mardi 12 avril 2011

Deuxiéme roman,chapitre IV,suite

Dépression interdite:chapitre IV;questions élémentaires.



Jérome Pizzani c'était réveillé aux côtés de

celle qu'il aimait,presque heureux qu'elle soit là,mais aussi un peu désespéré

qu'elle n'eut pas acceptée sa demande de vivre ensemble,il devait se contenter de

vivre avec elle trois jours sur sept;il ne renoncerait pas cependant à lui

reformuler sa demande dans plusieurs mois,quand l'eau aurait coulé sous le pont et

là;il espérait bien qu'elle lui dirait enfin oui,pour l'instant,il lui fallait

prendre patience et prendre d'urgence un dolliprane dans sa salle de bain,car il

avait un mal de tête carabiné en se levant et ça l'empêchait de bien réfléchir

comme il voudrait,ensuite il allait prendre une bonne douche pour finir de bien le

réveiller,le tout suivie d'un bon exprésso bien strétto,comme aurait dit sa mère,

quand elle demandait un café dans un bar en Italie.

Il entendit Céline Belgrand s'étirer et

bailler avec énergie et il la regarda avec amour et désir,son corps était à demi

recouvert par les draps et la couette et elle portait une chemise de nuit en

dentelle blanche,qui la rendait encore plus désirable et sexy,mais à cet instant il

eut une poussée de mal de tête qui le fit tenir sa tête entre ses deux mains,en

même temps qu'il ressentait quelque chose de différent,quelque chose d'inhabituel

,qu'il n'arrivait pas à définir,il lui fallait vite prendre ses comprimés contre le

mal de tête avant qu'elle explose et se laisser ensuite recouvrir par les jets vifs

et chauds de la douche,il penserait après si il le pouvait et s'il y pensait

encore...

Olivier Masson,se resserrait tendrement contre

le corps viril et chaud de son amant,avec qui il avait passé toute la nuit,comme

chaque jour depuis leur premier rendez-vous,il aimait cet homme là et ce corps qui

lui donnait tant de plaisir et de bonheur,aujourd'hui il savait qu'il ne pourrait

plus se passer de lui,vivre sans lui,au fond de son âme il pensait très fort que

c'était l'homme de sa vie,il pensa aussi en cet instant à son amie Héléne et à sa

récente relation avec l'un des grands boss de l'hôpital,Joseph Tojeman,aussi

étonnant que cela pouvait paraître,ils semblaient avoir trouvés tous les deux en

même temps leurs moitiés,ce petit clin d'oeil avait une certaine ironie qui ne lui

déplaisait pas du tout,à ce moment là,il se lova plus sensuellement contre Fabrice

lepierric,le caressant avec précision et désir,ce qui le réveilla avec douceur et

l'envie qui se faisait soudain en lui,sous les gestes tendres et les démonstrations

de sentiments que lui prodiguait son complice;ne pouvant plus résister il saisi

Olivier par les épaules,mêla sa bouche à la sienne et l'étreignit avec de longs

baisers virils,avant de le prendre avec conviction et désir intense partagé,qui

sembla les laissèrent un moment suspendus dans le temps...

Héléne Portal se sentait heureuse et épanouie

,comme jamais elle ne l'avait été,mais elle était aussi atterrée par ce qui c'était

passé dans le service de celui qu'elle aimait,elle se sentait impuissante face à de

tel événement et le fait que cela se passe dans son lieu de travail,l'envahissait

d'une certaine peur et d'un regain de méfiance vis à vis de tous ses collègues,mis

à part son ami Olivier Masson,en qui elle avait toute confiance et dont elle savait

qu'il vivait au même moment qu'elle une belle relation amoureuse.

Ces derniers jours elle avait trouvée très

étrange l'attitude de Marianne Dufour,lorsqu'elles étaient ensemble dans la même

équipe et horaire,elle ne cessait de regarder partout,écrire des notes sur un

cahier qu'elle cachait sous le comptoir des urgences,mais elle avait quand même

réussit à la surprendre à ces dépends,cela l'intriguait énormément,mais Marianne

Dufour pouvait elle être cette meurtrière froide et sans sentiment,elle était peut-

être antipathique et peu amicale envers elle,mais Héléne ne pouvait pas se résoudre

à penser que cela faisait d'elle un assassin;il y avait aussi cette étrange

infirmière qui traînait souvent ici ces jours ci,une certaine Jeanne Dutilleul,une

forte femme,avec des lunettes excentriques en forme de papillon,qui se baladait

pour un oui et un non dans les urgences,posant des questions pas toujours discrètes

avec sa forte voix de ténor,faisant peur aux personnes âgées de son service de

gériatrie,dans lequel elle était sensée travailler,mais à la voir ainsi se promener

,on pouvait se demander si elle arrivait à le faire au moins une heure par jour.

Toutes ces suspicions qui finissaient par

s'immiscer en elle,la rendait malade et elle se demandait comment rester sereine et

faire le mieux son travail dans un tel climat de constante paranoïa et de stress ?

Karima Lievin était étonnée par le comportement

de sa chef,depuis quelques jours,Mireille Dupuis,montrait une face cachée d'elle

même que personne n'avait jamais vu jusqu'alors,Karima la trouvait très nerveuse

,sans cesse agacée,sur le qui vive et de plus en plus mystérieuse,elle avait aussi

remarquée qu'entre le docteur Tojeman et elle,le torchon semblait brûler,il y avait

une surdose d'électricité et ils se fuyaient comme la peste pour ne pas se parler

ou le moins possible,avec une courtoisie de circonstance,dont ils faisaient l'un et

l'autre preuve avec le plus grand mal,deux trois mots par ci par là,des phrases

très courtes et sur des tons sans traces de la moindre politesse,ni d'estime,Karima

se demandait se qui avait bien pu les piquer et si cela avait un lien avec la série

de crime commis dans le service,le docteur Tojeman aurait-il des doutes sur la

culpabilité de Mireille Dupuis,la tenait elle pour responsable et au pire en avait-

il des preuves?

Karima se sentit soudain oppressé dans un tel

climat d'agressivité,sans compter que Mireille Dupuis lui parlait maintenant avec

irrespect et sur un ton qu'elle n'aimait pas du tout,si elle continuait sur sa

lancée,elle ne manquerait pas de la remettre à sa place,Karima était bien

gentille,mais pas une charmante idiote non plus,il fallait pas poussée mémère dans

les orties,elle n'avait pas de culotte,comme disait son mari,mais ce qui

l'intriguait en cet instant c'était vraiment ou était la part de vérité dans tout

ça,qui était coupable ou non,cette question était plus que jamais d'actualité et

tout le monde maintenant ce la posait et à juste titre,elle plus que personne

d'autre.



Écrit en janvier 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )

Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr

Je défend le cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:

Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire