Dépression interdite:chapitre V,un suspect trop idéal,suite.
Quand il arriva à l'hopital dans son service,il
ressentit comme des nausées;il apperçut d'abord le corps du surveillant que l'inspecteur Patrick
Charcot lui avait détaché dans son service,c'était un jeune policier de 28 ans,qui en venant ici
pour surveiller les allez et venus,faire son devoir de policier et au mieux arrêter cet assassin
pour l'empêcher de nuir,avait sans le savoir écrit les derniers instants de son destin.
Le docteur Tojeman se sentait vraiment désolé et
impuisant face à cela,il continua à avancer avec l'esprit embué de contrariété,observant à son
passage,les agents de police qui avaient prit maintenant place dans son service.
Devant la chambre 202,D'Arthur Jacquemin,il
apperçut son ami Patrick Charcot,à la recherche d'indice,autour du corps sans vie du patient;
quand l'inspecteur se rendit compte que le docteur Tojeman était entré dans la chambre,il se
dirigea vers lui et lui serra la main,d'une façon qu'ils se regardérent dans les yeux avec une
expréssion qui voulait dire,qu'ils étaient éfondrés par ce qui venait de se passer,ils étaient aussi
d'accord sur cette sensation d'être impuisant face à une personne qui risquait le tout pour le
tout sans se poser de question.
Le docteur Tojeman demanda à l'inspecteur,s'il
pouvait le retrouver dans son bureau quand il aurait fini de relever touts les indices possibles et
ce qui lui restait à faire;l'inspecteur lui répondit oui,puis le docteur rejoignit son bureau pour
faire le point et éssayer de se remettre un peu de toutes ces émotions,qui l'avait profondément
marqué.
Allait-il pouvoir continuer son travail après tout
ça,il finissait par se poser la question;au début de toute cette affaire,il pensait que tout cela
passerait et que tout reprendrait le cour normal des choses,mais avec cette continuité dans le
tragique,il finissait par se remettre sérieusement en question.
Malgré touts les agréables moments qu'il vivait
avec Héléne Portal,cela ne changeait rien,que pouvait-il à tout ça,il n'avait pas de réponse qui
assurerait une réussite à 100%,pourtant là,c'était tout ce don il avait envie,trouver l'unique
parade qui lui permettrait d'arrêter définitivement cet assassin,sans apparement la moindre
partie,même infime,d'humanité.
*
Héléne Portal se réveilla peu à peu,avant de bien
ouvrir les yeux et de s'étirer de tout son corps,elle chercha instinctivement le corps de son
amant,se sentant déçu de constater qu'il n'était déjà plus là,elle se sentit soudain,mal à l'aise,car
elle n'était pas chez elle.
Joseph Tojeman avait insisté la veille au soir,pour
qu'elle vienne chez lui,avec une certaine hésitation elle avait fini par dire oui,heureuse
finalement de découvrir l'intimité dans laquelle il vivait et peut-être aussi de rencontrer,puis de
faire connaissance avec ces deux fils;mais à cet instant,elle se sentait térriblement seule,mal
partie pour se présenter à des jeunes garçons qui étaient chez eux,face à une femme qu'ils ne
connaissaient,ni d'Eve ni D'Adam et qui en plus couchait avec leurs père,dans ces conditions,
cette entrevue ne l'enchantait pas le moindre du monde,si elle avait pu s'habiller,puis sauter par
la fenêtre,sans se faire remarquer et fuire à toute jambe sans se faire voir,elle n'aurait pas hésité
une seule seconde.
Seulement elle devait se repprendre,ne pas agir
comme une ado,fuire à la moindre contrariété,elle devait affronter ce qui la mettait en êtat de
panique,elle le devait bien à celui qu'elle aimait,qui lui montrait tant de confiance,de sentiment,
en l'emmenant chez lui où il vivait avec ses enfants,où personne depuis la mort de leurs mère
n'était rentré en tant qu'une possible remplaçante.
Elle se ressaisie,puis se leva,prête à faire face à ce
qui de toute façon deviendrait dans l'avenir une habitude quotidienne,si son histoire d'amour
avec Joseph Tojeman prennait son éssor,comme elle le désirait tant;elle tendit l'oreille à travers
la porte de la chambre,pour entendre s'il y avait du bruit,si les deux garçons étaient dans le
couloir,mais elle n'enttendit rien,même pas le maître de la maison,puis soudain il y eut des allez
et venus,la porte des toilettes qui claque,la chasse d'eau,il était 7 heure 30 et les garçons se
préparaient pour aller à leurs cours,alors après avoir prit une grande respiration,elle se lança et
ouvrit la porte,en tombant nez à nez,sur un des deux garçons,qui passait devant elle,en simple
caleçon,avec une démarche à l'aveuglette,qui semblait dire,qu'il n'était pas très bien réveillé.
Se sentant d'un seul coup moins bête,elle en profita
pour lancer un bonjour assez fort sur un ton cordial,pour être enttendu et ne pas être prise pour
une personne inamicale,le garçon très surpris par une voix féminine en ces lieux,stoppa sa
marche de semi somnanbule,puis se retourna pour voir à qui appartenait cette voix,mais
surtout pour être sur qu'il n'était pas encore dans son lit entrain de rêver.
A la vue de ce jeune garçon,affichant sa virilité
devant elle ;en petite tenue qui ne cachait rien de bon matin de sa bonne santé sexuelle,comme
tout garçon normal,un peu géné quand même,elle lui tendit la main et se présenta: " salut,moi
c'est Héléne,Héléne Portal,mais tu peux m'appeller Héléne,je suis désolé de te déranger dans
ton élan et dans ton intimité ".
Le garçon la regarda bien dans les yeux,avant de
prendre soudain conscience de la situation,ne sachant plus quoi faire,il fini par lui tendre la main
à son tour,en mettant malhabillement son autre main devant son caleçon,pour cacher le mieux
possible sa virilité matinale,devant cette femme qu'il ne connaissait pas encore: " euh,bonjour,
moi c'est Maxime,Maxime Tojeman,le frère ainé,je suis désolé par la situation,mais je ne savait
pas que vous étiez là,papa nous avait parlé un peu de vous,mais il nous avait pas dit que vous
seriez là cette nuit,je vais au toilette et je m'habille plus décemment,ensuite je vous prépare
votre petit déjeuner si vous voulez bien? ".
" Merci c'est très gentil Maxime,si tu permet ?;
Très contente de te connaître,ton père ma tant parler de vous,ne t'inquiéte pas pour ta tenue,
je suis habituée aux corps nus,n'oublie pas que je suis médecin quand même,alors ne te
formalise pas,en plus c'est moi l'intruse,je ne veux en aucun cas bousculer tes habitudes à toi et
ton frère ".
Tout à coup,Maxime se sentit plus à l'aise,pensant
que cette femme était bien sympathique,en plus elle était médecin,ce qui pouvait laissé penser
qu'elle était loin d'être bête,en plus elle avait réussit à plaire à son père et le sortir enfin de la
solitude dans laquelle il c'était enfermé depuis le décés de leurs mère,ça méritait bien toute son
attention,ainsi que son amitié,en plus elle était belle,ce qui ne gâchait vraiment rien,carton plein,
pensa t-il...
" C'est vrai,j'avais oublié que vous étiez médecin
vous aussi,comme papa,enfin pas dans la même spécialité,bon maitenant je dois vraiment y aller
si vous permettez,vous pouvez m'attendre en bas,dans la cuisine si vous voulez bien,je me
dépêche et j'arrive ".
Pas de probléme,prend ton temps et va y vite,je ne voudrais pas être responsable de la moindre
fuite ".
maxime sourit,se disant,en plus elle a de l'humour,
bravo papa,tu as gagné le gros lot,elle mérite vraiment d'être connu...
Ecrit en février 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
Merci de vos encouragements,impessions,fidélité,de faire connaître ce blog,vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fleaux destructeurs, accés sur:
http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com/
samedi 14 mai 2011
mercredi 4 mai 2011
Deuxiéme roman,chapitre v
Dépression interdite:chapitre V,un suspect trop idéal.
La nuit était profonde et d'un noir plus fort et épais que d'habitude;dehors il faisait froid,du gel
avait recouvert les pare-brises des voitures en blanc.
Quand l'ombre atteignit l'hopital Européen Georges Pompidou,elle fut soulagée de trouver la
chaleur en rentrant dans le hall sans se faire voir.
