces chemins qu'on doit suivre
Même si c'est impossible
Pour rester dans cet univers
Qui ne ressemble plus à rien
A celui d'un coeur de pierre
Sans lendemain et sans matin
Pour voir et enttendre ces bruits
Cette vie que je ne comprend plus
Cet arbre dont je ne suis plus le fruit
De se monde qui détruit, nous étouffes et me tue


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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Hommages aux grandes étoiles

" L'ACTEUR "


( A Bruno Todeschini )


Avec son regard profond et ténébreux
Ses cheveux brun et sa grande stature
Sa démarche assurée et le talent de son jeu
Il est devenue pour moi, une valeur sur
Avec lui j'ai tout de suite été séduit
Ses coups de charme et sourires discrets
Sa prestance et les rôles de sa vie
Il ne s'étend pas sur sa vie et reste secret


A chaque gare sur sa route
Je ferai parti de ceux qui prendront le train
Si ses rôles parfois déroutes
Moi je lui tiendrai toujours la main
A chaque foi qu'il apparaît
Je me ressent presque plus fier
Si à chaque apparition il renait
Moi je l'aime comme son frère


Avec ses compositions inoubliable à la télé
Où il éclate de vérité, comme un éclair
Dans l'amour interdit à jamais oublié
Il préfére être celui d'un amour à taire
Avec l'ambiguité de tous ses personnages
Il se glisse sans peine de soie et de cendres
Où avec tout mon amour il n'a pas d'âge
Même en libertin, quand la mer se retire, il sait ci prendre


Au plus profond de moi
Il me touche à chaque fois
Fait mouche à chaque apparition
C'est un acteur de composition
Mes intuitions me guide vers lui
Comme ses bras pour lui dire merci
Merci d'être se monsieur à bicyclette dans Paris
Et de rester pour toujours Bruno Todeschini



Ecrit par Hugo Gall le 16-05-2005 ( pseudonyme de TH GAL.... )

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lundi 14 septembre 2009

Les fables D'Hugo

" LE CYGNE ET LE PELICAN "



Sur le lac de Marcheprès, vivait une famille cygne; la mère, le père, avaient décidés tous les deux
de l'avenir de leurs quatres enfants .

Les trois mâles de la famille feraient comme papa, ils épouseraient celles que leurs coeurs
rempliraient de joies .

Quand à Elsa, la seule fille de la couvée, elle ferait comme maman et se marierait avec celui qui
plairait à ses parents et qu'ils décideraient être le bon .

Au fond elle même, elle savait bien que jamais on ne pourrait l'obliger à prendre un époux, qu'elle même n'aurrait pas choisie et pour qui elle n'aurrait pas d'amour, même si elle aimait ses
parents, c'était non, l'amour avait ses limites ...

Pourtant depuis quelques mois, Félicien un fort et beau cygne, était souvent invité à partager le
déjeuner de la famille et l'on avait bien fait enttendre à la petite Elsa, que celui-ci deviendrait
son futur mari .

Seulement dans sa tête, elle ne pouvait y songer et elle se disait : " qui est-il celui-ci, si beau et fort soit-il ?, que même s'il déroulait tout l'or du monde à mes pieds, je ne me baisserais même
pas pour le ramasser !
Sa beauté l'égare et sa force lui fait perdre la raison, il se prend pour Toutankamon, l'un des plus
grand Pharaon, mais moi je ne vois que du carton, indigne de rentrer au Panthéon des illustres
personnages, monsieur l'illustre inconnu , tous ses longs discours m'épuise et sa cours assidue
me fait penser à un gros ours bavant devant un gros pot de miel, il faut que cela cesse et vite, le
plus tôt possible sera le mieux !!!.

Felicien, lui pensait tout autrement et surtout en ces termes : " Elle est à moi et demain nous nous marierons, elle restera à la maison et couvera nos oeufs pour l'éclosion, je sais que déjà
elle s'impatiente et qu'a part moi, plus personne elle ne voit, ainsi tout se fera encore plus vite et
puis ses parents sont d'accorts, avec où sans son assentiement elle fera ce qu'on lui dit de faire !!!.

Pour Félicien le destin était déjà tout tracé et il ne pouvait en être autrement, quand soudain, un
grand flic-flac, vint éclabousser et éveiller le grand lac qui semblait dormir .

