mercredi 27 avril 2011

Deuxiéme roman,chapitre IV,suite 3

Dépression interdite:chapitre IV,questions élémentaires,suite 3.




Elle avançait dans la file d'attente pour choisir

son plat de viande grillée,quand au loin elle aperçut,seule à une table,Marianne

Dufour;elle était entrain d'écrire sur ce qui ressemblait à un cahier,pour la

deuxième fois,Héléne la voyait dans cette situation,l'idée qu'elle tenait un journal

intime au jour le jour la fit sourire,ou peut-être ces mémoires,elle pensa au titre

qu'elle pourrait lui donner " mémoire d'une acariâtre ",elle ne put s'empêcher de

rire tout haut.

Marianne Dufour en tout cas était bien en avance pour

prendre son poste,que comptait elle faire à cet heure,il était 12h30,alors qu'elle

ne devait être aux urgences qu'a 14h30.

En cet instant l'inimaginable se fit jour dans

l'esprit d'Héléne et aussi naturellement qu'elle ne l'aurait fait si la situation

avait été normal,elle prit son plateau et se dirigea devant la table où était

assise Marianne Dufour.

Sentant une présence au dessus d'elle,pendant qu'elle

était plongée dans l'écriture de son enquête,elle releva la tête et fut étonnée de

ce qu'elle vu devant elle.

" Bonjour " dis Héléne,après une grande hésitation,

Marianne lui rendit son " bonjour ",en se demandant ce qu'elle faisait là devant

elle et ce qu'elle lui voulait;Héléne la regarda bien dans les yeux et lui demanda

si elle pouvait s'asseoir à sa table.

A cet instant Marianne ressentit comme un électro

choque en elle,comment deux personnes qui ne pouvaient pas s'entendre jusqu'ici,

pouvaient d'un coup discuter ensemble à la même table;mais comme la démarche

l'intriguait et était si inattendue,aussi bien qu'étrange,elle fini par accepter et

lui fit signe de s'asseoir.

Héléne la remercia et pensa qu'elle avait bien fait,en

voyant ainsi Marianne Dufour,elle c'était dit que si elles unissaient leurs forces

et leurs pensées,pour faire face à ce qui se passait en ce moment dans l'hôpital;

alors peut-être arriveraient-elles à mettre la main sur cet ignoble criminel;elle

avait beau ne pas vouloir y pense,mais lorsqu'elle aperçut Marianne,instinctivement

tout cela lui revint à l'esprit et c'est pourquoi elle se retrouvait là maintenant,

comme par enchantement.


Marianne rangea aussitôt son stylo et son cahier dans

son sac,puis mettant un coude sur la table et tenant sa tête avec son poing,elle

regarda Héléne avec un certain défit teinté d'ironie,puis lui dit: " alors ma chère,

que me vaut cet excès de bons sentiments peu ordinaires ? ".

Héléne respira un bon coup avant de répondre avec

précision et diplomatie: " je sais Marianne que nous ne sommes pas les meilleures

amies du monde,mais j'ai pensé en vous voyant ici,que nous pourrions unir nos

différences pour démasquer le tueur qui sévit dans notre hôpital,qu'en pensez vous

et avez vous des idées,car moi je ne suis plus tranquille depuis que je sais tout

ça ? ".

Marianne très étonnée par ce qu'elle entendait et par

tant de spontanéité,chercha les bons mots pour répondre à son interlocutrice,même

si en premier lieu elle avait envie de dire " tient une blonde qui réfléchit ",

alors en étant la plus franche possible,pour rendre d'une certaine manière le

respect dans lequel Héléne avait placée dés le début les choses,elle lui répondit:"

je suis très étonné par votre démarche mais je dois vous avouez quand même que

j'apprécie de ne pas être considéré comme coupable par vous,ce qui d'ailleurs je

vous rend bien.

Je n'avais pas pensée à mener une enquête interne à

deux,mais en pensant à ce que vous venez de me proposer,je pense que ça pourrait

être une très bonne idée;seulement il va nous falloir être très vigilante,car si

nous sommes certaine sur l'innocence de chacune de nous,nous le somme beaucoup

moins sur tous ceux qui travaillent avec nous dans cet hôpital,alors une extrême

prudence est de mise,avec de la rigueur et de la discrétion,ensuite excusez moi,

mais personne n'ait habitué à nous voir tailler la bavette ensemble;d'ailleurs je

vois déjà des yeux très surpris de droite à gauche et plus qu'inquisiteur,c'est

pourquoi il nous faut continuer à nous ignorer devant tout le monde tant que nous

n'aurons pas trouvé cet assassin,nous devons aussi choisir un endroit à l'abri des

regards et à l'extérieur de l'hôpital pour nous retrouver et échanger toutes nos

conclusions sur nos enquêtes,sinon pour le reste il y a le téléphone et les textos

pour les urgences,si je peut me permettre le synonyme...

Ce qui me plaît dans votre proposition,c'est que

lorsque moi je ne suis pas en service et que vous l'êtes,vous pourrez observer à

votre tour le service et noter tout ce que vous voyez sur un cahier comme moi je

fais et ainsi nous pourrons regrouper nos informations sur toute une journée à

toutes les deux,ainsi nous aurons peut-être la chance de tomber sur des indices qui

nous permettrons de coincer ce salopard sans scrupule,bien sûr je vous demande de ne

rien dire à personne et surtout pas aux personnes qui vous sont proches,on ne sait

jamais,mieux vaut être prudente,sur nos gardes et surtout rester en vie.

Héléne ne pouvait qu'être entièrement d'accord avec ce

que venait de dire marianne Dufour,elle était aussi épatée par son aplomb,dont elle

faisait preuve,quand à son cahier pour y noter toutes ces observations,c'était une

bonne idée;elle comprenait mieux maintenant ces attitudes des derniers temps.

Héléne fini par dire qu'elle était tout à fait d'accord

avec tout ce qui venait d'être dit et qu'elle pouvait compter sur elle.

Les deux femmes avaient enfin réussit à se mettre d'accord

et à ouvrir une discussion constructive,ce qui jusqu'alors semblait impossible,

Marianne Dufour se leva en disant qu'il était temps maintenant qu'elles se séparent,

pour ne pas plus attirer l'attention,elles se contacteraient pour mettre leurs

informations en commun,à la fin de la semaine,comme c'était convenu,Marianne lui

enverrait un sms pour lui dire à quel endroit elles se retrouveraient,puis elle

s'éloigna sous les regards médusés des quelques personnes qui se demandaient

comment une fille comme Héléne pouvait parler à une telle sauvage qui s'attirait

l'antipathie de tout le monde,sans remarquer quoique se soit elle fini seule son

repas en se disant que parfois il suffisait d'oser et que ça pouvait changer la face

du monde...

Le docteur Tojeman était content de la conversation

qu'il venait d'avoir avec son ami l'inspecteur Patrick Charcot,ils avaient convenue

qu'ils étudieraient la liste des personnes récemment arrivées dans l'hôpital,juste

avant les premiers évènements,comme de par sa fonction il avait accès à tout les

dossiers des personnes fichiers,il pourrait ainsi plus vite que lui même étant à

l'hôpital,trouver les failles éventuelles de tel ou tel individu susceptible d'être

un coupable potentiel.

Quand tout cela serait enfin fait,ils pourront avancer et

mettre en marche une autre action plus efficace pour attraper ce tueur sans nom et

le mettre hors d'état de nuire pour toujours.

Il espérait avoir toutes ces informations le plus vite

possible,pour résoudre cette affaire et enfin reprendre une vie normale,il pensait

aussi à Héléne Portal,à l'envie qu'il avait de la voir,la sentir contre lui,il

voulait l'emmener chez lui pour la première fois et la présenter à ses deux fils,

pour lui il en était sur aujourd'hui,elle serait celle qui partagerait sa nouvelle

vie.

Il avait vraiment envie de tout son être et il le désirait

plus que tout qu'Héléne entre pour toujours dans sa vie,il saisit son portable et

écrit un court sms en trois mots " je t'aime ",qu'il envoya aussitôt.

Heureux d'avoir envoyé son message,il se reposa de tout son

corps dans son fauteuil en imaginant le regard de celle qui comptait désormais dans

sa vie,quand elle recevrait son message,il avait vraiment hâte qu'il se retrouve ce

soir,pressé d'être ensemble...


Fin du IV ème chapitre.


écrit en Février 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,
France,par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS )

merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr

Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:

Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com

mardi 26 avril 2011

La vie,l'amour,la mort,etc...

" TOUT LES MAUDITS,LES KENNEDY "





Ils ont brillés dans la lumière
Dans les flaches et les projecteurs
Attirés les regards de la planète entière
Sur leurs vies faite de joie et de pleurs
Ils ont donnés l'envie et la haine
Déchaînés les foules et la passion
Jusqu'à faire connaître la peine
Quand la vie les a quitté avec interrogation

Faisant d'eux des héros des temps modernes
A l'ombre de drame mystérieux et de drapeaux en bernes

Tout les maudits,les Kennedy
Les romantiques des journaux
Les princes et les princesses d'aujourd'hui
Connaîtront-ils ces destins sentimentaux
Tout les maudits,les Kennedy
Les présidents et les grandes stars
Sauront-ils protéger leurs vies
Pour qu'il ne soit jamais trop tard

Ils ont donnés la sensation étrange
De tout maudire ce qu'ils touchaient
Leurs familles et leurs amis,les anges
Les êtres qu'ils aimaient et épousaient
Ils étaient John Kennedy président
Marylin Monroe artiste et maîtresse
Robert Kennedy frère très aimant
Jackie Kennedy Onassis la sagesse

Des James dean,Dalida,John-John,Romy Schneider
Comme tant d'autre perdu dans la réalité qui se perd...

Écrit le dimanche 24 avril 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T-G )

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dimanche 24 avril 2011

La folie de notre temps présent...

" LES ÂMES ERRANTES "




Ils étaient des enfants souriants
Pouvant prétendre à un bel avenir
S'en remettant entièrement à leurs parents
N'imaginant pas ce que c'était de mourir
Ils étaient des adolescents s'ouvrant à l'amour
Découvrant la frontière qui les séparent des adultes
Espérant qu'ils en deviennent eux aussi un jour
N'imaginant pas jusqu'où pouvait allez les disputes
Ils étaient des couples qui semblaient s'aimer
Heureux d'avoir fondé leur propre tribu
De voir grandir leurs enfants comme ils l'espéraient
N'imaginant pas qu'un jour tout cela serait perdu

Où vont les âmes errantes
Quand ont leurs a pris leurs vies
En appuyant soudainement sur une détente
Sans leur demander le moindre des avis
Où vont se reposer les âmes errantes
Quand ont les a lâchement abattus
En se donnant le droit d'une vengeance aberrante
Sans leur donner la chance de s'être défendus

Ils étaient des millions à vivre leurs vies
Pratiquant leurs religions sans l'imposer à personne
S'en remettant à Dieu et le bénissant avec des mercis
N'imaginant pas le gaz et le bruit des balles qui résonnent
Ils étaient des femmes et des hommes
Pouvant inventer un avenir meilleur
Décidés pour cela à investir des grosses sommes
N'imaginant pas qu'un tueur les avait dans le viseur
Ils étaient tous des enfants,des parents,des amis
Pouvant s'aimer en s'apportant mille et une bontés
Mais un jour ils ont tous croisés leurs pire ennemis
Un de leurs proches,un étranger,une connaissance qui les a tués.


Écrit le samedi 23 avril 2011 à Lagny-Sur-marne,Marne La Vallée 77,Île De France,france,par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS )

Ps:En hommage à toutes ces victimes innocentes,dont celles de Nantes,à qui un monstre sans humanité et calculateur,où le hasard de la vie face à des gens sans cervelle,un jour se sont donnés le droit d'arrêter leurs vies encore pleines de promesses.
A mon père André Gallois tué d'une balle dans la tête le 30 juin 1965 à Coulommiers 77120 Seine Et Marne,à 27 ans,pendant qu'il se penchait à sa fenêtre après avoir entendu des coups de feu échangés lors du cambriolage d'un magasin d'électroménager,par des voyous et un pharmacien qui se prenait pour un shérif et dont la balle à ricochée vers mon père,à la place d'atteindre les cambrioleurs de l'autre côté de la rue.

