Dépression interdite:chapitre IV,questions élémentaires,suite 3.
Elle avançait dans la file d'attente pour choisir
son plat de viande grillée,quand au loin elle aperçut,seule à une table,Marianne
Dufour;elle était entrain d'écrire sur ce qui ressemblait à un cahier,pour la
deuxième fois,Héléne la voyait dans cette situation,l'idée qu'elle tenait un journal
intime au jour le jour la fit sourire,ou peut-être ces mémoires,elle pensa au titre
qu'elle pourrait lui donner " mémoire d'une acariâtre ",elle ne put s'empêcher de
rire tout haut.
Marianne Dufour en tout cas était bien en avance pour
prendre son poste,que comptait elle faire à cet heure,il était 12h30,alors qu'elle
ne devait être aux urgences qu'a 14h30.
En cet instant l'inimaginable se fit jour dans
l'esprit d'Héléne et aussi naturellement qu'elle ne l'aurait fait si la situation
avait été normal,elle prit son plateau et se dirigea devant la table où était
assise Marianne Dufour.
Sentant une présence au dessus d'elle,pendant qu'elle
était plongée dans l'écriture de son enquête,elle releva la tête et fut étonnée de
ce qu'elle vu devant elle.
" Bonjour " dis Héléne,après une grande hésitation,
Marianne lui rendit son " bonjour ",en se demandant ce qu'elle faisait là devant
elle et ce qu'elle lui voulait;Héléne la regarda bien dans les yeux et lui demanda
si elle pouvait s'asseoir à sa table.
A cet instant Marianne ressentit comme un électro
choque en elle,comment deux personnes qui ne pouvaient pas s'entendre jusqu'ici,
pouvaient d'un coup discuter ensemble à la même table;mais comme la démarche
l'intriguait et était si inattendue,aussi bien qu'étrange,elle fini par accepter et
lui fit signe de s'asseoir.
Héléne la remercia et pensa qu'elle avait bien fait,en
voyant ainsi Marianne Dufour,elle c'était dit que si elles unissaient leurs forces
et leurs pensées,pour faire face à ce qui se passait en ce moment dans l'hôpital;
alors peut-être arriveraient-elles à mettre la main sur cet ignoble criminel;elle
avait beau ne pas vouloir y pense,mais lorsqu'elle aperçut Marianne,instinctivement
tout cela lui revint à l'esprit et c'est pourquoi elle se retrouvait là maintenant,
comme par enchantement.
Marianne rangea aussitôt son stylo et son cahier dans
son sac,puis mettant un coude sur la table et tenant sa tête avec son poing,elle
regarda Héléne avec un certain défit teinté d'ironie,puis lui dit: " alors ma chère,
que me vaut cet excès de bons sentiments peu ordinaires ? ".
Héléne respira un bon coup avant de répondre avec
précision et diplomatie: " je sais Marianne que nous ne sommes pas les meilleures
amies du monde,mais j'ai pensé en vous voyant ici,que nous pourrions unir nos
différences pour démasquer le tueur qui sévit dans notre hôpital,qu'en pensez vous
et avez vous des idées,car moi je ne suis plus tranquille depuis que je sais tout
ça ? ".
Marianne très étonnée par ce qu'elle entendait et par
tant de spontanéité,chercha les bons mots pour répondre à son interlocutrice,même
si en premier lieu elle avait envie de dire " tient une blonde qui réfléchit ",
alors en étant la plus franche possible,pour rendre d'une certaine manière le
respect dans lequel Héléne avait placée dés le début les choses,elle lui répondit:"
je suis très étonné par votre démarche mais je dois vous avouez quand même que
j'apprécie de ne pas être considéré comme coupable par vous,ce qui d'ailleurs je
vous rend bien.
Je n'avais pas pensée à mener une enquête interne à
deux,mais en pensant à ce que vous venez de me proposer,je pense que ça pourrait
être une très bonne idée;seulement il va nous falloir être très vigilante,car si
nous sommes certaine sur l'innocence de chacune de nous,nous le somme beaucoup
moins sur tous ceux qui travaillent avec nous dans cet hôpital,alors une extrême
prudence est de mise,avec de la rigueur et de la discrétion,ensuite excusez moi,
mais personne n'ait habitué à nous voir tailler la bavette ensemble;d'ailleurs je
vois déjà des yeux très surpris de droite à gauche et plus qu'inquisiteur,c'est
pourquoi il nous faut continuer à nous ignorer devant tout le monde tant que nous
n'aurons pas trouvé cet assassin,nous devons aussi choisir un endroit à l'abri des
regards et à l'extérieur de l'hôpital pour nous retrouver et échanger toutes nos
conclusions sur nos enquêtes,sinon pour le reste il y a le téléphone et les textos
pour les urgences,si je peut me permettre le synonyme...
Ce qui me plaît dans votre proposition,c'est que
lorsque moi je ne suis pas en service et que vous l'êtes,vous pourrez observer à
votre tour le service et noter tout ce que vous voyez sur un cahier comme moi je
fais et ainsi nous pourrons regrouper nos informations sur toute une journée à
toutes les deux,ainsi nous aurons peut-être la chance de tomber sur des indices qui
nous permettrons de coincer ce salopard sans scrupule,bien sûr je vous demande de ne
rien dire à personne et surtout pas aux personnes qui vous sont proches,on ne sait
jamais,mieux vaut être prudente,sur nos gardes et surtout rester en vie.
Héléne ne pouvait qu'être entièrement d'accord avec ce
que venait de dire marianne Dufour,elle était aussi épatée par son aplomb,dont elle
faisait preuve,quand à son cahier pour y noter toutes ces observations,c'était une
bonne idée;elle comprenait mieux maintenant ces attitudes des derniers temps.
Héléne fini par dire qu'elle était tout à fait d'accord
avec tout ce qui venait d'être dit et qu'elle pouvait compter sur elle.
Les deux femmes avaient enfin réussit à se mettre d'accord
et à ouvrir une discussion constructive,ce qui jusqu'alors semblait impossible,
Marianne Dufour se leva en disant qu'il était temps maintenant qu'elles se séparent,
pour ne pas plus attirer l'attention,elles se contacteraient pour mettre leurs
informations en commun,à la fin de la semaine,comme c'était convenu,Marianne lui
enverrait un sms pour lui dire à quel endroit elles se retrouveraient,puis elle
s'éloigna sous les regards médusés des quelques personnes qui se demandaient
comment une fille comme Héléne pouvait parler à une telle sauvage qui s'attirait
l'antipathie de tout le monde,sans remarquer quoique se soit elle fini seule son
repas en se disant que parfois il suffisait d'oser et que ça pouvait changer la face
du monde...
Le docteur Tojeman était content de la conversation
qu'il venait d'avoir avec son ami l'inspecteur Patrick Charcot,ils avaient convenue
qu'ils étudieraient la liste des personnes récemment arrivées dans l'hôpital,juste
avant les premiers évènements,comme de par sa fonction il avait accès à tout les
dossiers des personnes fichiers,il pourrait ainsi plus vite que lui même étant à
l'hôpital,trouver les failles éventuelles de tel ou tel individu susceptible d'être
un coupable potentiel.
Quand tout cela serait enfin fait,ils pourront avancer et
mettre en marche une autre action plus efficace pour attraper ce tueur sans nom et
le mettre hors d'état de nuire pour toujours.
Il espérait avoir toutes ces informations le plus vite
possible,pour résoudre cette affaire et enfin reprendre une vie normale,il pensait
aussi à Héléne Portal,à l'envie qu'il avait de la voir,la sentir contre lui,il
voulait l'emmener chez lui pour la première fois et la présenter à ses deux fils,
pour lui il en était sur aujourd'hui,elle serait celle qui partagerait sa nouvelle
vie.
Il avait vraiment envie de tout son être et il le désirait
plus que tout qu'Héléne entre pour toujours dans sa vie,il saisit son portable et
écrit un court sms en trois mots " je t'aime ",qu'il envoya aussitôt.
Heureux d'avoir envoyé son message,il se reposa de tout son
corps dans son fauteuil en imaginant le regard de celle qui comptait désormais dans
sa vie,quand elle recevrait son message,il avait vraiment hâte qu'il se retrouve ce
soir,pressé d'être ensemble...
Fin du IV ème chapitre.
écrit en Février 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,
France,par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS )
merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
mercredi 27 avril 2011
mardi 26 avril 2011
La vie,l'amour,la mort,etc...
" TOUT LES MAUDITS,LES KENNEDY "
Ils ont brillés dans la lumière
Dans les flaches et les projecteurs
Attirés les regards de la planète entière
Sur leurs vies faite de joie et de pleurs
Ils ont donnés l'envie et la haine
Déchaînés les foules et la passion
Jusqu'à faire connaître la peine
Quand la vie les a quitté avec interrogation
Faisant d'eux des héros des temps modernes
A l'ombre de drame mystérieux et de drapeaux en bernes
Tout les maudits,les Kennedy
Les romantiques des journaux
Les princes et les princesses d'aujourd'hui
Connaîtront-ils ces destins sentimentaux
Tout les maudits,les Kennedy
Les présidents et les grandes stars
Sauront-ils protéger leurs vies
Pour qu'il ne soit jamais trop tard
Ils ont donnés la sensation étrange
De tout maudire ce qu'ils touchaient
Leurs familles et leurs amis,les anges
Les êtres qu'ils aimaient et épousaient
Ils étaient John Kennedy président
Marylin Monroe artiste et maîtresse
Robert Kennedy frère très aimant
Jackie Kennedy Onassis la sagesse
Des James dean,Dalida,John-John,Romy Schneider
Comme tant d'autre perdu dans la réalité qui se perd...
Écrit le dimanche 24 avril 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T-G )
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
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Ils ont brillés dans la lumière
Dans les flaches et les projecteurs
Attirés les regards de la planète entière
Sur leurs vies faite de joie et de pleurs
Ils ont donnés l'envie et la haine
Déchaînés les foules et la passion
Jusqu'à faire connaître la peine
Quand la vie les a quitté avec interrogation
Faisant d'eux des héros des temps modernes
A l'ombre de drame mystérieux et de drapeaux en bernes
Tout les maudits,les Kennedy
Les romantiques des journaux
Les princes et les princesses d'aujourd'hui
Connaîtront-ils ces destins sentimentaux
Tout les maudits,les Kennedy
Les présidents et les grandes stars
Sauront-ils protéger leurs vies
Pour qu'il ne soit jamais trop tard
Ils ont donnés la sensation étrange
De tout maudire ce qu'ils touchaient
Leurs familles et leurs amis,les anges
Les êtres qu'ils aimaient et épousaient
Ils étaient John Kennedy président
Marylin Monroe artiste et maîtresse
Robert Kennedy frère très aimant
Jackie Kennedy Onassis la sagesse
Des James dean,Dalida,John-John,Romy Schneider
Comme tant d'autre perdu dans la réalité qui se perd...
