jeudi 25 mars 2010

Les fables D'Hugo

" L'OURS ET LES ABEILLES "



Dans les grandes et belles montagnes des Alpes, à l'endroit le plus boisé, habite Merlin, un ours solitaire et grincheux, disons le: un ours mal léché, avec un gros défaut; la gourmandise.
Il aurrait fait n'importe quoi pour pouvoir satisfaire son instinct de gourmand.

Ce jour là, Merlin était allongé sur l'herbe tendre, profitant d'un soleil bien chaud pour faire une bonne sieste; quand soudain, l'envie de manger vint lui tenailler l'estomac...

Il imaginait toutes sortes de plats délicieux, plein de douce gâteries à se mettre sous la dent, quand tout à coup, un bruit de mille moteurs rompis le charme de ce silence paradisiaque.

Il ouvrit grand les yeux, agacé par cette arrivée malvenue qui l'avait obligé à sortir de son imagination et quand Merlin était de mauvaise humeur; il ne fallait pas se trouver sur son passage.

Il se mit debout en s'écriant à se rompre la voix, des jurons qu'ici nous ne pouvons raconter, mais qui voulaient dire en bon Français, qu'il n'aimait pas être dérangé pendant sa sieste.

Il prit alors la décision de trouver quel était la raison de ce vacarme, quand tout à coup, une bonne odeur de sucrerie familière, vint lui parfumer les nazeaux.

Tout de suite de meilleur humeur à l'idée de déguster quelque chose de bon, il parti sur le champs à la rencontre de la source de cette odeur alléchante.

C'est ainsi qu'il arriva au beau milieu du bois et qu'en un instant il découvrit la cause de ce remue-ménage: une colonie D'abeilles méticuleuses et travailleuses reprennaient toutes en choeur : " nous sommes les merveilleuses abeilles qui fesont notre bon miel, nous travaillons en choeur et sereine pour l'honneur et l'amour de notre reine ".

Merlin se dit en entendant ces chanteuses travailleuses : " elles m'ont réveillé et sortie de mon rêve, alors je mérite bien un petit quelque chose en compensation et ce doux parfum que je sens, c'est du bon miel onctueux et savoureux, je l'imagine déjà couler le long de ma gorge, dégageant un bien être que peu de chose peuvent me faire, maintenant il me faut trouver un plan d'attaque pour me délecter de ce met si délicieux.
Ce n'ai surement pas ces petites fourmies aillées sans beaucoup d'intélligence, qui vont m'arrêter, un gros ours comme moi, les intimidera tellement qu'elles partiront sans demander leurs restes, me laissant seul et bienheureux à déguster ce merveilleux miel.
Alors ne tardons pas et prennons ce met si délicat " .

Toutes affairaient à produire le miel de leurs reine, les ouvriéres volaient, virevoltaient, entraient et sortaient de long en large, autour de leurs ruche, sans faire attention, que petit à petit, un gros nounours allait les surprendres et voler le fruit de leurs labeurs.

Soudain, dans un grand cri de guèrre, s'élançant d'une grande vitésse, Merlin se rua vers l'arbre de son délit.

Surprisent par cet assault inattendu et se sentant envahies par des agresseurs, toute la ruche partie dans tout les sens, battant des ailes de frayeur et s'écriant les unes aux autres : " notre vie n'ai rien, combattons l'intru, agissons pour sauver notre reine, combatons quitte à mourir pour la liberté de notre souvereine ".

Voyant que tout ce petit monde c'était envolé et éparpillé à droite et à gauche, Merlin engouffra ses grosses paluches dans l'arbre et en ressortie aussi vite avec deux énormes rayons de miel, qu'il s'empréssa de mettre dans sa gueule.

Pendant que le miel coulait en fondant doucement le long de sa gorge, Merlin encore tout ému de ce cadeau inespéré, pensa ainsi dans sa tête : " qui aurrait dit que se fut si facile, ces petites bêtes ont vite compris à qui elles avaient à faire, je n'aurais pas du m'inquièté pour si peu; qu'elles sont bien naives et peureuses, certe, je suis un grand ours et celles-ci ont du être éffrayées de me voir arriver, elles ont préférées me céder leurs bon miel, les abeilles ont beaucoup de sagesses ".

Alors que Merlin se vantait d'avoir réussi son coup, à quelques pas de là, les abeilles c'étaient retrouvées et rassemblées.

La reine tenait son conseil de guèrre et dans un ordre royal, elle lança à toutes ses travailleuses : " nobles ouvrières, vous qui vous battez contre l'hiver, qui survivez dans la poussière et qui battez des ailes pour votre reine, réunissons nous et montrons à ce gros balaud de quel dard nous nous coiffons, en avant et toutes à l'attaque, armez vous belles abeilles, chantez pour que toutes nous ayons la force de repousser notre assaillant " .

Se sentant nullement inquièté, notre bon gourmet, le nez dans l'arbre, ne vit pas arriver une légion d'abeilles, chantant leurs hymnes de guèrre, déboulant sur le dos de notre ours.

Sans lui donner le temps de respirer, elles lui plantérent leurs dards dans son gros dérrière, ce qui le fit se redresser dans des hurlements de douleur qui rettentirent dans toute la vallée.

Il hurlait en se mettant les deux pattes sur son dérrière et en courant dans tous les sens, pour enfin prendre la direction du lac des montagnes où il s'immergea entièrement dans l'eau pour calmer toutes ces piqures qui le brûlait de partout.

Sans perdre de temps, les abeilles travailleuses se remirent au travail et l'on pu les enttendre chanter avec force et joie : " nous sommes les merveilleuses abeilles qui fesons notre bon miel, nous travaillons en choeur et sereine, pour l'honneur et l'amour de notre reine " .

Un peu plus bas, trempant dans l'eau, notre bon gros ours ne put s'empêcher de se dire, que le prochain coup où il voudrait manger du miel, il s'arrangerait pour qu'il ni ai plus d'abeilles au allentour.

Il apprit aussi que ce qui semble petit n'ai pas forcément innofensif et qu'il ne faut pas être plus royaliste que le roi, oh pardon, je voulais dire, que la reine.

Enfin il savait maintenant qu'avec les abeilles qui si frotte, si pique et que le miel parfois, peu avoir un arrière goût amer...


Ecrit par HUGO GALL ( Pseudonyme de TH..... GAL.... )

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