vendredi 25 février 2011

Deuxiéme roman, chapître 2 suite 2

Dépression interdite:chapitre 2;suite 2:intuition


Héléne Portal était heureuse,deux jours après

avoir annulé leurs dîners,le docteur Joseph Tojeman,lui avait réitéré son

invitation pour ce soir même,elle était comme une jeune adolescente qui allait à son

premier rendez-vous amoureux,cette fois seulement elle espérait qu'il annulerait

pas au dernier moment,même si elle comprenait ces impératifs de travail,une fois

d'accord,mais deux non...

" Salut Héléne,comment vas tu ce matin ",Héléne

se retourna et aperçut le joli sourire et les longs cheveux auburn de Karima,une

infirmière du service du docteur Tojeman,qui venait chercher un nouveau patient

qu'Héléne avait reçu quelque temps auparavant,Karima était une jeune femme

charmante de 36 ans,d'origine Algérienne par ces parents,mais née en France et donc

Française,une nationalité qu'elle portait avec fierté,comme celle d'être fière des

parents qu'elle avait et qui l'avait élevé dans les traditions,lois et laïcité

Françaises,ces parents n'en avaient pas pour autant oubliés leurs cultures et

religion qu'ils vivaient avec discrétion et respect,comme chaque croyant devait le

faire pour respecter ceux qui ne l'étaient pas et selon son père sa religion se

vivait dans son coeur et son âme,chez soi et dans son église,en dehors de cela

personne ne pouvait savoir qu'elle religion tu pratiquais,ce qui faisait de la

France un pays laïc et qui avait à la révolution obtenue séparation de l'état et de

tout culte religieux,une des raisons pour lesquelles son père avait aussi choisi ce

pays de si grande valeur républicaine et d'humanité avant toute chose,ce qui faisait

aussi de Karima une personne sincère,direct,avec qui il était très enrichissant de

discuter,une grande défenderesse des droit des femmes,de leurs libertés,contre le

voile et burka,anti républicain et laïc,comment accepter ces femmes qui se

voilaient de la tête aux pieds,d'autres le visage en plus,comment aussi des hommes

pouvaient tolérer ou obliger leurs femmes à être accoutrées ainsi dans un pays

comme la France,tout cela c'était de l'anti intégration et de l'intégrisme,car

aucunes religion musulman,chrétienne ne préconisaient de telle extrémités,pour

elle on ne quittait pas son pays avec tout ces obligations d'un autres âges,des

dictatures religieuses,pour venir dans un autres pays avec d'autres valeurs et

traditions politiques et religieuses de liberté,pour s'en imposer les mêmes choses

à soi et aux pays qui à le coeur de nous accueillir,elle avait aussi toujours

refusé d'épouser un musulman,même déjà de sortir avec,elle ne voulait en aucun cas

un jour se réveiller et se rendre compte qu'elle était devenue une esclave d'un

homme macho et d'un autre âge,qui lui imposerait le voile et la fidélité,alors que

lui ne se dérangerait pas pour lui mettre les cornes à la moindre occasion;non

disait elle trop peu pour elle,c'était aussi l'expérience de ses copines d'enfances

qu'elle côtoyait avec leurs parents et la vie comme au temps de leurs pays qu'ils

avaient choisis de vivre ici,qui lui avait ouvert les yeux,ainsi que la liberté de

conscience et de choix que lui avait avec tant d'amour donné ses parents,oui pour

tout ça et se qui faisait d'elle ce qu'elle était aujourd'hui,elle n'aurait jamais

assez de merci à leurs dire,ainsi qu'a l'homme qu'elle avait épousée et fait d'elle

une femme et une mère heureuse,un mari protestant et quatre enfants,ce qui faisait

d'elle aussi une Française heureuse comme tant d'autre,Karima et Héléne c'étaient

appréciaient dès leurs premières rencontres pendant des formations et étaient au

fil du temps devenues de très bonnes amies...

" Ça va ma belle et toi c'est la forme,tes

petits monstres,ça va mieux,plus de rhinos? ".

" M'en parle pas,les nuits ont étés courtes ces

derniers jours,encore heureux que Marc me relègue bien et puis mes parents vont les

prendre pour tout le week-end,comme ça on pourras rattraper tout le sommeil qu'on

a en retard et être un peu tranquille rien que lui et moi sous la couette,dit au

fait il faudra que tu viennes manger à la maison,on invitera Olivier en même

temps,on rigolera un bon coup,ok?. "

" Oui avec grand plaisir Karima,euh madame Marc

Lievin,bon je dois filer j'ai un nouveau patient à voir,je t'embrasse,bisou à ta

petite tribu,on se voit bientôt promis,au fait tu sais ou est le patient que tu

dois prendre?. "

" Oui j'y vais,je t'appellerai pour qu'on se

mette d'accord sur un jour,allez à plus. "

Héléne repartit vers son nouveau patient,

heureuse d'avoir vu et pu échanger un moment quelques mots avec son amie Karima,

cette fille c'était vraiment un bain d'oxygène et d'amour à chaque fois qu'elle l'a

rencontrait,elle avait vraiment hâte de partager un moment sympa avec elle et sa

famille,oui se serait vraiment bien...

Olivier Masson était à la réception des

urgences quand le samu des pompiers amena un nouveau patient,la personne qui avait

besoin de soin urgent dans l'ambulance fut vite sortie sur une civière avant d'être

transféré sur un chariot des urgences,au même instant Olivier Masson se trouva face

à face avec un pompier qui lui tendait une feuille d'admission à signer,à ce moment

les deux regards se croisèrent et Olivier Masson resta interdit sans pouvoir

décrocher le moindre mot et en gardant ses yeux fixés sur le pompier qu'il avait

devant lui et qui le rendait presque immobile,ce pompier avec l'oeil brillant,le

sourire sensuel,le corps désirable,ressemblait à si méprendre à un chanteur de

groupe feu boys band,Alliage et Quentin Elias,avec apparemment plus de pilosité au

vue de la chemise entrouverte et peut-être aussi chaud que de la braise que

l'original pensa t-il avant de sortir de ses pensées dans lesquelles il semblait

s'être perdues,mais avant qu'il ne dise quoique se soit,le pompier inconnu lui

tapota l'épaule en lui disant " oh tu es là mec,ça va,il faut que tu me signes la

fiche,on doit repartir assez vite,on ait plutôt speed aujourd'hui."

Olivier Masson le regarda et lui dit être

désolé avec un large sourire appuyé,avant de lui demander s'il était nouveau car il

ne l'avait jamais vu auparavant,puis il lui signa sa fiche,le pompier l'observa à

son tour bien dans les yeux,avec également un sourire de connivence pour lui faire

sentir qu'ils étaient sur la même longueur d'onde,puis lui tendant la main lui dit "

moi c'est Fabrice,Fabrice Lepiéric,exactement,enchanté gars,tu aimes les petits

nouveaux apparemment,j'te paye un verre ce soir,si tu es ok bien sûr?."

Olivier était scotché par tant de hardiesse et

de zen attitude de la part de ce Fabrice,ainsi que par sa rapide perception des

choses,aussi autant attiré par cet oiseau là,il lui tendit la main à son tour et

lui dit " moi c'est Olivier Masson,très enchanté également mec,avec plaisir

j'accepte ta proposition."

Fabrice Lepierric glissa une petite carte dans

la poche de la blouse blanche d'Olivier et lui dit " ne perd pas la clé

mec,j'attends ton appelle avec impatience,quand tu as fini ton service,ok?."

Il eut juste le temps de répondre oui,quand

les collègues de Fabrice arrivèrent,puis après un signe chaleureux de la main il

monta dans la fourgonnette rouge qui parti rapidement,laissant à Olivier une

impression d'avoir vécus un mirage éveillé...