Écrit le dimanche 24 avril 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T-G )
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dimanche 24 avril 2011
La folie de notre temps présent...
" LES ÂMES ERRANTES "
Ils étaient des enfants souriants
Pouvant prétendre à un bel avenir
S'en remettant entièrement à leurs parents
N'imaginant pas ce que c'était de mourir
Ils étaient des adolescents s'ouvrant à l'amour
Découvrant la frontière qui les séparent des adultes
Espérant qu'ils en deviennent eux aussi un jour
N'imaginant pas jusqu'où pouvait allez les disputes
Ils étaient des couples qui semblaient s'aimer
Heureux d'avoir fondé leur propre tribu
De voir grandir leurs enfants comme ils l'espéraient
N'imaginant pas qu'un jour tout cela serait perdu
Où vont les âmes errantes
Quand ont leurs a pris leurs vies
En appuyant soudainement sur une détente
Sans leur demander le moindre des avis
Où vont se reposer les âmes errantes
Quand ont les a lâchement abattus
En se donnant le droit d'une vengeance aberrante
Sans leur donner la chance de s'être défendus
Ils étaient des millions à vivre leurs vies
Pratiquant leurs religions sans l'imposer à personne
S'en remettant à Dieu et le bénissant avec des mercis
N'imaginant pas le gaz et le bruit des balles qui résonnent
Ils étaient des femmes et des hommes
Pouvant inventer un avenir meilleur
Décidés pour cela à investir des grosses sommes
N'imaginant pas qu'un tueur les avait dans le viseur
Ils étaient tous des enfants,des parents,des amis
Pouvant s'aimer en s'apportant mille et une bontés
Mais un jour ils ont tous croisés leurs pire ennemis
Un de leurs proches,un étranger,une connaissance qui les a tués.
Écrit le samedi 23 avril 2011 à Lagny-Sur-marne,Marne La Vallée 77,Île De France,france,par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS )
Ps:En hommage à toutes ces victimes innocentes,dont celles de Nantes,à qui un monstre sans humanité et calculateur,où le hasard de la vie face à des gens sans cervelle,un jour se sont donnés le droit d'arrêter leurs vies encore pleines de promesses.
A mon père André Gallois tué d'une balle dans la tête le 30 juin 1965 à Coulommiers 77120 Seine Et Marne,à 27 ans,pendant qu'il se penchait à sa fenêtre après avoir entendu des coups de feu échangés lors du cambriolage d'un magasin d'électroménager,par des voyous et un pharmacien qui se prenait pour un shérif et dont la balle à ricochée vers mon père,à la place d'atteindre les cambrioleurs de l'autre côté de la rue.
J'espère que à défaut de la peine de mort,la condamnation à la prison à vie pour ce genre d'individu sera sans moitié ou remise de peine,mais faite dans son intégralité,jusqu'à ce que la mort nous délivre....
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
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Ils étaient des enfants souriants
Pouvant prétendre à un bel avenir
S'en remettant entièrement à leurs parents
N'imaginant pas ce que c'était de mourir
Ils étaient des adolescents s'ouvrant à l'amour
Découvrant la frontière qui les séparent des adultes
Espérant qu'ils en deviennent eux aussi un jour
N'imaginant pas jusqu'où pouvait allez les disputes
Ils étaient des couples qui semblaient s'aimer
Heureux d'avoir fondé leur propre tribu
De voir grandir leurs enfants comme ils l'espéraient
N'imaginant pas qu'un jour tout cela serait perdu
Où vont les âmes errantes
Quand ont leurs a pris leurs vies
En appuyant soudainement sur une détente
Sans leur demander le moindre des avis
Où vont se reposer les âmes errantes
Quand ont les a lâchement abattus
En se donnant le droit d'une vengeance aberrante
Sans leur donner la chance de s'être défendus
Ils étaient des millions à vivre leurs vies
Pratiquant leurs religions sans l'imposer à personne
S'en remettant à Dieu et le bénissant avec des mercis
N'imaginant pas le gaz et le bruit des balles qui résonnent
Ils étaient des femmes et des hommes
Pouvant inventer un avenir meilleur
Décidés pour cela à investir des grosses sommes
N'imaginant pas qu'un tueur les avait dans le viseur
Ils étaient tous des enfants,des parents,des amis
Pouvant s'aimer en s'apportant mille et une bontés
Mais un jour ils ont tous croisés leurs pire ennemis
Un de leurs proches,un étranger,une connaissance qui les a tués.
Écrit le samedi 23 avril 2011 à Lagny-Sur-marne,Marne La Vallée 77,Île De France,france,par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS )
Ps:En hommage à toutes ces victimes innocentes,dont celles de Nantes,à qui un monstre sans humanité et calculateur,où le hasard de la vie face à des gens sans cervelle,un jour se sont donnés le droit d'arrêter leurs vies encore pleines de promesses.
A mon père André Gallois tué d'une balle dans la tête le 30 juin 1965 à Coulommiers 77120 Seine Et Marne,à 27 ans,pendant qu'il se penchait à sa fenêtre après avoir entendu des coups de feu échangés lors du cambriolage d'un magasin d'électroménager,par des voyous et un pharmacien qui se prenait pour un shérif et dont la balle à ricochée vers mon père,à la place d'atteindre les cambrioleurs de l'autre côté de la rue.
J'espère que à défaut de la peine de mort,la condamnation à la prison à vie pour ce genre d'individu sera sans moitié ou remise de peine,mais faite dans son intégralité,jusqu'à ce que la mort nous délivre....
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Ainsi va la vie...
" QUE RESTERA T-IL DE NOUS ? "
Nous garderons le jour de notre rencontre
Comme le plus beau de nos souvenirs
Que nous soyons pour ou contre
Nous l'emporterons dans notre avenirs
Après nous être beaucoup aimés
S'être entièrement donné corps et âme
Jusqu'à se sentir l'un et l'autre attaché
Pour devenir un homme et une femme
Que restera t-il de nous?
Quand la mer aura tout emportée
Tout le sable,les galets,les cailloux
Dans une dernière grande marée
Que restera t-il de nous ?
Quand le monde aura oublié
Tous les amoureux un peu fou
Dans le temps qui nous a dépassé
Nous avons passés tant de jours ensemble
Regardant dans les yeux de l'autre l'amour
Celui qui flamboie et qui nous rassemble
Qui devait nous tenir debout toujours
Après le temps nous a rattrapés trop vite
Érodant chaque jour un peu plus nos sentiments
Creusant la différence dans ce qui nous habite
Les habitudes qui éloignent tous les amants
Que restera t-il de nous?
Quand la mer aura tout emportée
Tout le sable,les galets,les cailloux
Dans une dernière grande marée
Que restera t-il de nous ?
Quand le monde aura oublié
Tous les amoureux un peu fou
Dans le temps qui nous a dépassé
Nous avons fini par ne plus nous reconnaître
Ne plus prendre la peine d'écouter et comprendre
Jusqu'à ne plus voir notre amour disparaître
Et que chacun de nous suive son chemin sans attendre
Après que le désert des mots et des gestes de tendresse
C'est éteint à jamais dans nos coeurs devenus fermés
Nous avons emportés inconscient nos détresses
Dans nos vies séparées où nous avons rien oublié
Écrit le vendredi 22 avril 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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Nous garderons le jour de notre rencontre
Comme le plus beau de nos souvenirs
Que nous soyons pour ou contre
Nous l'emporterons dans notre avenirs
Après nous être beaucoup aimés
S'être entièrement donné corps et âme
Jusqu'à se sentir l'un et l'autre attaché
Pour devenir un homme et une femme
Que restera t-il de nous?
Quand la mer aura tout emportée
Tout le sable,les galets,les cailloux
Dans une dernière grande marée
Que restera t-il de nous ?
Quand le monde aura oublié
Tous les amoureux un peu fou
Dans le temps qui nous a dépassé
Nous avons passés tant de jours ensemble
Regardant dans les yeux de l'autre l'amour
Celui qui flamboie et qui nous rassemble
Qui devait nous tenir debout toujours
Après le temps nous a rattrapés trop vite
Érodant chaque jour un peu plus nos sentiments
Creusant la différence dans ce qui nous habite
Les habitudes qui éloignent tous les amants
Que restera t-il de nous?
Quand la mer aura tout emportée
Tout le sable,les galets,les cailloux
Dans une dernière grande marée
Que restera t-il de nous ?
Quand le monde aura oublié
Tous les amoureux un peu fou
Dans le temps qui nous a dépassé
Nous avons fini par ne plus nous reconnaître
Ne plus prendre la peine d'écouter et comprendre
Jusqu'à ne plus voir notre amour disparaître
Et que chacun de nous suive son chemin sans attendre
Après que le désert des mots et des gestes de tendresse
C'est éteint à jamais dans nos coeurs devenus fermés
Nous avons emportés inconscient nos détresses
Dans nos vies séparées où nous avons rien oublié
Écrit le vendredi 22 avril 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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vendredi 22 avril 2011
Un monde de poésie d'étoile sur toile.
" UN SOURIRE A LA LUNE "
Le rideau de la nuit
Est tombé sur le jour
Emmenant dans mon ciel de lit
Les étoiles de ces atours
Le temps semble s'arrêter
Dans un monde devenu ombre
Où les rêves veulent m'emporter
Loin du sommeil dans lequel je sombre
Les chats sont devenus gris
Ils partent tous à l'aventure
Chasser les souries tel des mistigris
Dans la noirceur de la nature
Dans les reflets de l'eau
La lune semble faire un clin d'oeil
Aux barques et aux radeaux
ressemblant sur la rive à des cercueils
Les lumières des villes désertées
Éclairent la poussière et les fantômes
Pourchassés par le vent esseulé
Aux mille odeurs et différents arômes
Les couples font l'amour et s'endorment
Certain restent chacun de leurs côtés
d'autres se défont quand d'autres se forment
Dans les lueurs fragiles de l'obscurité
Les maisons et les appartements respirent
Renouvelant l'air vicié de toute une journée
Pour redevenir le nid douillet qu'ils aspirent
Envers les propriétaires et locataires fatigués
Le chien dans son panier semble attendre
Quand il n'ait pas admit dans la chambre
Que le jour paraisse pour enfin prétendre
A des caresses sur son dos ses membres
Dans son bocal le poisson rouge
Semble ne faire que du sur place
Tout c'est ralenti et rien ne bouge
Dans chaque coin,recoin et espace
Dans son berceau le bébé endormi
Sourit à tous les anges assis sur les dunes
Peut-être pense t-il au secret des nuits
Ou offre t-il simplement un sourire à la lune.