Bien qu'habillait chaudement,le froid plus le stress ,qu'engendrait la raison pour laquelle l'ombre
était encore là,lui donnait quelques frissons,qu'accentuaient la sensation de froid.
Vétu de noir et d'une capuche qui ne laissait rien deviner de sa réelle identité,avec la nuit des
plus sombres,l'heure de 3 heure 15 du matin,l'ombre était tranquille et non reconnaissable.
Quand la porte du service du docteur Tojeman s'ouvrit doucement,avec silence et minutie,sur
ces gardes,l'ombre s'avança à pas de loup dans le long couloir;au loin elle enttendit des éclats de
voix qui venaient du bureau du surveillant de nuit,qui l'obligea à redoubler de vigilance.
Cette situation était inattendue,en temps normal il ni avait qu'un surveillant de nuit,mais là
apparement il y avait une personne en plus,il était évident qu'un changement avait été fait sans
avoir été divulgué;il fallait impérativement trouver une parade pour neutraliser ce nouveau
danger potentiel,afin d'acceder à la chambre 202.
L'ombre réffléchissait à ce qui pourrait éloingner l'un des deux surveillant,voir les deux,quand
soudain un bruit de chaise se fit enttendre et que l'un des deux quitta le bureau,pour partir dans
le sens inverse où l'ombre était caché,plaqué dans le renfoncement d'un mur.
L'implacable tueur,satisfait de la tournure des évenements,qui lui apportait la solution sur un
plateau,se saisit d'une ampoule qui était dans sa sacoche,avant de verser son contenu dans une
seringue qui était dans une des poches de son blouson,puis quand l'opération fut terminé,il
avança dans un silence de fantômatique,comme l'ombre qu'il était en cet instant précis,puis
arrivé à la hauteur du bureau du surveillant,qui était de dos,entrain de laver de la vaiselle,qu'il
avait surement utilisé avec son collégue.
Le bruit de l'eau et de la vaiselle que manipulait le surveillant ne lui permis pas d'enttendre,
comme de voir l'ombre meutrière,qui était rentré dans le bureau et qui c'était placé dérrière
lui,pour lui planter d'un seul coup l'aiguille de la seringue au contenu mortel,dans le dos,qui allait
aller faire son oeuvre aussitôt,car en quelque seconde seulement aprés avoir sentit l'aiguille lui
piquer le dos,le surveillant s'écroula sur lui même.
Ayant cru à une piqure d'insecte,il avait juste eu le temps de poser sa main à l'endroit qui l'avait
piqué,comme pour se gratter,mais déjà il était trop tard,le poison c'était déversé en lui dans tout
son corps,il avait vascillé,sa vue se troubla,puis son coeur s'emballa,sa respiration devint de plus
en plus difficile,enfin son corps se déttendit,ses yeux grands ouverts,il expira.
Sans la moindre compassion,regret,regard en arrière,l'ombre avait déjà reprit son chemin,pour
accomplir ce pourquoi il était là,avec ce qu'il venait de faire il devait être encore plus sur ces
gardes,il ne pouvait pas laisser le surveillant restant trouver son collégue dans le bureau et
donner l'alerte,aussi avançant pas à pas,il se rendit compte que l'autre était aux toilettes,alors
très vite,il su comment réagir,il plaça une clé dans la sérrure de la porte qui donnait accés aux
toilettes et la cassa à l'intérieur,une fois la porte fermée à clé,personne ne pouvait plus en
sortir,ce qui lui laissait maintenant le temps d'agir sereinement.
Content d'avoir réussit à neutraliser les dangers qui aurraient pu l'empêcher d'acquiter sa
besogne à tout prix,il sourit avec une ironie à glacer le dos,avant de se dépêcher d'atteindre la
chambre 202,où se trouvait Athur Jacquemin,qui dormait à poing fermé,aprés les tribulations
qu'il venait de vivre,l'assassin espérait qu'enfin les choses se passent sans probléme.
Devant le corps allongé D'Arthur Jacquemin,le crime fut facile et en peu de temps,avec
l'habilité,la rapidité,une certaine habitude,l'ombre avait déjà rejoint la sortie de l'hopital,après
avoir fait son travail.
Au moment où le surveillant s'apperçut qu'il était enfermé dans les toilettes et donna l'alerte en
frappant et criant pour qu'on vienne lui ouvrir,le tueur était loin de l'hopital.
Une patiente fini par enttendre le bruit que faisait le surveillant,puis enfin donna l'alerte dans
tout l'hopital,avant que les personnes de surveillances dans l'hopital arrivérent pour ouvrir la
porte des toilettes et libérer le surveillant,pour ensuite ne pouvoir que constater et déplorer la
mort de l'autre surveillant et celle du patient de la chambre 202,Arthur Jacquemin;devant toute
cette horreur impenssable,ils restérent choqués et remplis d'incompréhension.
Quand vers 4 heure 30 du matin le téléphone résonna dans la chambre du docteur Tojeman,une
grande appréhension le saisit avant de déccrocher,à une heure pareille,il était sur que quelque
chose de grave c'était passé à l'hopital,surtout dans son service,pourtant le fait d'avoir mit une
autre personne à la surveillance exclusivement,non infirmier,cela semblait une bonne idée
partagée avec son ami l'inspecteur Patrick Charcot.
La pensée éffrayante qui lui vint à l'esprit soudainement,quand il déccrocha et qu'il fut mit au
courant de ce qui était arrivé,lui fit froid dans le dos,qui pouvait être cet ignoble assassin pour
agir ainsi,sans avoir peur de rien,jusqu'au point de tuer tout ceux qui se méttaient sur son
passage?
Il n'en pouvait plus de cette tragique histoire,qui semblait se répéter à l'infinie,il fallait arrêter
tout ça et au plus vite,il se tourna vers Héléne qui dormait calmement et l'embrassa
tendrement,avec délicatesse pour ne pas la réveiller,avant de se lever doucement sans faire de
bruit et d'aller s'habiller pour rejoindre l'hopital au plus vite....
Ecrit en février 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île de France,france,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
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Merci à vous tous mes lecteurs fidéles et vous les nouveaux,de votre fidélité et appréciation.
La nuit était profonde et d'un noir plus fort et épais que d'habitude;dehors il faisait froid,du gel
avait recouvert les pare-brises des voitures en blanc.
Quand l'ombre atteignit l'hopital Européen Georges Pompidou,elle fut soulagée de trouver la
chaleur en rentrant dans le hall sans se faire voir.
Bien qu'habillait chaudement,le froid plus le stress ,qu'engendrait la raison pour laquelle l'ombre
était encore là,lui donnait quelques frissons,qu'accentuaient la sensation de froid.
Vétu de noir et d'une capuche qui ne laissait rien deviner de sa réelle identité,avec la nuit des
plus sombres,l'heure de 3 heure 15 du matin,l'ombre était tranquille et non reconnaissable.
Quand la porte du service du docteur Tojeman s'ouvrit doucement,avec silence et minutie,sur
ces gardes,l'ombre s'avança à pas de loup dans le long couloir;au loin elle enttendit des éclats de
voix qui venaient du bureau du surveillant de nuit,qui l'obligea à redoubler de vigilance.
Cette situation était inattendue,en temps normal il ni avait qu'un surveillant de nuit,mais là
apparement il y avait une personne en plus,il était évident qu'un changement avait été fait sans
avoir été divulgué;il fallait impérativement trouver une parade pour neutraliser ce nouveau
danger potentiel,afin d'acceder à la chambre 202.
L'ombre réffléchissait à ce qui pourrait éloingner l'un des deux surveillant,voir les deux,quand
soudain un bruit de chaise se fit enttendre et que l'un des deux quitta le bureau,pour partir dans
le sens inverse où l'ombre était caché,plaqué dans le renfoncement d'un mur.
L'implacable tueur,satisfait de la tournure des évenements,qui lui apportait la solution sur un
plateau,se saisit d'une ampoule qui était dans sa sacoche,avant de verser son contenu dans une
seringue qui était dans une des poches de son blouson,puis quand l'opération fut terminé,il
avança dans un silence de fantômatique,comme l'ombre qu'il était en cet instant précis,puis
arrivé à la hauteur du bureau du surveillant,qui était de dos,entrain de laver de la vaiselle,qu'il
avait surement utilisé avec son collégue.
Le bruit de l'eau et de la vaiselle que manipulait le surveillant ne lui permis pas d'enttendre,
comme de voir l'ombre meutrière,qui était rentré dans le bureau et qui c'était placé dérrière
lui,pour lui planter d'un seul coup l'aiguille de la seringue au contenu mortel,dans le dos,qui allait
aller faire son oeuvre aussitôt,car en quelque seconde seulement aprés avoir sentit l'aiguille lui
piquer le dos,le surveillant s'écroula sur lui même.
Ayant cru à une piqure d'insecte,il avait juste eu le temps de poser sa main à l'endroit qui l'avait
piqué,comme pour se gratter,mais déjà il était trop tard,le poison c'était déversé en lui dans tout
son corps,il avait vascillé,sa vue se troubla,puis son coeur s'emballa,sa respiration devint de plus
en plus difficile,enfin son corps se déttendit,ses yeux grands ouverts,il expira.
Sans la moindre compassion,regret,regard en arrière,l'ombre avait déjà reprit son chemin,pour
accomplir ce pourquoi il était là,avec ce qu'il venait de faire il devait être encore plus sur ces
gardes,il ne pouvait pas laisser le surveillant restant trouver son collégue dans le bureau et
donner l'alerte,aussi avançant pas à pas,il se rendit compte que l'autre était aux toilettes,alors
très vite,il su comment réagir,il plaça une clé dans la sérrure de la porte qui donnait accés aux
toilettes et la cassa à l'intérieur,une fois la porte fermée à clé,personne ne pouvait plus en
sortir,ce qui lui laissait maintenant le temps d'agir sereinement.
Content d'avoir réussit à neutraliser les dangers qui aurraient pu l'empêcher d'acquiter sa
besogne à tout prix,il sourit avec une ironie à glacer le dos,avant de se dépêcher d'atteindre la
chambre 202,où se trouvait Athur Jacquemin,qui dormait à poing fermé,aprés les tribulations
qu'il venait de vivre,l'assassin espérait qu'enfin les choses se passent sans probléme.
Devant le corps allongé D'Arthur Jacquemin,le crime fut facile et en peu de temps,avec
l'habilité,la rapidité,une certaine habitude,l'ombre avait déjà rejoint la sortie de l'hopital,après
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Au moment où le surveillant s'apperçut qu'il était enfermé dans les toilettes et donna l'alerte en
frappant et criant pour qu'on vienne lui ouvrir,le tueur était loin de l'hopital.
Une patiente fini par enttendre le bruit que faisait le surveillant,puis enfin donna l'alerte dans
tout l'hopital,avant que les personnes de surveillances dans l'hopital arrivérent pour ouvrir la
porte des toilettes et libérer le surveillant,pour ensuite ne pouvoir que constater et déplorer la
mort de l'autre surveillant et celle du patient de la chambre 202,Arthur Jacquemin;devant toute
cette horreur impenssable,ils restérent choqués et remplis d'incompréhension.
Quand vers 4 heure 30 du matin le téléphone résonna dans la chambre du docteur Tojeman,une
grande appréhension le saisit avant de déccrocher,à une heure pareille,il était sur que quelque
chose de grave c'était passé à l'hopital,surtout dans son service,pourtant le fait d'avoir mit une
autre personne à la surveillance exclusivement,non infirmier,cela semblait une bonne idée
partagée avec son ami l'inspecteur Patrick Charcot.
La pensée éffrayante qui lui vint à l'esprit soudainement,quand il déccrocha et qu'il fut mit au
courant de ce qui était arrivé,lui fit froid dans le dos,qui pouvait être cet ignoble assassin pour
agir ainsi,sans avoir peur de rien,jusqu'au point de tuer tout ceux qui se méttaient sur son
passage?
Il n'en pouvait plus de cette tragique histoire,qui semblait se répéter à l'infinie,il fallait arrêter
tout ça et au plus vite,il se tourna vers Héléne qui dormait calmement et l'embrassa
tendrement,avec délicatesse pour ne pas la réveiller,avant de se lever doucement sans faire de
bruit et d'aller s'habiller pour rejoindre l'hopital au plus vite....
Ecrit en février 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île de France,france,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
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