jeudi 19 novembre 2009

Petite nouvelle de la vie d'une mère ...

JUSQU'A CE QUE JE TE RETROUVE ...


( nouvelle écrite par Hugo Gall le 11-11-2009 - pseudonyme de TH..... GAL.... )



Dans la clartée de cette journée d'automne, elle était à sa fenêtre à regarder ce paysage roux, avec les feuilles qui tournoyaient en tombant des arbres, entrainées par les vents.

Son regard se portait plus précisément sur la statue, représentant un angelot avec ses ailes déployées, prêt à s'envoler, qui trônait au beau milieu de la pelouse du grand parc, entouré de parre-terre de roses rouges .

Elle ne pouvait quitter des yeux cette magnifique statue au ton laiteux ivoire, elle savait que trop bien pourquoi elle était là, pourquoi elle avait eu besoin d'acheter pareil objet; devait-elle encore se souvenir à s'en faire mal, à compresser son coeur si fatiguer d'en avoir tant pleuré, tant souffert, oui on lui avait prit ce qu'elle avait de plus cher, on lui avait amputé une partie d'elle même, en lui saccrifiant son fils bien aimé de 10 ans, sans même savoir pourquoi cette haine c'était abattue sur elle et sa famille et surtout sans savoir qui avait pu commettre un tel acte innomable, inacceptable; elle aurrait voulu avoir un fusil deux ans auparavant, quand on lui a annoncé la térrible nouvelle, elle aurrait aimé avoir devant-elle cet assassin ignoble et de son coup de fusil, le pulvériser, d'une balle bien placée, pour que toute cette souffrance en elle puisse trouver une sortie, une fin et que tout parte avec la vie de celui ou celle qui lui avait prit pour toujours son jouyau extraordinaire .

Elle ne comprenait pas son pays qui avait aboli la peine de mort, des assassins sans scrupules, sans âmes, sans aucuns respects de l'être humain et de toutes vies insufflées dans leurs corps, tuaient au hazard de leurs rencontres et envies, ou simplement par simple haine et réglement de compte, c'était intolérable, surtout pour une mère à qui on avait tué son fils, la chair de sa chair, avec qui elle n'avait fait qu'un pendant neuf mois.

Ceux qui avaient réussi à faire supprimer la peine capitale, n'avait surement jamais connus une telle souffrance de perdre de façon si tragique et brutale, l'être qui leurs étaient le plus cher, sinon elle était certaine qu'ils n'aurraient jamais eut l'idée d'abolir cette loi.

Elle était aussi en colére contre ces socialistes Mittérandiens qui avaient tout fait pour ça et qui non seulement ça, se battaient aussi pour réduire les temps de peines et de condamnations; comment pouvait-ils faire de telles choses, elle repensait à cette affaire du petit Bertrand qui avait été assassiné par un certain Patrick Henri, elle le revoyait parler aux journalistes avec assurance, expliquant que celui qui tuait un enfant méritait la peine de mort; alors que finalement le pauvre petit Bertrand était mort sous son lit et qu'il avait assassiné de ses propres mains ...

Elle ne pouvait pas penser, qu'échappant à la peine de mort, des années plus tard, une certaine garde des sceaux du nom D'Elisabeth Guigoux, allait remettre cet individu en liberté sous un régime socialiste, qu'elle honte, qu'elle horreur avait-elle ressentie alors et qu'elle souffrance avait-elle eut pour ses pauvres parents, qui devaient être immensément malheureux et triste de savoir que des années aprés avoir assassiné leurs fils, le coupable allait être libéré; comment une femme, de surcroit, avait-elle fait pour accepter une telle chose, surtout que des semaines après sa libération, l'homme fut arrêté pour de grosses inffractions, ainsi que pour avoir utilisé un site pornographique concernant des enfants; on peux dire que madame Guigoux à vite payé la note de son erreur, le retour de baton ne c'est pas fait attendre ...

Elle espérait que c'était une des justices divine qui avait remise les choses à leurs places, là ou elle devait être; il était impenssable que lorsque des êtres fragiles et innocents comme des enfants, étaient assassinés, que l'on était sur de l'assassin, il ne soit pas condamné à mort.

Elle souhaitait du fond de son coeur que l'on retrouve le meurtrier de son fils, c'était vital et de plus en plus persistant pour elle, elle savait qu'elle ne pourrait jamais revivre, si elle ne savait jamais qui avait fait ça et il n'était pas question de lui parler de remise de peine, cette peine il faudrait qu'il avale jusqu'au bout de son souffle, sinon elle serait capable de tout, il y avait tellement d'exemple ces derniers temps, tous ses violeurs et meurtriers que l'on relâchait comme ça, sans s'occuper des victimes et de leurs familles, pour que une fois dehors ils recommençent de plus belle et tuent, qu'elle justice, une société c'était pas basé sur le laisser tout faire et vive la liberté à 100% pour tous, non il y avait des régles de respect et il fallait les suivrent, les socialistes qui ont amené cette abominable façon de voir la justice et la liberté, étaient tout simplement dangereux pour les autres et l'avenir d'un pays comme le notre, elle ne voulait pas que d'autres mères et parents vivent l'enfer par lequel elle était passée et celui dont elle vivait encore, attendant et espérant le dénuement qui rendrait plus '' acceptable '' la perte de son enfant, sachant dans le plus profond de son âme et son coeur, que plus jamais elle ne serait la même, jamais, jamais ...


Ecrit par Hugo Gall à Lagny Sur Marne le 11-11-2009 ( pseudonyme de TH..... GAL.... )

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