Dans une pièce sombre sans fenêtre d'une

maison,assis à un bureau,des yeux regardaient une photocopie d'hospitalisation où

un nom et prénom était inscrit,Adam Fürman,34 ans,marié,trois enfants,puis dans un

acte de colère hystérique,la main qui tenait la photocopie,la jeta parterre avant

d'attraper une photo sur le bureau et de dire tout haut d'une voix déchirée de

haine " tu vois,lui il n'aura pas l'occasion de faire de mal à sa famille,comme

toi,car moi je vais m'en occuper,comme je me suis occupé des autres,cher papa..."

Sur la photo,une famille qui était serré les

uns contre les autres souriait à l'objectif en semblant heureuse,il y avait une

femme d'une trentaine d'année,un homme de 35 à 40 ans,puis trois enfants,deux

garçons et une fillette,l'homme était barré avec une croix rouge et sur les murs on

pouvait voir des tas d'articles de presse,avec le titre " un père de famille perd

le contrôle suite à une grande dépression et à un gravement de son état psychique

qui l'espace d'un instant tu sa femme et deux de ces trois enfants,le troisième

enfant ne doit sa survie inextremiste,que grâce à sa grand-mère qui l'avait pris

pour la journée,le père se suicide aussitôt après son acte abominable,ne laissant

aucune explication et un enfant désormais orphelin et face à une horreur sans nom

pour un avenir qui semble douloureux et difficile...

Des larmes amères coulèrent sur ce visage

meurtrie par les années de souffrances et de blessures de souvenirs atroces,puis

après avoir reposé la photo,son autre main ouvrit un tiroir du bureau pour en

sortir une ampoule remplie d'un liquide incolore,qui se retrouva aussitôt dans un

sac avec une tenue de travail pour l'hôpital Européen Georges Pompidou...

Quand elle arriva devant la voiture qui

l'attendait,Héléne était comme dans un rêve,le conducteur venait d'en sortir et lui

ouvrait la portière du côté passager,lui offrant au passage un magnifique bouquet

de cinq roses rouges magnifiques,elle ne savait plus quoi dire,mais cet homme là à

ces côtés,savait y faire et il était charmant et sexy,irrésistible,à cet instant

elle savait à en être même sur,que la nuit ne faisait que commencer,qu'elle serait

longue,très longue,belle,merveilleuse et inoubliable...

Fin de la deuxiéme partie.


Écrit par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS )à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée
77,Île De France,France,février 2011

Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre
sur:georgelucienthhierry@hotmail.fr

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lundi 21 février 2011

Deuxiéme roman, chapître 2,suite

Dépression interdite:Chapitre 2,intuition,suite.



Jérôme Pizzani était dans les vestiaires pour

s'habiller et prendre son service aux urgences,en tant qu'infirmier,il espérait

voir Céline Belgrand,l'une de ses collègues avec qui il avait une relation intime

depuis plusieurs semaines et lui demander si elle voulait bien vivre avec

lui,depuis qu'il avait rencontré Céline Belgrand,il était tout de suite tombé

amoureux de cette fille aux arômes de coco,beau garçon brun ténébreux aux origines

Italiennes par ses parents,il dégageait ce charme latin et ce machisme naturel,qui

lorsqu'il tombait sous le charme d'une femme,il la voyait déjà comme sa femme et la

mère de ses enfants,il aimait aussi chez elle ce quelque chose d'inaccessible qui

lui était interdit et ça le rendait encore plus amoureux.

Il fini d'enfiler son pantalon,ferma sa blouse

blanche et après avoir enfilé ses sabots de travail,il ferma à clé son armoire pour

prendre son service,bien décidé à obtenir un oui à sa futur demande.

Le docteur Héléne Portal était entrain de

s'occuper d'un patient qui venait d'arriver aux urgences dans un état comateux

grave,après une tentative de suicide à l'aide de mélange médicamenteux et

d'alcool,il était urgent et vital de faire un lavage d'estomac pour donner le

maximum de chance de survie au patient,Héléne Portal donna ses instructions à

Céline Belgrand l'infirmière à ses côtés et quitta la salle de soin pour rejoindre

le bureau des internes,afin de joindre le service du docteur Tojeman pour faire

transférer le patient dont elle venait de prendre soin,car il était évident qu'il

souffrait d'une grave dépression,dont le suicide était l'un des derniers symptômes

de la maladie,trop souvent fatal.

A cet instant Jérôme Pizzani passa devant le

bureau des internes et aperçut Héléne Portal,qu'il interpella " salut Héléne,tu

vas bien,tu saurais où est Céline par hasard? ",après avoir raccroché le

téléphone,elle regarda Jérôme avec un grand sourire,comme à son habitude et lui

répondit qu'elle était très occupée dans l'immédiat avec un patient qu'elle venait

de soigner en urgence et dont elle lui avait demandé de faire des soins

rapidement,dont un lavage d'estomac,mais ironiquement elle lui rajouta,"t'inquiète

pas elle va pas s'envoler ta chérie,après sa punition elle sera tout à toi ".

Héléne n'était pas aveugle et elle avait bien

remarquée l'idylle amoureuse qui c'était nouée entre ces deux là,il fallait dire

qu'ils étaient si bien assorties,elle les trouvait mignon et l'attitude de Jérôme

Pizzani,se comportant comme un premier communiant avec son premier amour

d'adolescent,la faisait sourire tendrement,en plus ce garçon ne laissait personne

indifférent et dans les services il était vue par les filles comme une vraie bombe

sexy,d'ailleurs Olivier Masson lui même en aurait bien fait son quatre heure,comme

il lui avait déjà dit,si seulement il n'avait pas était hétéro à 100%,mais ils

avaient réussi à devenir les meilleurs amis du monde et ça c'était déjà gagné.

Après ce petit intermède,Héléne prit un

formulaire d'hospitalisation et de transfert dans un service et y nota,Adam

Fürman,sexe masculin,34 ans,marié,3 enfants,diagnostique premier:tentative de

suicide;suite dépression sévère,option:transfert en psychologie psychiatrie,docteur

Tojeman,docteur prescription:Héléne Portal.

Le docteur Joseph Tojeman fut saisi d'effroi

quand il entendit son infirmière chef lui faire un exposé du cas du nouveau

patient qu'il venait d'accueillir dans leurs services,cela le fit aussitôt réagir

et mettre dans sa tête des feux clignotants rouges,le cas était le même que les

deux patients décédés dans son service,il n'avait pas encore résolu les causes de

ces décès soudains,que déjà on lui en amenait un semblable,ce qui le laissait

encore plus responsable de ce patient,à ce moment là il se dit que la vie et la

sécurité de celui ci devenaient ses priorités et qu'il ne serait plus tranquille un

instant tant qu'il ne sortirait pas de son service guéri,il se le promettait,il se

le devait,sa réputation était en jeu,ainsi que la vie de ce patient et certainement

d'autre...

Il pensa au même moment à Héléne Portal,avait-

il bien fait de ne pas lui dire la vérité sur l'annulation de leurs futur dîner en

tête à tête?Le croyait elle vraiment quand il lui avouait être obliger d'annuler

car il avait des dossiers urgents à boucler?De toute façon il ne voulait pas parler

de ce qu'il se passait dans son service,surtout à une personne qu'il connaissait à

peine,même si cette personne l'attirait irrésistiblement,comme un aimant,mais

surtout pour l'instant il voulait gérer au mieux ces événements,sans divulguer les

moindres choses,en tout cas pas plus que nécessaire et hors de son service,il

voulait éviter la plus petite fuite,tant qu'il n'avait pas la clé de cette histoire.

