LE PROCHAIN AUTOMNE
Quand reviendras-tu automne
Après cet été si brûlant
Où le tonnerre si souvent tonne
Dans cette chaleur de charbon ardant?
Quand reviendras-tu automne
Toi ma saison préférée, après cet été
Où j'ai tant souffert, après qu'on pardonne
Dans cet endroit où je me suis exilé?
Quand reviendras-tu automne
Qu'enfin je respire ta fraicheur
Où je vois tes mille couleurs si bonnes
Qui rechargeront mon cœur de son malheur?
Ecrit à Bois-Le-Roi, le mois d'août 2018, maison de repos; par Hugo Gall, pseudo de T.G
jeudi 30 août 2018
lundi 21 mai 2018
les bleus à l'âme
'' LES
FANTÔME DE MON ÂME ''
Comme
la mer ramène toujours
Éternellement
les vagues sur la plages
Comme
l'avion s'envole nuit et jour
Pour
amener les voyageurs et leurs bagages
Mon
esprit et mon cœur se rappellent à moi
Je
revois l'enfance et l'adolescence qui m'ont tant coûtés
Chaque
instant je sent ces souvenirs en moi
Me
remplir de douleurs, souffrances, jamais apaisées
Comme
l'ombre est le contraire du soleil
A
l'abri de laquelle nous trouvons la fraîcheur
Comme
l'électricité avec le gaz provoque l'étincelle
Déclenchant
explosions et incendies, dans la peur
Mon
corps porte les cicatrices invisibles
Les
blessures, morsures, destructions de mon être
Ma
vie est un long parcourt de tâches
nuisibles
nuisibles
Dont
je ne n'arrive pas à me départir pour renaître
Comme
le ciel et les étoiles nous montrent l'infini
Un
nombres incalculables d'autres planètes nouvelles
Comme
le conducteur prend la route vers sa destination définie
Pour
découvrir d'autres lieux,sites et villes plus belles
Mon
regard semble loin, mes lèvres sourient par politesses
Car
à l'intérieur c'est un grand champs brûlé, dévasté
Par
la mort trop tôt d'un père, une mère rongée par la tristesse
Dans
deux familles se faisant face et se déchirant sans être sensé
Comme
la lumière éclair la nuit, le soleil le jour
Les
noctambules font la fête, alors que les autre dorment
Comme
le printemps arrive, les oiseaux construisent leurs nids
L'automne
rappelle à l’écureuil qu'il doit faire des provisions énormes
Mon
corps et ma vie s'enfuient de mes désirs de vivre
Les
barrières que l'on a cassées dans mon enfance saccagée
Les
manques de protection,sécurité, affection légitime pour survivre
Les
maltraitances, l'inceste, non reconnaissance, ont broyées mon âme
déchirée.
Écrit
le lundi 21 mai 2018 dans la mâtiné, à Lagny-sur-Marne, square
côté police par Hugo Gall pseudo de T.G.
Au
nom de toutes les victimes et survivant de maltraitances et
d'incestes, pour faire changer les lois qui sont discutées en, ce
moment et reconnaître l'inceste comme les autres crimes.
mercredi 11 avril 2018
A ma mère et celles qui manquées à leurs devoirs
MAMAN, AMOUR AMER, COLÈRE AMOUR
J'ai mit du temps à écrire pour toi
Le temps qu'il m'a fallut pour comprendre
Pourquoi tu n'as pas fait cas de moi
Quand tu a passé tes derniers jours à attendre
J'ai tant cherché les raisons à tant de questions
Dont celle là:pourquoi ne m'a tu pas appelé ?
Pour pouvoir se parler, dire aurevoir dans l'affection
Que l'on puisse sortir du silence de toutes ces années ?
J'ai du mal avec ce notaire qui m'informe
Alors que cela faisait déjà six mois que tu n'étais plus
Comment as-tu laissé, même avec les formes
Un étranger m'annoncer que je t'avais perdu ?
J'ai biensur revu toutes ces années sans se voir
Juste en échangeant des sms, mail, téléphone si rare
Ou toi comme moi n'avons pu changer tout ce noir
Celui de notre histoire, qui a détruit ma vie sans égard
J'ai pleuré sur ton départ, j'ai hurlé de douleur
Essayant de revoir les meilleurs choses de toi pour moi
Mais j'ai vite compris qu'il ni avait que malheur
Que tu m'avais entraîné si petit, dans ton avenir à toi
J'ai vu défiler devant mes yeux tout tes manquements
Tes laissés faire sur moi par ton nouveau mari
Qui jour après jour à détruit ma vie et son développement
Même avec des circonstances atténuantes, tu as été avec lui
J'ai pensé longtemps que tu resterais après cet homme
Que l'on pourrait s'expliquer et que j’entendrai ton pardon
Mais le ciel ne m'a pas permis cela et a refermé ce tome
Et je reste seul avec mes souffrances, blessures, à perdre la raison
J'ai compris qu'a force de toujours vouloir te protéger
Ne pas voir que j'étais manipulé, je n'ai jamais rien construit
Comme un vampire tu m'as aspiré le sang pour l'avaler
Mais moi j'étais toujours l'enfant, l'adolescent meurtrit
J'ai du connaître et subir le pire par tes décisions
toutes tes absences et abandon, de la part de ton mari bourreau
J'ai grandi seul entouré de gens invisibles, sans affection
Qui n'ont jamais reconnu, cru, vu, la vérité et mes fardeaux
J'ai pourtant le souvenir dans ma peau et âme
Que j'ai aimé une maman de tout mon cœur
Mon amour a été fort, intarissable, même en subissant l'infâme
Seulement le tien ne m'est jamais venu pour mon malheur
J'ai perdu avec toi celui qui était notre étoile
C'était la veille de mes deux ans, tu avais vingt sept ans
Dés cet instant comme une araignée qui tisse sa toile
Sans mon père, je suis devenu un esprit anéanti et errant
J'ai traversé tant d'années sans les voir, les vivre
En moi l'enfant a subit et regardé cet adulte devenu
Et il y a toujours un cœur pour une maman et survivre
Pour toi c'est maman amour amer, colère amour, absolu.
A toi Maman. ( pour toutes les victimes et survivants de l'inceste et maltraitances )
Écrit le mardi 10 avril 2018 à Lagny-sur-Marne, bibliothèque
Par Hugo Gall pseudo de T. G
J'ai mit du temps à écrire pour toi
Le temps qu'il m'a fallut pour comprendre
Pourquoi tu n'as pas fait cas de moi
Quand tu a passé tes derniers jours à attendre
J'ai tant cherché les raisons à tant de questions
Dont celle là:pourquoi ne m'a tu pas appelé ?
Pour pouvoir se parler, dire aurevoir dans l'affection
Que l'on puisse sortir du silence de toutes ces années ?
J'ai du mal avec ce notaire qui m'informe
Alors que cela faisait déjà six mois que tu n'étais plus
Comment as-tu laissé, même avec les formes
Un étranger m'annoncer que je t'avais perdu ?
J'ai biensur revu toutes ces années sans se voir
Juste en échangeant des sms, mail, téléphone si rare
Ou toi comme moi n'avons pu changer tout ce noir
Celui de notre histoire, qui a détruit ma vie sans égard
J'ai pleuré sur ton départ, j'ai hurlé de douleur
Essayant de revoir les meilleurs choses de toi pour moi
Mais j'ai vite compris qu'il ni avait que malheur
Que tu m'avais entraîné si petit, dans ton avenir à toi
J'ai vu défiler devant mes yeux tout tes manquements
Tes laissés faire sur moi par ton nouveau mari
Qui jour après jour à détruit ma vie et son développement
Même avec des circonstances atténuantes, tu as été avec lui
J'ai pensé longtemps que tu resterais après cet homme
Que l'on pourrait s'expliquer et que j’entendrai ton pardon
Mais le ciel ne m'a pas permis cela et a refermé ce tome
Et je reste seul avec mes souffrances, blessures, à perdre la raison
J'ai compris qu'a force de toujours vouloir te protéger
Ne pas voir que j'étais manipulé, je n'ai jamais rien construit
Comme un vampire tu m'as aspiré le sang pour l'avaler
Mais moi j'étais toujours l'enfant, l'adolescent meurtrit
J'ai du connaître et subir le pire par tes décisions
toutes tes absences et abandon, de la part de ton mari bourreau
J'ai grandi seul entouré de gens invisibles, sans affection
Qui n'ont jamais reconnu, cru, vu, la vérité et mes fardeaux
J'ai pourtant le souvenir dans ma peau et âme
Que j'ai aimé une maman de tout mon cœur
Mon amour a été fort, intarissable, même en subissant l'infâme
Seulement le tien ne m'est jamais venu pour mon malheur
J'ai perdu avec toi celui qui était notre étoile
C'était la veille de mes deux ans, tu avais vingt sept ans
Dés cet instant comme une araignée qui tisse sa toile
Sans mon père, je suis devenu un esprit anéanti et errant
J'ai traversé tant d'années sans les voir, les vivre
En moi l'enfant a subit et regardé cet adulte devenu
Et il y a toujours un cœur pour une maman et survivre
Pour toi c'est maman amour amer, colère amour, absolu.
A toi Maman. ( pour toutes les victimes et survivants de l'inceste et maltraitances )
Écrit le mardi 10 avril 2018 à Lagny-sur-Marne, bibliothèque
Par Hugo Gall pseudo de T. G
lundi 12 mars 2018
dimanche 14 janvier 2018
hommage à France Gall
''
Requiem pour une France ''
C'était
un petit bout de femme blonde
Avec
une énergie hors du commun
Des
envies irrésistibles de sauver le monde
En
prenant tous les plus faibles par la main
C'était
la fille d'un grand musicien
Qui
la fit chanter sacré Charlemagne
L'a
propulsant sur les scènes parisiennes
Avant
de connaître aussi le succè en Allemagne
C'était
une petite fille devenue femme
Qui
remporta l'eurovision avec une poupée
Que
lui avait écrit Gainsbourg avant le drame
D'Annie
aime les sucettes qui l'a trouva choqué
Après
plusieurs moment de recul de la scène
D'amour
jamais aboutis et enfin concrétisé
Malgré
ses profondes blessures et ses peines
Un
jour la femme trouva l'amour sacré
Elle
s'appelait France Gall était chanteuse
Il
s'appelait Michel Berger chanteur compositeur
Après
le mariage la femme devint une épouse heureuse
Ensemble
ils créèrent des chansons parmi les meilleurs
Celle
qu'on appelait France devint une grande star
Mais
savait garder sa vie privé dans son intimité
Jusqu’à
ses enfants Pauline et Raphaël tenus à l’écart
Pendant
que leur père et mère faisaient leur tournée
Celle
qui chantait Diego libre dans sa tête
Avait
ses souffrances de mère dans son cœur
Comme
son mari Michel ils étaient loin de la fête
Car
ils s’inquiétaient pour Pauline fragile fleur
C'était
une belle femme blonde avec le goût du bonheur
Elle
essayait de vivre les meilleurs moments de sa vie
Entourée
de ceux qu'elle aimait et ses amis de cœur
Mais
elle ne vu pas le soleil qui apportait la nuit
Déjà
avec le départ de Daniel tout avait changé
cette
amitié devenue fraternité les avaient abattus
Puis
après un nouvel album commun les rêves se sont cassés
Un
jour de juillet Michel terrassé à jamais se tu
La
petite fille devenue femme fit face avec courage
Garda
sa tristesse pour ses enfants et continuer
Elle
fut admirable et forte pour vaincre sa rage
Avant
de décider de rendre hommage à son Berger
Puis
ce qu'elle craignait depuis si longtemps
Sembla
la prendre par surprise quand Pauline s'en alla
En
elle le sol sembla se dérober, tout ni était que vent
D'un
autre côté elle était sur que Pauline rejoignait son papa
Cette
jeune fille était plus une femme, mais une mère
Qui
désormais se battrait pour sa seule raison, Raphaël
Puis
la maladie commença à la toucher après ses vécus amers
Même
si elle réussit à la combattre son regard fixant le ciel
Cette
femme devenue une mère courage et battante
S'éloigna
soudain de tout ce monde qu'elle avait connue
Puis
elle aborda l'Afrique où elle sembla se mettre en attente
Mais
elle en profita pour se faire une vie gai dans cet inconnu
Celle
qui semblait une petite chose fragile, se révélait un roc
L'Afrique
devenant son refuge, avec un nouveau sourire
Une
autre façon d'aborder les choses, les épreuves, les chocs
Pour
elle à part Raphaël, peut lui importait l'avenir
La
femme forte revint sur son continent pour un hommage
Pour
celui qu'elle avait tant aimée et aimait toujours à jamais
Elle
choisit la façon inhabituelle, les chansons, artistes, paysages
Puis
elle resta un moment en silence à préparer son projet
Elle
choisit une comédie musicale au titre de sa chansons résiste
Supervisant
tout, elle se donna jusqu'au bout de ses forces
Mais
toute cette jeune troupe qu'elle choisit en fit une réussite
C'est
avec un grand bonheur qu'elle goûta ce dernier tour de piste
Au
moment où nous quittait un certain chanteur Johnny
Qu'elle
avait bien connue, à qui son Berger avait écrit des succès
Elle
rentrait épuisée à l'hôpital pour ne plus en sortir en vie
Le
mal avait reprit sa place dans son corps malmené, vidé
C'est
en ce début d'année 2018 en janvier
Un
dimanche matin à 10 heure qu'elle tira sa révérence
Laissant
à regret son Raphaël et cette vie tant défiée
Mais
pour beaucoup elle laisse '' un requiem pour une France ''
Et
là-haut très loin dans le ciel immense
Dieu
lui ouvre les portes de son Paradis blanc
Où
l'accueillent Miche et Pauline d'une joie intense
Pour
veiller ensemble sur Raphaël, tel des anges du temps.
Écrit
à Lagny-sur-Marne, 77400, le samedi 13 janvier 2018 par Hugo Gall (
pseudo de T.G )
en
hommage à la chanteuse France Gall ( veuve du chanteur compositeur
Michel Berger ) décédée le dimanche 7 janvier 2018, avec toutes
mes pensées et affection à son fils Raphaël Hamburger et sympathie
à son dernier compagnon.
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