Écrit le jeudi 21 avril 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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Le rideau de la nuit
Est tombé sur le jour
Emmenant dans mon ciel de lit
Les étoiles de ces atours
Le temps semble s'arrêter
Dans un monde devenu ombre
Où les rêves veulent m'emporter
Loin du sommeil dans lequel je sombre
Les chats sont devenus gris
Ils partent tous à l'aventure
Chasser les souries tel des mistigris
Dans la noirceur de la nature
Dans les reflets de l'eau
La lune semble faire un clin d'oeil
Aux barques et aux radeaux
ressemblant sur la rive à des cercueils
Les lumières des villes désertées
Éclairent la poussière et les fantômes
Pourchassés par le vent esseulé
Aux mille odeurs et différents arômes
Les couples font l'amour et s'endorment
Certain restent chacun de leurs côtés
d'autres se défont quand d'autres se forment
Dans les lueurs fragiles de l'obscurité
Les maisons et les appartements respirent
Renouvelant l'air vicié de toute une journée
Pour redevenir le nid douillet qu'ils aspirent
Envers les propriétaires et locataires fatigués
Le chien dans son panier semble attendre
Quand il n'ait pas admit dans la chambre
Que le jour paraisse pour enfin prétendre
A des caresses sur son dos ses membres
Dans son bocal le poisson rouge
Semble ne faire que du sur place
Tout c'est ralenti et rien ne bouge
Dans chaque coin,recoin et espace
Dans son berceau le bébé endormi
Sourit à tous les anges assis sur les dunes
Peut-être pense t-il au secret des nuits
Ou offre t-il simplement un sourire à la lune.
Écrit le jeudi 21 avril 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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La vie,l'amour,la mort,etc...
" UN JOUR SANS LENDEMAIN "
Quoi que tu feras,tu dises
Qui que tu sois et même penses
Avec des gâteaux salés ou des friandises
Autour d'un feu ou sur une piste de danse
Que se soit un jour de fête ou un dimanche
Dans des larmes de joie ou de chagrin
Quelque soit le côté ou ton coeur penche
Il viendra ton jour sans lendemain
Quoi que tu as commencé ce jour là
Les projets que tu veux faire aboutir
L'espoir et toute l'espérance que tu auras
Tout cela n'auras plus jamais d'avenir
Que tu vives ta plus belles histoire d'amour
Riche ou pauvre mangeant ou non à ta faim
Rêvant d'un monde meilleur et de toujours
Il viendra ton jour sans lendemain
Quelque soit ton pays,la couleur de ta peau
Fils de roi,de président,de boulanger,simple ouvrier
Avec un verre de grand vin,un simple verre d'eau
Sur le lieu de ton travail ou la tête sur ton oreiller
Que tu sois rêveur ou le plus sensé des réalistes
Celui qui stress toujours ou celui qui reste serein
Toujours celui qui fait rire ou celui qui est triste
Il viendra ton jour sans lendemain
Quelque soit ton âge,que tu sois homme ou femme
Engagé dans la politique ou la défense des plus démunis
Souffrant le froid ou le chaud,attisant les flammes
Heureux ou malheureux de la route que tu as suivie
Que tu sois droit ou un pirate des océans
Tu n'empêcheras pas ce dernier jour qui vient
T'emportant sans prévenir vers le néant
Car il viendra ton jour sans lendemain
Écrit le jeudi 21 avril 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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Quoi que tu feras,tu dises
Qui que tu sois et même penses
Avec des gâteaux salés ou des friandises
Autour d'un feu ou sur une piste de danse
Que se soit un jour de fête ou un dimanche
Dans des larmes de joie ou de chagrin
Quelque soit le côté ou ton coeur penche
Il viendra ton jour sans lendemain
Quoi que tu as commencé ce jour là
Les projets que tu veux faire aboutir
L'espoir et toute l'espérance que tu auras
Tout cela n'auras plus jamais d'avenir
Que tu vives ta plus belles histoire d'amour
Riche ou pauvre mangeant ou non à ta faim
Rêvant d'un monde meilleur et de toujours
Il viendra ton jour sans lendemain
Quelque soit ton pays,la couleur de ta peau
Fils de roi,de président,de boulanger,simple ouvrier
Avec un verre de grand vin,un simple verre d'eau
Sur le lieu de ton travail ou la tête sur ton oreiller
Que tu sois rêveur ou le plus sensé des réalistes
Celui qui stress toujours ou celui qui reste serein
Toujours celui qui fait rire ou celui qui est triste
Il viendra ton jour sans lendemain
Quelque soit ton âge,que tu sois homme ou femme
Engagé dans la politique ou la défense des plus démunis
Souffrant le froid ou le chaud,attisant les flammes
Heureux ou malheureux de la route que tu as suivie
Que tu sois droit ou un pirate des océans
Tu n'empêcheras pas ce dernier jour qui vient
T'emportant sans prévenir vers le néant
Car il viendra ton jour sans lendemain
Écrit le jeudi 21 avril 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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mardi 19 avril 2011
Deuxiéme roman,chapitre IV,suite 2
Dépression interdite:chapitre IV,questions élémentaires;suite 2.
Le docteur Tojeman lisait le dossier d'un de ses
nouveaux patients arrivé il y avait quelques jours,remonté après Sylvie Monnier et
Jérôme Carrera,par Karima Lievin;le patient était à la chambre 202 et s'appelait
Arthur Jacquemin,39 ans,marié,4 enfants,1 fille de 12 ans,1 garçon de 10 ans et des
jumeaux de 8 ans.
Il était un homme équilibré,sportif,en bonne santé
physique et bénéficiant d'une vie privé heureuse,mais une vie professionnel qui
devenait cahotique,des mouvements sociaux qui mettaient en péril l'entreprise pour
laquelle il c'était investit de toutes ses forces,pendant des années.
Son éviction petit à petit,puis son renvoi soudain,
l'avait plongé dans une dépression d'abord normal et moindre,avant de devenir
sévère et de le conduire à une tentative de suicide,où il dut sa survie à la
réactivité de son épouse,qui le découvrit dans la baignoire de leurs salle de
bain,où il avait choisit de se couper les veines.
Après tout ces événements,Joseph Tojeman en conclus
que ce patient était le candidat parfait pour le meurtrier qui sévissait dans son
service et qu'il c'était mit en tête de démasquer,il fallait aussi faire la liste
des employés qui étaient arrivés peu avant le premier décès inexpliqué.
Il c'était aperçut que la première liste qu'il
avait décidé de faire sur les personnes qu'il pensait pouvoir être responsable,ne
menait à rien,n'était pas une bonne solution,il devait donc en faire une autre plus
précise dans la démarche;en constatant que les faits c'étaient déclenchés
soudainement,il avait fini par en déduire qu'un nouvel employé était arrivé au
moment où tout allait commencé et que ce nouvel employé au psychique déjà mit à
mal,n'était qu'une bombe à retardement qu'un élément déclencheur à fait passer à
l'acte.
En observant cette liste qu'il venait de
commencer,il constata qu'elle avait déjà beaucoup plus de personnes qu'il
s'attendait à voir,ça allait être plus compliqué qu'il le pensait,au même moment
devant cette liste de nom,il pensa à une chose qui jusqu'alors le gênait,mais qui
n'avait pas encore fait tilt en lui,alors que là maintenant c'était une évidence;
jusqu'alors les victimes étaient tous des hommes,cette soudaine prise de conscience
lui donna l'impression d'avancer à grand pas,il était évident que cet assassin
avait choisi le sexe masculin pour assouvir sa dose de vengeance,qui le ramenait
directement à la cause de sa psychose,qui était son geste déclencheur.
Il ne comprenait pas pourquoi cela ne lui avait
pas sauté aux yeux avant,car il avait des patients féminin aussi dans son service,
dont une patiente récemment arrivée,mais jamais rien n'était arrivé à aucunes
d'elles,dès maintenant il pouvait déjà dresser un portrait psychologique le plus
précis possible de ce tueur et dans un deuxième temps le comparer avec les dossiers
des employés récemment arrivés et qui avaient des problèmes divers,voir une certaine
insubordination,qui correspondait assez à ce genre de personnage.
Il espérait ainsi réduire au plus petit le
nombre de coupable potentiel,pour avoir une chance de mettre la main sur le vrai
responsable de ces crimes,il se détendit en appuyant son dos contre le dossier de
sa chaise de bureau et ferma les yeux un moment pour réfléchir sereinement...
Le téléphone de son bureau le sortit soudain de
ses pensées,c'était sa secrétaire;Catherine Lefêvre qui lui faisait savoir que
monsieur Patrick Charcot avec qui il avait rendez-vous,était arrivé.
Il lui demanda d'attendre cinq minutes avant de
le faire rentrer,le temps qu'il remette un peu d'ordre dans ses papiers qui étaient
en désordres sur son bureau et qu'il reprenne un peu ses esprits après cette petite
déconnexion de la réalité.
Il avait reculé l'échéance le plus longtemps
possible,pour gérer et enquêter lui même sur tout ces événements dramatiques,mais
ce dernier rebondissement ne pouvait plus être traité en interne,il avait tout fait
jusqu'à maintenant pour retenir toutes les informations sur les décès antérieurs,
mais celui-ci avait malgré lui dépassé son service;d'un autre côté,il n'avait pas
non plus envie de partir seul à la recherche de ce criminel que rien ne semblait
arrêter,de toute façon il était dans l'obligation de signaler les faits à la police
pour toutes ces morts maintenant révélées suspects et criminels.
Il avait même devancé les choses et c'était
directement adressé à un inspecteur de police haut placé,qui était l'un de ses
meilleurs amis,depuis son adolescence.
Patrick Charcot et lui avait partagés plus d'une
soirée à refaire le monde,à sortir faire le con ensemble dans des nuits plutôt
courtes,c'était aussi avec lui qu'il avait rencontré sa femme,des choses qui
aujourd'hui donnait encore plus de valeur et d'importance à leurs amitiés,ils ne
s'étaient jamais perdu de vue et se voyaient régulièrement ou s'appelaient pour se
donner des nouvelles,Patrick Charcot avait aussi été très présent dans l'épreuve
qu'il avait connu avec ses enfants,avec la maladie et la mort de son épouse.
De tout cela il voulait que personne ne soit au
courant ici à l'hôpital,pour faciliter au maximum l'enquête qu'allait mener
l'inspecteur Patrick Charcot,plus il serait discret et plus de monde ne saurait qui
il était,ça donnerait plus de chance de coincer le responsable de toute cette
tragédie beaucoup plus vite.
On frappa à la porte et après avoir dit d'entrer;
il fit comme si il voyait l'inspecteur pour la première fois,se présenta à lui et
laissa l'inspecteur faire de même,tout ça pour être le plus crédible devant
Catherine Lefêvre sa secrétaire qui n'en perdait pas une miette et qui ne manquait
jamais d'en toucher deux où trois mots à quelques unes de ses collègues,sans avoir
le moindre soupçon de qui il s'agissait en vérité,la porte se referma derrière
Catherine Lefêvre et avec un large sourire de complicité,ils se firent enfin
l'accolade amicale,content que leurs petit jeu fonctionne bien.
Héléne Portal marchait dans le grand hall de
l'hôpital européen Georges Pompidou,Pour allait se restaurer au self qui se
trouvait en face de la grande crèche familiale,toujours dans l'hôpital;elle aimait
regarder les enfants qui sortaient de la crèche,du plus petit bébé,à l'enfant de 3
ans,qui s'apprêtaient à rejoindre la maternel,cette crèche était immense,bien
entretenue et dirigée,elle avait déjà eut l'occasion de la visité grâce à Karima
Liévin qui y avait sa petite nièce et qu'elle venait chercher de temps à autre.
Aujourd'hui elle ressentait une certaine
mélancolie,qu'elle ne s'expliquait pas et plus que jamais elle se sentait femme,en
regardant tout ces enfants aux bras de leurs parents;elle avait 30 ans et sentait
son horloge biologique la rattraper,elle voulait de tout son coeur être mère,mais
jusqu'à maintenant elle n'avait jamais trouvé le bon père pour ses futurs enfants,
elle ne savait pas si Joseph Tojeman avait envie d'avoir d'autres enfants,vu qu'il
avait déjà deux grands garçons en âges adultes,il avait aussi un âge ou on avait
plutôt envie d'être tranquille;mais elle ne pouvait s'empêcher de penser qu'il
était le père qu'elle voulait pour ses futurs enfants,elle essuya une larme qui
coulait sur sa joue et rentra dans le restaurant d'entreprise.
Écrit en janvier 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île de France,France,par Hugo Gall ( pseudo de Thierry Gallois )
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause de victimes de maltraitances,d'incestes,de violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs;accès:
Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
Le docteur Tojeman lisait le dossier d'un de ses
nouveaux patients arrivé il y avait quelques jours,remonté après Sylvie Monnier et
Jérôme Carrera,par Karima Lievin;le patient était à la chambre 202 et s'appelait
Arthur Jacquemin,39 ans,marié,4 enfants,1 fille de 12 ans,1 garçon de 10 ans et des
jumeaux de 8 ans.
Il était un homme équilibré,sportif,en bonne santé
physique et bénéficiant d'une vie privé heureuse,mais une vie professionnel qui
devenait cahotique,des mouvements sociaux qui mettaient en péril l'entreprise pour
laquelle il c'était investit de toutes ses forces,pendant des années.
Son éviction petit à petit,puis son renvoi soudain,
l'avait plongé dans une dépression d'abord normal et moindre,avant de devenir
sévère et de le conduire à une tentative de suicide,où il dut sa survie à la
réactivité de son épouse,qui le découvrit dans la baignoire de leurs salle de
bain,où il avait choisit de se couper les veines.
Après tout ces événements,Joseph Tojeman en conclus
que ce patient était le candidat parfait pour le meurtrier qui sévissait dans son
service et qu'il c'était mit en tête de démasquer,il fallait aussi faire la liste
des employés qui étaient arrivés peu avant le premier décès inexpliqué.
Il c'était aperçut que la première liste qu'il
avait décidé de faire sur les personnes qu'il pensait pouvoir être responsable,ne
menait à rien,n'était pas une bonne solution,il devait donc en faire une autre plus
précise dans la démarche;en constatant que les faits c'étaient déclenchés
soudainement,il avait fini par en déduire qu'un nouvel employé était arrivé au
moment où tout allait commencé et que ce nouvel employé au psychique déjà mit à
mal,n'était qu'une bombe à retardement qu'un élément déclencheur à fait passer à
l'acte.
En observant cette liste qu'il venait de
commencer,il constata qu'elle avait déjà beaucoup plus de personnes qu'il
s'attendait à voir,ça allait être plus compliqué qu'il le pensait,au même moment
devant cette liste de nom,il pensa à une chose qui jusqu'alors le gênait,mais qui
n'avait pas encore fait tilt en lui,alors que là maintenant c'était une évidence;
jusqu'alors les victimes étaient tous des hommes,cette soudaine prise de conscience
lui donna l'impression d'avancer à grand pas,il était évident que cet assassin
avait choisi le sexe masculin pour assouvir sa dose de vengeance,qui le ramenait
directement à la cause de sa psychose,qui était son geste déclencheur.
Il ne comprenait pas pourquoi cela ne lui avait
pas sauté aux yeux avant,car il avait des patients féminin aussi dans son service,
dont une patiente récemment arrivée,mais jamais rien n'était arrivé à aucunes
d'elles,dès maintenant il pouvait déjà dresser un portrait psychologique le plus
précis possible de ce tueur et dans un deuxième temps le comparer avec les dossiers
des employés récemment arrivés et qui avaient des problèmes divers,voir une certaine
insubordination,qui correspondait assez à ce genre de personnage.
Il espérait ainsi réduire au plus petit le
nombre de coupable potentiel,pour avoir une chance de mettre la main sur le vrai
responsable de ces crimes,il se détendit en appuyant son dos contre le dossier de
sa chaise de bureau et ferma les yeux un moment pour réfléchir sereinement...
Le téléphone de son bureau le sortit soudain de
ses pensées,c'était sa secrétaire;Catherine Lefêvre qui lui faisait savoir que
monsieur Patrick Charcot avec qui il avait rendez-vous,était arrivé.
Il lui demanda d'attendre cinq minutes avant de
le faire rentrer,le temps qu'il remette un peu d'ordre dans ses papiers qui étaient
en désordres sur son bureau et qu'il reprenne un peu ses esprits après cette petite
déconnexion de la réalité.
Il avait reculé l'échéance le plus longtemps
possible,pour gérer et enquêter lui même sur tout ces événements dramatiques,mais
ce dernier rebondissement ne pouvait plus être traité en interne,il avait tout fait
jusqu'à maintenant pour retenir toutes les informations sur les décès antérieurs,
mais celui-ci avait malgré lui dépassé son service;d'un autre côté,il n'avait pas
non plus envie de partir seul à la recherche de ce criminel que rien ne semblait
arrêter,de toute façon il était dans l'obligation de signaler les faits à la police
pour toutes ces morts maintenant révélées suspects et criminels.
Il avait même devancé les choses et c'était
directement adressé à un inspecteur de police haut placé,qui était l'un de ses
meilleurs amis,depuis son adolescence.
Patrick Charcot et lui avait partagés plus d'une
soirée à refaire le monde,à sortir faire le con ensemble dans des nuits plutôt
courtes,c'était aussi avec lui qu'il avait rencontré sa femme,des choses qui
aujourd'hui donnait encore plus de valeur et d'importance à leurs amitiés,ils ne
s'étaient jamais perdu de vue et se voyaient régulièrement ou s'appelaient pour se
donner des nouvelles,Patrick Charcot avait aussi été très présent dans l'épreuve
qu'il avait connu avec ses enfants,avec la maladie et la mort de son épouse.
De tout cela il voulait que personne ne soit au
courant ici à l'hôpital,pour faciliter au maximum l'enquête qu'allait mener
l'inspecteur Patrick Charcot,plus il serait discret et plus de monde ne saurait qui
il était,ça donnerait plus de chance de coincer le responsable de toute cette
tragédie beaucoup plus vite.
On frappa à la porte et après avoir dit d'entrer;
il fit comme si il voyait l'inspecteur pour la première fois,se présenta à lui et
laissa l'inspecteur faire de même,tout ça pour être le plus crédible devant
Catherine Lefêvre sa secrétaire qui n'en perdait pas une miette et qui ne manquait
jamais d'en toucher deux où trois mots à quelques unes de ses collègues,sans avoir
le moindre soupçon de qui il s'agissait en vérité,la porte se referma derrière
Catherine Lefêvre et avec un large sourire de complicité,ils se firent enfin
l'accolade amicale,content que leurs petit jeu fonctionne bien.
Héléne Portal marchait dans le grand hall de
l'hôpital européen Georges Pompidou,Pour allait se restaurer au self qui se
trouvait en face de la grande crèche familiale,toujours dans l'hôpital;elle aimait
regarder les enfants qui sortaient de la crèche,du plus petit bébé,à l'enfant de 3
ans,qui s'apprêtaient à rejoindre la maternel,cette crèche était immense,bien
entretenue et dirigée,elle avait déjà eut l'occasion de la visité grâce à Karima
Liévin qui y avait sa petite nièce et qu'elle venait chercher de temps à autre.
Aujourd'hui elle ressentait une certaine
mélancolie,qu'elle ne s'expliquait pas et plus que jamais elle se sentait femme,en
regardant tout ces enfants aux bras de leurs parents;elle avait 30 ans et sentait
son horloge biologique la rattraper,elle voulait de tout son coeur être mère,mais
jusqu'à maintenant elle n'avait jamais trouvé le bon père pour ses futurs enfants,
elle ne savait pas si Joseph Tojeman avait envie d'avoir d'autres enfants,vu qu'il
avait déjà deux grands garçons en âges adultes,il avait aussi un âge ou on avait
plutôt envie d'être tranquille;mais elle ne pouvait s'empêcher de penser qu'il
était le père qu'elle voulait pour ses futurs enfants,elle essuya une larme qui
coulait sur sa joue et rentra dans le restaurant d'entreprise.
Écrit en janvier 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île de France,France,par Hugo Gall ( pseudo de Thierry Gallois )
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause de victimes de maltraitances,d'incestes,de violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs;accès:
Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
jeudi 14 avril 2011
Hommage à ANNIE GIRARDOT
" LA PORTE FERMÉE A CLÉ "
Elle a pris la clé sous la porte
Fermée définitivement la porte à clé
Pour aller où nos âmes nous emportent
Derrière le bleu du ciel remplis d'éternité
Elle a rejoint le paradis des artistes
Après s'être tant donnée sur grand écran
Sans zizanie pour un dernier tour de piste
Vers la voix lactée où s'arrête le temps
Elle ne fume plus,ne cause et ne vit plus
Les blessures et les souffrances ont enfin cessées
Comme le brouillard dans lequel elle était perdu
Entre cauchemar,réalité,absence et vérité
Elle a aimée des tendres poulets et Renato
Partie à la recherche de la cuisse de Jupiter
Connue et partagée la vie des frères de Rocco
Subit des traitements de choc comme l'enfer
Elle a enchantée beaucoup de nos soirées
Représentée si bien une femme comme les autres
Même en vieille fille,masquée ou déguisée
Pour finir à faire partie de chacun des nôtres
Elle a eu une fille et deux petits enfants
Qu'elle a chérie tout au long de sa vie
Mais n'a pu empêcher le docteur Françoise Gaillant
De sombrer dans le côté définitif de l'amnésie
Elle a écrit sa liste noire dans sa mémoire
Où se croisent les plus grands qu'elle a connue
Au détour d'un tournage lui apportant l'espoir
Avant qu'on l'oublie comme une sinistre inconnue
Elle a connue les hauts et les bas de son métier
Les fragilités,les trahisons,les silences et les mots
Comme les beaux jours d'été et les belles fraternités
Et aujourd'hui je lui dit:soit en paix chére Annie Girardot.
Écrit le jeudi 14 avril 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
En hommage à la grande et émouvante Annie Girardot,nous ne vous oublierons jamais Annie.
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause de victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
Elle a pris la clé sous la porte
Fermée définitivement la porte à clé
Pour aller où nos âmes nous emportent
Derrière le bleu du ciel remplis d'éternité
Elle a rejoint le paradis des artistes
Après s'être tant donnée sur grand écran
Sans zizanie pour un dernier tour de piste
Vers la voix lactée où s'arrête le temps
Elle ne fume plus,ne cause et ne vit plus
Les blessures et les souffrances ont enfin cessées
Comme le brouillard dans lequel elle était perdu
Entre cauchemar,réalité,absence et vérité
Elle a aimée des tendres poulets et Renato
Partie à la recherche de la cuisse de Jupiter
Connue et partagée la vie des frères de Rocco
Subit des traitements de choc comme l'enfer
Elle a enchantée beaucoup de nos soirées
Représentée si bien une femme comme les autres
Même en vieille fille,masquée ou déguisée
Pour finir à faire partie de chacun des nôtres
Elle a eu une fille et deux petits enfants
Qu'elle a chérie tout au long de sa vie
Mais n'a pu empêcher le docteur Françoise Gaillant
De sombrer dans le côté définitif de l'amnésie
Elle a écrit sa liste noire dans sa mémoire
Où se croisent les plus grands qu'elle a connue
Au détour d'un tournage lui apportant l'espoir
Avant qu'on l'oublie comme une sinistre inconnue
Elle a connue les hauts et les bas de son métier
Les fragilités,les trahisons,les silences et les mots
Comme les beaux jours d'été et les belles fraternités
Et aujourd'hui je lui dit:soit en paix chére Annie Girardot.
Écrit le jeudi 14 avril 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
En hommage à la grande et émouvante Annie Girardot,nous ne vous oublierons jamais Annie.
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause de victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
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mardi 12 avril 2011
Deuxiéme roman,chapitre IV,suite
Dépression interdite:chapitre IV;questions élémentaires.
Jérome Pizzani c'était réveillé aux côtés de
celle qu'il aimait,presque heureux qu'elle soit là,mais aussi un peu désespéré
qu'elle n'eut pas acceptée sa demande de vivre ensemble,il devait se contenter de
vivre avec elle trois jours sur sept;il ne renoncerait pas cependant à lui
reformuler sa demande dans plusieurs mois,quand l'eau aurait coulé sous le pont et
là;il espérait bien qu'elle lui dirait enfin oui,pour l'instant,il lui fallait
prendre patience et prendre d'urgence un dolliprane dans sa salle de bain,car il
avait un mal de tête carabiné en se levant et ça l'empêchait de bien réfléchir
comme il voudrait,ensuite il allait prendre une bonne douche pour finir de bien le
réveiller,le tout suivie d'un bon exprésso bien strétto,comme aurait dit sa mère,
quand elle demandait un café dans un bar en Italie.
Il entendit Céline Belgrand s'étirer et
bailler avec énergie et il la regarda avec amour et désir,son corps était à demi
recouvert par les draps et la couette et elle portait une chemise de nuit en
dentelle blanche,qui la rendait encore plus désirable et sexy,mais à cet instant il
eut une poussée de mal de tête qui le fit tenir sa tête entre ses deux mains,en
même temps qu'il ressentait quelque chose de différent,quelque chose d'inhabituel
,qu'il n'arrivait pas à définir,il lui fallait vite prendre ses comprimés contre le
mal de tête avant qu'elle explose et se laisser ensuite recouvrir par les jets vifs
et chauds de la douche,il penserait après si il le pouvait et s'il y pensait
encore...
Olivier Masson,se resserrait tendrement contre
le corps viril et chaud de son amant,avec qui il avait passé toute la nuit,comme
chaque jour depuis leur premier rendez-vous,il aimait cet homme là et ce corps qui
lui donnait tant de plaisir et de bonheur,aujourd'hui il savait qu'il ne pourrait
plus se passer de lui,vivre sans lui,au fond de son âme il pensait très fort que
c'était l'homme de sa vie,il pensa aussi en cet instant à son amie Héléne et à sa
récente relation avec l'un des grands boss de l'hôpital,Joseph Tojeman,aussi
étonnant que cela pouvait paraître,ils semblaient avoir trouvés tous les deux en
même temps leurs moitiés,ce petit clin d'oeil avait une certaine ironie qui ne lui
déplaisait pas du tout,à ce moment là,il se lova plus sensuellement contre Fabrice
lepierric,le caressant avec précision et désir,ce qui le réveilla avec douceur et
l'envie qui se faisait soudain en lui,sous les gestes tendres et les démonstrations
de sentiments que lui prodiguait son complice;ne pouvant plus résister il saisi
Olivier par les épaules,mêla sa bouche à la sienne et l'étreignit avec de longs
baisers virils,avant de le prendre avec conviction et désir intense partagé,qui
sembla les laissèrent un moment suspendus dans le temps...
Héléne Portal se sentait heureuse et épanouie
,comme jamais elle ne l'avait été,mais elle était aussi atterrée par ce qui c'était
passé dans le service de celui qu'elle aimait,elle se sentait impuissante face à de
tel événement et le fait que cela se passe dans son lieu de travail,l'envahissait
d'une certaine peur et d'un regain de méfiance vis à vis de tous ses collègues,mis
à part son ami Olivier Masson,en qui elle avait toute confiance et dont elle savait
qu'il vivait au même moment qu'elle une belle relation amoureuse.
Ces derniers jours elle avait trouvée très
étrange l'attitude de Marianne Dufour,lorsqu'elles étaient ensemble dans la même
équipe et horaire,elle ne cessait de regarder partout,écrire des notes sur un
cahier qu'elle cachait sous le comptoir des urgences,mais elle avait quand même
réussit à la surprendre à ces dépends,cela l'intriguait énormément,mais Marianne
Dufour pouvait elle être cette meurtrière froide et sans sentiment,elle était peut-
être antipathique et peu amicale envers elle,mais Héléne ne pouvait pas se résoudre
à penser que cela faisait d'elle un assassin;il y avait aussi cette étrange
infirmière qui traînait souvent ici ces jours ci,une certaine Jeanne Dutilleul,une
forte femme,avec des lunettes excentriques en forme de papillon,qui se baladait
pour un oui et un non dans les urgences,posant des questions pas toujours discrètes
avec sa forte voix de ténor,faisant peur aux personnes âgées de son service de
gériatrie,dans lequel elle était sensée travailler,mais à la voir ainsi se promener
,on pouvait se demander si elle arrivait à le faire au moins une heure par jour.
Toutes ces suspicions qui finissaient par
s'immiscer en elle,la rendait malade et elle se demandait comment rester sereine et
faire le mieux son travail dans un tel climat de constante paranoïa et de stress ?
Karima Lievin était étonnée par le comportement
de sa chef,depuis quelques jours,Mireille Dupuis,montrait une face cachée d'elle
même que personne n'avait jamais vu jusqu'alors,Karima la trouvait très nerveuse
,sans cesse agacée,sur le qui vive et de plus en plus mystérieuse,elle avait aussi
remarquée qu'entre le docteur Tojeman et elle,le torchon semblait brûler,il y avait
une surdose d'électricité et ils se fuyaient comme la peste pour ne pas se parler
ou le moins possible,avec une courtoisie de circonstance,dont ils faisaient l'un et
l'autre preuve avec le plus grand mal,deux trois mots par ci par là,des phrases
très courtes et sur des tons sans traces de la moindre politesse,ni d'estime,Karima
se demandait se qui avait bien pu les piquer et si cela avait un lien avec la série
de crime commis dans le service,le docteur Tojeman aurait-il des doutes sur la
culpabilité de Mireille Dupuis,la tenait elle pour responsable et au pire en avait-
il des preuves?
Karima se sentit soudain oppressé dans un tel
climat d'agressivité,sans compter que Mireille Dupuis lui parlait maintenant avec
irrespect et sur un ton qu'elle n'aimait pas du tout,si elle continuait sur sa
lancée,elle ne manquerait pas de la remettre à sa place,Karima était bien
gentille,mais pas une charmante idiote non plus,il fallait pas poussée mémère dans
les orties,elle n'avait pas de culotte,comme disait son mari,mais ce qui
l'intriguait en cet instant c'était vraiment ou était la part de vérité dans tout
ça,qui était coupable ou non,cette question était plus que jamais d'actualité et
tout le monde maintenant ce la posait et à juste titre,elle plus que personne
d'autre.
Écrit en janvier 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend le cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
Jérome Pizzani c'était réveillé aux côtés de
celle qu'il aimait,presque heureux qu'elle soit là,mais aussi un peu désespéré
qu'elle n'eut pas acceptée sa demande de vivre ensemble,il devait se contenter de
vivre avec elle trois jours sur sept;il ne renoncerait pas cependant à lui
reformuler sa demande dans plusieurs mois,quand l'eau aurait coulé sous le pont et
là;il espérait bien qu'elle lui dirait enfin oui,pour l'instant,il lui fallait
prendre patience et prendre d'urgence un dolliprane dans sa salle de bain,car il
avait un mal de tête carabiné en se levant et ça l'empêchait de bien réfléchir
comme il voudrait,ensuite il allait prendre une bonne douche pour finir de bien le
réveiller,le tout suivie d'un bon exprésso bien strétto,comme aurait dit sa mère,
quand elle demandait un café dans un bar en Italie.
Il entendit Céline Belgrand s'étirer et
bailler avec énergie et il la regarda avec amour et désir,son corps était à demi
recouvert par les draps et la couette et elle portait une chemise de nuit en
dentelle blanche,qui la rendait encore plus désirable et sexy,mais à cet instant il
eut une poussée de mal de tête qui le fit tenir sa tête entre ses deux mains,en
même temps qu'il ressentait quelque chose de différent,quelque chose d'inhabituel
,qu'il n'arrivait pas à définir,il lui fallait vite prendre ses comprimés contre le
mal de tête avant qu'elle explose et se laisser ensuite recouvrir par les jets vifs
et chauds de la douche,il penserait après si il le pouvait et s'il y pensait
encore...
Olivier Masson,se resserrait tendrement contre
le corps viril et chaud de son amant,avec qui il avait passé toute la nuit,comme
chaque jour depuis leur premier rendez-vous,il aimait cet homme là et ce corps qui
lui donnait tant de plaisir et de bonheur,aujourd'hui il savait qu'il ne pourrait
plus se passer de lui,vivre sans lui,au fond de son âme il pensait très fort que
c'était l'homme de sa vie,il pensa aussi en cet instant à son amie Héléne et à sa
récente relation avec l'un des grands boss de l'hôpital,Joseph Tojeman,aussi
étonnant que cela pouvait paraître,ils semblaient avoir trouvés tous les deux en
même temps leurs moitiés,ce petit clin d'oeil avait une certaine ironie qui ne lui
déplaisait pas du tout,à ce moment là,il se lova plus sensuellement contre Fabrice
lepierric,le caressant avec précision et désir,ce qui le réveilla avec douceur et
l'envie qui se faisait soudain en lui,sous les gestes tendres et les démonstrations
de sentiments que lui prodiguait son complice;ne pouvant plus résister il saisi
Olivier par les épaules,mêla sa bouche à la sienne et l'étreignit avec de longs
baisers virils,avant de le prendre avec conviction et désir intense partagé,qui
sembla les laissèrent un moment suspendus dans le temps...
Héléne Portal se sentait heureuse et épanouie
,comme jamais elle ne l'avait été,mais elle était aussi atterrée par ce qui c'était
passé dans le service de celui qu'elle aimait,elle se sentait impuissante face à de
tel événement et le fait que cela se passe dans son lieu de travail,l'envahissait
d'une certaine peur et d'un regain de méfiance vis à vis de tous ses collègues,mis
à part son ami Olivier Masson,en qui elle avait toute confiance et dont elle savait
qu'il vivait au même moment qu'elle une belle relation amoureuse.
Ces derniers jours elle avait trouvée très
étrange l'attitude de Marianne Dufour,lorsqu'elles étaient ensemble dans la même
équipe et horaire,elle ne cessait de regarder partout,écrire des notes sur un
cahier qu'elle cachait sous le comptoir des urgences,mais elle avait quand même
réussit à la surprendre à ces dépends,cela l'intriguait énormément,mais Marianne
Dufour pouvait elle être cette meurtrière froide et sans sentiment,elle était peut-
être antipathique et peu amicale envers elle,mais Héléne ne pouvait pas se résoudre
à penser que cela faisait d'elle un assassin;il y avait aussi cette étrange
infirmière qui traînait souvent ici ces jours ci,une certaine Jeanne Dutilleul,une
forte femme,avec des lunettes excentriques en forme de papillon,qui se baladait
pour un oui et un non dans les urgences,posant des questions pas toujours discrètes
avec sa forte voix de ténor,faisant peur aux personnes âgées de son service de
gériatrie,dans lequel elle était sensée travailler,mais à la voir ainsi se promener
,on pouvait se demander si elle arrivait à le faire au moins une heure par jour.
Toutes ces suspicions qui finissaient par
s'immiscer en elle,la rendait malade et elle se demandait comment rester sereine et
faire le mieux son travail dans un tel climat de constante paranoïa et de stress ?
Karima Lievin était étonnée par le comportement
de sa chef,depuis quelques jours,Mireille Dupuis,montrait une face cachée d'elle
même que personne n'avait jamais vu jusqu'alors,Karima la trouvait très nerveuse
,sans cesse agacée,sur le qui vive et de plus en plus mystérieuse,elle avait aussi
remarquée qu'entre le docteur Tojeman et elle,le torchon semblait brûler,il y avait
une surdose d'électricité et ils se fuyaient comme la peste pour ne pas se parler
ou le moins possible,avec une courtoisie de circonstance,dont ils faisaient l'un et
l'autre preuve avec le plus grand mal,deux trois mots par ci par là,des phrases
très courtes et sur des tons sans traces de la moindre politesse,ni d'estime,Karima
se demandait se qui avait bien pu les piquer et si cela avait un lien avec la série
de crime commis dans le service,le docteur Tojeman aurait-il des doutes sur la
culpabilité de Mireille Dupuis,la tenait elle pour responsable et au pire en avait-
il des preuves?
Karima se sentit soudain oppressé dans un tel
climat d'agressivité,sans compter que Mireille Dupuis lui parlait maintenant avec
irrespect et sur un ton qu'elle n'aimait pas du tout,si elle continuait sur sa
lancée,elle ne manquerait pas de la remettre à sa place,Karima était bien
gentille,mais pas une charmante idiote non plus,il fallait pas poussée mémère dans
les orties,elle n'avait pas de culotte,comme disait son mari,mais ce qui
l'intriguait en cet instant c'était vraiment ou était la part de vérité dans tout
ça,qui était coupable ou non,cette question était plus que jamais d'actualité et
tout le monde maintenant ce la posait et à juste titre,elle plus que personne
d'autre.
Écrit en janvier 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend le cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
jeudi 7 avril 2011
Le chemin d'un homme
" QUAND ON SERA GRAND "
Quand on ait un enfant
On rêve de partir à l'aventure
Sur un bateau traverser l'océan
Aller sur les routes dans une puissante voiture
Quand on ait un enfant
On voit les grands de sa hauteur
Sans percer les vérités de leurs sentiments
Qu'ils essayent de cacher dans leurs coeurs
Et puis le temps passe
Plus vite qu'on peut le dire
Avec des épreuves qui nous lassent
Changeant chaque instant l'avenir
Et puis l'innocence et la fraîcheur cassent
Le monde n'ait plus ce qu'on rêvait avant
Les codes et son inhumanité nous dépassent
Nous qui rêvions de quand on sera grand...
Quand on ait un enfant
On voudrait voir derrière l'horizon
Se battre contre les dragons et les vents
Devenir des nouveaux Christophe Colomb
Quand on ait un enfant
On rit devant Tintin et Milou et les Dupont
On se passionne pour Marco Polo et les continents
Oubliant bien trop souvent toutes nos leçons
Et puis le temps passe
Plus vite qu'on peut le dire
Avec des épreuves qui nous lassent
Changeant chaque instant l'avenir
Et puis l'innocence et la fraîcheur cassent
Le monde n'ait plus ce qu'on rêvait avant
Les codes et son inhumanité nous dépassent
Nous qui rêvions de quand on sera grand...
Quand on ait un enfant
On cherche d'où vient le bleu du ciel
Dans les yeux profond de sa maman
En croyant que son amour et vrai et éternel
Quand on ait un enfant
Le temps nous parait souvent si long
Nos peines disparaissent au gré de nos changements
Qui un jour laissera paraître ce que nous serons.
Écrit le jeudi 7 avril 2011,à la gare de Chelles 77500,attendant le train pour Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France.
merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
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Quand on ait un enfant
On rêve de partir à l'aventure
Sur un bateau traverser l'océan
Aller sur les routes dans une puissante voiture
Quand on ait un enfant
On voit les grands de sa hauteur
Sans percer les vérités de leurs sentiments
Qu'ils essayent de cacher dans leurs coeurs
Et puis le temps passe
Plus vite qu'on peut le dire
Avec des épreuves qui nous lassent
Changeant chaque instant l'avenir
Et puis l'innocence et la fraîcheur cassent
Le monde n'ait plus ce qu'on rêvait avant
Les codes et son inhumanité nous dépassent
Nous qui rêvions de quand on sera grand...
Quand on ait un enfant
On voudrait voir derrière l'horizon
Se battre contre les dragons et les vents
Devenir des nouveaux Christophe Colomb
Quand on ait un enfant
On rit devant Tintin et Milou et les Dupont
On se passionne pour Marco Polo et les continents
Oubliant bien trop souvent toutes nos leçons
Et puis le temps passe
Plus vite qu'on peut le dire
Avec des épreuves qui nous lassent
Changeant chaque instant l'avenir
Et puis l'innocence et la fraîcheur cassent
Le monde n'ait plus ce qu'on rêvait avant
Les codes et son inhumanité nous dépassent
Nous qui rêvions de quand on sera grand...
Quand on ait un enfant
On cherche d'où vient le bleu du ciel
Dans les yeux profond de sa maman
En croyant que son amour et vrai et éternel
Quand on ait un enfant
Le temps nous parait souvent si long
Nos peines disparaissent au gré de nos changements
Qui un jour laissera paraître ce que nous serons.
Écrit le jeudi 7 avril 2011,à la gare de Chelles 77500,attendant le train pour Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France.
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mercredi 6 avril 2011
Les fables d'hugo
" L'ÂNE ET LA TORTUE "
De toute les histoires les plus impensables,un jour à ne pas y croire,à existé celle D'Auguste,âne adepte du rien faire du soir au matin et d'une infatigable et lente tortue,du nom de Marianne.
Ces deux spécimens,qui ne devaient jamais se rencontrer,dû au plus grand des hasard de les placer l'un en face de l'autre.
Il faut savoir que l'âne est un animal aussi oisif,qu'il est de mauvaise foi,quant à la tortue,elle égale sa lenteur,avec son tempérament têtu.
C'est ainsi que ce jour là,bien décidé à suivre son chemin,sans en changer son itinéraire,Marianne trouva sur sa route un impossible obstacle;c'était Auguste,qui avait décidé de faire son lit,sur la route,qui indépendemment de sa volonté,devait être ce jour,celle que devait suivre Marianne.
Dans l'impossibilité,soudain d'aller plus loin,notre bonne vieille tortue,s'obstina à ne pas vouloir changer de direction et de demander à cet intrus mal venue de bien vouloir partir dormir ailleurs et de la laisser suivre son chemin.
:" dite donc mon cher ami,n'avez vous point d'autre endroit que cette route pour dormir?Car ici c'est mon chemin et je n'en dévierai ni à gauche,ni à droite,alors je vous pries,d'allé ailleurs chercher un autre lit et dépêchez vous,car le temps me presse et à cause de vous j'ai déjà perdu beaucoup trop de temps ".
Auguste nullement ennuyé par toutes ces bonnes paroles,se mis à bailler et à soupirer,laissant échapper quelques mots en direction de Marianne:
" dite moi mademoiselle lenteur,de quel droit dérangez vous les gens pendant leurs sommeil?Je n'ai point envie de me lever et ne compter pas sur moi pour vous satisfaire vieille carcasse.
Le soleil c'est levé,mais bientôt il se coucher et pour cela,je préfère rester dans mon lit,comme cela je ne serais point en retard pour dormir.