Il avait décidé de reproposer son invitation au

plus vite à Héléne Portal,il espérait pouvoir le faire la semaine prochaine,il en

avait tant envie qu'il en avait rêvait toute une partie de la nuit et au matin

pendant le petit déjeuner,ses fils lui demandaient si tout allait bien et ou il

avait passé la nuit pour avoir une tête pareil de si bon matin...

Il leur avait sourit avec complicité et

malice,pour enfin éclater d'une grande crise de rire tous ensemble,il c'était dit à

ce moment là,que c'était si bon de les avoir à ses côtés...


Ecrit par Hugo Gall ( pseudo de Thierry Gallois )janvier 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France

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mercredi 16 février 2011

Ainsi va la vie...

" UN LONG FLEUVE TRANQUILLE "



On dit que la vie est belle
Que chacun fait sa vie
La subit ou devient rebelle
Au grès des événements,de ses envies
On dit qu'on vit sa vie
Le mieux que l'on peut
Que le temps s'enfuit
Changeant en blanc nos cheveux

La vie n'ait pas
Dans ces hauts ou ces bas
Un pays ou une île
Un long fleuve tranquille
La vie n'ait pas
Une décision versatile
De la-haut à ici bas
Un long fleuve tranquille

On dit qu'il faut vivre et mourir
Que la vie se vit comme elle est
Que vivre ce n'ai pas courir
Comme le font les gens de L-A
On dit qu'une vie ne suffit pas
Que la vie est un cadeau
Le bien le plus précieux qu'on a
Que c'est ce qu'il y a de plus beau

La vie n'ait pas
Dans ces hauts ou ces bas
Un pays ou une île
Un long fleuve tranquille
La vie n'ait pas
Une décision versatile
De la-haut à ici bas
Un long fleuve tranquille

On dit vivre à tout prix
Que la vie se chante,se danse
Qu'il faut vivre à corps et à cris
Contre tout ce que les autres pensent
On dit une vie pour s'aimer
Pour apprendre et comprendre
Que rien n'ai gagné ni donné
Qu'a pleine dent il faut la prendre


Écrit la mardi 15 février 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )

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Essaie de comédie musicale, écrit par Hugo Gall, Henry VIII roi D'Angleterre, il était une fois un tyran

" MARIE TUDOR BRANDON "


" Pour la comédie musicale imaginée et écrite par Hugo GAll,la vie des Tudor et D'Henry VIII,roi D'Angleterre et ses femmes ".


Toi belle petite princesse
Adorée de ton frère Henry
Tu laissais deviner tant de promesse
A tout les bonheurs de la vie
Toi amoureuse si jeune en secret
D'un certain Charles orphelin
Tu gardas cet amour comme un décret
Que ton coeur gardait pour ton destin

Comme tu as déchaînée les passions
Marie Tudor Brandon l'amoureuse
De celle des rois à celui de tes émotions
Qui te rendit une femme heureuse
Comme tu as été la plus aimée
MArie Tudor Brandon femme et reine
Dans une vie courte mais passionnée
Qui laissa un vide et tant de peine

Toi qui du épouser le roi de France
Avec obéissance et une certaine résignation
D'un âge avancé et malade dans la déchéance
Avant d'être veuve et libérée de tes obligations
Toi qui t'empressas d'épouser Charles Brandon
Celui que tu aimais depuis l'enfance
Comme un cadeau que la vie nous donne
Que l'on accepte avec reconnaissance

Comme tu as déchaînée les passions
Marie Tudor Brandon l'amoureuse
De celle des rois à celui de tes émotions
Qui te rendit une femme heureuse
Comme tu as été la plus aimée
MArie Tudor Brandon femme et reine
Dans une vie courte mais passionnée
Qui laissa un vide et tant de peine

Toi qui défia ton frère par ta décision
Mais qui te pardonna comme à ton mari
Pour tout l'amour et cette grande affection
Qu'il vous porta tout le long de sa vie
Toi qui préféra la chaleur de ta demeure
Aux grands repas et fêtes de la cour
Qui fut une mère comblée dans son coeur
Avant que la maladie et la mort te joue leurs tours

Écrit le mardi 15 février 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )

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Note de l'auteur:

Marie Tudor Brandon,est aussi plus connu sous le nom " de la dame à la Licorne "

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Essaie de comédie musicale, écrit par Hugo Gall, Henry VIII roi D'Angleterre, il était une fois un tyran

" MARGARETT TUDOR STUART "


" Pour la comédie musicale imaginée et écrite par Hugo Gall,la vie des Tudor et D'Henry VIII,roi D'Angleterre et ses femmes ".


Toi la soeur aînée D'Henry
Baptisée à la saint André
Soeur aussi de la belle Marie
Ta destinée était déjà tracée
Toi qu'on maria à Jacques Stuart
Pour devenir reine D'Ecosse
Il fallait que tu partes
De L'Angleterre et tes souvenirs de gosse

Reine D'Ecosse et fille de L'Angleterre
Qu'as tu fais de ta vie et tes rêves
Comme des êtres chers qu'on met en terre
Tu t'ai battu sans une trêve
Reine D'Ecosse et fille de L'Angleterre
Que t'ont ils fait ces hommes et maris
De ton père à se terrible frère
Toi Margarett Tudor Stuart d'une vie

Toi qui fit preuve de force et obstination
Pour garder la couronne de ton fils promise
Dans des luttes acharnées et désertion
Tu ne reculas pas comme une devise
Toi qui épousa deux autres hommes ingrats
Pressés d'aller dans d'autres lits
Dépenser ton argent sans faire de cas
Tu ne t'en ais jamais vraiment remise

Reine D'Ecosse et fille de L'Angleterre
Qu'as tu fais de ta vie et tes rêves
Comme des êtres chers qu'on met en terre
Tu t'ai battu sans une trêve
Reine D'Ecosse et fille de L'Angleterre
Que t'ont ils fait ces hommes et maris
De ton père à se terrible frère
Toi Margarett Tudor Stuart d'une vie

Toi mère de Jacques V le successeur
Mari de Madeleine et Marie De Guise
Qui t'apporta tes derniers bonheurs
Comme un dernier clin d'oeil qui ironise
Toi qui fut privée de ta fille chérie
Enlevée par son père qui t'as blessée
Grand-mère de Marie Stuart qui faillit
Mais te donna un roi comme cadeaux d'éternité


Écrit le mardi 15 février 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )

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lundi 14 février 2011

Deuxiéme roman, chapître 2

Dépression interdite:

Chapitre II, " intuitions "


Le service de psychiatrie et psychologie du

docteur Tojeman était en ébullition et sur le qui vive,les questions fusaient dans

les esprits,mais le plus interrogateur était le docteur Tojeman,qui était dans une

grande torpeur depuis cette désastreuse nouvelle,le patient de la chambre 205 avait

été retrouver mort,comme Richard Gauthier il était en parfaite santé,hors mis sa

dépression sévère,il avait beau se poser multiples questions sur questions,il

sentait en lui une lumière qui lui disait que quelque chose n'allait pas,des

traitements antidépresseurs comme ceux qui avaient étés administrés à ces deux

patients décédés,avaient déjà fait leurs preuves sans risque sur des milliers

d'autres et sans aucun problème survenu,alors que se passait-il,au fond de lui,un

homme si fort,talentueux,respecté et sur de lui la plupart du temps,mais là il ne

savait plus,il ne comprenait pas,la seule chose qu'il avait en lui était à cet

instant même,une intuition,une forte intuition que quelque chose d'anormale avait

commencé et que tant qu'il n'aurait pas trouvé quoi,l'incertitude et le doute

l'envahirait désormais...

Un grand chambardement avait soudain envahit

tout le service,comme un grand nettoyage de printemps,le docteur Tojeman avait

remis des protocoles de soin en cause,impliquant de plus sérieuses contraignantes

façons de traiter et de s'occuper des patients,tout ces changements mettaient le

personnel soignant sous tension et stress;l'autre point qui ennuyait le docteur

Tojeman c'était de devoir annuler son rendez-vous avec le docteur Héléne Portal,il

c'était préparé avec plaisir et entrain à passer un dîner en tête à tête avec

elle,mais dans la situation actuelle,il préférait annuler et remettre à plus

tard,n'étant pas de bonne condition mentale pour passer un bon moment,cela lui

coûtait mais il n'avait pas d'autre choix,il aimait avant tout et en toute

situation être en possession de tous ses moyens quand il faisait quelque chose

d'important,ou d'être en présence de personne qu'il ne connaissait pas,mais surtout

là il rencontrait une jeune femme pour la première fois depuis si longtemps,qu'il

ne voulait pas gâcher ce moment,avec l'état psychique dans lequel il était après

ces derniers évènements,il ne se sentait pas du tout apte à tenir et partager une

soirée avec qui que se soit...

Héléne Portal était déçu,elle c'était si bien

préparée pour ce tête à tête,mais d'un autre côté elle comprenait que le métier

qu'elle faisait comme celui du docteur Tojeman,n'était pas facile et toutes ces

imprévues et obligations en faisaient parties,il fallait mieux si faire et vivre

avec,à plus forte raison quand on avait l'intention comme elle,de partager la vie

d'un docteur de renommé comme le docteur Tojeman,il valait vraiment si faire et dés

maintenant serait le mieux,Héléne de toute façon avait plus d'un tour dans son sac

et savait se faire à toutes les situations même imprévues et s'en sortait toujours

gagnante.

Marianne Dufour observait de loin Héléne Portal

allez et venir devant le comptoir des urgences où elle était assise pour lire des

résultats d'examens et elle ne pouvait s'empêcher de penser qu'elle détestait cette

fille,sa facilité à mettre le moindre homme dans sa poche,d'être si sur d'elle,elle

pensait sincèrement qu'elle n'avait pas sa place dans un endroit tel que des

urgences d'hôpital,elle la voyait plutôt dans des magazines de charme ou défilant

sur des podiums en tant que top model,plus elle la regardait et plus elle avait

envie qu'elle dégage,si elle pouvait trouver la moindre faille dans cette moulure

de mode,elle ne se gênerait pas un seul instant pour la faire éjecter et ces

sourires forcés de pintade ni changeraient rien,Marianne Dufour n'avait pas d'état

d'âme,la vie lui avait appris à s'en passé...

Marianne Dufour avait toujours du se battre

plus que les autres pour obtenir ce qu'elle voulait surtout avec les hommes chez

qui elle passait souvent inaperçu,elle n'était pas de celle qui attirait par ses

tenues affriolantes,ou maquillages criards,elle était plutôt du genre discrète

,sûrement beaucoup trop et cela ne l'aidait pas du tout,car après tout elle n'était

pas moche et plutôt charmante quand elle s'en donnait la peine,sans compter ses

apparences rigides,autoritaires,qu'elle laissait transparaître en premier chez elle

et qui était surtout un moyen de protection contre ceux qui pourraient lui faire du

mal,toutes ces attitudes remontaient de l'enfance,avec un père qui n'avait cessé de

la terroriser avec sa mère et son petit frère,dans ces crises du à ces ivresses

répétées,jusqu'au jour ou à ses 16 ans,il n'était pas rentré à la maison et qu'en

fin de la journée suivante,la police était venu leur annoncer qu'ils avaient

retrouvé son père noyé dans le canal après y être tombé dans un état d'ivresse

avancé;dès cet instant,elle c'était sentie libérée,mais elle était aussi devenue

dure,intransigeante et froide,avec une certaine rancoeur vis à vis des hommes,tout

ce qui faisait ce qu'elle était aujourd'hui.


Écrit par Hugo gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS )à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,janvier 2011

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dimanche 13 février 2011

Essaie de comédie musicale, écrit par Hugo Gall, Henry VIII roi D'Angleterre, il était une fois un tyran

" UNE DYNASTIE S'EN VA "


" Pour la comédie musicale,imaginée et écrite par Hugo Gall,la vie des Tudor et D'Henry VIII,roi D'Angleterre et ses femmes ".


Tu regardes s'en aller ta vie
Toi la reine qu'on dit vierge
Tu fais le bilan de tes choix et envies
Consciente de la flamme qui use le cierge
Tu penses et vois ceux qui ont étés
De ton grand-père Henry VII à ton père
Les folies de son règne et ces libertés
Le visage furtif et aimant de ta mère
Tu revis les jours de ton frère et ta soeur
Les combats que tu menas pour survivre
La douleur de la perte de ceux qui meurent
La force de devoir prendre une décision et la suivre

Une dynastie s'en va
Avec toi la dernière Tudor
Derrière toi il n'y en aura pas
Tu les emporte tous dans ta mort
Une dynastie s'en va
Faite de trahison,de sexe et de sang
C'était ton choix de tout arrêter là
Dans l'histoire du temps

Tu ressens les sentiments des premiers émois
Ceux qui ont fait chavirer ton coeur
Tu te revois dans des bras pleine de joie
Contre le corps des hommes qui t'ont donné du bonheur
Tu ne sais plus ou est la vérité
Un voile noir commence à envahir tes yeux
Tu te demandes si tu as eu raison de condamner
Une Marie Stuart prête à t'envoyer vers Dieu
Tu t'ai rachetée en adoptant Jacques Stuart fils de Marie
Pour faire de lui ton héritier et ton successeur
Tu ne regrettes pas les enfants à qui tu n'as pas donnée la vie
A l'heure où tu t'en va avec les honneurs et sans rancoeur.

Écrit le jeudi 10 février 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île de France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )

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Je défend la cause des victimes d'incestes,maltraitances,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à tout ces fléaux,accès:

Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com

Essaie de comédie musicale, écrit par Hugo Gall, Henry VIII roi D'Angleterre, il était une fois un tyran

" MARIE STUART,COUSINE DE SANG "


" Pour la comédie musicale,imaginée et écrite par Hugo Gall,la vie des Tudor et D'Henry VIII,roi D'Angleterre et ses femmes ".


Petite reine D'Ecosse à peine née
Six jours après la mort de ton père
Une couronne trop lourde à porter
Dans un grand froid d'hiver
Petite fille de Margarett Tudor
Soeur D'Henry roi D'Angleterre
voulant te marier à Edouard avant sa mort
Pour obtenir L'Ecosse et ces terres
Petite femme fille de Marie De Guise
Entourée d'assoiffés de pouvoir
Qui en faux amis se déguisent

Marie Stuart cousine de sang
Qui pensait avoir tous les droits
Tu t'ai noyée dans les tourments
De l'ambition et la folie des rois
Maris Stuart cousine de sang
Rivale D'Elisabeth Tudor
Tu t'ai heurtée à son rang
Avant qu'elle décide de ta mort

Femme du roi François II à 17 ans
Reine de France et veuve un an après
Tu fus aspirée par la politique de ton temps
Qui t'emmena dans ces nombreux excès
Femme D'Henry Stuart comme deuxième époux
Qui te donna ton fils Jacques
Qui sera celui à qui Elisabeth donnera tout
Ta cousine qui fera de toi un agneau de pacques
Femme et reine victime ou coupable
Devant fuir vers celle qui était son destin
Tu fus compromise dans des complots inacceptables
Qu'Elisabeth te fit payer sur le billot un matin

Écrit le Samedi 12 février 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )

Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr

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jeudi 10 février 2011

Deuxiéme roman,suite...3

Dépression interdite:I;Qui est qui? ( 3 )