J'espère que à défaut de la peine de mort,la condamnation à la prison à vie pour ce genre d'individu sera sans moitié ou remise de peine,mais faite dans son intégralité,jusqu'à ce que la mort nous délivre....

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Ainsi va la vie...

" QUE RESTERA T-IL DE NOUS ? "



Nous garderons le jour de notre rencontre
Comme le plus beau de nos souvenirs
Que nous soyons pour ou contre
Nous l'emporterons dans notre avenirs
Après nous être beaucoup aimés
S'être entièrement donné corps et âme
Jusqu'à se sentir l'un et l'autre attaché
Pour devenir un homme et une femme

Que restera t-il de nous?
Quand la mer aura tout emportée
Tout le sable,les galets,les cailloux
Dans une dernière grande marée
Que restera t-il de nous ?
Quand le monde aura oublié
Tous les amoureux un peu fou
Dans le temps qui nous a dépassé

Nous avons passés tant de jours ensemble
Regardant dans les yeux de l'autre l'amour
Celui qui flamboie et qui nous rassemble
Qui devait nous tenir debout toujours
Après le temps nous a rattrapés trop vite
Érodant chaque jour un peu plus nos sentiments
Creusant la différence dans ce qui nous habite
Les habitudes qui éloignent tous les amants

Que restera t-il de nous?
Quand la mer aura tout emportée
Tout le sable,les galets,les cailloux
Dans une dernière grande marée
Que restera t-il de nous ?
Quand le monde aura oublié
Tous les amoureux un peu fou
Dans le temps qui nous a dépassé

Nous avons fini par ne plus nous reconnaître
Ne plus prendre la peine d'écouter et comprendre
Jusqu'à ne plus voir notre amour disparaître
Et que chacun de nous suive son chemin sans attendre
Après que le désert des mots et des gestes de tendresse
C'est éteint à jamais dans nos coeurs devenus fermés
Nous avons emportés inconscient nos détresses
Dans nos vies séparées où nous avons rien oublié

Écrit le vendredi 22 avril 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )

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vendredi 22 avril 2011

Un monde de poésie d'étoile sur toile.

" UN SOURIRE A LA LUNE "



Le rideau de la nuit
Est tombé sur le jour
Emmenant dans mon ciel de lit
Les étoiles de ces atours
Le temps semble s'arrêter
Dans un monde devenu ombre
Où les rêves veulent m'emporter
Loin du sommeil dans lequel je sombre

Les chats sont devenus gris
Ils partent tous à l'aventure
Chasser les souries tel des mistigris
Dans la noirceur de la nature
Dans les reflets de l'eau
La lune semble faire un clin d'oeil
Aux barques et aux radeaux
ressemblant sur la rive à des cercueils

Les lumières des villes désertées
Éclairent la poussière et les fantômes
Pourchassés par le vent esseulé
Aux mille odeurs et différents arômes
Les couples font l'amour et s'endorment
Certain restent chacun de leurs côtés
d'autres se défont quand d'autres se forment
Dans les lueurs fragiles de l'obscurité

Les maisons et les appartements respirent
Renouvelant l'air vicié de toute une journée
Pour redevenir le nid douillet qu'ils aspirent
Envers les propriétaires et locataires fatigués
Le chien dans son panier semble attendre
Quand il n'ait pas admit dans la chambre
Que le jour paraisse pour enfin prétendre
A des caresses sur son dos ses membres

Dans son bocal le poisson rouge
Semble ne faire que du sur place
Tout c'est ralenti et rien ne bouge
Dans chaque coin,recoin et espace
Dans son berceau le bébé endormi
Sourit à tous les anges assis sur les dunes
Peut-être pense t-il au secret des nuits
Ou offre t-il simplement un sourire à la lune.

Écrit le jeudi 21 avril 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )

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La vie,l'amour,la mort,etc...

" UN JOUR SANS LENDEMAIN "



Quoi que tu feras,tu dises
Qui que tu sois et même penses
Avec des gâteaux salés ou des friandises
Autour d'un feu ou sur une piste de danse
Que se soit un jour de fête ou un dimanche
Dans des larmes de joie ou de chagrin
Quelque soit le côté ou ton coeur penche
Il viendra ton jour sans lendemain

Quoi que tu as commencé ce jour là
Les projets que tu veux faire aboutir
L'espoir et toute l'espérance que tu auras
Tout cela n'auras plus jamais d'avenir
Que tu vives ta plus belles histoire d'amour
Riche ou pauvre mangeant ou non à ta faim
Rêvant d'un monde meilleur et de toujours
Il viendra ton jour sans lendemain

Quelque soit ton pays,la couleur de ta peau
Fils de roi,de président,de boulanger,simple ouvrier
Avec un verre de grand vin,un simple verre d'eau
Sur le lieu de ton travail ou la tête sur ton oreiller
Que tu sois rêveur ou le plus sensé des réalistes
Celui qui stress toujours ou celui qui reste serein
Toujours celui qui fait rire ou celui qui est triste
Il viendra ton jour sans lendemain

Quelque soit ton âge,que tu sois homme ou femme
Engagé dans la politique ou la défense des plus démunis
Souffrant le froid ou le chaud,attisant les flammes
Heureux ou malheureux de la route que tu as suivie
Que tu sois droit ou un pirate des océans
Tu n'empêcheras pas ce dernier jour qui vient
T'emportant sans prévenir vers le néant
Car il viendra ton jour sans lendemain

Écrit le jeudi 21 avril 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )

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mardi 19 avril 2011

Deuxiéme roman,chapitre IV,suite 2

Dépression interdite:chapitre IV,questions élémentaires;suite 2.



Le docteur Tojeman lisait le dossier d'un de ses

nouveaux patients arrivé il y avait quelques jours,remonté après Sylvie Monnier et

Jérôme Carrera,par Karima Lievin;le patient était à la chambre 202 et s'appelait

Arthur Jacquemin,39 ans,marié,4 enfants,1 fille de 12 ans,1 garçon de 10 ans et des

jumeaux de 8 ans.

Il était un homme équilibré,sportif,en bonne santé

physique et bénéficiant d'une vie privé heureuse,mais une vie professionnel qui

devenait cahotique,des mouvements sociaux qui mettaient en péril l'entreprise pour

laquelle il c'était investit de toutes ses forces,pendant des années.

Son éviction petit à petit,puis son renvoi soudain,

l'avait plongé dans une dépression d'abord normal et moindre,avant de devenir

sévère et de le conduire à une tentative de suicide,où il dut sa survie à la

réactivité de son épouse,qui le découvrit dans la baignoire de leurs salle de

bain,où il avait choisit de se couper les veines.

Après tout ces événements,Joseph Tojeman en conclus

que ce patient était le candidat parfait pour le meurtrier qui sévissait dans son

service et qu'il c'était mit en tête de démasquer,il fallait aussi faire la liste

des employés qui étaient arrivés peu avant le premier décès inexpliqué.

Il c'était aperçut que la première liste qu'il

avait décidé de faire sur les personnes qu'il pensait pouvoir être responsable,ne

menait à rien,n'était pas une bonne solution,il devait donc en faire une autre plus

précise dans la démarche;en constatant que les faits c'étaient déclenchés

soudainement,il avait fini par en déduire qu'un nouvel employé était arrivé au

moment où tout allait commencé et que ce nouvel employé au psychique déjà mit à

mal,n'était qu'une bombe à retardement qu'un élément déclencheur à fait passer à

l'acte.

En observant cette liste qu'il venait de

commencer,il constata qu'elle avait déjà beaucoup plus de personnes qu'il

s'attendait à voir,ça allait être plus compliqué qu'il le pensait,au même moment

devant cette liste de nom,il pensa à une chose qui jusqu'alors le gênait,mais qui

n'avait pas encore fait tilt en lui,alors que là maintenant c'était une évidence;

jusqu'alors les victimes étaient tous des hommes,cette soudaine prise de conscience

lui donna l'impression d'avancer à grand pas,il était évident que cet assassin

avait choisi le sexe masculin pour assouvir sa dose de vengeance,qui le ramenait

directement à la cause de sa psychose,qui était son geste déclencheur.

Il ne comprenait pas pourquoi cela ne lui avait

pas sauté aux yeux avant,car il avait des patients féminin aussi dans son service,

dont une patiente récemment arrivée,mais jamais rien n'était arrivé à aucunes

d'elles,dès maintenant il pouvait déjà dresser un portrait psychologique le plus

précis possible de ce tueur et dans un deuxième temps le comparer avec les dossiers

des employés récemment arrivés et qui avaient des problèmes divers,voir une certaine

insubordination,qui correspondait assez à ce genre de personnage.

Il espérait ainsi réduire au plus petit le

nombre de coupable potentiel,pour avoir une chance de mettre la main sur le vrai

responsable de ces crimes,il se détendit en appuyant son dos contre le dossier de

sa chaise de bureau et ferma les yeux un moment pour réfléchir sereinement...

Le téléphone de son bureau le sortit soudain de

ses pensées,c'était sa secrétaire;Catherine Lefêvre qui lui faisait savoir que

monsieur Patrick Charcot avec qui il avait rendez-vous,était arrivé.

Il lui demanda d'attendre cinq minutes avant de

le faire rentrer,le temps qu'il remette un peu d'ordre dans ses papiers qui étaient

en désordres sur son bureau et qu'il reprenne un peu ses esprits après cette petite

déconnexion de la réalité.

Il avait reculé l'échéance le plus longtemps

possible,pour gérer et enquêter lui même sur tout ces événements dramatiques,mais

ce dernier rebondissement ne pouvait plus être traité en interne,il avait tout fait

jusqu'à maintenant pour retenir toutes les informations sur les décès antérieurs,

mais celui-ci avait malgré lui dépassé son service;d'un autre côté,il n'avait pas

non plus envie de partir seul à la recherche de ce criminel que rien ne semblait

arrêter,de toute façon il était dans l'obligation de signaler les faits à la police

pour toutes ces morts maintenant révélées suspects et criminels.

Il avait même devancé les choses et c'était

directement adressé à un inspecteur de police haut placé,qui était l'un de ses

meilleurs amis,depuis son adolescence.

Patrick Charcot et lui avait partagés plus d'une

soirée à refaire le monde,à sortir faire le con ensemble dans des nuits plutôt

courtes,c'était aussi avec lui qu'il avait rencontré sa femme,des choses qui

aujourd'hui donnait encore plus de valeur et d'importance à leurs amitiés,ils ne

s'étaient jamais perdu de vue et se voyaient régulièrement ou s'appelaient pour se

donner des nouvelles,Patrick Charcot avait aussi été très présent dans l'épreuve

qu'il avait connu avec ses enfants,avec la maladie et la mort de son épouse.

De tout cela il voulait que personne ne soit au

courant ici à l'hôpital,pour faciliter au maximum l'enquête qu'allait mener

l'inspecteur Patrick Charcot,plus il serait discret et plus de monde ne saurait qui

il était,ça donnerait plus de chance de coincer le responsable de toute cette

tragédie beaucoup plus vite.

On frappa à la porte et après avoir dit d'entrer;

il fit comme si il voyait l'inspecteur pour la première fois,se présenta à lui et

laissa l'inspecteur faire de même,tout ça pour être le plus crédible devant

Catherine Lefêvre sa secrétaire qui n'en perdait pas une miette et qui ne manquait

jamais d'en toucher deux où trois mots à quelques unes de ses collègues,sans avoir

le moindre soupçon de qui il s'agissait en vérité,la porte se referma derrière

Catherine Lefêvre et avec un large sourire de complicité,ils se firent enfin

l'accolade amicale,content que leurs petit jeu fonctionne bien.

Héléne Portal marchait dans le grand hall de

l'hôpital européen Georges Pompidou,Pour allait se restaurer au self qui se

trouvait en face de la grande crèche familiale,toujours dans l'hôpital;elle aimait

regarder les enfants qui sortaient de la crèche,du plus petit bébé,à l'enfant de 3

ans,qui s'apprêtaient à rejoindre la maternel,cette crèche était immense,bien

entretenue et dirigée,elle avait déjà eut l'occasion de la visité grâce à Karima

Liévin qui y avait sa petite nièce et qu'elle venait chercher de temps à autre.

Aujourd'hui elle ressentait une certaine

mélancolie,qu'elle ne s'expliquait pas et plus que jamais elle se sentait femme,en

regardant tout ces enfants aux bras de leurs parents;elle avait 30 ans et sentait

son horloge biologique la rattraper,elle voulait de tout son coeur être mère,mais

jusqu'à maintenant elle n'avait jamais trouvé le bon père pour ses futurs enfants,

elle ne savait pas si Joseph Tojeman avait envie d'avoir d'autres enfants,vu qu'il

avait déjà deux grands garçons en âges adultes,il avait aussi un âge ou on avait

plutôt envie d'être tranquille;mais elle ne pouvait s'empêcher de penser qu'il

était le père qu'elle voulait pour ses futurs enfants,elle essuya une larme qui

coulait sur sa joue et rentra dans le restaurant d'entreprise.


Écrit en janvier 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île de France,France,par Hugo Gall ( pseudo de Thierry Gallois )

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jeudi 14 avril 2011

Hommage à ANNIE GIRARDOT

" LA PORTE FERMÉE A CLÉ "



Elle a pris la clé sous la porte
Fermée définitivement la porte à clé
Pour aller où nos âmes nous emportent
Derrière le bleu du ciel remplis d'éternité

Elle a rejoint le paradis des artistes
Après s'être tant donnée sur grand écran
Sans zizanie pour un dernier tour de piste
Vers la voix lactée où s'arrête le temps

Elle ne fume plus,ne cause et ne vit plus
Les blessures et les souffrances ont enfin cessées
Comme le brouillard dans lequel elle était perdu
Entre cauchemar,réalité,absence et vérité

Elle a aimée des tendres poulets et Renato
Partie à la recherche de la cuisse de Jupiter
Connue et partagée la vie des frères de Rocco
Subit des traitements de choc comme l'enfer

Elle a enchantée beaucoup de nos soirées
Représentée si bien une femme comme les autres
Même en vieille fille,masquée ou déguisée
Pour finir à faire partie de chacun des nôtres

Elle a eu une fille et deux petits enfants
Qu'elle a chérie tout au long de sa vie
Mais n'a pu empêcher le docteur Françoise Gaillant
De sombrer dans le côté définitif de l'amnésie

Elle a écrit sa liste noire dans sa mémoire
Où se croisent les plus grands qu'elle a connue
Au détour d'un tournage lui apportant l'espoir
Avant qu'on l'oublie comme une sinistre inconnue

Elle a connue les hauts et les bas de son métier
Les fragilités,les trahisons,les silences et les mots
Comme les beaux jours d'été et les belles fraternités
Et aujourd'hui je lui dit:soit en paix chére Annie Girardot.

Écrit le jeudi 14 avril 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )

En hommage à la grande et émouvante Annie Girardot,nous ne vous oublierons jamais Annie.

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mardi 12 avril 2011

Deuxiéme roman,chapitre IV,suite

Dépression interdite:chapitre IV;questions élémentaires.



Jérome Pizzani c'était réveillé aux côtés de

celle qu'il aimait,presque heureux qu'elle soit là,mais aussi un peu désespéré

qu'elle n'eut pas acceptée sa demande de vivre ensemble,il devait se contenter de

vivre avec elle trois jours sur sept;il ne renoncerait pas cependant à lui

reformuler sa demande dans plusieurs mois,quand l'eau aurait coulé sous le pont et

là;il espérait bien qu'elle lui dirait enfin oui,pour l'instant,il lui fallait

prendre patience et prendre d'urgence un dolliprane dans sa salle de bain,car il

avait un mal de tête carabiné en se levant et ça l'empêchait de bien réfléchir

comme il voudrait,ensuite il allait prendre une bonne douche pour finir de bien le

réveiller,le tout suivie d'un bon exprésso bien strétto,comme aurait dit sa mère,

quand elle demandait un café dans un bar en Italie.

Il entendit Céline Belgrand s'étirer et

bailler avec énergie et il la regarda avec amour et désir,son corps était à demi

recouvert par les draps et la couette et elle portait une chemise de nuit en

dentelle blanche,qui la rendait encore plus désirable et sexy,mais à cet instant il

eut une poussée de mal de tête qui le fit tenir sa tête entre ses deux mains,en

même temps qu'il ressentait quelque chose de différent,quelque chose d'inhabituel

,qu'il n'arrivait pas à définir,il lui fallait vite prendre ses comprimés contre le

mal de tête avant qu'elle explose et se laisser ensuite recouvrir par les jets vifs

et chauds de la douche,il penserait après si il le pouvait et s'il y pensait

encore...

Olivier Masson,se resserrait tendrement contre

le corps viril et chaud de son amant,avec qui il avait passé toute la nuit,comme

chaque jour depuis leur premier rendez-vous,il aimait cet homme là et ce corps qui

lui donnait tant de plaisir et de bonheur,aujourd'hui il savait qu'il ne pourrait

plus se passer de lui,vivre sans lui,au fond de son âme il pensait très fort que

c'était l'homme de sa vie,il pensa aussi en cet instant à son amie Héléne et à sa

récente relation avec l'un des grands boss de l'hôpital,Joseph Tojeman,aussi

étonnant que cela pouvait paraître,ils semblaient avoir trouvés tous les deux en

même temps leurs moitiés,ce petit clin d'oeil avait une certaine ironie qui ne lui

déplaisait pas du tout,à ce moment là,il se lova plus sensuellement contre Fabrice

lepierric,le caressant avec précision et désir,ce qui le réveilla avec douceur et

l'envie qui se faisait soudain en lui,sous les gestes tendres et les démonstrations

de sentiments que lui prodiguait son complice;ne pouvant plus résister il saisi

Olivier par les épaules,mêla sa bouche à la sienne et l'étreignit avec de longs

baisers virils,avant de le prendre avec conviction et désir intense partagé,qui

sembla les laissèrent un moment suspendus dans le temps...

Héléne Portal se sentait heureuse et épanouie

,comme jamais elle ne l'avait été,mais elle était aussi atterrée par ce qui c'était

passé dans le service de celui qu'elle aimait,elle se sentait impuissante face à de

tel événement et le fait que cela se passe dans son lieu de travail,l'envahissait

d'une certaine peur et d'un regain de méfiance vis à vis de tous ses collègues,mis

à part son ami Olivier Masson,en qui elle avait toute confiance et dont elle savait

qu'il vivait au même moment qu'elle une belle relation amoureuse.

Ces derniers jours elle avait trouvée très

étrange l'attitude de Marianne Dufour,lorsqu'elles étaient ensemble dans la même

équipe et horaire,elle ne cessait de regarder partout,écrire des notes sur un

cahier qu'elle cachait sous le comptoir des urgences,mais elle avait quand même

réussit à la surprendre à ces dépends,cela l'intriguait énormément,mais Marianne

Dufour pouvait elle être cette meurtrière froide et sans sentiment,elle était peut-

être antipathique et peu amicale envers elle,mais Héléne ne pouvait pas se résoudre

à penser que cela faisait d'elle un assassin;il y avait aussi cette étrange

infirmière qui traînait souvent ici ces jours ci,une certaine Jeanne Dutilleul,une

forte femme,avec des lunettes excentriques en forme de papillon,qui se baladait

pour un oui et un non dans les urgences,posant des questions pas toujours discrètes

avec sa forte voix de ténor,faisant peur aux personnes âgées de son service de

gériatrie,dans lequel elle était sensée travailler,mais à la voir ainsi se promener

,on pouvait se demander si elle arrivait à le faire au moins une heure par jour.

Toutes ces suspicions qui finissaient par

s'immiscer en elle,la rendait malade et elle se demandait comment rester sereine et

faire le mieux son travail dans un tel climat de constante paranoïa et de stress ?

Karima Lievin était étonnée par le comportement

de sa chef,depuis quelques jours,Mireille Dupuis,montrait une face cachée d'elle

même que personne n'avait jamais vu jusqu'alors,Karima la trouvait très nerveuse

,sans cesse agacée,sur le qui vive et de plus en plus mystérieuse,elle avait aussi

remarquée qu'entre le docteur Tojeman et elle,le torchon semblait brûler,il y avait

une surdose d'électricité et ils se fuyaient comme la peste pour ne pas se parler

ou le moins possible,avec une courtoisie de circonstance,dont ils faisaient l'un et

l'autre preuve avec le plus grand mal,deux trois mots par ci par là,des phrases

très courtes et sur des tons sans traces de la moindre politesse,ni d'estime,Karima

se demandait se qui avait bien pu les piquer et si cela avait un lien avec la série

de crime commis dans le service,le docteur Tojeman aurait-il des doutes sur la

culpabilité de Mireille Dupuis,la tenait elle pour responsable et au pire en avait-

il des preuves?

Karima se sentit soudain oppressé dans un tel

climat d'agressivité,sans compter que Mireille Dupuis lui parlait maintenant avec

irrespect et sur un ton qu'elle n'aimait pas du tout,si elle continuait sur sa

lancée,elle ne manquerait pas de la remettre à sa place,Karima était bien

gentille,mais pas une charmante idiote non plus,il fallait pas poussée mémère dans

les orties,elle n'avait pas de culotte,comme disait son mari,mais ce qui

l'intriguait en cet instant c'était vraiment ou était la part de vérité dans tout

ça,qui était coupable ou non,cette question était plus que jamais d'actualité et

tout le monde maintenant ce la posait et à juste titre,elle plus que personne

d'autre.



Écrit en janvier 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )

Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr

Je défend le cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:

Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com

jeudi 7 avril 2011

Le chemin d'un homme

" QUAND ON SERA GRAND "




Quand on ait un enfant
On rêve de partir à l'aventure
Sur un bateau traverser l'océan
Aller sur les routes dans une puissante voiture
Quand on ait un enfant
On voit les grands de sa hauteur
Sans percer les vérités de leurs sentiments
Qu'ils essayent de cacher dans leurs coeurs

Et puis le temps passe
Plus vite qu'on peut le dire
Avec des épreuves qui nous lassent
Changeant chaque instant l'avenir
Et puis l'innocence et la fraîcheur cassent
Le monde n'ait plus ce qu'on rêvait avant
Les codes et son inhumanité nous dépassent
Nous qui rêvions de quand on sera grand...

Quand on ait un enfant
On voudrait voir derrière l'horizon
Se battre contre les dragons et les vents
Devenir des nouveaux Christophe Colomb
Quand on ait un enfant
On rit devant Tintin et Milou et les Dupont
On se passionne pour Marco Polo et les continents
Oubliant bien trop souvent toutes nos leçons

Et puis le temps passe
Plus vite qu'on peut le dire
Avec des épreuves qui nous lassent
Changeant chaque instant l'avenir
Et puis l'innocence et la fraîcheur cassent
Le monde n'ait plus ce qu'on rêvait avant
Les codes et son inhumanité nous dépassent
Nous qui rêvions de quand on sera grand...

Quand on ait un enfant
On cherche d'où vient le bleu du ciel
Dans les yeux profond de sa maman
En croyant que son amour et vrai et éternel
Quand on ait un enfant
Le temps nous parait souvent si long
Nos peines disparaissent au gré de nos changements
Qui un jour laissera paraître ce que nous serons.


Écrit le jeudi 7 avril 2011,à la gare de Chelles 77500,attendant le train pour Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France.

merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr

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mercredi 6 avril 2011

Les fables d'hugo

" L'ÂNE ET LA TORTUE "



De toute les histoires les plus impensables,un jour à ne pas y croire,à existé celle D'Auguste,âne adepte du rien faire du soir au matin et d'une infatigable et lente tortue,du nom de Marianne.

Ces deux spécimens,qui ne devaient jamais se rencontrer,dû au plus grand des hasard de les placer l'un en face de l'autre.

Il faut savoir que l'âne est un animal aussi oisif,qu'il est de mauvaise foi,quant à la tortue,elle égale sa lenteur,avec son tempérament têtu.

C'est ainsi que ce jour là,bien décidé à suivre son chemin,sans en changer son itinéraire,Marianne trouva sur sa route un impossible obstacle;c'était Auguste,qui avait décidé de faire son lit,sur la route,qui indépendemment de sa volonté,devait être ce jour,celle que devait suivre Marianne.

Dans l'impossibilité,soudain d'aller plus loin,notre bonne vieille tortue,s'obstina à ne pas vouloir changer de direction et de demander à cet intrus mal venue de bien vouloir partir dormir ailleurs et de la laisser suivre son chemin.

:" dite donc mon cher ami,n'avez vous point d'autre endroit que cette route pour dormir?Car ici c'est mon chemin et je n'en dévierai ni à gauche,ni à droite,alors je vous pries,d'allé ailleurs chercher un autre lit et dépêchez vous,car le temps me presse et à cause de vous j'ai déjà perdu beaucoup trop de temps ".

Auguste nullement ennuyé par toutes ces bonnes paroles,se mis à bailler et à soupirer,laissant échapper quelques mots en direction de Marianne:
" dite moi mademoiselle lenteur,de quel droit dérangez vous les gens pendant leurs sommeil?Je n'ai point envie de me lever et ne compter pas sur moi pour vous satisfaire vieille carcasse.
Le soleil c'est levé,mais bientôt il se coucher et pour cela,je préfère rester dans mon lit,comme cela je ne serais point en retard pour dormir.
Aller dépêchez vous,vous allez être en retard,passez à côté et bonne route ".

Marianne commença à s'impatienter par tant de mépris et se mit à crier de toute sa voix : " vous êtes l'être le plus disgracieux que j'ai pu rencontrer et je vous conseil d'avaler des sacs entiers de carottes pour effacer votre caractère acariâtre et des moins accueillant.
Quant à dormir dans la vie,il y a des heures pour cela et d'autre pour travailler et vivre sa vie,alors maintenant ça suffit,levez vous et laisser moi vivre la mienne ".

Toujours aussi peu enthousiasme et peu enclin à le moindre bonne volonté,l'âne répondit d'un ton las à cette tortue qui l'importunait:
" que vous m'agacez avec votre morale,vous devriez la garder pour ceux qui l'écoute,car moi je n'en ai que faire.
Si les carottes comme vous dite,devraient me rendre plus aimable,vous vous devriez manger plus de salade,elle vous ferait peut être avancer plus vite et puis vous devriez aussi vous mordre la langue,comme cela je ne vous entendrez plus je pourrai retomber dans mon sommeil.
Maintenant ne comptais plus que je vous réponde,je suis bien trop las et de vous entendre parler ainsi m'épuise,alors faite comme bon vous semblera,mais ne compté pas sur moi;à bon entendeur,salut et bonne nuit ".

La tortue était à bout et n'en pouvait plus de ce grand fainéant mal embouché et elle chercha dans ses pensées une bonne parade qui ferait lever un tel infecte personnage et c'est ainsi qu'elle reprit la parole,sur de son coup:
" oh cher monsieur Auguste,jusque là je ne pouvais vous en parler,mais je n'y tiens plus et je vous l'avoue,j'ai voulu prendre votre place,car en dessous de vous se trouve le plus grand champs de carottes de toute la contrée.
Voyez comme je suis bonne envers vous,alors que vous m'avez bien fait attendre et ainsi eu à l'usure ".

Auguste notre grand fainéant d'âne,ne fit qu'un tour dans son esprit et sans plus réfléchir,guidé par sa grande gourmandise,il se leva d'un bond et sans se soucier de Marianne la tortue,il se mit à creuser,creuser,sur de déguster d'ici peu,de savoureuses carottes.

C'est ainsi que pendant ce temps,Marianne en profita pour s'éclipser,laissant à ce bon Auguste,le soin de comprendre tout seul,comment il avait été si bien berné.

Si notre tortue repris son chemin comme elle l'avait décidée,sans encombre jusqu'à son but,notre âne après avoir retourné pour rien toute la terre autour de lui,compris que la gourmandise est un vilain défaut et que le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt,ainsi qu'une tortue va peut-être lentement,mais qu'elle réfléchit vite.

C'est ainsi qu'Auguste prit pour lui ce jour là,ce proverbe qui disait:
" qui dort dîne ".


Écrit par Hugo Gall,Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,
avril 2011

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Je défend la cause des victimes de maltraitances,d'incestes,de violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:

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dimanche 3 avril 2011

Deuxiéme roman, chapître 3,suite 3

Dépression interdite:chapitre 3;de vraies certitudes,suite 3.



Quand l'infirmier de nuit arriva à la chambre 206

,il fut déjà étonné de trouver la porte ouverte,puis enfin devant le patient qui

venait de l'appeler à l'aide,il ne put que constater à regret qu'Adam Fürman était

décédé,mais au vue des premières constatations qu'il pouvait voir et sentir;rien de

ce qu'il voyait en cet instant ne pouvait être normal,quelque chose d'impensable

était arrivé ici et Philippe Martin,se sentait de plus en plus mal à l'aise,compte

tenue que tout ça c'était passé pendant qu'il était en service.

Depuis plus de 6 ans,il était infirmier de nuit à

l'hôpital Européen Georges Pompidou et il avait toujours bien fait son travail,sans

jamais avoir eut le moindre problème,il ne comprenait pas comment une telle chose

ait pu se produire et maintenant il finissait par se sentir terriblement

responsable.

Quand le téléphone sonna,le docteur Joseph

Tojeman était encore serré tendrement contre le corps nu d'Héléne Portal,ces seins

fermes et moyens,chauds et doux contre sa poitrine à lui,ils avaient fait et refait

l'amour,avec une soif insatiable,puis la fatigue se faisant sentir,ils avaient

finis par s'endormir l'un contre l'autre.

Il saisit son portable et répondit tout de

suite,avec l'effort de ne pas faire le moindre bruit,pour ne pas réveiller Héléne

qui dormait encore à poings fermés.

Au moment où il entendit Philippe Martin lui

faire part de ce qui venait de se passer,il sentit tout son corps défaillir,il

cherche vite une chaise pour s'asseoir et après un moment d'absence,il répondit à

Philippe Martin de ne rien faire avant qu'il n'arrive,l'infirmier lui promis de

l'attendre et de ne laisser personne rentrer dans la chambre,ni de dire quoi que se

soit à personne.

Il raccrocha dans un état d'esprit

tourmenté,mais d'une certaine manière soulagé que tout cela ne venait pas d'une

erreur de sa part,ses intuitions qui depuis le début de ces mort lui semblait

suspect,ne l'avait pas trompé,il se passait bien quelque chose,quelque chose

d'horrible,aujourd'hui il pouvait le dire,des actes criminels étaient commis dans

son propre service,pourquoi et comment,ça il ne le savait pas encore,mais une chose

était sur;il allait faire tout ce qui était en son pouvoir et dés cet instant pour

le savoir et obtenir le plus de réponse qu'il pourrait.

Fin du troisième chapitre.




Dépression interdite:chapitre IV;questions élémentaires.



Marianne Dufour était assise à son bureau des

urgences et en remplissant ses derniers dossiers,relevait la tête de temps à

autre,pour observait d'un oeil ce qui se passait autour d'elle dans le service,elle

était atterrée de ce qui c'était passé dans le service du docteur Tojeman,qui

pouvait faire de telles choses?

Quand elle pensait que c'était sûrement

quelqu'un de son métier,cela lui faisait énormément peur et en même temps la

mettait en colère,l'ordre avait été donné à tout le personnel de l'hôpital de ne

rien dire de cette affaire,pour éviter toute fuite qui rendrait les chances de

résoudre cette affaire au plus vite,presque nul.

Marianne Dufour avait cependant sa petite

idée,avec tout ce qu'elle pouvait savoir sur cette histoire,elle était persuadée

que le ou la coupable pouvait venir des urgences,de fortes intuitions la laissait

présumer de cette possibilité plus que tangible,seulement il n'y avait pas trois

ou quatre personnes aux urgences,mais des dizaines et en plusieurs équipes,alors

les choses étaient plus que compliquées pour mener sa propre enquête,qu'elle avait

décidée de prendre à bras le corps;d'ailleurs dés qu'elle avait été au courant de

ces événements,elle c'était mise à observer tout le service avec beaucoup plus de

précision qu'elle l'aurait fait avant et aussi plus fréquemment comme elle le

faisait actuellement,au fond elle se dessinait avec une pointe d'humour,que ce

criminel sans nom puisse être sa grande ennemie,Héléne Portal,elle salivait à

l'avance de la débusquer et de la voire embarquer avec perte et fracas,les menottes

aux poignets,par la police et traversant tout l'hôpital,ah que c'était bon rien que

de l'imaginer,mais ce n'était qu'une image,car dans son esprit elle ne pensait

vraiment pas un seul instant,malgré l'hostilité qu'elle avait envers elle,qu'Héléne

Portal soit la meurtrière,c'était bien dommage se dit elle,oui bien dommage...

Le docteur Joseph Tojeman découvrait les

résultats de l'autopsie et des autres examens qu'il avait demandé après ce qu'il

pouvait appelé maintenant " le meurtre D'Adam Fürman et ce qu'il voyait là,dans

les résultats l'effarait,le produit utilisé pour tuer,découlait d'un poison

extrêmement violent et mortel,le curare,qu'on utilisait aussi à de faible dose dans

les anesthésies pour endormir les patients opérés,mais là le curare était mélangé à

un autre poison qui en faisait un breuvage fatal ultra rapide,qui en plus ne

laissait aucune trace une fois dans le corps;si ce n'était les mêmes constations

qu'une crise cardiaque;tout cela était incroyablement diabolique et si cette fois

le tueur n'avait pas été déranger par surprise par sa victime,jamais on aurait pu

mettre à jour ces procédés.

Dans son état de panique le tueur avait laissé

des traces du poison en dehors du corps de la victime,sur les draps,une partie du

matériel médicale,mettant ainsi la lumière sur ce poison devenue détectable à l'air.

Le docteur Tojeman louait Dieu des erreurs du

criminel,qu'il qualifiait de " miracle ",tout cela n'empêchait pas qu'il soit

horrifié par tant d'esprit maléfique,la question qui lui venait maintenant à

l'esprit,était:lui en voulait on intentionnellement et directement,alors qui et

pourquoi? Ou tout cela n'était du qu'a des actes du à un déséquilibré,malade qui

agissait au non d'une certaine vengeance,mais là aussi,qui? pour l'heure il lui

fallait dresser des listes,une de ceux qu'il savait ne pas pouvoir être coupable et

il était heureux d'y noter un premier nom,Héléne Portal,pour lui elle avait le

meilleur des alibis,son délicieux et chaud corps contre le sien tout au long de la

nuit,il se sentait enfin un homme comblé et libéré de savoir que celle qu'il aimait

pouvait avoir toute sa confiance,il sourit avec tendresse et amour,puis saisit son

portable pour envoyer un sms qui disait en trois mots: " je t'aime ".



Écrit en janvier 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS-villes du chemin de ma vie;Neufchâteau 88300,Aoste Italie,Nancy 54000,Meaux 77100,Coulommiers 77120 )

Merci de vos encouragement,impressions,vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr

Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à tout ces fléaux destructeurs,accès:

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