Aller dépêchez vous,vous allez être en retard,passez à côté et bonne route ".
Marianne commença à s'impatienter par tant de mépris et se mit à crier de toute sa voix : " vous êtes l'être le plus disgracieux que j'ai pu rencontrer et je vous conseil d'avaler des sacs entiers de carottes pour effacer votre caractère acariâtre et des moins accueillant.
Quant à dormir dans la vie,il y a des heures pour cela et d'autre pour travailler et vivre sa vie,alors maintenant ça suffit,levez vous et laisser moi vivre la mienne ".
Toujours aussi peu enthousiasme et peu enclin à le moindre bonne volonté,l'âne répondit d'un ton las à cette tortue qui l'importunait:
" que vous m'agacez avec votre morale,vous devriez la garder pour ceux qui l'écoute,car moi je n'en ai que faire.
Si les carottes comme vous dite,devraient me rendre plus aimable,vous vous devriez manger plus de salade,elle vous ferait peut être avancer plus vite et puis vous devriez aussi vous mordre la langue,comme cela je ne vous entendrez plus je pourrai retomber dans mon sommeil.
Maintenant ne comptais plus que je vous réponde,je suis bien trop las et de vous entendre parler ainsi m'épuise,alors faite comme bon vous semblera,mais ne compté pas sur moi;à bon entendeur,salut et bonne nuit ".
La tortue était à bout et n'en pouvait plus de ce grand fainéant mal embouché et elle chercha dans ses pensées une bonne parade qui ferait lever un tel infecte personnage et c'est ainsi qu'elle reprit la parole,sur de son coup:
" oh cher monsieur Auguste,jusque là je ne pouvais vous en parler,mais je n'y tiens plus et je vous l'avoue,j'ai voulu prendre votre place,car en dessous de vous se trouve le plus grand champs de carottes de toute la contrée.
Voyez comme je suis bonne envers vous,alors que vous m'avez bien fait attendre et ainsi eu à l'usure ".
Auguste notre grand fainéant d'âne,ne fit qu'un tour dans son esprit et sans plus réfléchir,guidé par sa grande gourmandise,il se leva d'un bond et sans se soucier de Marianne la tortue,il se mit à creuser,creuser,sur de déguster d'ici peu,de savoureuses carottes.
C'est ainsi que pendant ce temps,Marianne en profita pour s'éclipser,laissant à ce bon Auguste,le soin de comprendre tout seul,comment il avait été si bien berné.
Si notre tortue repris son chemin comme elle l'avait décidée,sans encombre jusqu'à son but,notre âne après avoir retourné pour rien toute la terre autour de lui,compris que la gourmandise est un vilain défaut et que le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt,ainsi qu'une tortue va peut-être lentement,mais qu'elle réfléchit vite.
C'est ainsi qu'Auguste prit pour lui ce jour là,ce proverbe qui disait:
" qui dort dîne ".
Écrit par Hugo Gall,Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,
avril 2011
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,d'incestes,de violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
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De toute les histoires les plus impensables,un jour à ne pas y croire,à existé celle D'Auguste,âne adepte du rien faire du soir au matin et d'une infatigable et lente tortue,du nom de Marianne.
Ces deux spécimens,qui ne devaient jamais se rencontrer,dû au plus grand des hasard de les placer l'un en face de l'autre.
Il faut savoir que l'âne est un animal aussi oisif,qu'il est de mauvaise foi,quant à la tortue,elle égale sa lenteur,avec son tempérament têtu.
C'est ainsi que ce jour là,bien décidé à suivre son chemin,sans en changer son itinéraire,Marianne trouva sur sa route un impossible obstacle;c'était Auguste,qui avait décidé de faire son lit,sur la route,qui indépendemment de sa volonté,devait être ce jour,celle que devait suivre Marianne.
Dans l'impossibilité,soudain d'aller plus loin,notre bonne vieille tortue,s'obstina à ne pas vouloir changer de direction et de demander à cet intrus mal venue de bien vouloir partir dormir ailleurs et de la laisser suivre son chemin.
:" dite donc mon cher ami,n'avez vous point d'autre endroit que cette route pour dormir?Car ici c'est mon chemin et je n'en dévierai ni à gauche,ni à droite,alors je vous pries,d'allé ailleurs chercher un autre lit et dépêchez vous,car le temps me presse et à cause de vous j'ai déjà perdu beaucoup trop de temps ".
Auguste nullement ennuyé par toutes ces bonnes paroles,se mis à bailler et à soupirer,laissant échapper quelques mots en direction de Marianne:
" dite moi mademoiselle lenteur,de quel droit dérangez vous les gens pendant leurs sommeil?Je n'ai point envie de me lever et ne compter pas sur moi pour vous satisfaire vieille carcasse.
Le soleil c'est levé,mais bientôt il se coucher et pour cela,je préfère rester dans mon lit,comme cela je ne serais point en retard pour dormir.
Aller dépêchez vous,vous allez être en retard,passez à côté et bonne route ".
Marianne commença à s'impatienter par tant de mépris et se mit à crier de toute sa voix : " vous êtes l'être le plus disgracieux que j'ai pu rencontrer et je vous conseil d'avaler des sacs entiers de carottes pour effacer votre caractère acariâtre et des moins accueillant.
Quant à dormir dans la vie,il y a des heures pour cela et d'autre pour travailler et vivre sa vie,alors maintenant ça suffit,levez vous et laisser moi vivre la mienne ".
Toujours aussi peu enthousiasme et peu enclin à le moindre bonne volonté,l'âne répondit d'un ton las à cette tortue qui l'importunait:
" que vous m'agacez avec votre morale,vous devriez la garder pour ceux qui l'écoute,car moi je n'en ai que faire.
Si les carottes comme vous dite,devraient me rendre plus aimable,vous vous devriez manger plus de salade,elle vous ferait peut être avancer plus vite et puis vous devriez aussi vous mordre la langue,comme cela je ne vous entendrez plus je pourrai retomber dans mon sommeil.
Maintenant ne comptais plus que je vous réponde,je suis bien trop las et de vous entendre parler ainsi m'épuise,alors faite comme bon vous semblera,mais ne compté pas sur moi;à bon entendeur,salut et bonne nuit ".
La tortue était à bout et n'en pouvait plus de ce grand fainéant mal embouché et elle chercha dans ses pensées une bonne parade qui ferait lever un tel infecte personnage et c'est ainsi qu'elle reprit la parole,sur de son coup:
" oh cher monsieur Auguste,jusque là je ne pouvais vous en parler,mais je n'y tiens plus et je vous l'avoue,j'ai voulu prendre votre place,car en dessous de vous se trouve le plus grand champs de carottes de toute la contrée.
Voyez comme je suis bonne envers vous,alors que vous m'avez bien fait attendre et ainsi eu à l'usure ".
Auguste notre grand fainéant d'âne,ne fit qu'un tour dans son esprit et sans plus réfléchir,guidé par sa grande gourmandise,il se leva d'un bond et sans se soucier de Marianne la tortue,il se mit à creuser,creuser,sur de déguster d'ici peu,de savoureuses carottes.
C'est ainsi que pendant ce temps,Marianne en profita pour s'éclipser,laissant à ce bon Auguste,le soin de comprendre tout seul,comment il avait été si bien berné.
Si notre tortue repris son chemin comme elle l'avait décidée,sans encombre jusqu'à son but,notre âne après avoir retourné pour rien toute la terre autour de lui,compris que la gourmandise est un vilain défaut et que le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt,ainsi qu'une tortue va peut-être lentement,mais qu'elle réfléchit vite.
C'est ainsi qu'Auguste prit pour lui ce jour là,ce proverbe qui disait:
" qui dort dîne ".
Écrit par Hugo Gall,Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,
avril 2011
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,d'incestes,de violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
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dimanche 3 avril 2011
Deuxiéme roman, chapître 3,suite 3
Dépression interdite:chapitre 3;de vraies certitudes,suite 3.
Quand l'infirmier de nuit arriva à la chambre 206
,il fut déjà étonné de trouver la porte ouverte,puis enfin devant le patient qui
venait de l'appeler à l'aide,il ne put que constater à regret qu'Adam Fürman était
décédé,mais au vue des premières constatations qu'il pouvait voir et sentir;rien de
ce qu'il voyait en cet instant ne pouvait être normal,quelque chose d'impensable
était arrivé ici et Philippe Martin,se sentait de plus en plus mal à l'aise,compte
tenue que tout ça c'était passé pendant qu'il était en service.
Depuis plus de 6 ans,il était infirmier de nuit à
l'hôpital Européen Georges Pompidou et il avait toujours bien fait son travail,sans
jamais avoir eut le moindre problème,il ne comprenait pas comment une telle chose
ait pu se produire et maintenant il finissait par se sentir terriblement
responsable.
Quand le téléphone sonna,le docteur Joseph
Tojeman était encore serré tendrement contre le corps nu d'Héléne Portal,ces seins
fermes et moyens,chauds et doux contre sa poitrine à lui,ils avaient fait et refait
l'amour,avec une soif insatiable,puis la fatigue se faisant sentir,ils avaient
finis par s'endormir l'un contre l'autre.
Il saisit son portable et répondit tout de
suite,avec l'effort de ne pas faire le moindre bruit,pour ne pas réveiller Héléne
qui dormait encore à poings fermés.
Au moment où il entendit Philippe Martin lui
faire part de ce qui venait de se passer,il sentit tout son corps défaillir,il
cherche vite une chaise pour s'asseoir et après un moment d'absence,il répondit à
Philippe Martin de ne rien faire avant qu'il n'arrive,l'infirmier lui promis de
l'attendre et de ne laisser personne rentrer dans la chambre,ni de dire quoi que se
soit à personne.
Il raccrocha dans un état d'esprit
tourmenté,mais d'une certaine manière soulagé que tout cela ne venait pas d'une
erreur de sa part,ses intuitions qui depuis le début de ces mort lui semblait
suspect,ne l'avait pas trompé,il se passait bien quelque chose,quelque chose
d'horrible,aujourd'hui il pouvait le dire,des actes criminels étaient commis dans
son propre service,pourquoi et comment,ça il ne le savait pas encore,mais une chose
était sur;il allait faire tout ce qui était en son pouvoir et dés cet instant pour
le savoir et obtenir le plus de réponse qu'il pourrait.
Fin du troisième chapitre.
Dépression interdite:chapitre IV;questions élémentaires.
Marianne Dufour était assise à son bureau des
urgences et en remplissant ses derniers dossiers,relevait la tête de temps à
autre,pour observait d'un oeil ce qui se passait autour d'elle dans le service,elle
était atterrée de ce qui c'était passé dans le service du docteur Tojeman,qui
pouvait faire de telles choses?
