mardi 19 avril 2011

Deuxiéme roman,chapitre IV,suite 2

Dépression interdite:chapitre IV,questions élémentaires;suite 2.



Le docteur Tojeman lisait le dossier d'un de ses

nouveaux patients arrivé il y avait quelques jours,remonté après Sylvie Monnier et

Jérôme Carrera,par Karima Lievin;le patient était à la chambre 202 et s'appelait

Arthur Jacquemin,39 ans,marié,4 enfants,1 fille de 12 ans,1 garçon de 10 ans et des

jumeaux de 8 ans.

Il était un homme équilibré,sportif,en bonne santé

physique et bénéficiant d'une vie privé heureuse,mais une vie professionnel qui

devenait cahotique,des mouvements sociaux qui mettaient en péril l'entreprise pour

laquelle il c'était investit de toutes ses forces,pendant des années.

Son éviction petit à petit,puis son renvoi soudain,

l'avait plongé dans une dépression d'abord normal et moindre,avant de devenir

sévère et de le conduire à une tentative de suicide,où il dut sa survie à la

réactivité de son épouse,qui le découvrit dans la baignoire de leurs salle de

bain,où il avait choisit de se couper les veines.

Après tout ces événements,Joseph Tojeman en conclus

que ce patient était le candidat parfait pour le meurtrier qui sévissait dans son

service et qu'il c'était mit en tête de démasquer,il fallait aussi faire la liste

des employés qui étaient arrivés peu avant le premier décès inexpliqué.

Il c'était aperçut que la première liste qu'il

avait décidé de faire sur les personnes qu'il pensait pouvoir être responsable,ne

menait à rien,n'était pas une bonne solution,il devait donc en faire une autre plus

précise dans la démarche;en constatant que les faits c'étaient déclenchés

soudainement,il avait fini par en déduire qu'un nouvel employé était arrivé au

moment où tout allait commencé et que ce nouvel employé au psychique déjà mit à

mal,n'était qu'une bombe à retardement qu'un élément déclencheur à fait passer à

l'acte.

En observant cette liste qu'il venait de

commencer,il constata qu'elle avait déjà beaucoup plus de personnes qu'il

s'attendait à voir,ça allait être plus compliqué qu'il le pensait,au même moment

devant cette liste de nom,il pensa à une chose qui jusqu'alors le gênait,mais qui

n'avait pas encore fait tilt en lui,alors que là maintenant c'était une évidence;

jusqu'alors les victimes étaient tous des hommes,cette soudaine prise de conscience

lui donna l'impression d'avancer à grand pas,il était évident que cet assassin

avait choisi le sexe masculin pour assouvir sa dose de vengeance,qui le ramenait

directement à la cause de sa psychose,qui était son geste déclencheur.

Il ne comprenait pas pourquoi cela ne lui avait

pas sauté aux yeux avant,car il avait des patients féminin aussi dans son service,

dont une patiente récemment arrivée,mais jamais rien n'était arrivé à aucunes

d'elles,dès maintenant il pouvait déjà dresser un portrait psychologique le plus

précis possible de ce tueur et dans un deuxième temps le comparer avec les dossiers

des employés récemment arrivés et qui avaient des problèmes divers,voir une certaine

insubordination,qui correspondait assez à ce genre de personnage.

Il espérait ainsi réduire au plus petit le

nombre de coupable potentiel,pour avoir une chance de mettre la main sur le vrai

responsable de ces crimes,il se détendit en appuyant son dos contre le dossier de

sa chaise de bureau et ferma les yeux un moment pour réfléchir sereinement...

Le téléphone de son bureau le sortit soudain de

ses pensées,c'était sa secrétaire;Catherine Lefêvre qui lui faisait savoir que

monsieur Patrick Charcot avec qui il avait rendez-vous,était arrivé.

Il lui demanda d'attendre cinq minutes avant de

le faire rentrer,le temps qu'il remette un peu d'ordre dans ses papiers qui étaient

en désordres sur son bureau et qu'il reprenne un peu ses esprits après cette petite

déconnexion de la réalité.

Il avait reculé l'échéance le plus longtemps

possible,pour gérer et enquêter lui même sur tout ces événements dramatiques,mais

ce dernier rebondissement ne pouvait plus être traité en interne,il avait tout fait

jusqu'à maintenant pour retenir toutes les informations sur les décès antérieurs,

mais celui-ci avait malgré lui dépassé son service;d'un autre côté,il n'avait pas

non plus envie de partir seul à la recherche de ce criminel que rien ne semblait

arrêter,de toute façon il était dans l'obligation de signaler les faits à la police

pour toutes ces morts maintenant révélées suspects et criminels.

Il avait même devancé les choses et c'était

directement adressé à un inspecteur de police haut placé,qui était l'un de ses

meilleurs amis,depuis son adolescence.

Patrick Charcot et lui avait partagés plus d'une

soirée à refaire le monde,à sortir faire le con ensemble dans des nuits plutôt

courtes,c'était aussi avec lui qu'il avait rencontré sa femme,des choses qui

aujourd'hui donnait encore plus de valeur et d'importance à leurs amitiés,ils ne

s'étaient jamais perdu de vue et se voyaient régulièrement ou s'appelaient pour se

donner des nouvelles,Patrick Charcot avait aussi été très présent dans l'épreuve

qu'il avait connu avec ses enfants,avec la maladie et la mort de son épouse.

De tout cela il voulait que personne ne soit au

courant ici à l'hôpital,pour faciliter au maximum l'enquête qu'allait mener

l'inspecteur Patrick Charcot,plus il serait discret et plus de monde ne saurait qui

il était,ça donnerait plus de chance de coincer le responsable de toute cette

tragédie beaucoup plus vite.

On frappa à la porte et après avoir dit d'entrer;

il fit comme si il voyait l'inspecteur pour la première fois,se présenta à lui et

laissa l'inspecteur faire de même,tout ça pour être le plus crédible devant

Catherine Lefêvre sa secrétaire qui n'en perdait pas une miette et qui ne manquait

jamais d'en toucher deux où trois mots à quelques unes de ses collègues,sans avoir

le moindre soupçon de qui il s'agissait en vérité,la porte se referma derrière

Catherine Lefêvre et avec un large sourire de complicité,ils se firent enfin

l'accolade amicale,content que leurs petit jeu fonctionne bien.

Héléne Portal marchait dans le grand hall de

l'hôpital européen Georges Pompidou,Pour allait se restaurer au self qui se

trouvait en face de la grande crèche familiale,toujours dans l'hôpital;elle aimait

regarder les enfants qui sortaient de la crèche,du plus petit bébé,à l'enfant de 3

ans,qui s'apprêtaient à rejoindre la maternel,cette crèche était immense,bien

entretenue et dirigée,elle avait déjà eut l'occasion de la visité grâce à Karima

Liévin qui y avait sa petite nièce et qu'elle venait chercher de temps à autre.

Aujourd'hui elle ressentait une certaine

mélancolie,qu'elle ne s'expliquait pas et plus que jamais elle se sentait femme,en

regardant tout ces enfants aux bras de leurs parents;elle avait 30 ans et sentait

son horloge biologique la rattraper,elle voulait de tout son coeur être mère,mais

jusqu'à maintenant elle n'avait jamais trouvé le bon père pour ses futurs enfants,

elle ne savait pas si Joseph Tojeman avait envie d'avoir d'autres enfants,vu qu'il

avait déjà deux grands garçons en âges adultes,il avait aussi un âge ou on avait

plutôt envie d'être tranquille;mais elle ne pouvait s'empêcher de penser qu'il

était le père qu'elle voulait pour ses futurs enfants,elle essuya une larme qui

coulait sur sa joue et rentra dans le restaurant d'entreprise.


Écrit en janvier 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île de France,France,par Hugo Gall ( pseudo de Thierry Gallois )

Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr

Je défend la cause de victimes de maltraitances,d'incestes,de violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs;accès:
Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com

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