dimanche 3 avril 2011

Deuxiéme roman, chapître 3,suite 3

Dépression interdite:chapitre 3;de vraies certitudes,suite 3.



Quand l'infirmier de nuit arriva à la chambre 206

,il fut déjà étonné de trouver la porte ouverte,puis enfin devant le patient qui

venait de l'appeler à l'aide,il ne put que constater à regret qu'Adam Fürman était

décédé,mais au vue des premières constatations qu'il pouvait voir et sentir;rien de

ce qu'il voyait en cet instant ne pouvait être normal,quelque chose d'impensable

était arrivé ici et Philippe Martin,se sentait de plus en plus mal à l'aise,compte

tenue que tout ça c'était passé pendant qu'il était en service.

Depuis plus de 6 ans,il était infirmier de nuit à

l'hôpital Européen Georges Pompidou et il avait toujours bien fait son travail,sans

jamais avoir eut le moindre problème,il ne comprenait pas comment une telle chose

ait pu se produire et maintenant il finissait par se sentir terriblement

responsable.

Quand le téléphone sonna,le docteur Joseph

Tojeman était encore serré tendrement contre le corps nu d'Héléne Portal,ces seins

fermes et moyens,chauds et doux contre sa poitrine à lui,ils avaient fait et refait

l'amour,avec une soif insatiable,puis la fatigue se faisant sentir,ils avaient

finis par s'endormir l'un contre l'autre.

Il saisit son portable et répondit tout de

suite,avec l'effort de ne pas faire le moindre bruit,pour ne pas réveiller Héléne

qui dormait encore à poings fermés.

Au moment où il entendit Philippe Martin lui

faire part de ce qui venait de se passer,il sentit tout son corps défaillir,il

cherche vite une chaise pour s'asseoir et après un moment d'absence,il répondit à

Philippe Martin de ne rien faire avant qu'il n'arrive,l'infirmier lui promis de

l'attendre et de ne laisser personne rentrer dans la chambre,ni de dire quoi que se

soit à personne.

Il raccrocha dans un état d'esprit

tourmenté,mais d'une certaine manière soulagé que tout cela ne venait pas d'une

erreur de sa part,ses intuitions qui depuis le début de ces mort lui semblait

suspect,ne l'avait pas trompé,il se passait bien quelque chose,quelque chose

d'horrible,aujourd'hui il pouvait le dire,des actes criminels étaient commis dans

son propre service,pourquoi et comment,ça il ne le savait pas encore,mais une chose

était sur;il allait faire tout ce qui était en son pouvoir et dés cet instant pour

le savoir et obtenir le plus de réponse qu'il pourrait.

Fin du troisième chapitre.




Dépression interdite:chapitre IV;questions élémentaires.



Marianne Dufour était assise à son bureau des

urgences et en remplissant ses derniers dossiers,relevait la tête de temps à

autre,pour observait d'un oeil ce qui se passait autour d'elle dans le service,elle

était atterrée de ce qui c'était passé dans le service du docteur Tojeman,qui

pouvait faire de telles choses?

Quand elle pensait que c'était sûrement

quelqu'un de son métier,cela lui faisait énormément peur et en même temps la

mettait en colère,l'ordre avait été donné à tout le personnel de l'hôpital de ne

rien dire de cette affaire,pour éviter toute fuite qui rendrait les chances de

résoudre cette affaire au plus vite,presque nul.

Marianne Dufour avait cependant sa petite

idée,avec tout ce qu'elle pouvait savoir sur cette histoire,elle était persuadée

que le ou la coupable pouvait venir des urgences,de fortes intuitions la laissait

présumer de cette possibilité plus que tangible,seulement il n'y avait pas trois

ou quatre personnes aux urgences,mais des dizaines et en plusieurs équipes,alors

les choses étaient plus que compliquées pour mener sa propre enquête,qu'elle avait

décidée de prendre à bras le corps;d'ailleurs dés qu'elle avait été au courant de

ces événements,elle c'était mise à observer tout le service avec beaucoup plus de

précision qu'elle l'aurait fait avant et aussi plus fréquemment comme elle le

faisait actuellement,au fond elle se dessinait avec une pointe d'humour,que ce

criminel sans nom puisse être sa grande ennemie,Héléne Portal,elle salivait à

l'avance de la débusquer et de la voire embarquer avec perte et fracas,les menottes

aux poignets,par la police et traversant tout l'hôpital,ah que c'était bon rien que

de l'imaginer,mais ce n'était qu'une image,car dans son esprit elle ne pensait

vraiment pas un seul instant,malgré l'hostilité qu'elle avait envers elle,qu'Héléne

Portal soit la meurtrière,c'était bien dommage se dit elle,oui bien dommage...

Le docteur Joseph Tojeman découvrait les

résultats de l'autopsie et des autres examens qu'il avait demandé après ce qu'il

pouvait appelé maintenant " le meurtre D'Adam Fürman et ce qu'il voyait là,dans

les résultats l'effarait,le produit utilisé pour tuer,découlait d'un poison

extrêmement violent et mortel,le curare,qu'on utilisait aussi à de faible dose dans

les anesthésies pour endormir les patients opérés,mais là le curare était mélangé à

un autre poison qui en faisait un breuvage fatal ultra rapide,qui en plus ne

laissait aucune trace une fois dans le corps;si ce n'était les mêmes constations

qu'une crise cardiaque;tout cela était incroyablement diabolique et si cette fois

le tueur n'avait pas été déranger par surprise par sa victime,jamais on aurait pu

mettre à jour ces procédés.

Dans son état de panique le tueur avait laissé

des traces du poison en dehors du corps de la victime,sur les draps,une partie du

matériel médicale,mettant ainsi la lumière sur ce poison devenue détectable à l'air.

Le docteur Tojeman louait Dieu des erreurs du

criminel,qu'il qualifiait de " miracle ",tout cela n'empêchait pas qu'il soit

horrifié par tant d'esprit maléfique,la question qui lui venait maintenant à

l'esprit,était:lui en voulait on intentionnellement et directement,alors qui et

pourquoi? Ou tout cela n'était du qu'a des actes du à un déséquilibré,malade qui

agissait au non d'une certaine vengeance,mais là aussi,qui? pour l'heure il lui

fallait dresser des listes,une de ceux qu'il savait ne pas pouvoir être coupable et

il était heureux d'y noter un premier nom,Héléne Portal,pour lui elle avait le

meilleur des alibis,son délicieux et chaud corps contre le sien tout au long de la

nuit,il se sentait enfin un homme comblé et libéré de savoir que celle qu'il aimait

pouvait avoir toute sa confiance,il sourit avec tendresse et amour,puis saisit son

portable pour envoyer un sms qui disait en trois mots: " je t'aime ".



Écrit en janvier 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS-villes du chemin de ma vie;Neufchâteau 88300,Aoste Italie,Nancy 54000,Meaux 77100,Coulommiers 77120 )

Merci de vos encouragement,impressions,vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr

Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à tout ces fléaux destructeurs,accès:

Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com

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