vendredi 25 février 2011

Deuxiéme roman, chapître 2 suite 2

Dépression interdite:chapitre 2;suite 2:intuition


Héléne Portal était heureuse,deux jours après

avoir annulé leurs dîners,le docteur Joseph Tojeman,lui avait réitéré son

invitation pour ce soir même,elle était comme une jeune adolescente qui allait à son

premier rendez-vous amoureux,cette fois seulement elle espérait qu'il annulerait

pas au dernier moment,même si elle comprenait ces impératifs de travail,une fois

d'accord,mais deux non...

" Salut Héléne,comment vas tu ce matin ",Héléne

se retourna et aperçut le joli sourire et les longs cheveux auburn de Karima,une

infirmière du service du docteur Tojeman,qui venait chercher un nouveau patient

qu'Héléne avait reçu quelque temps auparavant,Karima était une jeune femme

charmante de 36 ans,d'origine Algérienne par ces parents,mais née en France et donc

Française,une nationalité qu'elle portait avec fierté,comme celle d'être fière des

parents qu'elle avait et qui l'avait élevé dans les traditions,lois et laïcité

Françaises,ces parents n'en avaient pas pour autant oubliés leurs cultures et

religion qu'ils vivaient avec discrétion et respect,comme chaque croyant devait le

faire pour respecter ceux qui ne l'étaient pas et selon son père sa religion se

vivait dans son coeur et son âme,chez soi et dans son église,en dehors de cela

personne ne pouvait savoir qu'elle religion tu pratiquais,ce qui faisait de la

France un pays laïc et qui avait à la révolution obtenue séparation de l'état et de

tout culte religieux,une des raisons pour lesquelles son père avait aussi choisi ce

pays de si grande valeur républicaine et d'humanité avant toute chose,ce qui faisait

aussi de Karima une personne sincère,direct,avec qui il était très enrichissant de

discuter,une grande défenderesse des droit des femmes,de leurs libertés,contre le

voile et burka,anti républicain et laïc,comment accepter ces femmes qui se

voilaient de la tête aux pieds,d'autres le visage en plus,comment aussi des hommes

pouvaient tolérer ou obliger leurs femmes à être accoutrées ainsi dans un pays

comme la France,tout cela c'était de l'anti intégration et de l'intégrisme,car

aucunes religion musulman,chrétienne ne préconisaient de telle extrémités,pour

elle on ne quittait pas son pays avec tout ces obligations d'un autres âges,des

dictatures religieuses,pour venir dans un autres pays avec d'autres valeurs et

traditions politiques et religieuses de liberté,pour s'en imposer les mêmes choses

à soi et aux pays qui à le coeur de nous accueillir,elle avait aussi toujours

refusé d'épouser un musulman,même déjà de sortir avec,elle ne voulait en aucun cas

un jour se réveiller et se rendre compte qu'elle était devenue une esclave d'un

homme macho et d'un autre âge,qui lui imposerait le voile et la fidélité,alors que

lui ne se dérangerait pas pour lui mettre les cornes à la moindre occasion;non

disait elle trop peu pour elle,c'était aussi l'expérience de ses copines d'enfances

qu'elle côtoyait avec leurs parents et la vie comme au temps de leurs pays qu'ils

avaient choisis de vivre ici,qui lui avait ouvert les yeux,ainsi que la liberté de

conscience et de choix que lui avait avec tant d'amour donné ses parents,oui pour

tout ça et se qui faisait d'elle ce qu'elle était aujourd'hui,elle n'aurait jamais

assez de merci à leurs dire,ainsi qu'a l'homme qu'elle avait épousée et fait d'elle

une femme et une mère heureuse,un mari protestant et quatre enfants,ce qui faisait

d'elle aussi une Française heureuse comme tant d'autre,Karima et Héléne c'étaient

appréciaient dès leurs premières rencontres pendant des formations et étaient au

fil du temps devenues de très bonnes amies...

" Ça va ma belle et toi c'est la forme,tes

petits monstres,ça va mieux,plus de rhinos? ".

" M'en parle pas,les nuits ont étés courtes ces

derniers jours,encore heureux que Marc me relègue bien et puis mes parents vont les

prendre pour tout le week-end,comme ça on pourras rattraper tout le sommeil qu'on

a en retard et être un peu tranquille rien que lui et moi sous la couette,dit au

fait il faudra que tu viennes manger à la maison,on invitera Olivier en même

temps,on rigolera un bon coup,ok?. "

" Oui avec grand plaisir Karima,euh madame Marc

Lievin,bon je dois filer j'ai un nouveau patient à voir,je t'embrasse,bisou à ta

petite tribu,on se voit bientôt promis,au fait tu sais ou est le patient que tu

dois prendre?. "

" Oui j'y vais,je t'appellerai pour qu'on se

mette d'accord sur un jour,allez à plus. "

Héléne repartit vers son nouveau patient,

heureuse d'avoir vu et pu échanger un moment quelques mots avec son amie Karima,

cette fille c'était vraiment un bain d'oxygène et d'amour à chaque fois qu'elle l'a

rencontrait,elle avait vraiment hâte de partager un moment sympa avec elle et sa

famille,oui se serait vraiment bien...

Olivier Masson était à la réception des

urgences quand le samu des pompiers amena un nouveau patient,la personne qui avait

besoin de soin urgent dans l'ambulance fut vite sortie sur une civière avant d'être

transféré sur un chariot des urgences,au même instant Olivier Masson se trouva face

à face avec un pompier qui lui tendait une feuille d'admission à signer,à ce moment

les deux regards se croisèrent et Olivier Masson resta interdit sans pouvoir

décrocher le moindre mot et en gardant ses yeux fixés sur le pompier qu'il avait

devant lui et qui le rendait presque immobile,ce pompier avec l'oeil brillant,le

sourire sensuel,le corps désirable,ressemblait à si méprendre à un chanteur de

groupe feu boys band,Alliage et Quentin Elias,avec apparemment plus de pilosité au

vue de la chemise entrouverte et peut-être aussi chaud que de la braise que

l'original pensa t-il avant de sortir de ses pensées dans lesquelles il semblait

s'être perdues,mais avant qu'il ne dise quoique se soit,le pompier inconnu lui

tapota l'épaule en lui disant " oh tu es là mec,ça va,il faut que tu me signes la

fiche,on doit repartir assez vite,on ait plutôt speed aujourd'hui."

Olivier Masson le regarda et lui dit être

désolé avec un large sourire appuyé,avant de lui demander s'il était nouveau car il

ne l'avait jamais vu auparavant,puis il lui signa sa fiche,le pompier l'observa à

son tour bien dans les yeux,avec également un sourire de connivence pour lui faire

sentir qu'ils étaient sur la même longueur d'onde,puis lui tendant la main lui dit "

moi c'est Fabrice,Fabrice Lepiéric,exactement,enchanté gars,tu aimes les petits

nouveaux apparemment,j'te paye un verre ce soir,si tu es ok bien sûr?."

Olivier était scotché par tant de hardiesse et

de zen attitude de la part de ce Fabrice,ainsi que par sa rapide perception des

choses,aussi autant attiré par cet oiseau là,il lui tendit la main à son tour et

lui dit " moi c'est Olivier Masson,très enchanté également mec,avec plaisir

j'accepte ta proposition."

Fabrice Lepierric glissa une petite carte dans

la poche de la blouse blanche d'Olivier et lui dit " ne perd pas la clé

mec,j'attends ton appelle avec impatience,quand tu as fini ton service,ok?."

Il eut juste le temps de répondre oui,quand

les collègues de Fabrice arrivèrent,puis après un signe chaleureux de la main il

monta dans la fourgonnette rouge qui parti rapidement,laissant à Olivier une

impression d'avoir vécus un mirage éveillé...

Dans une pièce sombre sans fenêtre d'une

maison,assis à un bureau,des yeux regardaient une photocopie d'hospitalisation où

un nom et prénom était inscrit,Adam Fürman,34 ans,marié,trois enfants,puis dans un

acte de colère hystérique,la main qui tenait la photocopie,la jeta parterre avant

d'attraper une photo sur le bureau et de dire tout haut d'une voix déchirée de

haine " tu vois,lui il n'aura pas l'occasion de faire de mal à sa famille,comme

toi,car moi je vais m'en occuper,comme je me suis occupé des autres,cher papa..."

Sur la photo,une famille qui était serré les

uns contre les autres souriait à l'objectif en semblant heureuse,il y avait une

femme d'une trentaine d'année,un homme de 35 à 40 ans,puis trois enfants,deux

garçons et une fillette,l'homme était barré avec une croix rouge et sur les murs on

pouvait voir des tas d'articles de presse,avec le titre " un père de famille perd

le contrôle suite à une grande dépression et à un gravement de son état psychique

qui l'espace d'un instant tu sa femme et deux de ces trois enfants,le troisième

enfant ne doit sa survie inextremiste,que grâce à sa grand-mère qui l'avait pris

pour la journée,le père se suicide aussitôt après son acte abominable,ne laissant

aucune explication et un enfant désormais orphelin et face à une horreur sans nom

pour un avenir qui semble douloureux et difficile...

Des larmes amères coulèrent sur ce visage

meurtrie par les années de souffrances et de blessures de souvenirs atroces,puis

après avoir reposé la photo,son autre main ouvrit un tiroir du bureau pour en

sortir une ampoule remplie d'un liquide incolore,qui se retrouva aussitôt dans un

sac avec une tenue de travail pour l'hôpital Européen Georges Pompidou...

Quand elle arriva devant la voiture qui

l'attendait,Héléne était comme dans un rêve,le conducteur venait d'en sortir et lui

ouvrait la portière du côté passager,lui offrant au passage un magnifique bouquet

de cinq roses rouges magnifiques,elle ne savait plus quoi dire,mais cet homme là à

ces côtés,savait y faire et il était charmant et sexy,irrésistible,à cet instant

elle savait à en être même sur,que la nuit ne faisait que commencer,qu'elle serait

longue,très longue,belle,merveilleuse et inoubliable...

Fin de la deuxiéme partie.


Écrit par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS )à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée
77,Île De France,France,février 2011

Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre
sur:georgelucienthhierry@hotmail.fr

Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences
conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux,accès:

Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com

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