Dépression interdite:chapitre V,un suspect trop idéal.
La nuit était profonde et d'un noir plus fort et épais que d'habitude;dehors il faisait froid,du gel
avait recouvert les pare-brises des voitures en blanc.
Quand l'ombre atteignit l'hopital Européen Georges Pompidou,elle fut soulagée de trouver la
chaleur en rentrant dans le hall sans se faire voir.
Bien qu'habillait chaudement,le froid plus le stress ,qu'engendrait la raison pour laquelle l'ombre
était encore là,lui donnait quelques frissons,qu'accentuaient la sensation de froid.
Vétu de noir et d'une capuche qui ne laissait rien deviner de sa réelle identité,avec la nuit des
plus sombres,l'heure de 3 heure 15 du matin,l'ombre était tranquille et non reconnaissable.
Quand la porte du service du docteur Tojeman s'ouvrit doucement,avec silence et minutie,sur
ces gardes,l'ombre s'avança à pas de loup dans le long couloir;au loin elle enttendit des éclats de
voix qui venaient du bureau du surveillant de nuit,qui l'obligea à redoubler de vigilance.
Cette situation était inattendue,en temps normal il ni avait qu'un surveillant de nuit,mais là
apparement il y avait une personne en plus,il était évident qu'un changement avait été fait sans
avoir été divulgué;il fallait impérativement trouver une parade pour neutraliser ce nouveau
danger potentiel,afin d'acceder à la chambre 202.
L'ombre réffléchissait à ce qui pourrait éloingner l'un des deux surveillant,voir les deux,quand
soudain un bruit de chaise se fit enttendre et que l'un des deux quitta le bureau,pour partir dans
le sens inverse où l'ombre était caché,plaqué dans le renfoncement d'un mur.
L'implacable tueur,satisfait de la tournure des évenements,qui lui apportait la solution sur un
plateau,se saisit d'une ampoule qui était dans sa sacoche,avant de verser son contenu dans une
seringue qui était dans une des poches de son blouson,puis quand l'opération fut terminé,il
avança dans un silence de fantômatique,comme l'ombre qu'il était en cet instant précis,puis
arrivé à la hauteur du bureau du surveillant,qui était de dos,entrain de laver de la vaiselle,qu'il
avait surement utilisé avec son collégue.
Le bruit de l'eau et de la vaiselle que manipulait le surveillant ne lui permis pas d'enttendre,
comme de voir l'ombre meutrière,qui était rentré dans le bureau et qui c'était placé dérrière
lui,pour lui planter d'un seul coup l'aiguille de la seringue au contenu mortel,dans le dos,qui allait
aller faire son oeuvre aussitôt,car en quelque seconde seulement aprés avoir sentit l'aiguille lui
piquer le dos,le surveillant s'écroula sur lui même.
Ayant cru à une piqure d'insecte,il avait juste eu le temps de poser sa main à l'endroit qui l'avait
piqué,comme pour se gratter,mais déjà il était trop tard,le poison c'était déversé en lui dans tout
son corps,il avait vascillé,sa vue se troubla,puis son coeur s'emballa,sa respiration devint de plus
en plus difficile,enfin son corps se déttendit,ses yeux grands ouverts,il expira.
Sans la moindre compassion,regret,regard en arrière,l'ombre avait déjà reprit son chemin,pour
accomplir ce pourquoi il était là,avec ce qu'il venait de faire il devait être encore plus sur ces
gardes,il ne pouvait pas laisser le surveillant restant trouver son collégue dans le bureau et
donner l'alerte,aussi avançant pas à pas,il se rendit compte que l'autre était aux toilettes,alors
très vite,il su comment réagir,il plaça une clé dans la sérrure de la porte qui donnait accés aux
toilettes et la cassa à l'intérieur,une fois la porte fermée à clé,personne ne pouvait plus en
sortir,ce qui lui laissait maintenant le temps d'agir sereinement.
Content d'avoir réussit à neutraliser les dangers qui aurraient pu l'empêcher d'acquiter sa
besogne à tout prix,il sourit avec une ironie à glacer le dos,avant de se dépêcher d'atteindre la
chambre 202,où se trouvait Athur Jacquemin,qui dormait à poing fermé,aprés les tribulations
qu'il venait de vivre,l'assassin espérait qu'enfin les choses se passent sans probléme.
Devant le corps allongé D'Arthur Jacquemin,le crime fut facile et en peu de temps,avec
l'habilité,la rapidité,une certaine habitude,l'ombre avait déjà rejoint la sortie de l'hopital,après
avoir fait son travail.
Au moment où le surveillant s'apperçut qu'il était enfermé dans les toilettes et donna l'alerte en
frappant et criant pour qu'on vienne lui ouvrir,le tueur était loin de l'hopital.
Une patiente fini par enttendre le bruit que faisait le surveillant,puis enfin donna l'alerte dans
tout l'hopital,avant que les personnes de surveillances dans l'hopital arrivérent pour ouvrir la
porte des toilettes et libérer le surveillant,pour ensuite ne pouvoir que constater et déplorer la
mort de l'autre surveillant et celle du patient de la chambre 202,Arthur Jacquemin;devant toute
cette horreur impenssable,ils restérent choqués et remplis d'incompréhension.
Quand vers 4 heure 30 du matin le téléphone résonna dans la chambre du docteur Tojeman,une
grande appréhension le saisit avant de déccrocher,à une heure pareille,il était sur que quelque
chose de grave c'était passé à l'hopital,surtout dans son service,pourtant le fait d'avoir mit une
autre personne à la surveillance exclusivement,non infirmier,cela semblait une bonne idée
partagée avec son ami l'inspecteur Patrick Charcot.
La pensée éffrayante qui lui vint à l'esprit soudainement,quand il déccrocha et qu'il fut mit au
courant de ce qui était arrivé,lui fit froid dans le dos,qui pouvait être cet ignoble assassin pour
agir ainsi,sans avoir peur de rien,jusqu'au point de tuer tout ceux qui se méttaient sur son
passage?
Il n'en pouvait plus de cette tragique histoire,qui semblait se répéter à l'infinie,il fallait arrêter
tout ça et au plus vite,il se tourna vers Héléne qui dormait calmement et l'embrassa
tendrement,avec délicatesse pour ne pas la réveiller,avant de se lever doucement sans faire de
bruit et d'aller s'habiller pour rejoindre l'hopital au plus vite....
Ecrit en février 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île de France,france,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com/
Merci à vous tous mes lecteurs fidéles et vous les nouveaux,de votre fidélité et appréciation.
mercredi 4 mai 2011
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