C'était Edgar le pélican aventurier, qui allait de voyages en voyages, visitant le monde de long en
large, cherchant sans plus y croire, une âme soeur, avec qui partager l'aventure d'une vie, faite
de rêves et d'évasions .

Attirée par tout se chambardement, Elsa s'en alla juger par elle même ce que tout cela pouvait
bien être; à peine fût-elle arrivée à la hauteur de Félicien qu'elle fût honorée de belles paroles et
d'hommages, dont elle n'avait que faire .
Le pauvre insolent continuait de déballer sa cours prétentieuse et assidue, que même les plus laids des crapauds n'aurraient osés entretenir avec la plus belle des rainettes .
C'est alors que continuant son chemin sans prendre cas de son prétendant, notre belle rentra en
collision dans notre pélican Edgard, qui c'était arrangée pour approcher la belle d'encore plus près, sans qu'elle ne s'en apperçoive.
Après cette rencontre de plein frond, Edgard prit la parole ainsi : " Oh par les mille étincelles du
ciel, que m'arrive t-il ?, la voie lactée me serait-elle tombée sur la tête ?
Mais que voit-je, de toutes mes aventures de par-delà les mers pour mes voyages, je n'ai point
rencontré d'aussi belle créatures.
Puis-je me permettre de déposer toutes mes plus tendres pensées à vos pieds gente demoiselle".

Troublée comme jamais elle ne l'avait été, Elsa répondit à son chaleureux interlocuteur : "
Mon bien honorable voyageur, je reçois avec délice et enchantement vos tendres pensées et
vous en remercie pour tant de compliments, aussi veuillez me pardonner mon érreur de conduite impromptue et pour cela accepté je vous prie, que je vous fasse visiter notre vaste éttendue " .

Non loin de là, Félicien ne l'enttendait pas de cette oreille et se rapprochant il s'écriat très fort : "
Mademoiselle Elsa, vous ne pouvez rester dehors à pareille heure, en présence d'un inconnu,
laissez-moi vous en débarrasser et vous ramener dès cet instant dans votre maison, chez vos
parents; quand à vous sinistre individu, voulez-vous vous éloigner de ma fiancée et prendre
votre envol, pour ne jamais revenir ici, sur notre lac, où foi de cygne, c'est moi qui vous chasserez et avec grand plaisir " .

Edgard était loin de se laisser intimider, surtout par un pareil guignol, alors ne se désarmant pas, il lui envoya ses quelques mots : " Depuis quand jeune homme donne t-on des ordres, à une
demoiselle, ne fût-elle sa fiancée et comment votre orgueil et votre insolence ont-ils pu penser
que j'allais détaller à votre premier coup de sifflet, votre première sommation .
Vous ne connaissez du monde que votre mare à canard et votre voix n'arriverait même pas à se faire enttendre d'un écho.
Alors je vous en prie, laissez nous et rentrez chez vous avant que le chassé ce ne soit vous !!! .

Déjà tant émerveillée et éperdue d'amour, pour cet aventurier inconnu, la plus convoitée des belles en cette nuit étoilée, finie par enfin dire ses quatres véritées à se Félicien décidément
pas très galant : " Mon cher Félicien, vous êtes bien audacieux, mais pas très malicieux, votre
fierté n'a de refflet que dans votre vanité, jamais je ne vous ai autorisé à m'appeller votre " fiancée " et pourtant c'est ce que vous criez et proclamer haut et fort et dans toutes les environs,
laissez moi vous faire enttendre que jamais je ne saurrais votre " fiancée " et que désormais, vous vous bercerait dans vos illusions .
Apprenez cher amis, qu'aussi fort que l'on puisse se croire et aussi beau que l'on soit, on ne vend
pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué, quand à moi, je préfére la joie de l'imprévue avec un
pélican dont j'ai le coeur remplie d'amour, plutôt que de passer le reste de mes jours, au côté d'un cygne macho et insignifiant, pour lequel je n'ai aucuns sentiment .
En espérant que la leçon vous apportera un jour ses fruits, je vous laisse et adieu " .

C'est ainsi que comme jamais on ne l'avait vu auparavant, on vit s'aimer et s'envoler vers l'océan, un cygne et un pélican, quand à Félicien le cygne, il apprit à ses dépents, que l'amour n'a pas de
barrières et que lorsque l'on s'aime, il faut être deux .


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH GAL.... )

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