mercredi 4 mai 2011

Deuxiéme roman,chapitre v

Dépression interdite:chapitre V,un suspect trop idéal.










La nuit était profonde et d'un noir plus fort et épais que d'habitude;dehors il faisait froid,du gel

avait recouvert les pare-brises des voitures en blanc.

Quand l'ombre atteignit l'hopital Européen Georges Pompidou,elle fut soulagée de trouver la

chaleur en rentrant dans le hall sans se faire voir.

Bien qu'habillait chaudement,le froid plus le stress ,qu'engendrait la raison pour laquelle l'ombre

était encore là,lui donnait quelques frissons,qu'accentuaient la sensation de froid.

Vétu de noir et d'une capuche qui ne laissait rien deviner de sa réelle identité,avec la nuit des

plus sombres,l'heure de 3 heure 15 du matin,l'ombre était tranquille et non reconnaissable.

Quand la porte du service du docteur Tojeman s'ouvrit doucement,avec silence et minutie,sur

ces gardes,l'ombre s'avança à pas de loup dans le long couloir;au loin elle enttendit des éclats de

voix qui venaient du bureau du surveillant de nuit,qui l'obligea à redoubler de vigilance.

Cette situation était inattendue,en temps normal il ni avait qu'un surveillant de nuit,mais là

apparement il y avait une personne en plus,il était évident qu'un changement avait été fait sans

avoir été divulgué;il fallait impérativement trouver une parade pour neutraliser ce nouveau

danger potentiel,afin d'acceder à la chambre 202.

L'ombre réffléchissait à ce qui pourrait éloingner l'un des deux surveillant,voir les deux,quand

soudain un bruit de chaise se fit enttendre et que l'un des deux quitta le bureau,pour partir dans

le sens inverse où l'ombre était caché,plaqué dans le renfoncement d'un mur.

L'implacable tueur,satisfait de la tournure des évenements,qui lui apportait la solution sur un

plateau,se saisit d'une ampoule qui était dans sa sacoche,avant de verser son contenu dans une

seringue qui était dans une des poches de son blouson,puis quand l'opération fut terminé,il

avança dans un silence de fantômatique,comme l'ombre qu'il était en cet instant précis,puis

arrivé à la hauteur du bureau du surveillant,qui était de dos,entrain de laver de la vaiselle,qu'il

avait surement utilisé avec son collégue.

Le bruit de l'eau et de la vaiselle que manipulait le surveillant ne lui permis pas d'enttendre,

comme de voir l'ombre meutrière,qui était rentré dans le bureau et qui c'était placé dérrière

lui,pour lui planter d'un seul coup l'aiguille de la seringue au contenu mortel,dans le dos,qui allait

aller faire son oeuvre aussitôt,car en quelque seconde seulement aprés avoir sentit l'aiguille lui

piquer le dos,le surveillant s'écroula sur lui même.

Ayant cru à une piqure d'insecte,il avait juste eu le temps de poser sa main à l'endroit qui l'avait

piqué,comme pour se gratter,mais déjà il était trop tard,le poison c'était déversé en lui dans tout

son corps,il avait vascillé,sa vue se troubla,puis son coeur s'emballa,sa respiration devint de plus

en plus difficile,enfin son corps se déttendit,ses yeux grands ouverts,il expira.

Sans la moindre compassion,regret,regard en arrière,l'ombre avait déjà reprit son chemin,pour

accomplir ce pourquoi il était là,avec ce qu'il venait de faire il devait être encore plus sur ces

gardes,il ne pouvait pas laisser le surveillant restant trouver son collégue dans le bureau et

donner l'alerte,aussi avançant pas à pas,il se rendit compte que l'autre était aux toilettes,alors

très vite,il su comment réagir,il plaça une clé dans la sérrure de la porte qui donnait accés aux

toilettes et la cassa à l'intérieur,une fois la porte fermée à clé,personne ne pouvait plus en

sortir,ce qui lui laissait maintenant le temps d'agir sereinement.

Content d'avoir réussit à neutraliser les dangers qui aurraient pu l'empêcher d'acquiter sa

besogne à tout prix,il sourit avec une ironie à glacer le dos,avant de se dépêcher d'atteindre la

chambre 202,où se trouvait Athur Jacquemin,qui dormait à poing fermé,aprés les tribulations

qu'il venait de vivre,l'assassin espérait qu'enfin les choses se passent sans probléme.

Devant le corps allongé D'Arthur Jacquemin,le crime fut facile et en peu de temps,avec

l'habilité,la rapidité,une certaine habitude,l'ombre avait déjà rejoint la sortie de l'hopital,après

avoir fait son travail.

Au moment où le surveillant s'apperçut qu'il était enfermé dans les toilettes et donna l'alerte en

frappant et criant pour qu'on vienne lui ouvrir,le tueur était loin de l'hopital.

Une patiente fini par enttendre le bruit que faisait le surveillant,puis enfin donna l'alerte dans

tout l'hopital,avant que les personnes de surveillances dans l'hopital arrivérent pour ouvrir la

porte des toilettes et libérer le surveillant,pour ensuite ne pouvoir que constater et déplorer la

mort de l'autre surveillant et celle du patient de la chambre 202,Arthur Jacquemin;devant toute

cette horreur impenssable,ils restérent choqués et remplis d'incompréhension.

Quand vers 4 heure 30 du matin le téléphone résonna dans la chambre du docteur Tojeman,une

grande appréhension le saisit avant de déccrocher,à une heure pareille,il était sur que quelque

chose de grave c'était passé à l'hopital,surtout dans son service,pourtant le fait d'avoir mit une

autre personne à la surveillance exclusivement,non infirmier,cela semblait une bonne idée

partagée avec son ami l'inspecteur Patrick Charcot.

La pensée éffrayante qui lui vint à l'esprit soudainement,quand il déccrocha et qu'il fut mit au

courant de ce qui était arrivé,lui fit froid dans le dos,qui pouvait être cet ignoble assassin pour

agir ainsi,sans avoir peur de rien,jusqu'au point de tuer tout ceux qui se méttaient sur son

passage?

Il n'en pouvait plus de cette tragique histoire,qui semblait se répéter à l'infinie,il fallait arrêter

tout ça et au plus vite,il se tourna vers Héléne qui dormait calmement et l'embrassa

tendrement,avec délicatesse pour ne pas la réveiller,avant de se lever doucement sans faire de

bruit et d'aller s'habiller pour rejoindre l'hopital au plus vite....






Ecrit en février 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île de France,france,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )

Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr

Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:

http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com/



Merci à vous tous mes lecteurs fidéles et vous les nouveaux,de votre fidélité et appréciation.

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