Quand elle entendit " hello Héléne ",elle se

retourna et vit avec plaisir le docteur Olivier Masson qui arrivait pour prendre

son service et relayer le docteur Marianne Dufour qui avait fait sa journée,elle

était très heureuse de la voir,Olivier Masson était un beau et très séduisant jeune

interne de 27 ans,brun ténébreux aux yeux vert qui faisait pensé à son acteur

préféré,Romain Duris,pour qui elle aurait fait plus d'une concession,malheureusement

Olivier Masson n'était pas réservé à la gentes féminine,car même si on était loin de

l'imaginer avec sa virilité prédominante et assumé,il était 100% gay,il n'était pas

du genre à être un porte drapeau de cette cause et n'avait aucune envie de le

claironner à tort et à travers à qui voulait bien l'entendre et le savoir,non pour

lui la sexualité de chacun ne regardait personne et s'arrêtait à la porte de la

chambre,devant rester intime et préservé,il était avant tout un homme et pour le

reste ça ne regardait que lui et surtout que personne ne venait le vanner sur sa "

différence " car il savait très bien remettre les petits merdeux dans le sens de la

vie et du jugement dont personne à part Dieu n'avait le droit de lui infliger,car

qui que se soit,d'un côté ou de l'autre il y avait bon nombre de reproche à faire

au monde entier et la majorité n'était sûrement pas à imputer aux homosexuels

comme lui,qui n'emmerdait et ne demandait rien à personne,que le droit de vivre tel

qui l'entendait,entre adulte consentant et surtout pas à confondre avec les

pédophiles,dont certains homophobes s'amusaient à confondre par imbécillité

primaire,n'ayant pas encore compris qu'un gay était autant équilibré qu'un hétéro

normal,Olivier Masson et Héléne Portal s'appréciaient énormément et ils avaient en

commun plus d'une chose,de l'humour,la joie de vivre,les mêmes artistes chanteurs

et acteurs y compris Romain Duris justement,il était arrivé bien avant Héléne

aux service des urgences,4 ans déjà et il avait bien remplis sa place,il était très

apprécié de pratiquement tout le personnel et des médecins et hiérarchie en

général,laissant une seule personne qui ne le portait pas dans son coeur,Marianne

Dufour bien sur,mais elle aussi avait ses fans,elle était aussi depuis son arrivée

ici un personne qu'il avait beaucoup du mal à cerner et vers qui aller en toute

amitié.

Marianne Dufour était arrivée six mois après

lui et avait toujours essayée de prendre le dessus sur lui;ce qui n'appréciait pas

du tout,mais il avait du vite trouver un terrain d'entente pour la bonne marche du

travail et assez d'intelligence pour que l'atmosphère demeure agréable,c'est dans

la précision et l'exigence qu'ils avaient et demandaient à leurs travails qu'ils

réussirent à se retrouver et faire l'impasse sur tout le reste,s'ils ne

s'appréciaient pas sur le côté humain,ils s'appréciaient en tant que professionnel

et finalement c'était tout ce qui comptait pour lui et puis on n'était pas au

travail pour devenir ami avec tout ses collègues...

Cependant il n'y avait aucune possibilité à

faire évoluer cette semi-entente en amitié et rien de plus ne se fit même avec le

temps,Marianne Dufour était une femme butée dans ces idées et cela ne servait à rien

d'essayer de la faire changer d'avis,autant parler à un âne qui ne reconnaissait pas

une carotte et qui en voulait une quand même,alors les choses en étaient restées

là,à 35ans,Marianne Dufour était une femme revêche,stricte,qui aussi brune qu'Héléne

Portal était blonde,avait du mal à s'intégrer dans les conversations et relations

amicales,elle semblait seule et désespérément malheureuse,beaucoup avait essayé de

l'approcher et c'était casser les dents vertement,elle n'avait connu que des

histoires d'amours malheureuses et vivait désormais seule depuis cinq ans,sans

enfants,elle voyait ses rêves de maternité s'amenuiser de plus en plus vite,cela

lui pesait et lui donnait un air triste et agressif en permanence,faisant ainsi

fuir d'avance ceux qui auraient pu l'approcher,elle avait pourtant cru à un moment

avoir trouvé la perle rare en la personne de ce cher Olivier Masson,mais à son

grand désespoir elle apprit très vite en entendant les conversations des uns et des

autres qu'il était gay,cela l'avait blessé et rendu verte de rage,ce qui faisait

que depuis elle semblait ne pas décolérer et en vouloir à la terre entière,surtout

ceux qui l'approchaient de près ou de loin,pourtant elle était seule responsable de

ce qu'elle avait cru pouvoir posséder,mais elle avait aussi un passé qui ne l'avait

sûrement pas épargné pour être ce qu'elle était...

" Alors ta nuit fut courte et chaude Olivier?"

demanda Héléne, " pas de problème je peux te dire que pour une fois j'ai eu le bon

flacon avec l'ivresse et toi mon petit bouchon,toujours pas de roméo en vue?".

" eh bien entre nous je t'avoue que j'ai peut-être décroché le bon numéro,mais je

préfère attendre avant de t'en parler,

j'aimerai être sur et ne pas tuer la peau de l'ours avant ".

A cet instant une infirmière arriva à leurs

hauteurs et Olivier Masson l'interpella en lui disant " eh Celine comment ça va

miss coco? ",la jeune femme le regarda avec un large sourire,puis après lui avoir

répondu qu'elle allait bien,elle s'éloignât dans le service des urgences.

Héléne Portal se pinça le nez et se mit à rire

aux éclats en disant " je suis miss coco,bouchez vous le nez",il fallait dire

que Céline Belgrand avait la main leste sur son eau de toilette à base de coco et

elle embaumait tout sur son passage,allant de service en service,on avait fini par

la reconnaître et lui attribuer le surnom de " miss coco " et tout le monde y

allait de bon coeur,Olivier Masson en tête,lui qui avait lancé le surnom le

premier,avec Héléne cela les amusaient beaucoup à chaque passage de la miss...

Quelques minutes plus tard,dans le service du

docteur Tojeman,dans la chambre 205,Julien Bertin était dans un semis sommeil grâce

au traitement antidépresseur en perfusion,quand sa porte s'ouvrit tout doucement

et qu'a pas feutré une ombre traversa la pièce jusqu'à la perfusion,avec

dextérité,l'intrus injecta le contenu de sa seringue qu'il tenait à la main,dans la

perfusion et attendit deux à trois secondes,pour être sur que son geste faisait son

oeuvre,à cet instant Julien Bertin émit un râle,suivie d'une respiration forte et

de plus en plus saccadée,satisfait l'ombre repartit comme elle était venue,dans le

silence le plus intense,puis Julien Bertin ouvrit les yeux dans un grand

soubresaut qui le laissa terrassé,ayant tout juste eu le temps de se demander ce

qui lui arrivait,son corps se détendit enfin et la vie le quitta,il ne restait plus

que le cri impuissant et inaudible d'un profond silence...


Fin de la première partie...

Écrit par Hugo Gall ( pseudo de T.G )à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,2011

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mercredi 9 février 2011

Ainsi va la vie...

" DES PERSONNES QUI NOUS ATTIRENT "



Au coin d'une rue,dans un square
Il y a des gens qui nous interpellent
Sur une plage ou sur le quai d'une gare
Il y a des âmes qui nous appellent
Au son d'une voix,un regard captivant
Comme un aimant qui nous aspirent
Des yeux qui envoûtent et séduisant
Des personnes qui nous attirent

Entres les rayons d'un supermarché
Il y a quelqu'un qu'on aimerai suivre
Entendre nous parler de lui et se confier
Pour mieux se connaître et mieux vivre
A la télévision,sur un écran de cinéma
Il y a un acteur qui nous inspirent
Que l'on voudrait prendre dans ses bras
Des personnes qui nous attirent

Dans la rame d'un wagon du métro
Il y a des sourires qui nous rassurent
Des physiques qui nous font chaud
Comme le bleu d'un ciel azur
A chaque moment de notre vie
Il y a des rencontres qui nous chavirent
Et que l'on voudrait garder à l'infini
Des personnes qui nous attirent

Écrit le Mardi 8 février 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée,Île De France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )

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lundi 7 février 2011

Deuxiéme roman,suite...2

Dépression interdite:I;qui est qui? ( suite ).



Quand Héléne Portal quitta son bureau après

lui avoir dit oui à l'invitation à dîner qu'il lui avait fait instantanément et

presque malgré lui,il ne pouvait s'empêcher de revoir son sourire d'ingénue et ses

yeux si bleus,qui l'avait si vite envoûté dés leurs premiers regards.

Pour la première fois depuis si

longtemps,comme après un long hiver qui semblait ne plus finir,il était content de

lui et ne comptait pas en rester là,cette femme était splendide et si

désirable,avec en plus une intelligence qu'il ne trouvait pas déplacé et

incompatible,comme chez certaines femmes qui ouvraient la bouche pour ne rien dire

ou en dire trop,elle c'était tout autre,elle semblait vraiment savoir ou elle

allait et ce qu'elle voulait et il aimait ça,oui vraiment cette femme lui

plaisait...

On disait trop souvent de ce style de femme, "

soit belle et tais toi ",mais là,il était plus qu'évident que ce n'était pas le

cas,en tout cas pour elle les choses étaient différentes,on sentait chez elle de la

culture,un langage plus développé et en prime elle était docteur aux urgence,ce

qui laissait penser qu'elle n'était pas du tout une plante verte que l'on pose à un

endroit le matin et que l'on récupère quand le soir vient car on en a

besoin,il n'était pas possible d'ignorer l'évidence,il était ébloui et conquis.

Elle arriva avec un grand sourire aux lèvres

dans le service des urgences et atteignit le bureau des internes,elle se sentait

légère,radieuse et fière d'elle,même le regard noir que lui lançait à cet instant

sa collègue,le docteur Marianne Dufour,ne la fit pas changer de tempérament

romantique et petite fleur bleue,ni quand Marianne Dufour lui envoya " je croyais

t'avoir dit que je monterai moi même les examens que demandait le docteur

Tojeman,quand je les aurait vérifié,alors pourquoi les a tu montés,sans tenir

compte de ce que je t'avais dit??? ".

Après avoir pris un sourire qui lui faisait

jouer les bêtasses,elle lui répondit " j'ai pensé que comme tu étais occupé avec un

patient et que l'appel et les besoins du docteur Tojeman était urgent,qu'il valait

mieux et c'était plus facile que je le fasse moi même,comme cela ça te soulagerait

aussi,car tu avais tant de travail,puis tu pourrais toujours les récupérer par la

suite pour les vérifier,quoique personnellement je ne vois pas pourquoi il te

fallait les vérifiés..."

Marianne Dufour fit un sourire forcé et pensa

très fort au fond elle,que cette ravissante idiote de blonde était une vraie

pétasse,qui se croyait au dessus de tout et tous,tout ça parce qu'elle avait des

arguments physiques meilleur que les filles comme elle,elle s'en foutait bien de

son charme dévastateur,mais elle n'acceptait surtout pas qu'elle empiète sur son

terrain et qu'elle décide de ce qu'elle avait décidé,s'en était trop cette fois

ci,une chose était sur et définitive: elle ne l'aimait pas,mais pour la bonne

marche du travail elle ferait bonne figure,même si elle n'avait qu'une seule

envie;lui mettre son poing dans sa belle petite figure...

Héléne avait bien compris que Marianne Dufour

n'avait pas supporté qu'elle monte les examens au docteur Tojeman et qu'entres

elles le torchon allait brûler au moindres frictions,mais là en cet instant,elle

jubilait ,ravi de lui avoir joué ce petit tour à sa façon,même si au début elle ne

l'avait pas fait dans cet intention et pour l'enragé,mais maintenant elle avouait

que cet utile ayant tourné au très agréable,lui plaisait décidément beaucoup et vu

la tête de cette pisse vinaigre,elle en rigolait encore plus.

Écrit par Hugo Gall ( pseudo de T.G )à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France.

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vendredi 4 février 2011

Deuxiéme roman,suite...

( Dépression interdire,I:qui est qui? suite)



Le docteur Héléne Portal s'avança vers lui et

lui tendit la main " bonjour docteur Tojeman,je suis le docteur Héléne Portal des

urgences,je vous amène les examens que vous attendiez avec impatience,je suis

enchantée de vous rencontrer ".

Il serra sa main chaleureusement,lui avouant

qu'il était lui aussi ravi de la rencontrer et lui demanda comment ils avaient fait

pour ne pas se rencontrer plutôt?.

Héléne Portal se senti rougir,mais elle était

avant tout flattée qu'un tel homme soit sous son charme,le docteur Tojeman avait 50

ans,mais avec une présence et un charisme rare,un charme grisonnant fou et un

regard perçant,il était aussi une personnalité renommée qui faisait de lui un homme

plus qu'attirant et exceptionnel;pour tout dire elle était contente d'avoir pu

manipulée sa collègue,le docteur Marianne Dufour,pour avoir subtilisé ces examens

et les remêttrent en main propre au docteur Tojeman,qu'elle rêvait d'approcher de

si près,maintenant que c'était fait elle en était plus que satisfaite,la réalité

était encore plus belle et forte que le fantasme ou le virtuel et à cet instant

elle se dit en elle même qu'elle ne s'arrêterait pas en si bon chemin...

Elle regarda le docteur Tojeman dans les

yeux avec un grand sourire et lui avoua que cela ne faisait que trois mois qu'elle

était arrivée aux urgences et que c'était sûrement une des raisons pour lesquelles

ils ne c'étaient malheureusement jamais croisés avant dans ces grands couloirs de

cet immense paquebot qu'était l'hôpital européen Georges Pompidou,innocemment elle

glissa que c'était une bonne chose de faite et qu'elle en était heureuse,elle avait

tant entendu parlé de lui,qu'elle mourait d'impatience de le rencontrer et elle

admirait son travail et tous ces écrits sur la psychologie et psychiatrie,elle

espérait aussi qu'ils pourraient apprendre à mieux se connaître si il était

d'accord...

A cet instant se fut au docteur Tojeman lui

même de se sentir rougir et plus que flatté,veuf depuis plus de deux ans

maintenant,il n'avait plus eu l'occasion de mettre encore à l'épreuve le pouvoir de

son charme de quinquagénaire et ses envies sexuelles,qui jusqu'à cet instant précis

semblait se rappeler à ses souvenirs,il fallait dire que son travail lui prenait

beaucoup de temps et par ailleurs il avait aussi mit pas mal de distance avec tout

ça depuis le décès de son épouse avec qui il avait été si heureux et qu'il aimait

tant,il y avait aussi leurs deux enfants,bien que assez grand aujourd'hui et en âge

de pouvoir se débrouiller seuls,Tom 20 ans et maxime 18 ans,ils n'étaient plus des

enfants certes,mais ils vivaient encore avec lui à la maison et ils étaient très

proches,depuis la mort de Julia leurs mère il s'en sentait encore plus proche et

responsable,tout cela expliquait ce mur construit entre son travail et sa vie

intime,mais là en un seul regard et un sourire,il sentait que quelque chose en lui

était entrain de changer et de se rappeler à lui,était-il soudain prêt à refaire

sa vie,à plaire à nouveau et aimé???.

Héléne Portal compris qu'elle avait mit

dans le mille et récolté les points maximums,à 30ans,elle n'était plus une petite

fille et connaissait l'impact que produisait son corps et ses charmes sur les

hommes,quand elle avait un homme en vue,elle savait très bien comment arriver à ses

fins,elle n'était pas non plus une fille facile,ni une fille intéressé,mais depuis

longtemps déjà elle avait compris qu'elle aimait les hommes plus âgés

qu'elle,accomplis,réalisés,équilibrés dans leurs vies,avec beaucoup de charme et

d'aura,elle n'avait jamais d'ailleurs été séduite par tout ces jeunes de son

âge,immatures,prétentieux,cons,inconstants,volages et si ennuyant,alors son choix

avait été vite fait et elle ne s'en sentait que mieux dans sa vie,seulement

aujourd'hui à 30ans,elle avait envie de se fixer avec l'homme qui remplirait tous

ses critères de sélection et là devant elle,se trouvait le choix plus que

parfait,même idéale,celui là pour rien au monde elle ne le laisserait filer,ça non

et gare à celle qui voudrait lui prendre,belle oui,mais pas conne,ni trop bonne...

Quand il ouvrit la bouche,il sentit qu'il

allait faire quelque chose d'étrange et impossible à ne pas faire et réfréner "

puis-je vous demandez,si je peux vous inviter à dîner demain soir,pour que nous

puissions fêter ce premier contact et vous remercier pour avoir été si rapide à

m'amener ces examens?

Écrit par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS )à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France.

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jeudi 3 février 2011

La petite chronique D'Hugo, tiré de notre quotidien

" ÉLITES,POLITIQUES,LA FRACTURE IRRÉVERSIBLE ? "


( Colère,indignation,aveuglement,ignorance,il est temps de dire la vérité.... )


Les phrases et les mots contre les minima sociaux se succèdent
Des rétributions des minima sociaux trop longues,à l'augmentation des TVA
On a l'impression que les plus pauvres doivent le rester et l'être encore plus
Que l'on doit aider les patrons et les pauvres riches à le devenir encore plus

La réalité semble être très loin de nos politiques et de ceux qui nous gouvernent
Comme des bobos,des journalistes qui ne sont pas à font dans leurs sujets brûlants
Tout ceux qui doivent faire des lois,protéger les citoyens les plus faibles
Sont tournés vers leurs ambitions personnels et leurs propres niveaux de vie

A un an des présidentielles,on commence à tendre le dos
Et se demander si dans tout ces élites il y a une bonne âme qui sommeil
Pour se soucier enfin des plus petits et plus faibles qui ne vivent plus,mais survivent,qui n'arrivent plus à se nourrir,se loger,convenablement et dans la dignité

A l'heure où tant de pays se révoltent ou réclament leurs libertés et démocraties
La France elle qui était première en toute liberté et démocratie recule à grand pas
On cautionne des patrons puissants qui licencient,décentralisent à leurs volontés et sans états d'âmes,ils méprisent leurs personnels,les traitent comme des esclaves,les tyrannisent.

On veut obliger les gens à tout supporter,se taire,faire,sans bonheur et crever en silence,tant de gens on était licencié plusieurs fois,après avoir tout donné,on les a pris pour des kleenex et après ils devraient repartir la fleur au fusil,la bouche en coeur en disant merci,alors que l'état les méprisent et ne s'en soucient pas

Tant de personnes de nos jours n'ont pas de voiture car ils n'en ont pas les moyens
C'est ou l'on met de l'essence dans la voiture et on crevé de faim ou l'on mange
Tant de ces personnes s'alimentent difficilement pour pouvoir payer leurs loyers,charges,assurances,électricité,gaz,eaux,pour ne pas être jeter dehors comme des chiens.

Avec tout cela il faut compter les lois incompréhensibles que des gens dit " intelligent " ont adopter sans se soucier des difficultés financières que tant de personnes traversent déjà pour se nourrir,en leurs imposant en plus des alarmes incendies,des décodeurs numéricables,des futurs compteurs EDF plus cher,j'en passe et des meilleurs,comment peut ton dans un pays comme la France faire encore de telles choses,enterrant les pauvres gens encore plus...

Il va de soit qu'un fossé irréversible se creuse entre citoyens de minima sociaux
Et tous les élites,politiques qui nous gouvernent et font notre pays républicain
La vision et constatation de ce que nous vivons,sentons,nous fait peur pour l'avenir
Et nous appel à ne plus avoir confiance en chacun d'entre eux

Pour l'instant il n'y a aucun discours sensé sur tout ces graves problèmes
Pas un seul politique ne semble prendre en compte l'ampleur du désastre et désespoir
La seule chose qui compte pour eux c'est leurs mandats,la place à l'Elysée
Mais ils oublient qu'avant tout ils sont des élus du peuple y compris des petits

Même les radios et services publics se font payer pour un coup de téléphone
Faisant du même coup de l'anti social,car le 08 ou 3614,etc,sont des numéros surtaxés
Et évidement cela fait déjà une différence pour les minima sociaux dont c'est impossible à faire,creusant ainsi des fossés entre les citoyens et des incompréhensions intolérables

Quand un homme,une famille avec ou sans enfant a du mal à se nourrir et vivre Que l'on met tout le monde dans le même sac sans faire de cas pas cas
Généralisant en sous entendant que les minima sociaux sont des profiteurs
Et qu'ils le veulent et sont bien dans leurs situations,c'est de la diffamation insultante et irresponsable pour la majorité d'entre eux

Il est plus que temps que les yeux et oreilles fermés de tout ces messieurs et mesdames s'ouvrent
Qu'ils oublient un moment tout leurs privilèges et facilités de s'exprimer et d'être
Pour penser et voir que l'on ne naît pas tous égaux,physiquement,mentalement,avec des parents aimant,riches,il y a des orphelins,des enfants maltraités,violés,des malades,abandonnés,etc...Qui nous font devenir différent des autres et ne pas avoir les mêmes chances,possibilités dans la vie.

Alors quand on a eu la chance d'avoir été bien élevé,d'avoir une bonne situation
On ne juge pas les autres,on ait pas égoïste,méprisant,aveugle,on fait tout pour aider ceux qui n'ont pas eut cette chance,que quoiqu'ils fassent ne l'auront jamais
Pour donner un peu de ce que l'on a eu et pour que les autres puissent quand même vivre dignement,il serait temps de tous nous indigner et de demander un soubresaut de réaction humain et plus que nécessaire,car les prix qui montent,la vie qui deviens impossible,ce n'ai pas une utopie,c'est ici et maintenant....

Écrit le jeudi 3 février 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,par
Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS )

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La folie de notre temps présent...