Quand elle pensait que c'était sûrement
quelqu'un de son métier,cela lui faisait énormément peur et en même temps la
mettait en colère,l'ordre avait été donné à tout le personnel de l'hôpital de ne
rien dire de cette affaire,pour éviter toute fuite qui rendrait les chances de
résoudre cette affaire au plus vite,presque nul.
Marianne Dufour avait cependant sa petite
idée,avec tout ce qu'elle pouvait savoir sur cette histoire,elle était persuadée
que le ou la coupable pouvait venir des urgences,de fortes intuitions la laissait
présumer de cette possibilité plus que tangible,seulement il n'y avait pas trois
ou quatre personnes aux urgences,mais des dizaines et en plusieurs équipes,alors
les choses étaient plus que compliquées pour mener sa propre enquête,qu'elle avait
décidée de prendre à bras le corps;d'ailleurs dés qu'elle avait été au courant de
ces événements,elle c'était mise à observer tout le service avec beaucoup plus de
précision qu'elle l'aurait fait avant et aussi plus fréquemment comme elle le
faisait actuellement,au fond elle se dessinait avec une pointe d'humour,que ce
criminel sans nom puisse être sa grande ennemie,Héléne Portal,elle salivait à
l'avance de la débusquer et de la voire embarquer avec perte et fracas,les menottes
aux poignets,par la police et traversant tout l'hôpital,ah que c'était bon rien que
de l'imaginer,mais ce n'était qu'une image,car dans son esprit elle ne pensait
vraiment pas un seul instant,malgré l'hostilité qu'elle avait envers elle,qu'Héléne
Portal soit la meurtrière,c'était bien dommage se dit elle,oui bien dommage...
Le docteur Joseph Tojeman découvrait les
résultats de l'autopsie et des autres examens qu'il avait demandé après ce qu'il
pouvait appelé maintenant " le meurtre D'Adam Fürman et ce qu'il voyait là,dans
les résultats l'effarait,le produit utilisé pour tuer,découlait d'un poison
extrêmement violent et mortel,le curare,qu'on utilisait aussi à de faible dose dans
les anesthésies pour endormir les patients opérés,mais là le curare était mélangé à
un autre poison qui en faisait un breuvage fatal ultra rapide,qui en plus ne
laissait aucune trace une fois dans le corps;si ce n'était les mêmes constations
qu'une crise cardiaque;tout cela était incroyablement diabolique et si cette fois
le tueur n'avait pas été déranger par surprise par sa victime,jamais on aurait pu
mettre à jour ces procédés.
Dans son état de panique le tueur avait laissé
des traces du poison en dehors du corps de la victime,sur les draps,une partie du
matériel médicale,mettant ainsi la lumière sur ce poison devenue détectable à l'air.
Le docteur Tojeman louait Dieu des erreurs du
criminel,qu'il qualifiait de " miracle ",tout cela n'empêchait pas qu'il soit
horrifié par tant d'esprit maléfique,la question qui lui venait maintenant à
l'esprit,était:lui en voulait on intentionnellement et directement,alors qui et
pourquoi? Ou tout cela n'était du qu'a des actes du à un déséquilibré,malade qui
agissait au non d'une certaine vengeance,mais là aussi,qui? pour l'heure il lui
fallait dresser des listes,une de ceux qu'il savait ne pas pouvoir être coupable et
il était heureux d'y noter un premier nom,Héléne Portal,pour lui elle avait le
meilleur des alibis,son délicieux et chaud corps contre le sien tout au long de la
nuit,il se sentait enfin un homme comblé et libéré de savoir que celle qu'il aimait
pouvait avoir toute sa confiance,il sourit avec tendresse et amour,puis saisit son
portable pour envoyer un sms qui disait en trois mots: " je t'aime ".
Écrit en janvier 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS-villes du chemin de ma vie;Neufchâteau 88300,Aoste Italie,Nancy 54000,Meaux 77100,Coulommiers 77120 )
Merci de vos encouragement,impressions,vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à tout ces fléaux destructeurs,accès:
Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
Quand l'infirmier de nuit arriva à la chambre 206
,il fut déjà étonné de trouver la porte ouverte,puis enfin devant le patient qui
venait de l'appeler à l'aide,il ne put que constater à regret qu'Adam Fürman était
décédé,mais au vue des premières constatations qu'il pouvait voir et sentir;rien de
ce qu'il voyait en cet instant ne pouvait être normal,quelque chose d'impensable
était arrivé ici et Philippe Martin,se sentait de plus en plus mal à l'aise,compte
tenue que tout ça c'était passé pendant qu'il était en service.
Depuis plus de 6 ans,il était infirmier de nuit à
l'hôpital Européen Georges Pompidou et il avait toujours bien fait son travail,sans
jamais avoir eut le moindre problème,il ne comprenait pas comment une telle chose
ait pu se produire et maintenant il finissait par se sentir terriblement
responsable.
Quand le téléphone sonna,le docteur Joseph
Tojeman était encore serré tendrement contre le corps nu d'Héléne Portal,ces seins
fermes et moyens,chauds et doux contre sa poitrine à lui,ils avaient fait et refait
l'amour,avec une soif insatiable,puis la fatigue se faisant sentir,ils avaient
finis par s'endormir l'un contre l'autre.
Il saisit son portable et répondit tout de
suite,avec l'effort de ne pas faire le moindre bruit,pour ne pas réveiller Héléne
qui dormait encore à poings fermés.
Au moment où il entendit Philippe Martin lui
faire part de ce qui venait de se passer,il sentit tout son corps défaillir,il
cherche vite une chaise pour s'asseoir et après un moment d'absence,il répondit à
Philippe Martin de ne rien faire avant qu'il n'arrive,l'infirmier lui promis de
l'attendre et de ne laisser personne rentrer dans la chambre,ni de dire quoi que se
soit à personne.
Il raccrocha dans un état d'esprit
tourmenté,mais d'une certaine manière soulagé que tout cela ne venait pas d'une
erreur de sa part,ses intuitions qui depuis le début de ces mort lui semblait
suspect,ne l'avait pas trompé,il se passait bien quelque chose,quelque chose
d'horrible,aujourd'hui il pouvait le dire,des actes criminels étaient commis dans
son propre service,pourquoi et comment,ça il ne le savait pas encore,mais une chose
était sur;il allait faire tout ce qui était en son pouvoir et dés cet instant pour
le savoir et obtenir le plus de réponse qu'il pourrait.
Fin du troisième chapitre.
Dépression interdite:chapitre IV;questions élémentaires.
Marianne Dufour était assise à son bureau des
urgences et en remplissant ses derniers dossiers,relevait la tête de temps à
autre,pour observait d'un oeil ce qui se passait autour d'elle dans le service,elle
était atterrée de ce qui c'était passé dans le service du docteur Tojeman,qui
pouvait faire de telles choses?
Quand elle pensait que c'était sûrement
quelqu'un de son métier,cela lui faisait énormément peur et en même temps la
mettait en colère,l'ordre avait été donné à tout le personnel de l'hôpital de ne
rien dire de cette affaire,pour éviter toute fuite qui rendrait les chances de
résoudre cette affaire au plus vite,presque nul.
Marianne Dufour avait cependant sa petite
idée,avec tout ce qu'elle pouvait savoir sur cette histoire,elle était persuadée
que le ou la coupable pouvait venir des urgences,de fortes intuitions la laissait
présumer de cette possibilité plus que tangible,seulement il n'y avait pas trois
ou quatre personnes aux urgences,mais des dizaines et en plusieurs équipes,alors
les choses étaient plus que compliquées pour mener sa propre enquête,qu'elle avait
décidée de prendre à bras le corps;d'ailleurs dés qu'elle avait été au courant de
ces événements,elle c'était mise à observer tout le service avec beaucoup plus de
précision qu'elle l'aurait fait avant et aussi plus fréquemment comme elle le
faisait actuellement,au fond elle se dessinait avec une pointe d'humour,que ce
criminel sans nom puisse être sa grande ennemie,Héléne Portal,elle salivait à
l'avance de la débusquer et de la voire embarquer avec perte et fracas,les menottes
aux poignets,par la police et traversant tout l'hôpital,ah que c'était bon rien que
de l'imaginer,mais ce n'était qu'une image,car dans son esprit elle ne pensait
vraiment pas un seul instant,malgré l'hostilité qu'elle avait envers elle,qu'Héléne
Portal soit la meurtrière,c'était bien dommage se dit elle,oui bien dommage...
Le docteur Joseph Tojeman découvrait les
résultats de l'autopsie et des autres examens qu'il avait demandé après ce qu'il
pouvait appelé maintenant " le meurtre D'Adam Fürman et ce qu'il voyait là,dans
les résultats l'effarait,le produit utilisé pour tuer,découlait d'un poison
extrêmement violent et mortel,le curare,qu'on utilisait aussi à de faible dose dans
les anesthésies pour endormir les patients opérés,mais là le curare était mélangé à
un autre poison qui en faisait un breuvage fatal ultra rapide,qui en plus ne
laissait aucune trace une fois dans le corps;si ce n'était les mêmes constations
qu'une crise cardiaque;tout cela était incroyablement diabolique et si cette fois
le tueur n'avait pas été déranger par surprise par sa victime,jamais on aurait pu
mettre à jour ces procédés.
Dans son état de panique le tueur avait laissé
des traces du poison en dehors du corps de la victime,sur les draps,une partie du
matériel médicale,mettant ainsi la lumière sur ce poison devenue détectable à l'air.
Le docteur Tojeman louait Dieu des erreurs du
criminel,qu'il qualifiait de " miracle ",tout cela n'empêchait pas qu'il soit
horrifié par tant d'esprit maléfique,la question qui lui venait maintenant à
l'esprit,était:lui en voulait on intentionnellement et directement,alors qui et
pourquoi? Ou tout cela n'était du qu'a des actes du à un déséquilibré,malade qui
agissait au non d'une certaine vengeance,mais là aussi,qui? pour l'heure il lui
fallait dresser des listes,une de ceux qu'il savait ne pas pouvoir être coupable et
il était heureux d'y noter un premier nom,Héléne Portal,pour lui elle avait le
meilleur des alibis,son délicieux et chaud corps contre le sien tout au long de la
nuit,il se sentait enfin un homme comblé et libéré de savoir que celle qu'il aimait
pouvait avoir toute sa confiance,il sourit avec tendresse et amour,puis saisit son
portable pour envoyer un sms qui disait en trois mots: " je t'aime ".
Écrit en janvier 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS-villes du chemin de ma vie;Neufchâteau 88300,Aoste Italie,Nancy 54000,Meaux 77100,Coulommiers 77120 )
Merci de vos encouragement,impressions,vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à tout ces fléaux destructeurs,accès:
Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
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