" MA NOSTALGIE A PRIS FROID "




Ma nostalgie à pris froid
Sans cache nez,sans cache col
Elle semble avoir perdu la foi
Comme terrassé en plein vol

Ma nostalgie à pris froid
Dans le frimas d'un hiver sans fin
Qui semble sans rire et sans joie
Figé dans un instant que rien atteint

Ma nostalgie à pris froid
Elle a la fièvre de ces souvenirs
Des shows télé scintillants d'autrefois
Qui nous donnaient tous le sourire

Ma nostalgie à pris froid
Dans les brouillards incertains de l'avenir
Elle c'est égarée dans un détroit
Pour ne pas voir arriver le pire

Ma nostalgie a pris froid
Dans les hautes neiges éternelles
Elle a peur de ne pas avoir le choix
De devoir partir vers un lendemain artificiel

Ma nostalgie a pris froid
Loin de tout ce qu'elle aimait tant
Du bien être de certain endroit
A la rapidité que passe le temps

Ma nostalgie a pris froid
Sans les Carpentier et leurs talents
De Dalida à Joe,Cloclo,Sheila
Tous ceux qui ensoleillaient nos 20 ans

Ma nostalgie a pris froid
Quelque part dans ce monde perdu
Cette génération qui s'en va
Laissant derrière elle ce qui ne sera plus

Écrit le jeudi 3 février 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,par Hugo Gall ( pseudo de THI.... GALL... )

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mardi 1 février 2011

Deuxiéme roman

Dimanche 16 janvier 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,île de France


DÉPRESSION INTERDITE







HUGO GALL ( pseudonyme de GALLOIS THIERRY )





Prologue:Édification d'une toile d'araignée








Richard Gauthier était allongé dans son lit de l'hôpital Européen Georges Pompidou à la chambre 203, dans le service

du docteur Joseph Tojeman, spécialiste de la dépression, grand clinicien psychiatre, Richard Gauthier traversait une douloureuse et difficile période de sa vie, à 33 ans, la

rupture brutale avec son épouse qu'il avait surpris dans leur chambre à coucher en compagnie de son meilleur ami, l'avait anéantie et inexorablement entraîné dans une

descente infernale, vers une dépression dont il ne parvenait pas à se relever.

Trouvé inanimé chez lui par sa mère, après une évidente tentative de suicide, Richard Gauthier avait été transporté aux

urgence de l'hôpital Européen Georges pompidou, où il fut pris en charge et transféré dans le service de psychologie et psychiatrie du docteur Joseph Tojeman, qui était

aussi un proche du père de Richard.

Après trois jours d'hospitalisation et de traitement antidépresseur sous forme de perfusion, il était dans un état de

semis sommeil qui lui permettait de ne penser à rien, de se reposer et reprendre des forces.

Richard Gauthier était pourtant un jeune homme fort et de caractère, plein de charme et intelligent, il semblait

impossible qu'un tel garçon puisse sombrer dans une telle dépression, il avait un emploi d'architecte dans une étude réputée, il était le père de deux adorables enfants, un

petit garçon de 4 ans et une petite fille de 2 ans, il semblait avoir un avenir qui filait sous les meilleurs hospices et pourtant il suffit d'un grain de sable de toute cette belle

machinerie pour enrailler tout ces belles perspectives bien huilées, un amour qu'il pensait éternel et unique, fort et éternel, fidèle et dévoué, soudain brisé par la réalité de

cette image aperçu dans un lit qu'il croyait protégé et intouchable pour un amour qu'il pensait partager, mais la dépression était comme ça, sourde et aveugle, insinueuse

et silencieuse, grand et petit, fort et faible, elle frappait n'importe qui et à n'importe quel moment .

Richard était tranquillement endormi, quand tout doucement la porte de sa chambre s'ouvrit, plongé dans son semis

sommeil il ne s'en rendit pas compte, il ne réalisa que quelque secondes plus tard, après que la porte se referma sans bruit minitueusement et qu'il senti monter en lui des

soubresaut qui lui bloquèrent la respiration et lui brûlèrent la poitrine, avant de le laisser dans un ultime soupir et les yeux grand ouvert d'incompréhension fixant le plafond,

rendre l'âme, sans avoir pu savoir ce qui lui arrivait et sans pouvoir appeler à l'aide .




I :Dépression interdite; Qui est qui ?


Le docteur Joseph Tojeman se tenait à son bureau,encore bouleversé par la mort de son patient ,Richard Gauthier,survenu

une semaine plutôt,étant un ami d'enfance du père de Richard,cela le touchait encore de plus près et plus que d'habitude pour un patient ordinaire,pas que il ne ressentait

rien pour ses patients,mais son métier lui avait appris très jeune à prendre de la distance en tout témoignage de sentiment,pour être toujours près à donner les meilleurs

soins aux autres patients,mais là il ne pouvait rester neutre,il ne parvenait pas à comprendre comment cela avait pu arrivé,rien ne pouvait le laisser imaginer un seul

instant,tout les examens qu'il avait demandé ne montraient rien d'anormal,hors mi sa dépression sévère,il était en bonne santé physique.

Une crise cardiaque si soudaine sur un tel patient à l'état autant satisfaisant,était pour lui inimaginable,pourtant l'impossible

était arrivé et les résultats de l'autopsie qu'il avait devant les yeux ne faisait pas de doute,tout cela ne pouvait pas l'empêcher de ressentir comme un goût amer,lui un

médecin clinicien reconnu par tous,se sentait éclaboussé dans son orgueil et mal à l'aise vis à vis de son ami à qui il ne savait pas quoi dire,ni regarder dans les yeux,

mais comme toujours la vie finissait par reprendre ces droits,les patients se succédaient et il devait repartir vers un nouveau patient hospitalisé dans son service.

Julien Bertin était un homme de 40 ans,dans la force de l'âge,mais dans une dépression sévère,qui le laissait dans un état

léthargique après une tentative de suicide qui l'avait conduit ici dans le service du docteur Tojeman,Julien Bertin était un homme sportif,élégant,plein de charme,marié et

père de deux garçons de 12 ans et 10 ans,ainsi que d'une petite fille de 8 ans,il était patron d'une société de vente sur internet,il avait tout pour être heureux,mais le décès

de sa mère de qui il était très proche,l'avait petit à petit accablé et entraîné vers un monde dont il ne parvenait pas à revenir et un jour son épouse l'avait trouvé inanimé

dans leurs salle de bain,les veines tailladées,sous le choque elle avait appelé le samu qui l'avait transporté aux urgences de l'hôpital Européen,avant d'être transféré dans

le service du docteur Tojeman.

Après des premiers examens montrant que le patient était physiquement en bonne santé, à part sa dépression sévère,le

docteur Tojeman encore secoué par la perte inconcevable de Richard Gauthier,demanda d'approfondir les examens cardiaque et de sang,car à ses yeux les deux cas

étaient similaire,tout deux étaient en dépressions sévères après une tentative de suicide et surtout ils étaient en bonne santé physique,il ne voulait pas commettre une

erreur et passer à côté de quelque chose qui pourrait être plus grave et fatal au pire,à cet instant il préférait mettre toutes les bonnes cartes de son côté et de son

patient,tout cela lui donnerait un plus grande tranquillité d'esprit...

Il décrocha son téléphone et appela le bureau des infirmières de son service,le combiné à l'autre bout de la ligne décrocha et

il dit tout de suite " c'est le docteur Tojeman,avait vous reçu les examens de monsieur Julien Bertin que j'ai demandé? " ;l'infirmière qui était à l'appareil demanda un instant

pour se renseigner,après quoi elle reprit la communication et dit que les examens n'étaient pas encore remonté des urgences et que le docteur Héléne Portal,une des trois

responsables du service des urgences les montaient tout de suite,après avoir remercié l'infirmière il raccrocha assez anxieux et dubitatif.

Quelque minutes plus tard,il était entrain de donner son compte rendu dans son dictaphone pour sa secrétaire,quand le

docteur Héléne Portal frappa à la porte de son bureau,aussitôt qu'elle entra il fut ébloui par son regard de blonde incendiaire aux yeux bleus,avec un corps sculptural parfait,

il avait beau essayer soudainement de chercher dans ses souvenirs,il ne se rappelait pas d'avoir croisé une seule fois cette bombe sensuelle dans son service,ni même

dans l'hôpital,il s'en serait souvenue sans le moindre doute,qui pouvait oublié une telle personnalité,mais à cet instant il était plus que ravie de cette arrivée inattendue qui mettait un peu de sel dans cette journée si difficile...

Merci de vos encouragements,impressions,de partager et faire connaître ce blog,vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr