Soutiens à tous les Chrétiens.
Stop au massacre des Chrétiens:
A vous mes frères et sœurs en Christ
Vous mes compatriotes Français et Françaises
Comment continuer à accepter cette vérité sinistre
Qui semble passer sans difficulté et à l’aise ?
J’en appel aujourd’hui à dire stop ensemble
Ne plus laisser les Chrétiens des pays Musulman se faire massacrer
Tout ça sans que le monde entier s’en offusque et ne tremble
Que les classes politiques réagissent fermement à ce génocide meurtrier
Pourtant dés que l’on touche à un cheveu Musulman ou Juif
La terre entière est en ébullition, se sent choquée, c’est le tollé
Quand aux socialistes ils parlent de racisme, d’horreur, ils taillent dans le vif
Tout cela étant clairement de deux poids deux mesures
Français, Françaises, croyants, non croyants, ne vous y trompez pas
Car nos origines à tous, qu’on le veuille ou non, sont Judéo Chrétienne
Même si comme l’histoire, certain essaye de nous faire oublier tout ça
Pour nous faire croire et accepter des choses de courant actuel et plus politicienne
La vérité criante est pourtant là, les Chrétiens sont persécutés hier et aujourd’hui
Apparemment aux yeux et à la barbe de tous, presque dans la totale indifférence
Ils sont massacrés, chassé de l’Afrique occidentale, moyen orient, sans bruit
Alors qu’ils étaient eux aussi chez eux, depuis la nuit des temps et avant l’Islam
Jusqu'à quand va ton laisser faire ce génocide, jusqu’au dernier Chrétien ?
Une fois qu’ils auront eu ce qu’ils veulent, ne viendront ils pas jusqu’ici pour continuer ?
Car jusqu'à maintenant aucune réaction virulente ne c’est dressée sur leurs chemins
A croire que l’on veut laisser tuer les Chrétiens jusqu’au dernier ?
Pourtant le Christ n’a jamais rabaissé la femme, ni invité à mettre un voile pour se cacher
Il n’a jamais obligé l’homme à porter la barbe, ni a idolâtrer les saints, et les images
Mais il nous a inviter à nous aimer les uns les autres, à nous pardonner, ne pas juger
Seulement les juifs de l’époque l’on rejeté, livré, fait crucifier, à cause de leurs jalousies et usages
Ne vous y trompez pas, car il ni a là aucun racisme, ni aucune haine
C’est tellement plus facile pour tel ou tel personne, caste, religieux, d’y voire cela
Alors que les Chrétiens son lâchement assassinés, sans trop de peine
Depuis bien trop de siècles, sans qu’on y attache vraiment d’importance et au nom d’Allah
C’est pourquoi au nom de nos racines, traditions, de la France, l’Europe, nos aïeux
J’en appel à un sursaut de réveil et réatachement à nos fondamentales valeurs
Pour que, qui que nous soyons, Chrétiens, croyants, non croyants, nous dénoncions ces crimes odieux
Afin d’apporter notre soutien à tous les Chrétiens qui vivent ces tristes heurts
Je demande aussi qu’a l’avenir nous soyons tous plus vigilant face à cet Islam
Qui se dit la seule religion et vraie pensée, nous des infidèles, qu’ils sont appelés à dominer l’univers
Que nous peuples de France et d’Europe, nous n’ayons plus peur de montrer les armes
A ceux qui nous respectent pas, ailleurs ou ici chez nous, notre république Laïc si chère
N’ayons plus honte de notre histoire, nos traditions, nos racines Judéo Chrétienne
Refusons ces partis de gauche, de Droite, qui veulent détruirent ce patrimoine et squelette qui est le notre
Alors que d’autre se battent pour imposer leurs cultures jusqu'à rayer des civilisations ancienne
Relevons enfin la tête et notre fierté, pour ce que nous sommes, qui est mien et votre.
Ecrit le lundi 26 décembre 2011, à Lagny-Sur-Marne, Marne La Vallée 77, Île De France, France, par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
En soutien et hommage de tous les Chrétiens lâchement assassinés pendant les fêtes de Noël, fêtes de la naissance du Christ, mais aussi ceux qui sont toujours persécutés dans ces pays à longueur d’année et depuis des siècles à encore aujourd’hui, n’oublions pas, jamais, que si noël est ce qu’il est, c’est parce que Jésus le Christ est né, sinon aujourd’hui nous ne serions pas entrain de fêter noël, les autres sont dans l’erreur car ils sont restés sur l’ancien testament, alors qu’avec les Christ sauveur de tous les hommes, nous sommes rentrés dans l’ère nouvelle du nouveau testament et des nouvelles valeurs.
Joyeuses fêtes à tous, que votre cœur et votre âme s’ouvrent pour la nouvelle année 2012 et vous montrent la vérité, l’amour et que vous ayez la santé, un toit et une nourriture quotidienne du à chacun.
Je n’oublie pas et continuerai à défendre et me battre, pour les victimes de maltraitances, d’incestes, et de toutes les violences sexuelles, au blog, contre ces fléaux destructeurs : http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
lundi 26 décembre 2011
vendredi 18 novembre 2011
Aimé et être aimé mieux
‘’ PERSONNE NE SAIT DIRE JE T’AIME ‘’
Bien trop souvent on attend
Des jours, des mois, des années
Pour dire ce que l’on ressent
A ceux que l’on a aimé
On se dit qu’on à le temps
Qu’un jour on leur dira
Avant que ne souffle le vent
Qui comme nous les emportera
Quand on rencontre quelqu’un
Qu’on s’aperçoit qu’il nous plait
On garde ses sentiments pour demain
Se disant qu’un jour on lui avouera
Personne ne sait dire je t’aime
On le dit trop ou pas assez
Comme une graine que l’on sème
Pour un jour le cueillir ou l’arracher
Personne ne sait dire je t’aime
On se force où on se tait
Comme de la pudeur, un anathème
Qui peut dire un jour qu’il sait ?
Pendant des jours on se cherche
On s’embrasse et on se caresse
Cherchant les mots pour tendre la perche
Que nous n’osons dire par faiblesse
Des hommes machos ou des femmes rancunières
Se demandant quand l’autre se décidera
Mais le temps dessine trop souvent des ornières
Où les habitudes font de gros dégâts
On veut mieux connaître cet inconnu
Puis les jours passent et on ose plus
Tel la honte jusqu'à notre dernier jour
Ecrit le Jeudi 18 novembre 2011 à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall, pseudo de T.G,Marne-La-Vallée 77, Seine-Et-Marne, Île-De-France, France
( Ville de coeur:Aoste,Valpeline,Coulommiers,Paris,Neufchâteau,Nancy )
Merci de vos encouragements, impressions, de faire connaître ce blog, vous pouvez me contacter sur: georgelucienthierry@hotmail.fr
je défends la cause des victimes d'inceste, maltraitances et de toute violence sexuelle, je tiens un blog pour combattre ces fléaux destructeurs, merci de le faire connaître et d'y accéder sur:http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
Bien trop souvent on attend
Des jours, des mois, des années
Pour dire ce que l’on ressent
A ceux que l’on a aimé
On se dit qu’on à le temps
Qu’un jour on leur dira
Avant que ne souffle le vent
Qui comme nous les emportera
Quand on rencontre quelqu’un
Qu’on s’aperçoit qu’il nous plait
On garde ses sentiments pour demain
Se disant qu’un jour on lui avouera
Personne ne sait dire je t’aime
On le dit trop ou pas assez
Comme une graine que l’on sème
Pour un jour le cueillir ou l’arracher
Personne ne sait dire je t’aime
On se force où on se tait
Comme de la pudeur, un anathème
Qui peut dire un jour qu’il sait ?
Pendant des jours on se cherche
On s’embrasse et on se caresse
Cherchant les mots pour tendre la perche
Que nous n’osons dire par faiblesse
Des hommes machos ou des femmes rancunières
Se demandant quand l’autre se décidera
Mais le temps dessine trop souvent des ornières
Où les habitudes font de gros dégâts
On veut mieux connaître cet inconnu
Puis les jours passent et on ose plus
Tel la honte jusqu'à notre dernier jour
Ecrit le Jeudi 18 novembre 2011 à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall, pseudo de T.G,Marne-La-Vallée 77, Seine-Et-Marne, Île-De-France, France
( Ville de coeur:Aoste,Valpeline,Coulommiers,Paris,Neufchâteau,Nancy )
Merci de vos encouragements, impressions, de faire connaître ce blog, vous pouvez me contacter sur: georgelucienthierry@hotmail.fr
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jeudi 17 novembre 2011
la dignité perdue...
'' PUISQUE LE MONDE NE TOURNE PLUS BIEN ROND ''
Puisque le monde ne tourne plus bien rond
Que nous semblons faire des pas en arrière
Où tout ce qui sort ne pressage rien de bon
Qu'un paysage triste et une avenir austère
Puisque le monde ne tourne plus bien rond
Que les hommes politique se jouent de nous
Au point de nous prendre tous pour des cons
A nous faire croire que le monde est fou
Danse avec moi
Oublions tout ça
Donnons nous le choix
De rester dans nos bras
danse avec moi
Qu'importe les tourments
Le monde qui se noie
Vivons l'instant présent
Puisque le monde ne tourne pas bien rond
Que la droite nous ramène au temps des rois
Quand la gauche joue à la balle au bond
Alors que nous étouffons sous trop de loi
Puisque le monde ne tourne pas bien rond
Que les victimes sont prises pour des coupables
Quand le temps avec ces épreuves se fait plus long
Dans notre vie devenue cher et des plus instable
Ecrit le mercredi 16 novembre 2011 à Lagny-sur-marne, par Hugo Gall, pseudo de T.G,Marne-La-Vallé 77,Seine-Et-Marne,Île-De-France,France
merci de vos encouragements, impressions, de faire connaître ce blog, vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr
( Ville de coeur:Valpeline,Aoste,Coulommiers,Paris,Neufchâteau,Nancy )
Je défends la cause des victimes d'inceste et toute forme de violence sexuelle, en consacrant et me battant contre ces fléaux destructeurs,vous pouvez y accéder au:http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
Puisque le monde ne tourne plus bien rond
Que nous semblons faire des pas en arrière
Où tout ce qui sort ne pressage rien de bon
Qu'un paysage triste et une avenir austère
Puisque le monde ne tourne plus bien rond
Que les hommes politique se jouent de nous
Au point de nous prendre tous pour des cons
A nous faire croire que le monde est fou
Danse avec moi
Oublions tout ça
Donnons nous le choix
De rester dans nos bras
danse avec moi
Qu'importe les tourments
Le monde qui se noie
Vivons l'instant présent
Puisque le monde ne tourne pas bien rond
Que la droite nous ramène au temps des rois
Quand la gauche joue à la balle au bond
Alors que nous étouffons sous trop de loi
Puisque le monde ne tourne pas bien rond
Que les victimes sont prises pour des coupables
Quand le temps avec ces épreuves se fait plus long
Dans notre vie devenue cher et des plus instable
Ecrit le mercredi 16 novembre 2011 à Lagny-sur-marne, par Hugo Gall, pseudo de T.G,Marne-La-Vallé 77,Seine-Et-Marne,Île-De-France,France
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( Ville de coeur:Valpeline,Aoste,Coulommiers,Paris,Neufchâteau,Nancy )
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samedi 5 novembre 2011
BLUES D'UN MONDE MODERNE
" ECRIS-MOI "
Ecris-moi ce que tu as sur le coeur
Tout ce qui l'encombre à l'étouffer
Qui le fatigue à force de malheur
L'empêche de battre et de respirer
Ecris-moi ce qui te fais si mal
Qui te fais monter les larmes aux yeux
Toutes ces choses de moins en moins normales
Qu'on ne comprend pas et qui nous rendent vieux
Ecris-moi toutes ces épreuves succésives
Qui ont épuisées ton corps et ton esprit
A rendre ta force et ton energie lassive
Dans une société qui t'a fait payer le prix
Ecris-moi la souffrance qui t'assaille
Chaque fois que l'on fait du mal à un enfant
Quand on le rejette hors de ces entrailles
Faisant de lui un coupable au lieu d'un innocent
Ecris-moi l'indifférence des hommes devant l'inceste
Les fossés qui creusent les différences pour toujours
Montrant les victimes du doigt comme la peste
Leur interdisant d'être normal et le droit à l'amour
Ecris-moi ce mal qui ronge notre siécle moderne
Cette blessure de ne pas reconnaitre son propre pays
Que l'on a tant aimé dans son enfance en berne
Et que tant d'entres nous refoulent comme s'ils avaient haïs
Ecris-moi cet univers politique si dénué d'humanité
Où tout le monde dit détenir la vérité et l'autre le mensonge
Alors que la majorité des humains sont esclaves des banquiers
De ceux qui nous gouvernent et nous pressent comme des éponges
Ecris-moi ce malaise de ne plus pouvoir dire un mot
Sans être vu comme un esprit mauvais, raciste, anti-religion
Alors que les journalistes ont la liberté de parole dans les journaux
Que chacun croit avoir raison et rabaisse ceux qui ont d'autres convictions
Ecris-moi ou crois-tu que le monde va?
Dois-je encore croire que je vais réussir
Que mes écrits vont sortir avant mon trépas
Que l'on ne brûle mon corps à son dernier soupir?
ecris-moi à moins que ce ne soit moi
Qui suis tellement fatigué de ne plus comprendre
De me battre jusqu'a ne plus ressentir de joie
A tout perdre jusqu'a la confiance qu'on peut attendre
Ecrirai-je moi que j'ai peur de mon avenir
Que je me sens déjà dans un autre monde
Que je n'aurai rien à regrétter si je devais mourir
Que me reste t'il a part ma foi, oui ecris-moi monde.
Ecrit le samedi 5 novembre 2011 à Lagny-Sur-Marne, Marne-La-Vallée 77, Île-De-France, France, par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
( ville de coeur: Valpeline, Aoste, Coulommiers, Paris, Neufchateau,Nancy )
Merci de vos encouragements, impressions, de faire connaître ce blog, vous pouvez me joindre à chaque instant sur: georgelucienthierry@hotmail.fr , je serai heureux de vous répondre.
Je défends la cause des victimes d'inceste et de toutes les violences sexuelles, en consacrant un blog à toutes ces fléaux destructeurs, accé : http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com , merci de faire connaître ce blog et de me soutenir.
Ecris-moi ce que tu as sur le coeur
Tout ce qui l'encombre à l'étouffer
Qui le fatigue à force de malheur
L'empêche de battre et de respirer
Ecris-moi ce qui te fais si mal
Qui te fais monter les larmes aux yeux
Toutes ces choses de moins en moins normales
Qu'on ne comprend pas et qui nous rendent vieux
Ecris-moi toutes ces épreuves succésives
Qui ont épuisées ton corps et ton esprit
A rendre ta force et ton energie lassive
Dans une société qui t'a fait payer le prix
Ecris-moi la souffrance qui t'assaille
Chaque fois que l'on fait du mal à un enfant
Quand on le rejette hors de ces entrailles
Faisant de lui un coupable au lieu d'un innocent
Ecris-moi l'indifférence des hommes devant l'inceste
Les fossés qui creusent les différences pour toujours
Montrant les victimes du doigt comme la peste
Leur interdisant d'être normal et le droit à l'amour
Ecris-moi ce mal qui ronge notre siécle moderne
Cette blessure de ne pas reconnaitre son propre pays
Que l'on a tant aimé dans son enfance en berne
Et que tant d'entres nous refoulent comme s'ils avaient haïs
Ecris-moi cet univers politique si dénué d'humanité
Où tout le monde dit détenir la vérité et l'autre le mensonge
Alors que la majorité des humains sont esclaves des banquiers
De ceux qui nous gouvernent et nous pressent comme des éponges
Ecris-moi ce malaise de ne plus pouvoir dire un mot
Sans être vu comme un esprit mauvais, raciste, anti-religion
Alors que les journalistes ont la liberté de parole dans les journaux
Que chacun croit avoir raison et rabaisse ceux qui ont d'autres convictions
Ecris-moi ou crois-tu que le monde va?
Dois-je encore croire que je vais réussir
Que mes écrits vont sortir avant mon trépas
Que l'on ne brûle mon corps à son dernier soupir?
ecris-moi à moins que ce ne soit moi
Qui suis tellement fatigué de ne plus comprendre
De me battre jusqu'a ne plus ressentir de joie
A tout perdre jusqu'a la confiance qu'on peut attendre
Ecrirai-je moi que j'ai peur de mon avenir
Que je me sens déjà dans un autre monde
Que je n'aurai rien à regrétter si je devais mourir
Que me reste t'il a part ma foi, oui ecris-moi monde.
Ecrit le samedi 5 novembre 2011 à Lagny-Sur-Marne, Marne-La-Vallée 77, Île-De-France, France, par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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jeudi 18 août 2011
N'être que soi
’’ NI PIRE, NI MEILLEUR QUE VOUS ’’
Quand je raconte mon histoire
Pour vous montrer ma sincérité
Je ne fais pas preuve de désespoir
Mais c’est pour changer l’humanité
Quand je mets mon cœur à nu
Pour vous dire toutes mes batailles
Je ne dis que la vérité d’un vécu
Qui a atteint toutes mes entrailles
Vous qui me voyez comme une horreur
Qui a subit le mal et les tabous
Un monstre a vos yeux plein de peur
Je ne suis ni pire, ni meilleur que vous
Vous qui me voyez comme un coupable
Qui n’a été qu’un enfant violenté
Une victime expiatoire d’une jalousie notable
Je ne suis ni pire, ni meilleur que vous
Quand je dis mes blessures et mes incapacités
Pour que vous sachiez ce que l’on ressent
Je ne veux qu’interpeller votre bonté
Mais pas vous rendre indifférent
Quand je parle de moi à ceux qui me plaise
Pour leur montrer mon affection et ma confiance
Je ne veux blesser personne, ni mettre mal à l’aise
Seulement ressentir du respect et faire cesser ces déviances
Vous qui me voyez comme une horreur
Qui a subit le mal et les tabous
Un monstre a vos yeux plein de peur
Je ne suis ni pire, ni meilleur que vous
Vous qui me voyez comme un coupable
Qui n’a été qu’un enfant violenté
Une victime expiatoire d’une jalousie notable
Je ne suis ni pire, ni meilleur que vous
Quand j’avoue mes préférences intimes
Pour que vous sachiez qui je suis vraiment
Je ne cherche pas la compassion infime
Mais à avoir le droit de vivre comme je l’entends
Quand je parle d’inceste et de maltraitance
Pour combattre ces fléaux destructeurs de tant de vie
Je me dis que ma cause mérite d’ouvrir les consciences
Qui rejettent les victimes comme une terrible infamie
A toutes les victimes....
Ecrit le mercredi 17 août 2011 à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall ( pseudo de T.G )Marne La Vallée 77,Seine-Et-Marne,Île-De-france,France.
( Ville de coeur:Aoste,Valpelline,Paris,Coulommier,Neufchâteau )
Merci de vos encouragements,impressions,de faire connaître ce blog,vous pouvez me joindre sur : georgelucienthierry@hotmail.fr ( je reponds à tout les émails,merci )
Blog consacré aux victimes de toutes les violences sexuelles,maltraitances:
Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
Quand je raconte mon histoire
Pour vous montrer ma sincérité
Je ne fais pas preuve de désespoir
Mais c’est pour changer l’humanité
Quand je mets mon cœur à nu
Pour vous dire toutes mes batailles
Je ne dis que la vérité d’un vécu
Qui a atteint toutes mes entrailles
Vous qui me voyez comme une horreur
Qui a subit le mal et les tabous
Un monstre a vos yeux plein de peur
Je ne suis ni pire, ni meilleur que vous
Vous qui me voyez comme un coupable
Qui n’a été qu’un enfant violenté
Une victime expiatoire d’une jalousie notable
Je ne suis ni pire, ni meilleur que vous
Quand je dis mes blessures et mes incapacités
Pour que vous sachiez ce que l’on ressent
Je ne veux qu’interpeller votre bonté
Mais pas vous rendre indifférent
Quand je parle de moi à ceux qui me plaise
Pour leur montrer mon affection et ma confiance
Je ne veux blesser personne, ni mettre mal à l’aise
Seulement ressentir du respect et faire cesser ces déviances
Vous qui me voyez comme une horreur
Qui a subit le mal et les tabous
Un monstre a vos yeux plein de peur
Je ne suis ni pire, ni meilleur que vous
Vous qui me voyez comme un coupable
Qui n’a été qu’un enfant violenté
Une victime expiatoire d’une jalousie notable
Je ne suis ni pire, ni meilleur que vous
Quand j’avoue mes préférences intimes
Pour que vous sachiez qui je suis vraiment
Je ne cherche pas la compassion infime
Mais à avoir le droit de vivre comme je l’entends
Quand je parle d’inceste et de maltraitance
Pour combattre ces fléaux destructeurs de tant de vie
Je me dis que ma cause mérite d’ouvrir les consciences
Qui rejettent les victimes comme une terrible infamie
A toutes les victimes....
Ecrit le mercredi 17 août 2011 à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall ( pseudo de T.G )Marne La Vallée 77,Seine-Et-Marne,Île-De-france,France.
( Ville de coeur:Aoste,Valpelline,Paris,Coulommier,Neufchâteau )
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mercredi 17 août 2011
Aujourd'hui n'ai pas hier
" VINGT ANS ET DEMAIN DEJA VINGT ET UN "
On nous a dit tant de fois
Tu verras quand t'auras 20 ans
Le monde s'ouvrira devant toi
Se sera le bon temps
On nous a tellement dit
Tu auras ta vie à inventer
L'avenir sera devant toi à l'infini
Rien ne pourras t'arrêter
Mais la vie ce n'ai pas ça
Elle part aussi vite que l'eau du bain
Et quoi que l'on te diras
Vingt ans et demain déjà vingt et un
Mais la vie c'est plus compliquée
Elle passe aussi vite que chaque matin
Et l'on part avant d'être arrivé
Vingt ans et demain déjà vingt et un
On nous a fait souvent rêvé
Tu verras à 20 ans comme on est beau
L'amour et la réussite seront à ta porté
Se sera pour toi un monde nouveau
On nous a dit être jaloux de nous
Tu sais pas comme j'étais heureux à cet âge
Mais rien ait comme avant, tout est fou
Le temps a changé et la jeunesse a ces ravages
( Ville de coeur: Aoste,Valpelline,Paris,Coulommier,Neuchâteau )
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mardi 16 août 2011
un monde meilleur,un monde à nous
" LE MONDE QU’ON NONS AVAIT PROMIS "
Depuis des siècles les mêmes hommes
Ont voulus dessiner un monde à eux
Tentant de nous faire manger leurs pommes
Nous faisant croire qu'ils nous rendraient heureux
Depuis des siècles ils ont inventés l'économie
Créées un univers de banque et de monnaie
Inventés des carcans pour mieux gérer nos vies
Nous disant que sans ça tout serait plus mauvais
Mais aujourd'hui entre politique et religion
Nous avons perdu toutes leurs illusions...
Que reste-t-il aujourd'hui
Du monde qu'on nous avait promis
Que reste-t-il de ce qu'on a cru
De ce paradis à jamais perdu?
Que reste-t-il de tout ces mensonges
Des politiciens pour lesquels ont plongent
Que reste-t-il de tout les fruits
De ce monde qu'on nous avait promis?
Depuis des siècles ils font la guerre et nous tues
Déclenchant des faillites pour nous faire payer
Baissent et augmentent ce qu'ils veulent à notre insu
Sans s'occuper de ceux qui n'ont plus rien à manger
Depuis des siècles ils font la pluie et le beau temps
S'amusent avec nous comme des soldats de plomb
Tirent les ficelles de tout ce qui touche à l'argent
Utilisent les politiciens de l'ena comme des pantins des chiffons
Mais aujourd'hui nous sommes entre leçon et aversion
Nous ne sommes plus les esclaves de leurs ambitions...
Que restera-t-il demain
De ce monde qui doit mourir
Que restera-t-il de nous humain
Espérant de voir des millions d'enfants sourires
Qu-il ne reste rien des dysfonctionnements
Des injustices conduites à l'infinie
Qu'il ne reste que tout les bons sentiments
Et le monde que nous nous sommes promis.
Ecrit le lundi 15 août 2011, à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
Marne La Vallée 77,Seine et Marne,Île-De-France,France.
( Villes de coeur:Aoste,Valepelline,Paris,Coulommier,Neufchâteau )
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Depuis des siècles les mêmes hommes
Ont voulus dessiner un monde à eux
Tentant de nous faire manger leurs pommes
Nous faisant croire qu'ils nous rendraient heureux
Depuis des siècles ils ont inventés l'économie
Créées un univers de banque et de monnaie
Inventés des carcans pour mieux gérer nos vies
Nous disant que sans ça tout serait plus mauvais
Mais aujourd'hui entre politique et religion
Nous avons perdu toutes leurs illusions...
Que reste-t-il aujourd'hui
Du monde qu'on nous avait promis
Que reste-t-il de ce qu'on a cru
De ce paradis à jamais perdu?
Que reste-t-il de tout ces mensonges
Des politiciens pour lesquels ont plongent
Que reste-t-il de tout les fruits
De ce monde qu'on nous avait promis?
Depuis des siècles ils font la guerre et nous tues
Déclenchant des faillites pour nous faire payer
Baissent et augmentent ce qu'ils veulent à notre insu
Sans s'occuper de ceux qui n'ont plus rien à manger
Depuis des siècles ils font la pluie et le beau temps
S'amusent avec nous comme des soldats de plomb
Tirent les ficelles de tout ce qui touche à l'argent
Utilisent les politiciens de l'ena comme des pantins des chiffons
Mais aujourd'hui nous sommes entre leçon et aversion
Nous ne sommes plus les esclaves de leurs ambitions...
Que restera-t-il demain
De ce monde qui doit mourir
Que restera-t-il de nous humain
Espérant de voir des millions d'enfants sourires
Qu-il ne reste rien des dysfonctionnements
Des injustices conduites à l'infinie
Qu'il ne reste que tout les bons sentiments
Et le monde que nous nous sommes promis.
Ecrit le lundi 15 août 2011, à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
Marne La Vallée 77,Seine et Marne,Île-De-France,France.
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samedi 13 août 2011
La vie et rien d'autre
" QUAND LES SOUVENIRS S'EFFACENT "
Il regarde la photo qu'on lui tend
Qui est cette femme qui sourit?
Comment s'appelle ces jeunes gens
Est ce le jour ou la nuit?
Elle regarde l'homme à côté d'elle
Pourquoi lui tient il le bras?
La crêpe dans son assiette c'est de la dentelle
Peut-être que ce soir elle verra son papa?
Se rappelle t-il seulement qu'il a aimé
Qu'elle est la femme qu'il a épousé?
Se rappelle t-elle qu'elle l'a désiré
Que son père est mort depuis des années?
Que reste t-il d'un homme, d'une femme
Quand leurs souvenirs s'effacent ?
Que ressent-on quand le passé s'enflamme
Que la terre ressemble à l'espace?
Que reste-il d'une vie sans hier
Que même la réalité dépasse
Que sait-on des saisons sans été ni hiver
Quand tout les souvenirs s'effacent ?
Il s'observe dans le miroir
Qui est la personne qu'il voir dedans?
Comment est la lumière et le noir
Etait-il un homme ou une femme avant?
Elle c'est mise dans la baignoire toute habillée
Comme ci tout avait toujours été ainsi
pourquoi se sent-elle comme une enfant gaie
Prête à faire toutes les bêtises qu'on lui interdit?
Se rappelle t-il que c'est lui cet homme qu'il a été
Qu'il a aimé le soleil et toute sa clarté?
Se rappelle t-elle tout ces jours où elle a nagée
De cette belle femme pleine d'humour et de vitalité?
( En hommage à tous les malade de la maladie D'Azeimer et leurs familles et proches )
Ecrit le jeudi 11 aout 2011,par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS )à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Seine Et Marne,Île-De-France,France.
( * ville de coeur: Aoste,Valepelline,Paris,Coulommier,Neufchâteau )
Merci de vos encouragements,impressions,de faire connaître ce blog,vous pouvez me joindre au : georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défends la cause de toutes les victimes de violences sexuelles et maltraitances ( viols,conjugales,incestes...)en consacrant un blog à tout ces fléaux destructeurs,merci de partager ce combat avec moi.
Il regarde la photo qu'on lui tend
Qui est cette femme qui sourit?
Comment s'appelle ces jeunes gens
Est ce le jour ou la nuit?
Elle regarde l'homme à côté d'elle
Pourquoi lui tient il le bras?
La crêpe dans son assiette c'est de la dentelle
Peut-être que ce soir elle verra son papa?
Se rappelle t-il seulement qu'il a aimé
Qu'elle est la femme qu'il a épousé?
Se rappelle t-elle qu'elle l'a désiré
Que son père est mort depuis des années?
Que reste t-il d'un homme, d'une femme
Quand leurs souvenirs s'effacent ?
Que ressent-on quand le passé s'enflamme
Que la terre ressemble à l'espace?
Que reste-il d'une vie sans hier
Que même la réalité dépasse
Que sait-on des saisons sans été ni hiver
Quand tout les souvenirs s'effacent ?
Il s'observe dans le miroir
Qui est la personne qu'il voir dedans?
Comment est la lumière et le noir
Etait-il un homme ou une femme avant?
Elle c'est mise dans la baignoire toute habillée
Comme ci tout avait toujours été ainsi
pourquoi se sent-elle comme une enfant gaie
Prête à faire toutes les bêtises qu'on lui interdit?
Se rappelle t-il que c'est lui cet homme qu'il a été
Qu'il a aimé le soleil et toute sa clarté?
Se rappelle t-elle tout ces jours où elle a nagée
De cette belle femme pleine d'humour et de vitalité?
( En hommage à tous les malade de la maladie D'Azeimer et leurs familles et proches )
Ecrit le jeudi 11 aout 2011,par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS )à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Seine Et Marne,Île-De-France,France.
( * ville de coeur: Aoste,Valepelline,Paris,Coulommier,Neufchâteau )
Merci de vos encouragements,impressions,de faire connaître ce blog,vous pouvez me joindre au : georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défends la cause de toutes les victimes de violences sexuelles et maltraitances ( viols,conjugales,incestes...)en consacrant un blog à tout ces fléaux destructeurs,merci de partager ce combat avec moi.
lundi 8 août 2011
Hommage
" ADIEU HELENE "
Elle était la petite princesse Germane
Qui avait grandit sous les projecteurs
Dans l'ombre d'une mère mégalomane
Proche d'amis infâmes et un dictateur
Elle est vite devenue Issy l'impératrice
Immortelle et belle en technicolor
Cachant sous ses costumes les cicatrices
Qui l'accompagnèrent dans ses rôles jusqu'a sa mort
Elle mit tout en oeuvre pour gommer le passé
Toute l'horreur de cette guerre qu'elle vomissait
Reniant jusqu'a ses origines qui la tétanisée
Pour retrouver une paix qu'elle implorait
Tu as refermée le livre de ta vie
Sur une femme à sa fenêtre en larme
Laissée partir César et Rosalie
Vers d'autres clair de femme et de drame
Tu as arrêtée ton cœur sur trop de blessure
Laissée au fond de la piscine toutes tes peines
Emportée la passante du sans souci vers l'azur
Pour que les choses de la vie disent adieu Hélène ...
Elle voulait être comme les autres femmes
Se battre pour un homme et des enfants
Dans la chaleur d'un foyer aux douces flammes
Ou l'amour serait le plus beau des sentiments
Elle a aimée et été aimée des hommes
Qui ne l'ont pas toujours comprise en retour
Ne voyant que sa beauté et la star en somme
Sans voir ses bleus à l'âme et son besoin d'amour
Elle a donnée la vie à un petit ange blond David
Qui était toute sa lumière et sa fierté
Avant que le destin l'emporte et laisse un grand vide
Laissant Romy s'endormir pour toujours et Sarah abandonnée.
En Hommage à la grande Actrice préférée de mon enfance et adolescence,Romy Schneider
Ecrit la Dimanche 7 aout 2011,à Lagny-Sur-Marne,par Hugo Gall ( pseudo de T.G ),Marne La Vallée 77,Seine et Marne,Île-De-France,France.
( Aoste - Valepelline - Paris - Coulommier - Neuchâteau - Lagny-Sur-Marne )
Merci pour vos encouragements,impressions,fidélité,de faire connaître ce blog, vous pouvez me joindre quand vous le désirez au: georgelucienthierry@hotmail.fr
Je soutiens et défend la cause de toutes les victimes de violences sexuelles,viols,incestes,maltraitances,en consacrant un blog à tout ces fléaux destructeurs,merci de le faire connaître et d'y accéder au: http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.Com ,merci pour eux...
Elle était la petite princesse Germane
Qui avait grandit sous les projecteurs
Dans l'ombre d'une mère mégalomane
Proche d'amis infâmes et un dictateur
Elle est vite devenue Issy l'impératrice
Immortelle et belle en technicolor
Cachant sous ses costumes les cicatrices
Qui l'accompagnèrent dans ses rôles jusqu'a sa mort
Elle mit tout en oeuvre pour gommer le passé
Toute l'horreur de cette guerre qu'elle vomissait
Reniant jusqu'a ses origines qui la tétanisée
Pour retrouver une paix qu'elle implorait
Tu as refermée le livre de ta vie
Sur une femme à sa fenêtre en larme
Laissée partir César et Rosalie
Vers d'autres clair de femme et de drame
Tu as arrêtée ton cœur sur trop de blessure
Laissée au fond de la piscine toutes tes peines
Emportée la passante du sans souci vers l'azur
Pour que les choses de la vie disent adieu Hélène ...
Elle voulait être comme les autres femmes
Se battre pour un homme et des enfants
Dans la chaleur d'un foyer aux douces flammes
Ou l'amour serait le plus beau des sentiments
Elle a aimée et été aimée des hommes
Qui ne l'ont pas toujours comprise en retour
Ne voyant que sa beauté et la star en somme
Sans voir ses bleus à l'âme et son besoin d'amour
Elle a donnée la vie à un petit ange blond David
Qui était toute sa lumière et sa fierté
Avant que le destin l'emporte et laisse un grand vide
Laissant Romy s'endormir pour toujours et Sarah abandonnée.
En Hommage à la grande Actrice préférée de mon enfance et adolescence,Romy Schneider
Ecrit la Dimanche 7 aout 2011,à Lagny-Sur-Marne,par Hugo Gall ( pseudo de T.G ),Marne La Vallée 77,Seine et Marne,Île-De-France,France.
( Aoste - Valepelline - Paris - Coulommier - Neuchâteau - Lagny-Sur-Marne )
Merci pour vos encouragements,impressions,fidélité,de faire connaître ce blog, vous pouvez me joindre quand vous le désirez au: georgelucienthierry@hotmail.fr
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lundi 27 juin 2011
Ainsi va la vie...
'' RECOMMENCER SA VIE ''
Comme beaucoup de vous
J'ai traversé des orages et des tempêtes
Voulu partir et abandonner tout
Certain que ma vie ne serait que défaite
Comme beaucoup de vous
J'ai bu plus d'une fois la tasse
Sans chercher le plus fort en nous
Toute ma vie étant à marée basse
Recommencer sa vie
Coûte que coûte
Éteindre les incendies
Qui sur le chemin nous déroutent
Recommencer sa vie
Pour continuer à vivre
Avoir toujours le goût et l'envie
Croire en son instinct et le suivre
Comme vous j'ai pensé à mon âge
Disant qu'il était trop tard pour ça
Que je n'avancerai que dans des marécages
Qui m’entraîneraient vers l'au-delà
Comme vous j'ai eu des hauts et des bas
Plus souvent été trahi et abandonné qu'a mon tour
Pouvant faire de mes peines des gros tas
Que j'aurai voulu brûler pour toujours
Recommencer sa vie
Coûte que coûte
Éteindre les incendies
Qui sur le chemin nous déroutent
Recommencer sa vie
Pour continuer à vivre
Avoir toujours le goût et l'envie
Croire en son instinct et le suivre
Comme chacun de vous sur terre
J'ai eu des doutes impossibles à effacer
Qui me poursuivaient à me brûler comme l'enfer
A mettre tout l'amour de ma foi en danger
Comme chacun de vous sur terre
J'ai fini par renaître de mes cendres
Poussé par je ne sais qu'elle prière
Me disant qu'un jour ou l'autre,on allait m'entendre
Écrit le dimanche 26 juin 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Seine Et Marne,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
ps:J'en appelle aux éditeurs qui seraient intérréssés de me publier,recueils de poésies, un recueil historique et poétique sur les Tudor,intitulé " à la rencontre des Tudor en poésie ",un roman " depréssion interdite " et un autre " de quel côté de notre amour ",merci de me contacter au: georgelucienthierry@hotmail.fr et tel:0663929287.
Merci de vos encouragements,impressions,de faire connaître ce blog,vous pouvez me joindre au mail ci-dessus.
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Comme beaucoup de vous
J'ai traversé des orages et des tempêtes
Voulu partir et abandonner tout
Certain que ma vie ne serait que défaite
Comme beaucoup de vous
J'ai bu plus d'une fois la tasse
Sans chercher le plus fort en nous
Toute ma vie étant à marée basse
Recommencer sa vie
Coûte que coûte
Éteindre les incendies
Qui sur le chemin nous déroutent
Recommencer sa vie
Pour continuer à vivre
Avoir toujours le goût et l'envie
Croire en son instinct et le suivre
Comme vous j'ai pensé à mon âge
Disant qu'il était trop tard pour ça
Que je n'avancerai que dans des marécages
Qui m’entraîneraient vers l'au-delà
Comme vous j'ai eu des hauts et des bas
Plus souvent été trahi et abandonné qu'a mon tour
Pouvant faire de mes peines des gros tas
Que j'aurai voulu brûler pour toujours
Recommencer sa vie
Coûte que coûte
Éteindre les incendies
Qui sur le chemin nous déroutent
Recommencer sa vie
Pour continuer à vivre
Avoir toujours le goût et l'envie
Croire en son instinct et le suivre
Comme chacun de vous sur terre
J'ai eu des doutes impossibles à effacer
Qui me poursuivaient à me brûler comme l'enfer
A mettre tout l'amour de ma foi en danger
Comme chacun de vous sur terre
J'ai fini par renaître de mes cendres
Poussé par je ne sais qu'elle prière
Me disant qu'un jour ou l'autre,on allait m'entendre
Écrit le dimanche 26 juin 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Seine Et Marne,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
ps:J'en appelle aux éditeurs qui seraient intérréssés de me publier,recueils de poésies, un recueil historique et poétique sur les Tudor,intitulé " à la rencontre des Tudor en poésie ",un roman " depréssion interdite " et un autre " de quel côté de notre amour ",merci de me contacter au: georgelucienthierry@hotmail.fr et tel:0663929287.
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La vie,l'amour,la mort,etc...
'' NE PAS OUBLIER DE DIRE ''
Un jour j'ai perdu mon père
J'étais trop jeune pour savoir
Qu'il ne serait jamais mon repère
Et les mots que j'aurai du avoir
Depuis ce jour j'ai senti l'amour
Celui que l'on porte à ceux qui nous aime
Dés les premiers instants et pour toujours
Le plus beau de tout les thèmes
Ne pas oublier de dire
A tout les gens qu'on aime
Bien avant qu'ils vont mourir
Simplement qu'on les aime
Ne pas oublier de dire
Avant que les souvenirs se sèment
Avec le plus beau des sourires
Dire à tous qu'on les aime
Un jour j'ai grandi et j'ai eu peur
Peur de perdre les gens que j'aimai
D'avoir trop mal en mon cœur
Si je ne disais pas ce que je ressentais
Depuis ces instants je n'oublie jamais
Quelque soit le jour,l'heure ou l'année
Où je suis,j'étais et où je serai
De le dire à ceux que j'ai aimé
A mon père...
Écrit le dimanche 26 juin 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Seine Et Marne,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
Merci de vos encouragements,impressions,de faire connaître ce blog,vous pouvez me joindre au: georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause de toutes les victimes de maltraitances,incestes,violences sexuelles,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,vous pouvez y accéder au:
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Un jour j'ai perdu mon père
J'étais trop jeune pour savoir
Qu'il ne serait jamais mon repère
Et les mots que j'aurai du avoir
Depuis ce jour j'ai senti l'amour
Celui que l'on porte à ceux qui nous aime
Dés les premiers instants et pour toujours
Le plus beau de tout les thèmes
Ne pas oublier de dire
A tout les gens qu'on aime
Bien avant qu'ils vont mourir
Simplement qu'on les aime
Ne pas oublier de dire
Avant que les souvenirs se sèment
Avec le plus beau des sourires
Dire à tous qu'on les aime
Un jour j'ai grandi et j'ai eu peur
Peur de perdre les gens que j'aimai
D'avoir trop mal en mon cœur
Si je ne disais pas ce que je ressentais
Depuis ces instants je n'oublie jamais
Quelque soit le jour,l'heure ou l'année
Où je suis,j'étais et où je serai
De le dire à ceux que j'ai aimé
A mon père...
Écrit le dimanche 26 juin 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Seine Et Marne,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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On court après le temps, lui nous dépasse
" AU JOUR LE JOUR "
On a tous un jour regretté le passé
Cherchant un moyen de la revivre
Pour changer ce qui nous a déstabilisé
Prendre un nouveau chemin et le suivre
On a tous voulu retrouver quelqu'un
Qui a fait partie de notre vie
Que l'on a perdu au petit matin
Quand tout semblait être fini
Profiter du temps présent
Sans rattraper celui qui est perdu
Qui a été emporter dans le vent
Et qui est à jamais disparu
Profiter de chaque instant
Celui qui passe est trop court
Il emporte l'amour et les sentiments
Vivre seulement au jour le jour
On a tous traversé des déserts
Que l'on croyait définitif et sans avenir
Des jours d’errance où l'on se perd
D'autre ou l'on a voulu mourir
On a tous dit des choses bêtes
Que l'on ne pensait pas toujours
Se demandant ce qu'on avait dans la tête
Préférant l'oublier dés le petit jour
Profiter du temps présent
Sans rattraper celui qui est perdu
Qui a été emporter dans le vent
Et qui est à jamais disparu
Profiter de chaque instant
Celui qui passe est trop court
Il emporte l'amour et les sentiments
Vivre seulement au jour le jour
On a tous voulu refaire le monde
Recommencer sa vie et la reprendre à zéro
Sans y parvenir,même une seule seconde
Comprenant que tout n'ai pas vrai ou faux
On a tous été amoureux dans un sens unique
De quelqu'un qui nous regardait pas
Voulu le retrouver dans des souvenirs chimériques
Où rien ne changera jamais tout ça
Écrit le samedi 25 juin 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Seine Et Marne,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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On a tous un jour regretté le passé
Cherchant un moyen de la revivre
Pour changer ce qui nous a déstabilisé
Prendre un nouveau chemin et le suivre
On a tous voulu retrouver quelqu'un
Qui a fait partie de notre vie
Que l'on a perdu au petit matin
Quand tout semblait être fini
Profiter du temps présent
Sans rattraper celui qui est perdu
Qui a été emporter dans le vent
Et qui est à jamais disparu
Profiter de chaque instant
Celui qui passe est trop court
Il emporte l'amour et les sentiments
Vivre seulement au jour le jour
On a tous traversé des déserts
Que l'on croyait définitif et sans avenir
Des jours d’errance où l'on se perd
D'autre ou l'on a voulu mourir
On a tous dit des choses bêtes
Que l'on ne pensait pas toujours
Se demandant ce qu'on avait dans la tête
Préférant l'oublier dés le petit jour
Profiter du temps présent
Sans rattraper celui qui est perdu
Qui a été emporter dans le vent
Et qui est à jamais disparu
Profiter de chaque instant
Celui qui passe est trop court
Il emporte l'amour et les sentiments
Vivre seulement au jour le jour
On a tous voulu refaire le monde
Recommencer sa vie et la reprendre à zéro
Sans y parvenir,même une seule seconde
Comprenant que tout n'ai pas vrai ou faux
On a tous été amoureux dans un sens unique
De quelqu'un qui nous regardait pas
Voulu le retrouver dans des souvenirs chimériques
Où rien ne changera jamais tout ça
Écrit le samedi 25 juin 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Seine Et Marne,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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jeudi 23 juin 2011
Ainsi va la vie...
'' LA PUTAIN ''
Elle marche de long en large
Sur le même morceau de trottoir
Attirant à elle les équilibrés et les barges
Comme si elle était la société et son miroir
Elle fait cela depuis des années
Dans le vent,la neige et la chaleur
Sans jamais y avoir était préparée
Comme si elle n'avait fait que des erreurs
Elle fait l'amour avec les hommes
Sans jamais dévoiler ses sentiments
C'est toujours contre une certaine somme
Seulement entre deux adultes consentants
Elle fait l'amour pour seul métier
Sans jamais détourner son regard
C'est ainsi depuis la création du monde entier
Pour elle comme les autres,ce n'ai pas un hazard
Elle affronte les regards pleins de crachats
Ceux qui l'insulte,la juge sans la connaître
Pourtant elle ne se cache pas sous des burkas
Tout le monde peut la reconnaître
Elle ne pense pas pareil que tout ces bénitiers
Pour elle se sont des bonnes œuvres sociales
Soulageant les hommes égarés,seuls,rejetés,les habitués
Un rampart contre toutes les violences sexuelles fatales
Elle fait l'amour avec les hommes
Sans jamais dévoiler ses sentiments
C'est toujours contre une certaine somme
Seulement entre deux adultes consentants
Elle fait l'amour pour seul métier
Sans jamais détourner son regard
C'est ainsi depuis la création du monde entier
Pour elle comme les autres,ce n'ai pas un hazard
Elle n'a pas de mal à être une bonne mère
Quand elle retire les vêtements de son travail
C'est une femme qui aime et espére
Comme toutes les autres où qu'elles aillent
Elle est peut-être la cathin,la pute,la protituée
Ca ne l'empêche pas d'avoir des valeurs,d'être bien
De ne pas sombrer dans l'alcool,les drogues et autres facilitées
Comme tout le monde,elle est humaine,celle qu'on appelle Putain.
Ecrit le mercredi 22 juin à Lagny-Sur-Marne,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )Marne La Vallée 77,Seine Et Marne,Île De France,France.
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Elle marche de long en large
Sur le même morceau de trottoir
Attirant à elle les équilibrés et les barges
Comme si elle était la société et son miroir
Elle fait cela depuis des années
Dans le vent,la neige et la chaleur
Sans jamais y avoir était préparée
Comme si elle n'avait fait que des erreurs
Elle fait l'amour avec les hommes
Sans jamais dévoiler ses sentiments
C'est toujours contre une certaine somme
Seulement entre deux adultes consentants
Elle fait l'amour pour seul métier
Sans jamais détourner son regard
C'est ainsi depuis la création du monde entier
Pour elle comme les autres,ce n'ai pas un hazard
Elle affronte les regards pleins de crachats
Ceux qui l'insulte,la juge sans la connaître
Pourtant elle ne se cache pas sous des burkas
Tout le monde peut la reconnaître
Elle ne pense pas pareil que tout ces bénitiers
Pour elle se sont des bonnes œuvres sociales
Soulageant les hommes égarés,seuls,rejetés,les habitués
Un rampart contre toutes les violences sexuelles fatales
Elle fait l'amour avec les hommes
Sans jamais dévoiler ses sentiments
C'est toujours contre une certaine somme
Seulement entre deux adultes consentants
Elle fait l'amour pour seul métier
Sans jamais détourner son regard
C'est ainsi depuis la création du monde entier
Pour elle comme les autres,ce n'ai pas un hazard
Elle n'a pas de mal à être une bonne mère
Quand elle retire les vêtements de son travail
C'est une femme qui aime et espére
Comme toutes les autres où qu'elles aillent
Elle est peut-être la cathin,la pute,la protituée
Ca ne l'empêche pas d'avoir des valeurs,d'être bien
De ne pas sombrer dans l'alcool,les drogues et autres facilitées
Comme tout le monde,elle est humaine,celle qu'on appelle Putain.
Ecrit le mercredi 22 juin à Lagny-Sur-Marne,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )Marne La Vallée 77,Seine Et Marne,Île De France,France.
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mercredi 22 juin 2011
Pour tout ce qui n'ai pas acceptable
'' LA ROBE FROISSEE ''
Elle se sentait belle en cet après-midi
Le sourire aux lèvres,elle avançait dans la rue
La grâce dans sa démarche de fille du Paradis
Laissant virevolter sa jolie robe à son insu
Elle était amoureuse du garçon qu'elle allait épouser
Celui qui lui faisait l'amour avec tendresse
La rendait heureuse et la faisait vibrer
Comme si chaque jour était une caresse
Elle se sentait forte et fragile à la fois
Parmi la foule elle n'était personne d'autre qu'elle
Les regards des gens souriant la mettait en joie
Comment imaginer ce prédateur braqué sur ses dentelles
Qui a fait croire à certain hommes
Qu'ils avaient tout les droits envers les femmes
De prendre comme acquis les courbes de leurs formes
De détruire leurs corps et salir leurs âmes ?
Qui a donné aux hommes cette impression
Qu'ils étaient irrésistibles ou de toute puissance
Ayant le droit de prendre la voix qui crie à l'interdiction
Simplement pour un plaisir éphémère dans la violence ?
Elle allait passer dans une ruelle déserte
Où tant de fois elle avait coupée par raccourci
Pressé de rejoindre celui pour qui elle c'était offerte
Et qui avait su chaque jour enchanter sa vie
Elle marchait confiante,des rêves plein la tête
Quand des mains se posèrent autour de son cou
Puis la plaquèrent contre un mur comme une bête
Avant de relever sa robe sans respect et déchirer ses dessous
Elle sentait son odeur qui lui donnait la nausée
Essayant de lutter contre le passage forcé que refusait son corps
Mais dont elle sortie vaincue avec sa robe froissée
Remplie de souillure et dévastée de souffrance,avec un sentiment de mort.
En hommage à toutes les victimes de prédateur coupable de violences sexuelles
Écrit le mardi 21 juin 2011,à Lagny-Sur-Marne,par Hugo Gall (pseudo de T.G )Marne La Vallée 77,
Seine et Marne,Île De France,France.
Merci de vos encouragements,impressions,de faire connaître ce blog,vous pouvez me joindre au : georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes et de toutes violences sexuelles,en consacrant un blog à tout ces fléaux destructeurs,vous pouvez y accéder au :
http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com , merci à vous tous de votre soutien,compassion et main tendu à toutes ces victimes.
Elle se sentait belle en cet après-midi
Le sourire aux lèvres,elle avançait dans la rue
La grâce dans sa démarche de fille du Paradis
Laissant virevolter sa jolie robe à son insu
Elle était amoureuse du garçon qu'elle allait épouser
Celui qui lui faisait l'amour avec tendresse
La rendait heureuse et la faisait vibrer
Comme si chaque jour était une caresse
Elle se sentait forte et fragile à la fois
Parmi la foule elle n'était personne d'autre qu'elle
Les regards des gens souriant la mettait en joie
Comment imaginer ce prédateur braqué sur ses dentelles
Qui a fait croire à certain hommes
Qu'ils avaient tout les droits envers les femmes
De prendre comme acquis les courbes de leurs formes
De détruire leurs corps et salir leurs âmes ?
Qui a donné aux hommes cette impression
Qu'ils étaient irrésistibles ou de toute puissance
Ayant le droit de prendre la voix qui crie à l'interdiction
Simplement pour un plaisir éphémère dans la violence ?
Elle allait passer dans une ruelle déserte
Où tant de fois elle avait coupée par raccourci
Pressé de rejoindre celui pour qui elle c'était offerte
Et qui avait su chaque jour enchanter sa vie
Elle marchait confiante,des rêves plein la tête
Quand des mains se posèrent autour de son cou
Puis la plaquèrent contre un mur comme une bête
Avant de relever sa robe sans respect et déchirer ses dessous
Elle sentait son odeur qui lui donnait la nausée
Essayant de lutter contre le passage forcé que refusait son corps
Mais dont elle sortie vaincue avec sa robe froissée
Remplie de souillure et dévastée de souffrance,avec un sentiment de mort.
En hommage à toutes les victimes de prédateur coupable de violences sexuelles
Écrit le mardi 21 juin 2011,à Lagny-Sur-Marne,par Hugo Gall (pseudo de T.G )Marne La Vallée 77,
Seine et Marne,Île De France,France.
Merci de vos encouragements,impressions,de faire connaître ce blog,vous pouvez me joindre au : georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes et de toutes violences sexuelles,en consacrant un blog à tout ces fléaux destructeurs,vous pouvez y accéder au :
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Le chemin d'un homme
'' LES SOUVENIRS OUBLIES ''
Je ne me rappelle plus de l'enfance
De ces instants d'innocence vécus
Tout les manques de chance et les violences
Qui ont fait de moi ce que je suis devenu
Je ne sais pas ou ne veux plus savoir
Quel a été mes souffrances et mes chagrins
Toutes mes peurs du jour ou dans le noir
Qui m'ont empêchés de rester serein
Tout les souvenirs oubliés
Qu'on a dans un coin de mémoire
Pour ne plus penser au passé
Et se reconstruire une nouvelle histoire
Tout les souvenirs oubliés
Qu'on ne veut plus voir
Pour ne plus se sentir désespéré
Et regarder l'avenir plein d'espoir
Je vois devant moi et aujourd'hui
Désirant apercevoir de beau lendemain
Voyant doucement le temps s'enfuir
Peut-être avec quelqu'un,main dans la main
Je ne discerne pas d'où je viens
Tout à l'air si incertain et si loin
Les personnes,les lieux s’effacent et ne sont plus mien
Seul le souvenir d'une grosse blessure les rejoints
Écrit le mardi 21 juin 2011 à Lagny-Sur-Marne,par Hugo Gall ( pseudo de T.G ) Marne la vallée 77,
Seine et Marne,Île De France,France.
Merci de vos encouragements,impressions,de faire connaître ce blog,vous pouvez me joindre au : georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes et de toutes violences sexuelles,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,vous pouvez y accéder au :
Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
Je ne me rappelle plus de l'enfance
De ces instants d'innocence vécus
Tout les manques de chance et les violences
Qui ont fait de moi ce que je suis devenu
Je ne sais pas ou ne veux plus savoir
Quel a été mes souffrances et mes chagrins
Toutes mes peurs du jour ou dans le noir
Qui m'ont empêchés de rester serein
Tout les souvenirs oubliés
Qu'on a dans un coin de mémoire
Pour ne plus penser au passé
Et se reconstruire une nouvelle histoire
Tout les souvenirs oubliés
Qu'on ne veut plus voir
Pour ne plus se sentir désespéré
Et regarder l'avenir plein d'espoir
Je vois devant moi et aujourd'hui
Désirant apercevoir de beau lendemain
Voyant doucement le temps s'enfuir
Peut-être avec quelqu'un,main dans la main
Je ne discerne pas d'où je viens
Tout à l'air si incertain et si loin
Les personnes,les lieux s’effacent et ne sont plus mien
Seul le souvenir d'une grosse blessure les rejoints
Écrit le mardi 21 juin 2011 à Lagny-Sur-Marne,par Hugo Gall ( pseudo de T.G ) Marne la vallée 77,
Seine et Marne,Île De France,France.
Merci de vos encouragements,impressions,de faire connaître ce blog,vous pouvez me joindre au : georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes et de toutes violences sexuelles,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,vous pouvez y accéder au :
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mardi 21 juin 2011
Abus de pouvoir
" LA SECHERESSE DE MES LARMES "
J'ai connu autant d'épreuves que de souffrances
Traversé des chemins pleins d’ornières sans fin
Espérant pourtant un jour connaître la chance
Et que tout ce que j'ai vécu ne soit pas vain
J'ai vu tant de gens juger ceux qui sont victimes
Mais encenser et plaindre ceux qui sont coupables
Sans un mot de compassion pour ces blessures intimes
Ravageant de fond en comble la vie d'innocent véritable
J'ai lu dans les yeux de mes frères et sœurs blessés
Toute l'ignominie et la souillure qu'ils ressentaient
La peur d'imaginer un avenir avec une vie brisée
Avec des regards de jugement qui les transperçaient
J'ai ressenti la culpabilité,le rejet de mon entourage
Comme toutes les familles de ceux qui ont subit ce que j'ai vécu
Compris que ma parole n'était pas considérée de bon usage
Et réalisé que mon passé était un mensonge d'une enfance perdue
J'ai été horrifié des affaires qui ont touchés la politique
De ces personnes de pouvoir qui en abuse et se font protéger
Toutes ces castes qui s'entraident pour cacher le pire,sans éthique
Laissant agir dans l'ombre des prédateurs fiers de leurs immunités
J'ai entendu les amis de ces bourreaux,insulter les souillés
En voyant leurs chances de pouvoir s'évanouir dans l'ombre
Avec haine,agressivité et sur le coin de leurs lèvres,l'avidité
Celle qui montre que les personnes politiques ont des côtés sombres
J'ai enfin regardé en face ce monde qui se dit de gauche
Qui est sensé défendre les plus faibles,mais les écrasent sans remord
Quand leurs ambitions de pouvoir sont menacés et les fauchent
Capable de soutenir des violeurs,pédophiles,sans reconnaître leurs tords
J'ai tant pleuré des torrents de larmes amères et incessantes
Qu'aujourd'hui devant tant de gens qui rient de vérités qui désarme
Ne voulant pas voir l'incroyable,mais vraie réalité des plus indécente
Je fais le choix d'être le flambeau de cette cause,avec la sécheresse des me larmes
Ecrit la lundi 20 juin 2011,à Lagny-Sur-Marne,par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS )Marne La Vallée 77,Seine et Marne,Île De France,france.
En hommage et soutient aux victimes de toutes violences sexuelles.
Merci de vos encouragements,impressions,de faire connaître ce blog,vous pouvez me joindre au: georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause de toutes les victimes de maltraitances,incestes et toutes violences sexuelles,en consacrant un blog à tout ces fléaux destructeurs,qui sont trop souvent encore pris à la rigolade et pas au sérieux,par nos compatriotes,voir les derniers faits des actualités,merci de regarder toutes les victimes avec compassions,respects,écoutes et non jugements,en n'oubliant jamais que la victime n'ai pas le coupable,mais celle que l'on à abusé et salit,demain elle pourrait être votre fille,soeur,femme,mére,fils,frére...Merci
Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
J'ai connu autant d'épreuves que de souffrances
Traversé des chemins pleins d’ornières sans fin
Espérant pourtant un jour connaître la chance
Et que tout ce que j'ai vécu ne soit pas vain
J'ai vu tant de gens juger ceux qui sont victimes
Mais encenser et plaindre ceux qui sont coupables
Sans un mot de compassion pour ces blessures intimes
Ravageant de fond en comble la vie d'innocent véritable
J'ai lu dans les yeux de mes frères et sœurs blessés
Toute l'ignominie et la souillure qu'ils ressentaient
La peur d'imaginer un avenir avec une vie brisée
Avec des regards de jugement qui les transperçaient
J'ai ressenti la culpabilité,le rejet de mon entourage
Comme toutes les familles de ceux qui ont subit ce que j'ai vécu
Compris que ma parole n'était pas considérée de bon usage
Et réalisé que mon passé était un mensonge d'une enfance perdue
J'ai été horrifié des affaires qui ont touchés la politique
De ces personnes de pouvoir qui en abuse et se font protéger
Toutes ces castes qui s'entraident pour cacher le pire,sans éthique
Laissant agir dans l'ombre des prédateurs fiers de leurs immunités
J'ai entendu les amis de ces bourreaux,insulter les souillés
En voyant leurs chances de pouvoir s'évanouir dans l'ombre
Avec haine,agressivité et sur le coin de leurs lèvres,l'avidité
Celle qui montre que les personnes politiques ont des côtés sombres
J'ai enfin regardé en face ce monde qui se dit de gauche
Qui est sensé défendre les plus faibles,mais les écrasent sans remord
Quand leurs ambitions de pouvoir sont menacés et les fauchent
Capable de soutenir des violeurs,pédophiles,sans reconnaître leurs tords
J'ai tant pleuré des torrents de larmes amères et incessantes
Qu'aujourd'hui devant tant de gens qui rient de vérités qui désarme
Ne voulant pas voir l'incroyable,mais vraie réalité des plus indécente
Je fais le choix d'être le flambeau de cette cause,avec la sécheresse des me larmes
Ecrit la lundi 20 juin 2011,à Lagny-Sur-Marne,par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS )Marne La Vallée 77,Seine et Marne,Île De France,france.
En hommage et soutient aux victimes de toutes violences sexuelles.
Merci de vos encouragements,impressions,de faire connaître ce blog,vous pouvez me joindre au: georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause de toutes les victimes de maltraitances,incestes et toutes violences sexuelles,en consacrant un blog à tout ces fléaux destructeurs,qui sont trop souvent encore pris à la rigolade et pas au sérieux,par nos compatriotes,voir les derniers faits des actualités,merci de regarder toutes les victimes avec compassions,respects,écoutes et non jugements,en n'oubliant jamais que la victime n'ai pas le coupable,mais celle que l'on à abusé et salit,demain elle pourrait être votre fille,soeur,femme,mére,fils,frére...Merci
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Couleurs
BLEU COMME
Bleu comme le ciel
L'océan sur toute la terre
Le gaz et ses étincelles
La couleur de l'univers
Bleu comme nos peines
Nos blessures à notre âme
Les douces et belles baleines
Les requins que l'on condamne
Comme la fleur de notre amour
La lumière dans le fond de mes yeux
La rivière ou vont nos jours
La couleur quand on est heureux
Comme le soleil de nos nuits
Les rêves que je fais avec toi
Les chemins étoilés de nos vies
La couleur que j'aime sur moi
Bleu comme le sang des rois
La couleur que je préfère
Ce méthylène sur nos doigts
Les méandres ou l'on erre
Bleu comme une douce liqueur
Des geysers d'eau chaude bienfaisante
Les petits héros aux grands cœurs
La douceur du linge adoucissante
Comme la fleur de notre amour
La lumière dans le fond de mes yeux
La rivière ou vont nos jours
La couleur quand on est heureux
Comme le soleil de nos nuits
Les rêves que je fais avec toi
Les chemins étoilés de nos vies
La couleur que j'aime sur moi
Bleu en quatre lettres
Comme toi et moi pour la vie
Celui qui uni deux êtres
Qui se voit à l'infini
Bleu comme la tendresse
Les regards de ma fille et mes fils
De tout ce qu'il me reste
Tout les liens que l'on tisse
Ecrit le dimanche 19 juin 2011 à Lagny-Sur-Marne,par Hugo Gall ( pseudo de T.G ),Marne La Vallée 77,Seine et Marne,Île De France,France.
Merci de vos encouragements,impressions,de faire connaître ce blog,vous pouvez me joindre au:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes et toutes violences sexuelles,en consacrant un blog à tout ces fleaux destructeurs qui sont trop encore pris à la rigolade et pas aux sérieux par nos compatriotes,merci de regarder toutes les victimes avec compassions et respects.
http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
Bleu comme le ciel
L'océan sur toute la terre
Le gaz et ses étincelles
La couleur de l'univers
Bleu comme nos peines
Nos blessures à notre âme
Les douces et belles baleines
Les requins que l'on condamne
Comme la fleur de notre amour
La lumière dans le fond de mes yeux
La rivière ou vont nos jours
La couleur quand on est heureux
Comme le soleil de nos nuits
Les rêves que je fais avec toi
Les chemins étoilés de nos vies
La couleur que j'aime sur moi
Bleu comme le sang des rois
La couleur que je préfère
Ce méthylène sur nos doigts
Les méandres ou l'on erre
Bleu comme une douce liqueur
Des geysers d'eau chaude bienfaisante
Les petits héros aux grands cœurs
La douceur du linge adoucissante
Comme la fleur de notre amour
La lumière dans le fond de mes yeux
La rivière ou vont nos jours
La couleur quand on est heureux
Comme le soleil de nos nuits
Les rêves que je fais avec toi
Les chemins étoilés de nos vies
La couleur que j'aime sur moi
Bleu en quatre lettres
Comme toi et moi pour la vie
Celui qui uni deux êtres
Qui se voit à l'infini
Bleu comme la tendresse
Les regards de ma fille et mes fils
De tout ce qu'il me reste
Tout les liens que l'on tisse
Ecrit le dimanche 19 juin 2011 à Lagny-Sur-Marne,par Hugo Gall ( pseudo de T.G ),Marne La Vallée 77,Seine et Marne,Île De France,France.
Merci de vos encouragements,impressions,de faire connaître ce blog,vous pouvez me joindre au:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes et toutes violences sexuelles,en consacrant un blog à tout ces fleaux destructeurs qui sont trop encore pris à la rigolade et pas aux sérieux par nos compatriotes,merci de regarder toutes les victimes avec compassions et respects.
http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
samedi 14 mai 2011
Deuxiéme roman,chapitre V,suite
Dépression interdite:chapitre V,un suspect trop idéal,suite.
Quand il arriva à l'hopital dans son service,il
ressentit comme des nausées;il apperçut d'abord le corps du surveillant que l'inspecteur Patrick
Charcot lui avait détaché dans son service,c'était un jeune policier de 28 ans,qui en venant ici
pour surveiller les allez et venus,faire son devoir de policier et au mieux arrêter cet assassin
pour l'empêcher de nuir,avait sans le savoir écrit les derniers instants de son destin.
Le docteur Tojeman se sentait vraiment désolé et
impuisant face à cela,il continua à avancer avec l'esprit embué de contrariété,observant à son
passage,les agents de police qui avaient prit maintenant place dans son service.
Devant la chambre 202,D'Arthur Jacquemin,il
apperçut son ami Patrick Charcot,à la recherche d'indice,autour du corps sans vie du patient;
quand l'inspecteur se rendit compte que le docteur Tojeman était entré dans la chambre,il se
dirigea vers lui et lui serra la main,d'une façon qu'ils se regardérent dans les yeux avec une
expréssion qui voulait dire,qu'ils étaient éfondrés par ce qui venait de se passer,ils étaient aussi
d'accord sur cette sensation d'être impuisant face à une personne qui risquait le tout pour le
tout sans se poser de question.
Le docteur Tojeman demanda à l'inspecteur,s'il
pouvait le retrouver dans son bureau quand il aurait fini de relever touts les indices possibles et
ce qui lui restait à faire;l'inspecteur lui répondit oui,puis le docteur rejoignit son bureau pour
faire le point et éssayer de se remettre un peu de toutes ces émotions,qui l'avait profondément
marqué.
Allait-il pouvoir continuer son travail après tout
ça,il finissait par se poser la question;au début de toute cette affaire,il pensait que tout cela
passerait et que tout reprendrait le cour normal des choses,mais avec cette continuité dans le
tragique,il finissait par se remettre sérieusement en question.
Malgré touts les agréables moments qu'il vivait
avec Héléne Portal,cela ne changeait rien,que pouvait-il à tout ça,il n'avait pas de réponse qui
assurerait une réussite à 100%,pourtant là,c'était tout ce don il avait envie,trouver l'unique
parade qui lui permettrait d'arrêter définitivement cet assassin,sans apparement la moindre
partie,même infime,d'humanité.
*
Héléne Portal se réveilla peu à peu,avant de bien
ouvrir les yeux et de s'étirer de tout son corps,elle chercha instinctivement le corps de son
amant,se sentant déçu de constater qu'il n'était déjà plus là,elle se sentit soudain,mal à l'aise,car
elle n'était pas chez elle.
Joseph Tojeman avait insisté la veille au soir,pour
qu'elle vienne chez lui,avec une certaine hésitation elle avait fini par dire oui,heureuse
finalement de découvrir l'intimité dans laquelle il vivait et peut-être aussi de rencontrer,puis de
faire connaissance avec ces deux fils;mais à cet instant,elle se sentait térriblement seule,mal
partie pour se présenter à des jeunes garçons qui étaient chez eux,face à une femme qu'ils ne
connaissaient,ni d'Eve ni D'Adam et qui en plus couchait avec leurs père,dans ces conditions,
cette entrevue ne l'enchantait pas le moindre du monde,si elle avait pu s'habiller,puis sauter par
la fenêtre,sans se faire remarquer et fuire à toute jambe sans se faire voir,elle n'aurait pas hésité
une seule seconde.
Seulement elle devait se repprendre,ne pas agir
comme une ado,fuire à la moindre contrariété,elle devait affronter ce qui la mettait en êtat de
panique,elle le devait bien à celui qu'elle aimait,qui lui montrait tant de confiance,de sentiment,
en l'emmenant chez lui où il vivait avec ses enfants,où personne depuis la mort de leurs mère
n'était rentré en tant qu'une possible remplaçante.
Elle se ressaisie,puis se leva,prête à faire face à ce
qui de toute façon deviendrait dans l'avenir une habitude quotidienne,si son histoire d'amour
avec Joseph Tojeman prennait son éssor,comme elle le désirait tant;elle tendit l'oreille à travers
la porte de la chambre,pour entendre s'il y avait du bruit,si les deux garçons étaient dans le
couloir,mais elle n'enttendit rien,même pas le maître de la maison,puis soudain il y eut des allez
et venus,la porte des toilettes qui claque,la chasse d'eau,il était 7 heure 30 et les garçons se
préparaient pour aller à leurs cours,alors après avoir prit une grande respiration,elle se lança et
ouvrit la porte,en tombant nez à nez,sur un des deux garçons,qui passait devant elle,en simple
caleçon,avec une démarche à l'aveuglette,qui semblait dire,qu'il n'était pas très bien réveillé.
Se sentant d'un seul coup moins bête,elle en profita
pour lancer un bonjour assez fort sur un ton cordial,pour être enttendu et ne pas être prise pour
une personne inamicale,le garçon très surpris par une voix féminine en ces lieux,stoppa sa
marche de semi somnanbule,puis se retourna pour voir à qui appartenait cette voix,mais
surtout pour être sur qu'il n'était pas encore dans son lit entrain de rêver.
A la vue de ce jeune garçon,affichant sa virilité
devant elle ;en petite tenue qui ne cachait rien de bon matin de sa bonne santé sexuelle,comme
tout garçon normal,un peu géné quand même,elle lui tendit la main et se présenta: " salut,moi
c'est Héléne,Héléne Portal,mais tu peux m'appeller Héléne,je suis désolé de te déranger dans
ton élan et dans ton intimité ".
Le garçon la regarda bien dans les yeux,avant de
prendre soudain conscience de la situation,ne sachant plus quoi faire,il fini par lui tendre la main
à son tour,en mettant malhabillement son autre main devant son caleçon,pour cacher le mieux
possible sa virilité matinale,devant cette femme qu'il ne connaissait pas encore: " euh,bonjour,
moi c'est Maxime,Maxime Tojeman,le frère ainé,je suis désolé par la situation,mais je ne savait
pas que vous étiez là,papa nous avait parlé un peu de vous,mais il nous avait pas dit que vous
seriez là cette nuit,je vais au toilette et je m'habille plus décemment,ensuite je vous prépare
votre petit déjeuner si vous voulez bien? ".
" Merci c'est très gentil Maxime,si tu permet ?;
Très contente de te connaître,ton père ma tant parler de vous,ne t'inquiéte pas pour ta tenue,
je suis habituée aux corps nus,n'oublie pas que je suis médecin quand même,alors ne te
formalise pas,en plus c'est moi l'intruse,je ne veux en aucun cas bousculer tes habitudes à toi et
ton frère ".
Tout à coup,Maxime se sentit plus à l'aise,pensant
que cette femme était bien sympathique,en plus elle était médecin,ce qui pouvait laissé penser
qu'elle était loin d'être bête,en plus elle avait réussit à plaire à son père et le sortir enfin de la
solitude dans laquelle il c'était enfermé depuis le décés de leurs mère,ça méritait bien toute son
attention,ainsi que son amitié,en plus elle était belle,ce qui ne gâchait vraiment rien,carton plein,
pensa t-il...
" C'est vrai,j'avais oublié que vous étiez médecin
vous aussi,comme papa,enfin pas dans la même spécialité,bon maitenant je dois vraiment y aller
si vous permettez,vous pouvez m'attendre en bas,dans la cuisine si vous voulez bien,je me
dépêche et j'arrive ".
Pas de probléme,prend ton temps et va y vite,je ne voudrais pas être responsable de la moindre
fuite ".
maxime sourit,se disant,en plus elle a de l'humour,
bravo papa,tu as gagné le gros lot,elle mérite vraiment d'être connu...
Ecrit en février 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
Merci de vos encouragements,impessions,fidélité,de faire connaître ce blog,vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fleaux destructeurs, accés sur:
http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com/
Quand il arriva à l'hopital dans son service,il
ressentit comme des nausées;il apperçut d'abord le corps du surveillant que l'inspecteur Patrick
Charcot lui avait détaché dans son service,c'était un jeune policier de 28 ans,qui en venant ici
pour surveiller les allez et venus,faire son devoir de policier et au mieux arrêter cet assassin
pour l'empêcher de nuir,avait sans le savoir écrit les derniers instants de son destin.
Le docteur Tojeman se sentait vraiment désolé et
impuisant face à cela,il continua à avancer avec l'esprit embué de contrariété,observant à son
passage,les agents de police qui avaient prit maintenant place dans son service.
Devant la chambre 202,D'Arthur Jacquemin,il
apperçut son ami Patrick Charcot,à la recherche d'indice,autour du corps sans vie du patient;
quand l'inspecteur se rendit compte que le docteur Tojeman était entré dans la chambre,il se
dirigea vers lui et lui serra la main,d'une façon qu'ils se regardérent dans les yeux avec une
expréssion qui voulait dire,qu'ils étaient éfondrés par ce qui venait de se passer,ils étaient aussi
d'accord sur cette sensation d'être impuisant face à une personne qui risquait le tout pour le
tout sans se poser de question.
Le docteur Tojeman demanda à l'inspecteur,s'il
pouvait le retrouver dans son bureau quand il aurait fini de relever touts les indices possibles et
ce qui lui restait à faire;l'inspecteur lui répondit oui,puis le docteur rejoignit son bureau pour
faire le point et éssayer de se remettre un peu de toutes ces émotions,qui l'avait profondément
marqué.
Allait-il pouvoir continuer son travail après tout
ça,il finissait par se poser la question;au début de toute cette affaire,il pensait que tout cela
passerait et que tout reprendrait le cour normal des choses,mais avec cette continuité dans le
tragique,il finissait par se remettre sérieusement en question.
Malgré touts les agréables moments qu'il vivait
avec Héléne Portal,cela ne changeait rien,que pouvait-il à tout ça,il n'avait pas de réponse qui
assurerait une réussite à 100%,pourtant là,c'était tout ce don il avait envie,trouver l'unique
parade qui lui permettrait d'arrêter définitivement cet assassin,sans apparement la moindre
partie,même infime,d'humanité.
*
Héléne Portal se réveilla peu à peu,avant de bien
ouvrir les yeux et de s'étirer de tout son corps,elle chercha instinctivement le corps de son
amant,se sentant déçu de constater qu'il n'était déjà plus là,elle se sentit soudain,mal à l'aise,car
elle n'était pas chez elle.
Joseph Tojeman avait insisté la veille au soir,pour
qu'elle vienne chez lui,avec une certaine hésitation elle avait fini par dire oui,heureuse
finalement de découvrir l'intimité dans laquelle il vivait et peut-être aussi de rencontrer,puis de
faire connaissance avec ces deux fils;mais à cet instant,elle se sentait térriblement seule,mal
partie pour se présenter à des jeunes garçons qui étaient chez eux,face à une femme qu'ils ne
connaissaient,ni d'Eve ni D'Adam et qui en plus couchait avec leurs père,dans ces conditions,
cette entrevue ne l'enchantait pas le moindre du monde,si elle avait pu s'habiller,puis sauter par
la fenêtre,sans se faire remarquer et fuire à toute jambe sans se faire voir,elle n'aurait pas hésité
une seule seconde.
Seulement elle devait se repprendre,ne pas agir
comme une ado,fuire à la moindre contrariété,elle devait affronter ce qui la mettait en êtat de
panique,elle le devait bien à celui qu'elle aimait,qui lui montrait tant de confiance,de sentiment,
en l'emmenant chez lui où il vivait avec ses enfants,où personne depuis la mort de leurs mère
n'était rentré en tant qu'une possible remplaçante.
Elle se ressaisie,puis se leva,prête à faire face à ce
qui de toute façon deviendrait dans l'avenir une habitude quotidienne,si son histoire d'amour
avec Joseph Tojeman prennait son éssor,comme elle le désirait tant;elle tendit l'oreille à travers
la porte de la chambre,pour entendre s'il y avait du bruit,si les deux garçons étaient dans le
couloir,mais elle n'enttendit rien,même pas le maître de la maison,puis soudain il y eut des allez
et venus,la porte des toilettes qui claque,la chasse d'eau,il était 7 heure 30 et les garçons se
préparaient pour aller à leurs cours,alors après avoir prit une grande respiration,elle se lança et
ouvrit la porte,en tombant nez à nez,sur un des deux garçons,qui passait devant elle,en simple
caleçon,avec une démarche à l'aveuglette,qui semblait dire,qu'il n'était pas très bien réveillé.
Se sentant d'un seul coup moins bête,elle en profita
pour lancer un bonjour assez fort sur un ton cordial,pour être enttendu et ne pas être prise pour
une personne inamicale,le garçon très surpris par une voix féminine en ces lieux,stoppa sa
marche de semi somnanbule,puis se retourna pour voir à qui appartenait cette voix,mais
surtout pour être sur qu'il n'était pas encore dans son lit entrain de rêver.
A la vue de ce jeune garçon,affichant sa virilité
devant elle ;en petite tenue qui ne cachait rien de bon matin de sa bonne santé sexuelle,comme
tout garçon normal,un peu géné quand même,elle lui tendit la main et se présenta: " salut,moi
c'est Héléne,Héléne Portal,mais tu peux m'appeller Héléne,je suis désolé de te déranger dans
ton élan et dans ton intimité ".
Le garçon la regarda bien dans les yeux,avant de
prendre soudain conscience de la situation,ne sachant plus quoi faire,il fini par lui tendre la main
à son tour,en mettant malhabillement son autre main devant son caleçon,pour cacher le mieux
possible sa virilité matinale,devant cette femme qu'il ne connaissait pas encore: " euh,bonjour,
moi c'est Maxime,Maxime Tojeman,le frère ainé,je suis désolé par la situation,mais je ne savait
pas que vous étiez là,papa nous avait parlé un peu de vous,mais il nous avait pas dit que vous
seriez là cette nuit,je vais au toilette et je m'habille plus décemment,ensuite je vous prépare
votre petit déjeuner si vous voulez bien? ".
" Merci c'est très gentil Maxime,si tu permet ?;
Très contente de te connaître,ton père ma tant parler de vous,ne t'inquiéte pas pour ta tenue,
je suis habituée aux corps nus,n'oublie pas que je suis médecin quand même,alors ne te
formalise pas,en plus c'est moi l'intruse,je ne veux en aucun cas bousculer tes habitudes à toi et
ton frère ".
Tout à coup,Maxime se sentit plus à l'aise,pensant
que cette femme était bien sympathique,en plus elle était médecin,ce qui pouvait laissé penser
qu'elle était loin d'être bête,en plus elle avait réussit à plaire à son père et le sortir enfin de la
solitude dans laquelle il c'était enfermé depuis le décés de leurs mère,ça méritait bien toute son
attention,ainsi que son amitié,en plus elle était belle,ce qui ne gâchait vraiment rien,carton plein,
pensa t-il...
" C'est vrai,j'avais oublié que vous étiez médecin
vous aussi,comme papa,enfin pas dans la même spécialité,bon maitenant je dois vraiment y aller
si vous permettez,vous pouvez m'attendre en bas,dans la cuisine si vous voulez bien,je me
dépêche et j'arrive ".
Pas de probléme,prend ton temps et va y vite,je ne voudrais pas être responsable de la moindre
fuite ".
maxime sourit,se disant,en plus elle a de l'humour,
bravo papa,tu as gagné le gros lot,elle mérite vraiment d'être connu...
Ecrit en février 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
Merci de vos encouragements,impessions,fidélité,de faire connaître ce blog,vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fleaux destructeurs, accés sur:
http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com/
mercredi 4 mai 2011
Deuxiéme roman,chapitre v
Dépression interdite:chapitre V,un suspect trop idéal.
La nuit était profonde et d'un noir plus fort et épais que d'habitude;dehors il faisait froid,du gel
avait recouvert les pare-brises des voitures en blanc.
Quand l'ombre atteignit l'hopital Européen Georges Pompidou,elle fut soulagée de trouver la
chaleur en rentrant dans le hall sans se faire voir.
Bien qu'habillait chaudement,le froid plus le stress ,qu'engendrait la raison pour laquelle l'ombre
était encore là,lui donnait quelques frissons,qu'accentuaient la sensation de froid.
Vétu de noir et d'une capuche qui ne laissait rien deviner de sa réelle identité,avec la nuit des
plus sombres,l'heure de 3 heure 15 du matin,l'ombre était tranquille et non reconnaissable.
Quand la porte du service du docteur Tojeman s'ouvrit doucement,avec silence et minutie,sur
ces gardes,l'ombre s'avança à pas de loup dans le long couloir;au loin elle enttendit des éclats de
voix qui venaient du bureau du surveillant de nuit,qui l'obligea à redoubler de vigilance.
Cette situation était inattendue,en temps normal il ni avait qu'un surveillant de nuit,mais là
apparement il y avait une personne en plus,il était évident qu'un changement avait été fait sans
avoir été divulgué;il fallait impérativement trouver une parade pour neutraliser ce nouveau
danger potentiel,afin d'acceder à la chambre 202.
L'ombre réffléchissait à ce qui pourrait éloingner l'un des deux surveillant,voir les deux,quand
soudain un bruit de chaise se fit enttendre et que l'un des deux quitta le bureau,pour partir dans
le sens inverse où l'ombre était caché,plaqué dans le renfoncement d'un mur.
L'implacable tueur,satisfait de la tournure des évenements,qui lui apportait la solution sur un
plateau,se saisit d'une ampoule qui était dans sa sacoche,avant de verser son contenu dans une
seringue qui était dans une des poches de son blouson,puis quand l'opération fut terminé,il
avança dans un silence de fantômatique,comme l'ombre qu'il était en cet instant précis,puis
arrivé à la hauteur du bureau du surveillant,qui était de dos,entrain de laver de la vaiselle,qu'il
avait surement utilisé avec son collégue.
Le bruit de l'eau et de la vaiselle que manipulait le surveillant ne lui permis pas d'enttendre,
comme de voir l'ombre meutrière,qui était rentré dans le bureau et qui c'était placé dérrière
lui,pour lui planter d'un seul coup l'aiguille de la seringue au contenu mortel,dans le dos,qui allait
aller faire son oeuvre aussitôt,car en quelque seconde seulement aprés avoir sentit l'aiguille lui
piquer le dos,le surveillant s'écroula sur lui même.
Ayant cru à une piqure d'insecte,il avait juste eu le temps de poser sa main à l'endroit qui l'avait
piqué,comme pour se gratter,mais déjà il était trop tard,le poison c'était déversé en lui dans tout
son corps,il avait vascillé,sa vue se troubla,puis son coeur s'emballa,sa respiration devint de plus
en plus difficile,enfin son corps se déttendit,ses yeux grands ouverts,il expira.
Sans la moindre compassion,regret,regard en arrière,l'ombre avait déjà reprit son chemin,pour
accomplir ce pourquoi il était là,avec ce qu'il venait de faire il devait être encore plus sur ces
gardes,il ne pouvait pas laisser le surveillant restant trouver son collégue dans le bureau et
donner l'alerte,aussi avançant pas à pas,il se rendit compte que l'autre était aux toilettes,alors
très vite,il su comment réagir,il plaça une clé dans la sérrure de la porte qui donnait accés aux
toilettes et la cassa à l'intérieur,une fois la porte fermée à clé,personne ne pouvait plus en
sortir,ce qui lui laissait maintenant le temps d'agir sereinement.
Content d'avoir réussit à neutraliser les dangers qui aurraient pu l'empêcher d'acquiter sa
besogne à tout prix,il sourit avec une ironie à glacer le dos,avant de se dépêcher d'atteindre la
chambre 202,où se trouvait Athur Jacquemin,qui dormait à poing fermé,aprés les tribulations
qu'il venait de vivre,l'assassin espérait qu'enfin les choses se passent sans probléme.
Devant le corps allongé D'Arthur Jacquemin,le crime fut facile et en peu de temps,avec
l'habilité,la rapidité,une certaine habitude,l'ombre avait déjà rejoint la sortie de l'hopital,après
avoir fait son travail.
Au moment où le surveillant s'apperçut qu'il était enfermé dans les toilettes et donna l'alerte en
frappant et criant pour qu'on vienne lui ouvrir,le tueur était loin de l'hopital.
Une patiente fini par enttendre le bruit que faisait le surveillant,puis enfin donna l'alerte dans
tout l'hopital,avant que les personnes de surveillances dans l'hopital arrivérent pour ouvrir la
porte des toilettes et libérer le surveillant,pour ensuite ne pouvoir que constater et déplorer la
mort de l'autre surveillant et celle du patient de la chambre 202,Arthur Jacquemin;devant toute
cette horreur impenssable,ils restérent choqués et remplis d'incompréhension.
Quand vers 4 heure 30 du matin le téléphone résonna dans la chambre du docteur Tojeman,une
grande appréhension le saisit avant de déccrocher,à une heure pareille,il était sur que quelque
chose de grave c'était passé à l'hopital,surtout dans son service,pourtant le fait d'avoir mit une
autre personne à la surveillance exclusivement,non infirmier,cela semblait une bonne idée
partagée avec son ami l'inspecteur Patrick Charcot.
La pensée éffrayante qui lui vint à l'esprit soudainement,quand il déccrocha et qu'il fut mit au
courant de ce qui était arrivé,lui fit froid dans le dos,qui pouvait être cet ignoble assassin pour
agir ainsi,sans avoir peur de rien,jusqu'au point de tuer tout ceux qui se méttaient sur son
passage?
Il n'en pouvait plus de cette tragique histoire,qui semblait se répéter à l'infinie,il fallait arrêter
tout ça et au plus vite,il se tourna vers Héléne qui dormait calmement et l'embrassa
tendrement,avec délicatesse pour ne pas la réveiller,avant de se lever doucement sans faire de
bruit et d'aller s'habiller pour rejoindre l'hopital au plus vite....
Ecrit en février 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île de France,france,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com/
Merci à vous tous mes lecteurs fidéles et vous les nouveaux,de votre fidélité et appréciation.
La nuit était profonde et d'un noir plus fort et épais que d'habitude;dehors il faisait froid,du gel
avait recouvert les pare-brises des voitures en blanc.
Quand l'ombre atteignit l'hopital Européen Georges Pompidou,elle fut soulagée de trouver la
chaleur en rentrant dans le hall sans se faire voir.
Bien qu'habillait chaudement,le froid plus le stress ,qu'engendrait la raison pour laquelle l'ombre
était encore là,lui donnait quelques frissons,qu'accentuaient la sensation de froid.
Vétu de noir et d'une capuche qui ne laissait rien deviner de sa réelle identité,avec la nuit des
plus sombres,l'heure de 3 heure 15 du matin,l'ombre était tranquille et non reconnaissable.
Quand la porte du service du docteur Tojeman s'ouvrit doucement,avec silence et minutie,sur
ces gardes,l'ombre s'avança à pas de loup dans le long couloir;au loin elle enttendit des éclats de
voix qui venaient du bureau du surveillant de nuit,qui l'obligea à redoubler de vigilance.
Cette situation était inattendue,en temps normal il ni avait qu'un surveillant de nuit,mais là
apparement il y avait une personne en plus,il était évident qu'un changement avait été fait sans
avoir été divulgué;il fallait impérativement trouver une parade pour neutraliser ce nouveau
danger potentiel,afin d'acceder à la chambre 202.
L'ombre réffléchissait à ce qui pourrait éloingner l'un des deux surveillant,voir les deux,quand
soudain un bruit de chaise se fit enttendre et que l'un des deux quitta le bureau,pour partir dans
le sens inverse où l'ombre était caché,plaqué dans le renfoncement d'un mur.
L'implacable tueur,satisfait de la tournure des évenements,qui lui apportait la solution sur un
plateau,se saisit d'une ampoule qui était dans sa sacoche,avant de verser son contenu dans une
seringue qui était dans une des poches de son blouson,puis quand l'opération fut terminé,il
avança dans un silence de fantômatique,comme l'ombre qu'il était en cet instant précis,puis
arrivé à la hauteur du bureau du surveillant,qui était de dos,entrain de laver de la vaiselle,qu'il
avait surement utilisé avec son collégue.
Le bruit de l'eau et de la vaiselle que manipulait le surveillant ne lui permis pas d'enttendre,
comme de voir l'ombre meutrière,qui était rentré dans le bureau et qui c'était placé dérrière
lui,pour lui planter d'un seul coup l'aiguille de la seringue au contenu mortel,dans le dos,qui allait
aller faire son oeuvre aussitôt,car en quelque seconde seulement aprés avoir sentit l'aiguille lui
piquer le dos,le surveillant s'écroula sur lui même.
Ayant cru à une piqure d'insecte,il avait juste eu le temps de poser sa main à l'endroit qui l'avait
piqué,comme pour se gratter,mais déjà il était trop tard,le poison c'était déversé en lui dans tout
son corps,il avait vascillé,sa vue se troubla,puis son coeur s'emballa,sa respiration devint de plus
en plus difficile,enfin son corps se déttendit,ses yeux grands ouverts,il expira.
Sans la moindre compassion,regret,regard en arrière,l'ombre avait déjà reprit son chemin,pour
accomplir ce pourquoi il était là,avec ce qu'il venait de faire il devait être encore plus sur ces
gardes,il ne pouvait pas laisser le surveillant restant trouver son collégue dans le bureau et
donner l'alerte,aussi avançant pas à pas,il se rendit compte que l'autre était aux toilettes,alors
très vite,il su comment réagir,il plaça une clé dans la sérrure de la porte qui donnait accés aux
toilettes et la cassa à l'intérieur,une fois la porte fermée à clé,personne ne pouvait plus en
sortir,ce qui lui laissait maintenant le temps d'agir sereinement.
Content d'avoir réussit à neutraliser les dangers qui aurraient pu l'empêcher d'acquiter sa
besogne à tout prix,il sourit avec une ironie à glacer le dos,avant de se dépêcher d'atteindre la
chambre 202,où se trouvait Athur Jacquemin,qui dormait à poing fermé,aprés les tribulations
qu'il venait de vivre,l'assassin espérait qu'enfin les choses se passent sans probléme.
Devant le corps allongé D'Arthur Jacquemin,le crime fut facile et en peu de temps,avec
l'habilité,la rapidité,une certaine habitude,l'ombre avait déjà rejoint la sortie de l'hopital,après
avoir fait son travail.
Au moment où le surveillant s'apperçut qu'il était enfermé dans les toilettes et donna l'alerte en
frappant et criant pour qu'on vienne lui ouvrir,le tueur était loin de l'hopital.
Une patiente fini par enttendre le bruit que faisait le surveillant,puis enfin donna l'alerte dans
tout l'hopital,avant que les personnes de surveillances dans l'hopital arrivérent pour ouvrir la
porte des toilettes et libérer le surveillant,pour ensuite ne pouvoir que constater et déplorer la
mort de l'autre surveillant et celle du patient de la chambre 202,Arthur Jacquemin;devant toute
cette horreur impenssable,ils restérent choqués et remplis d'incompréhension.
Quand vers 4 heure 30 du matin le téléphone résonna dans la chambre du docteur Tojeman,une
grande appréhension le saisit avant de déccrocher,à une heure pareille,il était sur que quelque
chose de grave c'était passé à l'hopital,surtout dans son service,pourtant le fait d'avoir mit une
autre personne à la surveillance exclusivement,non infirmier,cela semblait une bonne idée
partagée avec son ami l'inspecteur Patrick Charcot.
La pensée éffrayante qui lui vint à l'esprit soudainement,quand il déccrocha et qu'il fut mit au
courant de ce qui était arrivé,lui fit froid dans le dos,qui pouvait être cet ignoble assassin pour
agir ainsi,sans avoir peur de rien,jusqu'au point de tuer tout ceux qui se méttaient sur son
passage?
Il n'en pouvait plus de cette tragique histoire,qui semblait se répéter à l'infinie,il fallait arrêter
tout ça et au plus vite,il se tourna vers Héléne qui dormait calmement et l'embrassa
tendrement,avec délicatesse pour ne pas la réveiller,avant de se lever doucement sans faire de
bruit et d'aller s'habiller pour rejoindre l'hopital au plus vite....
Ecrit en février 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île de France,france,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur: georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
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Merci à vous tous mes lecteurs fidéles et vous les nouveaux,de votre fidélité et appréciation.
mercredi 27 avril 2011
Deuxiéme roman,chapitre IV,suite 3
Dépression interdite:chapitre IV,questions élémentaires,suite 3.
Elle avançait dans la file d'attente pour choisir
son plat de viande grillée,quand au loin elle aperçut,seule à une table,Marianne
Dufour;elle était entrain d'écrire sur ce qui ressemblait à un cahier,pour la
deuxième fois,Héléne la voyait dans cette situation,l'idée qu'elle tenait un journal
intime au jour le jour la fit sourire,ou peut-être ces mémoires,elle pensa au titre
qu'elle pourrait lui donner " mémoire d'une acariâtre ",elle ne put s'empêcher de
rire tout haut.
Marianne Dufour en tout cas était bien en avance pour
prendre son poste,que comptait elle faire à cet heure,il était 12h30,alors qu'elle
ne devait être aux urgences qu'a 14h30.
En cet instant l'inimaginable se fit jour dans
l'esprit d'Héléne et aussi naturellement qu'elle ne l'aurait fait si la situation
avait été normal,elle prit son plateau et se dirigea devant la table où était
assise Marianne Dufour.
Sentant une présence au dessus d'elle,pendant qu'elle
était plongée dans l'écriture de son enquête,elle releva la tête et fut étonnée de
ce qu'elle vu devant elle.
" Bonjour " dis Héléne,après une grande hésitation,
Marianne lui rendit son " bonjour ",en se demandant ce qu'elle faisait là devant
elle et ce qu'elle lui voulait;Héléne la regarda bien dans les yeux et lui demanda
si elle pouvait s'asseoir à sa table.
A cet instant Marianne ressentit comme un électro
choque en elle,comment deux personnes qui ne pouvaient pas s'entendre jusqu'ici,
pouvaient d'un coup discuter ensemble à la même table;mais comme la démarche
l'intriguait et était si inattendue,aussi bien qu'étrange,elle fini par accepter et
lui fit signe de s'asseoir.
Héléne la remercia et pensa qu'elle avait bien fait,en
voyant ainsi Marianne Dufour,elle c'était dit que si elles unissaient leurs forces
et leurs pensées,pour faire face à ce qui se passait en ce moment dans l'hôpital;
alors peut-être arriveraient-elles à mettre la main sur cet ignoble criminel;elle
avait beau ne pas vouloir y pense,mais lorsqu'elle aperçut Marianne,instinctivement
tout cela lui revint à l'esprit et c'est pourquoi elle se retrouvait là maintenant,
comme par enchantement.
Marianne rangea aussitôt son stylo et son cahier dans
son sac,puis mettant un coude sur la table et tenant sa tête avec son poing,elle
regarda Héléne avec un certain défit teinté d'ironie,puis lui dit: " alors ma chère,
que me vaut cet excès de bons sentiments peu ordinaires ? ".
Héléne respira un bon coup avant de répondre avec
précision et diplomatie: " je sais Marianne que nous ne sommes pas les meilleures
amies du monde,mais j'ai pensé en vous voyant ici,que nous pourrions unir nos
différences pour démasquer le tueur qui sévit dans notre hôpital,qu'en pensez vous
et avez vous des idées,car moi je ne suis plus tranquille depuis que je sais tout
ça ? ".
Marianne très étonnée par ce qu'elle entendait et par
tant de spontanéité,chercha les bons mots pour répondre à son interlocutrice,même
si en premier lieu elle avait envie de dire " tient une blonde qui réfléchit ",
alors en étant la plus franche possible,pour rendre d'une certaine manière le
respect dans lequel Héléne avait placée dés le début les choses,elle lui répondit:"
je suis très étonné par votre démarche mais je dois vous avouez quand même que
j'apprécie de ne pas être considéré comme coupable par vous,ce qui d'ailleurs je
vous rend bien.
Je n'avais pas pensée à mener une enquête interne à
deux,mais en pensant à ce que vous venez de me proposer,je pense que ça pourrait
être une très bonne idée;seulement il va nous falloir être très vigilante,car si
nous sommes certaine sur l'innocence de chacune de nous,nous le somme beaucoup
moins sur tous ceux qui travaillent avec nous dans cet hôpital,alors une extrême
prudence est de mise,avec de la rigueur et de la discrétion,ensuite excusez moi,
mais personne n'ait habitué à nous voir tailler la bavette ensemble;d'ailleurs je
vois déjà des yeux très surpris de droite à gauche et plus qu'inquisiteur,c'est
pourquoi il nous faut continuer à nous ignorer devant tout le monde tant que nous
n'aurons pas trouvé cet assassin,nous devons aussi choisir un endroit à l'abri des
regards et à l'extérieur de l'hôpital pour nous retrouver et échanger toutes nos
conclusions sur nos enquêtes,sinon pour le reste il y a le téléphone et les textos
pour les urgences,si je peut me permettre le synonyme...
Ce qui me plaît dans votre proposition,c'est que
lorsque moi je ne suis pas en service et que vous l'êtes,vous pourrez observer à
votre tour le service et noter tout ce que vous voyez sur un cahier comme moi je
fais et ainsi nous pourrons regrouper nos informations sur toute une journée à
toutes les deux,ainsi nous aurons peut-être la chance de tomber sur des indices qui
nous permettrons de coincer ce salopard sans scrupule,bien sûr je vous demande de ne
rien dire à personne et surtout pas aux personnes qui vous sont proches,on ne sait
jamais,mieux vaut être prudente,sur nos gardes et surtout rester en vie.
Héléne ne pouvait qu'être entièrement d'accord avec ce
que venait de dire marianne Dufour,elle était aussi épatée par son aplomb,dont elle
faisait preuve,quand à son cahier pour y noter toutes ces observations,c'était une
bonne idée;elle comprenait mieux maintenant ces attitudes des derniers temps.
Héléne fini par dire qu'elle était tout à fait d'accord
avec tout ce qui venait d'être dit et qu'elle pouvait compter sur elle.
Les deux femmes avaient enfin réussit à se mettre d'accord
et à ouvrir une discussion constructive,ce qui jusqu'alors semblait impossible,
Marianne Dufour se leva en disant qu'il était temps maintenant qu'elles se séparent,
pour ne pas plus attirer l'attention,elles se contacteraient pour mettre leurs
informations en commun,à la fin de la semaine,comme c'était convenu,Marianne lui
enverrait un sms pour lui dire à quel endroit elles se retrouveraient,puis elle
s'éloigna sous les regards médusés des quelques personnes qui se demandaient
comment une fille comme Héléne pouvait parler à une telle sauvage qui s'attirait
l'antipathie de tout le monde,sans remarquer quoique se soit elle fini seule son
repas en se disant que parfois il suffisait d'oser et que ça pouvait changer la face
du monde...
Le docteur Tojeman était content de la conversation
qu'il venait d'avoir avec son ami l'inspecteur Patrick Charcot,ils avaient convenue
qu'ils étudieraient la liste des personnes récemment arrivées dans l'hôpital,juste
avant les premiers évènements,comme de par sa fonction il avait accès à tout les
dossiers des personnes fichiers,il pourrait ainsi plus vite que lui même étant à
l'hôpital,trouver les failles éventuelles de tel ou tel individu susceptible d'être
un coupable potentiel.
Quand tout cela serait enfin fait,ils pourront avancer et
mettre en marche une autre action plus efficace pour attraper ce tueur sans nom et
le mettre hors d'état de nuire pour toujours.
Il espérait avoir toutes ces informations le plus vite
possible,pour résoudre cette affaire et enfin reprendre une vie normale,il pensait
aussi à Héléne Portal,à l'envie qu'il avait de la voir,la sentir contre lui,il
voulait l'emmener chez lui pour la première fois et la présenter à ses deux fils,
pour lui il en était sur aujourd'hui,elle serait celle qui partagerait sa nouvelle
vie.
Il avait vraiment envie de tout son être et il le désirait
plus que tout qu'Héléne entre pour toujours dans sa vie,il saisit son portable et
écrit un court sms en trois mots " je t'aime ",qu'il envoya aussitôt.
Heureux d'avoir envoyé son message,il se reposa de tout son
corps dans son fauteuil en imaginant le regard de celle qui comptait désormais dans
sa vie,quand elle recevrait son message,il avait vraiment hâte qu'il se retrouve ce
soir,pressé d'être ensemble...
Fin du IV ème chapitre.
écrit en Février 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,
France,par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS )
merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
Elle avançait dans la file d'attente pour choisir
son plat de viande grillée,quand au loin elle aperçut,seule à une table,Marianne
Dufour;elle était entrain d'écrire sur ce qui ressemblait à un cahier,pour la
deuxième fois,Héléne la voyait dans cette situation,l'idée qu'elle tenait un journal
intime au jour le jour la fit sourire,ou peut-être ces mémoires,elle pensa au titre
qu'elle pourrait lui donner " mémoire d'une acariâtre ",elle ne put s'empêcher de
rire tout haut.
Marianne Dufour en tout cas était bien en avance pour
prendre son poste,que comptait elle faire à cet heure,il était 12h30,alors qu'elle
ne devait être aux urgences qu'a 14h30.
En cet instant l'inimaginable se fit jour dans
l'esprit d'Héléne et aussi naturellement qu'elle ne l'aurait fait si la situation
avait été normal,elle prit son plateau et se dirigea devant la table où était
assise Marianne Dufour.
Sentant une présence au dessus d'elle,pendant qu'elle
était plongée dans l'écriture de son enquête,elle releva la tête et fut étonnée de
ce qu'elle vu devant elle.
" Bonjour " dis Héléne,après une grande hésitation,
Marianne lui rendit son " bonjour ",en se demandant ce qu'elle faisait là devant
elle et ce qu'elle lui voulait;Héléne la regarda bien dans les yeux et lui demanda
si elle pouvait s'asseoir à sa table.
A cet instant Marianne ressentit comme un électro
choque en elle,comment deux personnes qui ne pouvaient pas s'entendre jusqu'ici,
pouvaient d'un coup discuter ensemble à la même table;mais comme la démarche
l'intriguait et était si inattendue,aussi bien qu'étrange,elle fini par accepter et
lui fit signe de s'asseoir.
Héléne la remercia et pensa qu'elle avait bien fait,en
voyant ainsi Marianne Dufour,elle c'était dit que si elles unissaient leurs forces
et leurs pensées,pour faire face à ce qui se passait en ce moment dans l'hôpital;
alors peut-être arriveraient-elles à mettre la main sur cet ignoble criminel;elle
avait beau ne pas vouloir y pense,mais lorsqu'elle aperçut Marianne,instinctivement
tout cela lui revint à l'esprit et c'est pourquoi elle se retrouvait là maintenant,
comme par enchantement.
Marianne rangea aussitôt son stylo et son cahier dans
son sac,puis mettant un coude sur la table et tenant sa tête avec son poing,elle
regarda Héléne avec un certain défit teinté d'ironie,puis lui dit: " alors ma chère,
que me vaut cet excès de bons sentiments peu ordinaires ? ".
Héléne respira un bon coup avant de répondre avec
précision et diplomatie: " je sais Marianne que nous ne sommes pas les meilleures
amies du monde,mais j'ai pensé en vous voyant ici,que nous pourrions unir nos
différences pour démasquer le tueur qui sévit dans notre hôpital,qu'en pensez vous
et avez vous des idées,car moi je ne suis plus tranquille depuis que je sais tout
ça ? ".
Marianne très étonnée par ce qu'elle entendait et par
tant de spontanéité,chercha les bons mots pour répondre à son interlocutrice,même
si en premier lieu elle avait envie de dire " tient une blonde qui réfléchit ",
alors en étant la plus franche possible,pour rendre d'une certaine manière le
respect dans lequel Héléne avait placée dés le début les choses,elle lui répondit:"
je suis très étonné par votre démarche mais je dois vous avouez quand même que
j'apprécie de ne pas être considéré comme coupable par vous,ce qui d'ailleurs je
vous rend bien.
Je n'avais pas pensée à mener une enquête interne à
deux,mais en pensant à ce que vous venez de me proposer,je pense que ça pourrait
être une très bonne idée;seulement il va nous falloir être très vigilante,car si
nous sommes certaine sur l'innocence de chacune de nous,nous le somme beaucoup
moins sur tous ceux qui travaillent avec nous dans cet hôpital,alors une extrême
prudence est de mise,avec de la rigueur et de la discrétion,ensuite excusez moi,
mais personne n'ait habitué à nous voir tailler la bavette ensemble;d'ailleurs je
vois déjà des yeux très surpris de droite à gauche et plus qu'inquisiteur,c'est
pourquoi il nous faut continuer à nous ignorer devant tout le monde tant que nous
n'aurons pas trouvé cet assassin,nous devons aussi choisir un endroit à l'abri des
regards et à l'extérieur de l'hôpital pour nous retrouver et échanger toutes nos
conclusions sur nos enquêtes,sinon pour le reste il y a le téléphone et les textos
pour les urgences,si je peut me permettre le synonyme...
Ce qui me plaît dans votre proposition,c'est que
lorsque moi je ne suis pas en service et que vous l'êtes,vous pourrez observer à
votre tour le service et noter tout ce que vous voyez sur un cahier comme moi je
fais et ainsi nous pourrons regrouper nos informations sur toute une journée à
toutes les deux,ainsi nous aurons peut-être la chance de tomber sur des indices qui
nous permettrons de coincer ce salopard sans scrupule,bien sûr je vous demande de ne
rien dire à personne et surtout pas aux personnes qui vous sont proches,on ne sait
jamais,mieux vaut être prudente,sur nos gardes et surtout rester en vie.
Héléne ne pouvait qu'être entièrement d'accord avec ce
que venait de dire marianne Dufour,elle était aussi épatée par son aplomb,dont elle
faisait preuve,quand à son cahier pour y noter toutes ces observations,c'était une
bonne idée;elle comprenait mieux maintenant ces attitudes des derniers temps.
Héléne fini par dire qu'elle était tout à fait d'accord
avec tout ce qui venait d'être dit et qu'elle pouvait compter sur elle.
Les deux femmes avaient enfin réussit à se mettre d'accord
et à ouvrir une discussion constructive,ce qui jusqu'alors semblait impossible,
Marianne Dufour se leva en disant qu'il était temps maintenant qu'elles se séparent,
pour ne pas plus attirer l'attention,elles se contacteraient pour mettre leurs
informations en commun,à la fin de la semaine,comme c'était convenu,Marianne lui
enverrait un sms pour lui dire à quel endroit elles se retrouveraient,puis elle
s'éloigna sous les regards médusés des quelques personnes qui se demandaient
comment une fille comme Héléne pouvait parler à une telle sauvage qui s'attirait
l'antipathie de tout le monde,sans remarquer quoique se soit elle fini seule son
repas en se disant que parfois il suffisait d'oser et que ça pouvait changer la face
du monde...
Le docteur Tojeman était content de la conversation
qu'il venait d'avoir avec son ami l'inspecteur Patrick Charcot,ils avaient convenue
qu'ils étudieraient la liste des personnes récemment arrivées dans l'hôpital,juste
avant les premiers évènements,comme de par sa fonction il avait accès à tout les
dossiers des personnes fichiers,il pourrait ainsi plus vite que lui même étant à
l'hôpital,trouver les failles éventuelles de tel ou tel individu susceptible d'être
un coupable potentiel.
Quand tout cela serait enfin fait,ils pourront avancer et
mettre en marche une autre action plus efficace pour attraper ce tueur sans nom et
le mettre hors d'état de nuire pour toujours.
Il espérait avoir toutes ces informations le plus vite
possible,pour résoudre cette affaire et enfin reprendre une vie normale,il pensait
aussi à Héléne Portal,à l'envie qu'il avait de la voir,la sentir contre lui,il
voulait l'emmener chez lui pour la première fois et la présenter à ses deux fils,
pour lui il en était sur aujourd'hui,elle serait celle qui partagerait sa nouvelle
vie.
Il avait vraiment envie de tout son être et il le désirait
plus que tout qu'Héléne entre pour toujours dans sa vie,il saisit son portable et
écrit un court sms en trois mots " je t'aime ",qu'il envoya aussitôt.
Heureux d'avoir envoyé son message,il se reposa de tout son
corps dans son fauteuil en imaginant le regard de celle qui comptait désormais dans
sa vie,quand elle recevrait son message,il avait vraiment hâte qu'il se retrouve ce
soir,pressé d'être ensemble...
Fin du IV ème chapitre.
écrit en Février 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,
France,par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS )
merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
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mardi 26 avril 2011
La vie,l'amour,la mort,etc...
" TOUT LES MAUDITS,LES KENNEDY "
Ils ont brillés dans la lumière
Dans les flaches et les projecteurs
Attirés les regards de la planète entière
Sur leurs vies faite de joie et de pleurs
Ils ont donnés l'envie et la haine
Déchaînés les foules et la passion
Jusqu'à faire connaître la peine
Quand la vie les a quitté avec interrogation
Faisant d'eux des héros des temps modernes
A l'ombre de drame mystérieux et de drapeaux en bernes
Tout les maudits,les Kennedy
Les romantiques des journaux
Les princes et les princesses d'aujourd'hui
Connaîtront-ils ces destins sentimentaux
Tout les maudits,les Kennedy
Les présidents et les grandes stars
Sauront-ils protéger leurs vies
Pour qu'il ne soit jamais trop tard
Ils ont donnés la sensation étrange
De tout maudire ce qu'ils touchaient
Leurs familles et leurs amis,les anges
Les êtres qu'ils aimaient et épousaient
Ils étaient John Kennedy président
Marylin Monroe artiste et maîtresse
Robert Kennedy frère très aimant
Jackie Kennedy Onassis la sagesse
Des James dean,Dalida,John-John,Romy Schneider
Comme tant d'autre perdu dans la réalité qui se perd...
Écrit le dimanche 24 avril 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T-G )
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
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Ils ont brillés dans la lumière
Dans les flaches et les projecteurs
Attirés les regards de la planète entière
Sur leurs vies faite de joie et de pleurs
Ils ont donnés l'envie et la haine
Déchaînés les foules et la passion
Jusqu'à faire connaître la peine
Quand la vie les a quitté avec interrogation
Faisant d'eux des héros des temps modernes
A l'ombre de drame mystérieux et de drapeaux en bernes
Tout les maudits,les Kennedy
Les romantiques des journaux
Les princes et les princesses d'aujourd'hui
Connaîtront-ils ces destins sentimentaux
Tout les maudits,les Kennedy
Les présidents et les grandes stars
Sauront-ils protéger leurs vies
Pour qu'il ne soit jamais trop tard
Ils ont donnés la sensation étrange
De tout maudire ce qu'ils touchaient
Leurs familles et leurs amis,les anges
Les êtres qu'ils aimaient et épousaient
Ils étaient John Kennedy président
Marylin Monroe artiste et maîtresse
Robert Kennedy frère très aimant
Jackie Kennedy Onassis la sagesse
Des James dean,Dalida,John-John,Romy Schneider
Comme tant d'autre perdu dans la réalité qui se perd...
Écrit le dimanche 24 avril 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T-G )
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
dimanche 24 avril 2011
La folie de notre temps présent...
" LES ÂMES ERRANTES "
Ils étaient des enfants souriants
Pouvant prétendre à un bel avenir
S'en remettant entièrement à leurs parents
N'imaginant pas ce que c'était de mourir
Ils étaient des adolescents s'ouvrant à l'amour
Découvrant la frontière qui les séparent des adultes
Espérant qu'ils en deviennent eux aussi un jour
N'imaginant pas jusqu'où pouvait allez les disputes
Ils étaient des couples qui semblaient s'aimer
Heureux d'avoir fondé leur propre tribu
De voir grandir leurs enfants comme ils l'espéraient
N'imaginant pas qu'un jour tout cela serait perdu
Où vont les âmes errantes
Quand ont leurs a pris leurs vies
En appuyant soudainement sur une détente
Sans leur demander le moindre des avis
Où vont se reposer les âmes errantes
Quand ont les a lâchement abattus
En se donnant le droit d'une vengeance aberrante
Sans leur donner la chance de s'être défendus
Ils étaient des millions à vivre leurs vies
Pratiquant leurs religions sans l'imposer à personne
S'en remettant à Dieu et le bénissant avec des mercis
N'imaginant pas le gaz et le bruit des balles qui résonnent
Ils étaient des femmes et des hommes
Pouvant inventer un avenir meilleur
Décidés pour cela à investir des grosses sommes
N'imaginant pas qu'un tueur les avait dans le viseur
Ils étaient tous des enfants,des parents,des amis
Pouvant s'aimer en s'apportant mille et une bontés
Mais un jour ils ont tous croisés leurs pire ennemis
Un de leurs proches,un étranger,une connaissance qui les a tués.
Écrit le samedi 23 avril 2011 à Lagny-Sur-marne,Marne La Vallée 77,Île De France,france,par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS )
Ps:En hommage à toutes ces victimes innocentes,dont celles de Nantes,à qui un monstre sans humanité et calculateur,où le hasard de la vie face à des gens sans cervelle,un jour se sont donnés le droit d'arrêter leurs vies encore pleines de promesses.
A mon père André Gallois tué d'une balle dans la tête le 30 juin 1965 à Coulommiers 77120 Seine Et Marne,à 27 ans,pendant qu'il se penchait à sa fenêtre après avoir entendu des coups de feu échangés lors du cambriolage d'un magasin d'électroménager,par des voyous et un pharmacien qui se prenait pour un shérif et dont la balle à ricochée vers mon père,à la place d'atteindre les cambrioleurs de l'autre côté de la rue.
J'espère que à défaut de la peine de mort,la condamnation à la prison à vie pour ce genre d'individu sera sans moitié ou remise de peine,mais faite dans son intégralité,jusqu'à ce que la mort nous délivre....
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
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Ils étaient des enfants souriants
Pouvant prétendre à un bel avenir
S'en remettant entièrement à leurs parents
N'imaginant pas ce que c'était de mourir
Ils étaient des adolescents s'ouvrant à l'amour
Découvrant la frontière qui les séparent des adultes
Espérant qu'ils en deviennent eux aussi un jour
N'imaginant pas jusqu'où pouvait allez les disputes
Ils étaient des couples qui semblaient s'aimer
Heureux d'avoir fondé leur propre tribu
De voir grandir leurs enfants comme ils l'espéraient
N'imaginant pas qu'un jour tout cela serait perdu
Où vont les âmes errantes
Quand ont leurs a pris leurs vies
En appuyant soudainement sur une détente
Sans leur demander le moindre des avis
Où vont se reposer les âmes errantes
Quand ont les a lâchement abattus
En se donnant le droit d'une vengeance aberrante
Sans leur donner la chance de s'être défendus
Ils étaient des millions à vivre leurs vies
Pratiquant leurs religions sans l'imposer à personne
S'en remettant à Dieu et le bénissant avec des mercis
N'imaginant pas le gaz et le bruit des balles qui résonnent
Ils étaient des femmes et des hommes
Pouvant inventer un avenir meilleur
Décidés pour cela à investir des grosses sommes
N'imaginant pas qu'un tueur les avait dans le viseur
Ils étaient tous des enfants,des parents,des amis
Pouvant s'aimer en s'apportant mille et une bontés
Mais un jour ils ont tous croisés leurs pire ennemis
Un de leurs proches,un étranger,une connaissance qui les a tués.
Écrit le samedi 23 avril 2011 à Lagny-Sur-marne,Marne La Vallée 77,Île De France,france,par Hugo Gall ( pseudo de THIERRY GALLOIS )
Ps:En hommage à toutes ces victimes innocentes,dont celles de Nantes,à qui un monstre sans humanité et calculateur,où le hasard de la vie face à des gens sans cervelle,un jour se sont donnés le droit d'arrêter leurs vies encore pleines de promesses.
A mon père André Gallois tué d'une balle dans la tête le 30 juin 1965 à Coulommiers 77120 Seine Et Marne,à 27 ans,pendant qu'il se penchait à sa fenêtre après avoir entendu des coups de feu échangés lors du cambriolage d'un magasin d'électroménager,par des voyous et un pharmacien qui se prenait pour un shérif et dont la balle à ricochée vers mon père,à la place d'atteindre les cambrioleurs de l'autre côté de la rue.
J'espère que à défaut de la peine de mort,la condamnation à la prison à vie pour ce genre d'individu sera sans moitié ou remise de peine,mais faite dans son intégralité,jusqu'à ce que la mort nous délivre....
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Ainsi va la vie...
" QUE RESTERA T-IL DE NOUS ? "
Nous garderons le jour de notre rencontre
Comme le plus beau de nos souvenirs
Que nous soyons pour ou contre
Nous l'emporterons dans notre avenirs
Après nous être beaucoup aimés
S'être entièrement donné corps et âme
Jusqu'à se sentir l'un et l'autre attaché
Pour devenir un homme et une femme
Que restera t-il de nous?
Quand la mer aura tout emportée
Tout le sable,les galets,les cailloux
Dans une dernière grande marée
Que restera t-il de nous ?
Quand le monde aura oublié
Tous les amoureux un peu fou
Dans le temps qui nous a dépassé
Nous avons passés tant de jours ensemble
Regardant dans les yeux de l'autre l'amour
Celui qui flamboie et qui nous rassemble
Qui devait nous tenir debout toujours
Après le temps nous a rattrapés trop vite
Érodant chaque jour un peu plus nos sentiments
Creusant la différence dans ce qui nous habite
Les habitudes qui éloignent tous les amants
Que restera t-il de nous?
Quand la mer aura tout emportée
Tout le sable,les galets,les cailloux
Dans une dernière grande marée
Que restera t-il de nous ?
Quand le monde aura oublié
Tous les amoureux un peu fou
Dans le temps qui nous a dépassé
Nous avons fini par ne plus nous reconnaître
Ne plus prendre la peine d'écouter et comprendre
Jusqu'à ne plus voir notre amour disparaître
Et que chacun de nous suive son chemin sans attendre
Après que le désert des mots et des gestes de tendresse
C'est éteint à jamais dans nos coeurs devenus fermés
Nous avons emportés inconscient nos détresses
Dans nos vies séparées où nous avons rien oublié
Écrit le vendredi 22 avril 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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Nous garderons le jour de notre rencontre
Comme le plus beau de nos souvenirs
Que nous soyons pour ou contre
Nous l'emporterons dans notre avenirs
Après nous être beaucoup aimés
S'être entièrement donné corps et âme
Jusqu'à se sentir l'un et l'autre attaché
Pour devenir un homme et une femme
Que restera t-il de nous?
Quand la mer aura tout emportée
Tout le sable,les galets,les cailloux
Dans une dernière grande marée
Que restera t-il de nous ?
Quand le monde aura oublié
Tous les amoureux un peu fou
Dans le temps qui nous a dépassé
Nous avons passés tant de jours ensemble
Regardant dans les yeux de l'autre l'amour
Celui qui flamboie et qui nous rassemble
Qui devait nous tenir debout toujours
Après le temps nous a rattrapés trop vite
Érodant chaque jour un peu plus nos sentiments
Creusant la différence dans ce qui nous habite
Les habitudes qui éloignent tous les amants
Que restera t-il de nous?
Quand la mer aura tout emportée
Tout le sable,les galets,les cailloux
Dans une dernière grande marée
Que restera t-il de nous ?
Quand le monde aura oublié
Tous les amoureux un peu fou
Dans le temps qui nous a dépassé
Nous avons fini par ne plus nous reconnaître
Ne plus prendre la peine d'écouter et comprendre
Jusqu'à ne plus voir notre amour disparaître
Et que chacun de nous suive son chemin sans attendre
Après que le désert des mots et des gestes de tendresse
C'est éteint à jamais dans nos coeurs devenus fermés
Nous avons emportés inconscient nos détresses
Dans nos vies séparées où nous avons rien oublié
Écrit le vendredi 22 avril 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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vendredi 22 avril 2011
Un monde de poésie d'étoile sur toile.
" UN SOURIRE A LA LUNE "
Le rideau de la nuit
Est tombé sur le jour
Emmenant dans mon ciel de lit
Les étoiles de ces atours
Le temps semble s'arrêter
Dans un monde devenu ombre
Où les rêves veulent m'emporter
Loin du sommeil dans lequel je sombre
Les chats sont devenus gris
Ils partent tous à l'aventure
Chasser les souries tel des mistigris
Dans la noirceur de la nature
Dans les reflets de l'eau
La lune semble faire un clin d'oeil
Aux barques et aux radeaux
ressemblant sur la rive à des cercueils
Les lumières des villes désertées
Éclairent la poussière et les fantômes
Pourchassés par le vent esseulé
Aux mille odeurs et différents arômes
Les couples font l'amour et s'endorment
Certain restent chacun de leurs côtés
d'autres se défont quand d'autres se forment
Dans les lueurs fragiles de l'obscurité
Les maisons et les appartements respirent
Renouvelant l'air vicié de toute une journée
Pour redevenir le nid douillet qu'ils aspirent
Envers les propriétaires et locataires fatigués
Le chien dans son panier semble attendre
Quand il n'ait pas admit dans la chambre
Que le jour paraisse pour enfin prétendre
A des caresses sur son dos ses membres
Dans son bocal le poisson rouge
Semble ne faire que du sur place
Tout c'est ralenti et rien ne bouge
Dans chaque coin,recoin et espace
Dans son berceau le bébé endormi
Sourit à tous les anges assis sur les dunes
Peut-être pense t-il au secret des nuits
Ou offre t-il simplement un sourire à la lune.
Écrit le jeudi 21 avril 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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Le rideau de la nuit
Est tombé sur le jour
Emmenant dans mon ciel de lit
Les étoiles de ces atours
Le temps semble s'arrêter
Dans un monde devenu ombre
Où les rêves veulent m'emporter
Loin du sommeil dans lequel je sombre
Les chats sont devenus gris
Ils partent tous à l'aventure
Chasser les souries tel des mistigris
Dans la noirceur de la nature
Dans les reflets de l'eau
La lune semble faire un clin d'oeil
Aux barques et aux radeaux
ressemblant sur la rive à des cercueils
Les lumières des villes désertées
Éclairent la poussière et les fantômes
Pourchassés par le vent esseulé
Aux mille odeurs et différents arômes
Les couples font l'amour et s'endorment
Certain restent chacun de leurs côtés
d'autres se défont quand d'autres se forment
Dans les lueurs fragiles de l'obscurité
Les maisons et les appartements respirent
Renouvelant l'air vicié de toute une journée
Pour redevenir le nid douillet qu'ils aspirent
Envers les propriétaires et locataires fatigués
Le chien dans son panier semble attendre
Quand il n'ait pas admit dans la chambre
Que le jour paraisse pour enfin prétendre
A des caresses sur son dos ses membres
Dans son bocal le poisson rouge
Semble ne faire que du sur place
Tout c'est ralenti et rien ne bouge
Dans chaque coin,recoin et espace
Dans son berceau le bébé endormi
Sourit à tous les anges assis sur les dunes
Peut-être pense t-il au secret des nuits
Ou offre t-il simplement un sourire à la lune.
Écrit le jeudi 21 avril 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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La vie,l'amour,la mort,etc...
" UN JOUR SANS LENDEMAIN "
Quoi que tu feras,tu dises
Qui que tu sois et même penses
Avec des gâteaux salés ou des friandises
Autour d'un feu ou sur une piste de danse
Que se soit un jour de fête ou un dimanche
Dans des larmes de joie ou de chagrin
Quelque soit le côté ou ton coeur penche
Il viendra ton jour sans lendemain
Quoi que tu as commencé ce jour là
Les projets que tu veux faire aboutir
L'espoir et toute l'espérance que tu auras
Tout cela n'auras plus jamais d'avenir
Que tu vives ta plus belles histoire d'amour
Riche ou pauvre mangeant ou non à ta faim
Rêvant d'un monde meilleur et de toujours
Il viendra ton jour sans lendemain
Quelque soit ton pays,la couleur de ta peau
Fils de roi,de président,de boulanger,simple ouvrier
Avec un verre de grand vin,un simple verre d'eau
Sur le lieu de ton travail ou la tête sur ton oreiller
Que tu sois rêveur ou le plus sensé des réalistes
Celui qui stress toujours ou celui qui reste serein
Toujours celui qui fait rire ou celui qui est triste
Il viendra ton jour sans lendemain
Quelque soit ton âge,que tu sois homme ou femme
Engagé dans la politique ou la défense des plus démunis
Souffrant le froid ou le chaud,attisant les flammes
Heureux ou malheureux de la route que tu as suivie
Que tu sois droit ou un pirate des océans
Tu n'empêcheras pas ce dernier jour qui vient
T'emportant sans prévenir vers le néant
Car il viendra ton jour sans lendemain
Écrit le jeudi 21 avril 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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Quoi que tu feras,tu dises
Qui que tu sois et même penses
Avec des gâteaux salés ou des friandises
Autour d'un feu ou sur une piste de danse
Que se soit un jour de fête ou un dimanche
Dans des larmes de joie ou de chagrin
Quelque soit le côté ou ton coeur penche
Il viendra ton jour sans lendemain
Quoi que tu as commencé ce jour là
Les projets que tu veux faire aboutir
L'espoir et toute l'espérance que tu auras
Tout cela n'auras plus jamais d'avenir
Que tu vives ta plus belles histoire d'amour
Riche ou pauvre mangeant ou non à ta faim
Rêvant d'un monde meilleur et de toujours
Il viendra ton jour sans lendemain
Quelque soit ton pays,la couleur de ta peau
Fils de roi,de président,de boulanger,simple ouvrier
Avec un verre de grand vin,un simple verre d'eau
Sur le lieu de ton travail ou la tête sur ton oreiller
Que tu sois rêveur ou le plus sensé des réalistes
Celui qui stress toujours ou celui qui reste serein
Toujours celui qui fait rire ou celui qui est triste
Il viendra ton jour sans lendemain
Quelque soit ton âge,que tu sois homme ou femme
Engagé dans la politique ou la défense des plus démunis
Souffrant le froid ou le chaud,attisant les flammes
Heureux ou malheureux de la route que tu as suivie
Que tu sois droit ou un pirate des océans
Tu n'empêcheras pas ce dernier jour qui vient
T'emportant sans prévenir vers le néant
Car il viendra ton jour sans lendemain
Écrit le jeudi 21 avril 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
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mardi 19 avril 2011
Deuxiéme roman,chapitre IV,suite 2
Dépression interdite:chapitre IV,questions élémentaires;suite 2.
Le docteur Tojeman lisait le dossier d'un de ses
nouveaux patients arrivé il y avait quelques jours,remonté après Sylvie Monnier et
Jérôme Carrera,par Karima Lievin;le patient était à la chambre 202 et s'appelait
Arthur Jacquemin,39 ans,marié,4 enfants,1 fille de 12 ans,1 garçon de 10 ans et des
jumeaux de 8 ans.
Il était un homme équilibré,sportif,en bonne santé
physique et bénéficiant d'une vie privé heureuse,mais une vie professionnel qui
devenait cahotique,des mouvements sociaux qui mettaient en péril l'entreprise pour
laquelle il c'était investit de toutes ses forces,pendant des années.
Son éviction petit à petit,puis son renvoi soudain,
l'avait plongé dans une dépression d'abord normal et moindre,avant de devenir
sévère et de le conduire à une tentative de suicide,où il dut sa survie à la
réactivité de son épouse,qui le découvrit dans la baignoire de leurs salle de
bain,où il avait choisit de se couper les veines.
Après tout ces événements,Joseph Tojeman en conclus
que ce patient était le candidat parfait pour le meurtrier qui sévissait dans son
service et qu'il c'était mit en tête de démasquer,il fallait aussi faire la liste
des employés qui étaient arrivés peu avant le premier décès inexpliqué.
Il c'était aperçut que la première liste qu'il
avait décidé de faire sur les personnes qu'il pensait pouvoir être responsable,ne
menait à rien,n'était pas une bonne solution,il devait donc en faire une autre plus
précise dans la démarche;en constatant que les faits c'étaient déclenchés
soudainement,il avait fini par en déduire qu'un nouvel employé était arrivé au
moment où tout allait commencé et que ce nouvel employé au psychique déjà mit à
mal,n'était qu'une bombe à retardement qu'un élément déclencheur à fait passer à
l'acte.
En observant cette liste qu'il venait de
commencer,il constata qu'elle avait déjà beaucoup plus de personnes qu'il
s'attendait à voir,ça allait être plus compliqué qu'il le pensait,au même moment
devant cette liste de nom,il pensa à une chose qui jusqu'alors le gênait,mais qui
n'avait pas encore fait tilt en lui,alors que là maintenant c'était une évidence;
jusqu'alors les victimes étaient tous des hommes,cette soudaine prise de conscience
lui donna l'impression d'avancer à grand pas,il était évident que cet assassin
avait choisi le sexe masculin pour assouvir sa dose de vengeance,qui le ramenait
directement à la cause de sa psychose,qui était son geste déclencheur.
Il ne comprenait pas pourquoi cela ne lui avait
pas sauté aux yeux avant,car il avait des patients féminin aussi dans son service,
dont une patiente récemment arrivée,mais jamais rien n'était arrivé à aucunes
d'elles,dès maintenant il pouvait déjà dresser un portrait psychologique le plus
précis possible de ce tueur et dans un deuxième temps le comparer avec les dossiers
des employés récemment arrivés et qui avaient des problèmes divers,voir une certaine
insubordination,qui correspondait assez à ce genre de personnage.
Il espérait ainsi réduire au plus petit le
nombre de coupable potentiel,pour avoir une chance de mettre la main sur le vrai
responsable de ces crimes,il se détendit en appuyant son dos contre le dossier de
sa chaise de bureau et ferma les yeux un moment pour réfléchir sereinement...
Le téléphone de son bureau le sortit soudain de
ses pensées,c'était sa secrétaire;Catherine Lefêvre qui lui faisait savoir que
monsieur Patrick Charcot avec qui il avait rendez-vous,était arrivé.
Il lui demanda d'attendre cinq minutes avant de
le faire rentrer,le temps qu'il remette un peu d'ordre dans ses papiers qui étaient
en désordres sur son bureau et qu'il reprenne un peu ses esprits après cette petite
déconnexion de la réalité.
Il avait reculé l'échéance le plus longtemps
possible,pour gérer et enquêter lui même sur tout ces événements dramatiques,mais
ce dernier rebondissement ne pouvait plus être traité en interne,il avait tout fait
jusqu'à maintenant pour retenir toutes les informations sur les décès antérieurs,
mais celui-ci avait malgré lui dépassé son service;d'un autre côté,il n'avait pas
non plus envie de partir seul à la recherche de ce criminel que rien ne semblait
arrêter,de toute façon il était dans l'obligation de signaler les faits à la police
pour toutes ces morts maintenant révélées suspects et criminels.
Il avait même devancé les choses et c'était
directement adressé à un inspecteur de police haut placé,qui était l'un de ses
meilleurs amis,depuis son adolescence.
Patrick Charcot et lui avait partagés plus d'une
soirée à refaire le monde,à sortir faire le con ensemble dans des nuits plutôt
courtes,c'était aussi avec lui qu'il avait rencontré sa femme,des choses qui
aujourd'hui donnait encore plus de valeur et d'importance à leurs amitiés,ils ne
s'étaient jamais perdu de vue et se voyaient régulièrement ou s'appelaient pour se
donner des nouvelles,Patrick Charcot avait aussi été très présent dans l'épreuve
qu'il avait connu avec ses enfants,avec la maladie et la mort de son épouse.
De tout cela il voulait que personne ne soit au
courant ici à l'hôpital,pour faciliter au maximum l'enquête qu'allait mener
l'inspecteur Patrick Charcot,plus il serait discret et plus de monde ne saurait qui
il était,ça donnerait plus de chance de coincer le responsable de toute cette
tragédie beaucoup plus vite.
On frappa à la porte et après avoir dit d'entrer;
il fit comme si il voyait l'inspecteur pour la première fois,se présenta à lui et
laissa l'inspecteur faire de même,tout ça pour être le plus crédible devant
Catherine Lefêvre sa secrétaire qui n'en perdait pas une miette et qui ne manquait
jamais d'en toucher deux où trois mots à quelques unes de ses collègues,sans avoir
le moindre soupçon de qui il s'agissait en vérité,la porte se referma derrière
Catherine Lefêvre et avec un large sourire de complicité,ils se firent enfin
l'accolade amicale,content que leurs petit jeu fonctionne bien.
Héléne Portal marchait dans le grand hall de
l'hôpital européen Georges Pompidou,Pour allait se restaurer au self qui se
trouvait en face de la grande crèche familiale,toujours dans l'hôpital;elle aimait
regarder les enfants qui sortaient de la crèche,du plus petit bébé,à l'enfant de 3
ans,qui s'apprêtaient à rejoindre la maternel,cette crèche était immense,bien
entretenue et dirigée,elle avait déjà eut l'occasion de la visité grâce à Karima
Liévin qui y avait sa petite nièce et qu'elle venait chercher de temps à autre.
Aujourd'hui elle ressentait une certaine
mélancolie,qu'elle ne s'expliquait pas et plus que jamais elle se sentait femme,en
regardant tout ces enfants aux bras de leurs parents;elle avait 30 ans et sentait
son horloge biologique la rattraper,elle voulait de tout son coeur être mère,mais
jusqu'à maintenant elle n'avait jamais trouvé le bon père pour ses futurs enfants,
elle ne savait pas si Joseph Tojeman avait envie d'avoir d'autres enfants,vu qu'il
avait déjà deux grands garçons en âges adultes,il avait aussi un âge ou on avait
plutôt envie d'être tranquille;mais elle ne pouvait s'empêcher de penser qu'il
était le père qu'elle voulait pour ses futurs enfants,elle essuya une larme qui
coulait sur sa joue et rentra dans le restaurant d'entreprise.
Écrit en janvier 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île de France,France,par Hugo Gall ( pseudo de Thierry Gallois )
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause de victimes de maltraitances,d'incestes,de violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs;accès:
Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
Le docteur Tojeman lisait le dossier d'un de ses
nouveaux patients arrivé il y avait quelques jours,remonté après Sylvie Monnier et
Jérôme Carrera,par Karima Lievin;le patient était à la chambre 202 et s'appelait
Arthur Jacquemin,39 ans,marié,4 enfants,1 fille de 12 ans,1 garçon de 10 ans et des
jumeaux de 8 ans.
Il était un homme équilibré,sportif,en bonne santé
physique et bénéficiant d'une vie privé heureuse,mais une vie professionnel qui
devenait cahotique,des mouvements sociaux qui mettaient en péril l'entreprise pour
laquelle il c'était investit de toutes ses forces,pendant des années.
Son éviction petit à petit,puis son renvoi soudain,
l'avait plongé dans une dépression d'abord normal et moindre,avant de devenir
sévère et de le conduire à une tentative de suicide,où il dut sa survie à la
réactivité de son épouse,qui le découvrit dans la baignoire de leurs salle de
bain,où il avait choisit de se couper les veines.
Après tout ces événements,Joseph Tojeman en conclus
que ce patient était le candidat parfait pour le meurtrier qui sévissait dans son
service et qu'il c'était mit en tête de démasquer,il fallait aussi faire la liste
des employés qui étaient arrivés peu avant le premier décès inexpliqué.
Il c'était aperçut que la première liste qu'il
avait décidé de faire sur les personnes qu'il pensait pouvoir être responsable,ne
menait à rien,n'était pas une bonne solution,il devait donc en faire une autre plus
précise dans la démarche;en constatant que les faits c'étaient déclenchés
soudainement,il avait fini par en déduire qu'un nouvel employé était arrivé au
moment où tout allait commencé et que ce nouvel employé au psychique déjà mit à
mal,n'était qu'une bombe à retardement qu'un élément déclencheur à fait passer à
l'acte.
En observant cette liste qu'il venait de
commencer,il constata qu'elle avait déjà beaucoup plus de personnes qu'il
s'attendait à voir,ça allait être plus compliqué qu'il le pensait,au même moment
devant cette liste de nom,il pensa à une chose qui jusqu'alors le gênait,mais qui
n'avait pas encore fait tilt en lui,alors que là maintenant c'était une évidence;
jusqu'alors les victimes étaient tous des hommes,cette soudaine prise de conscience
lui donna l'impression d'avancer à grand pas,il était évident que cet assassin
avait choisi le sexe masculin pour assouvir sa dose de vengeance,qui le ramenait
directement à la cause de sa psychose,qui était son geste déclencheur.
Il ne comprenait pas pourquoi cela ne lui avait
pas sauté aux yeux avant,car il avait des patients féminin aussi dans son service,
dont une patiente récemment arrivée,mais jamais rien n'était arrivé à aucunes
d'elles,dès maintenant il pouvait déjà dresser un portrait psychologique le plus
précis possible de ce tueur et dans un deuxième temps le comparer avec les dossiers
des employés récemment arrivés et qui avaient des problèmes divers,voir une certaine
insubordination,qui correspondait assez à ce genre de personnage.
Il espérait ainsi réduire au plus petit le
nombre de coupable potentiel,pour avoir une chance de mettre la main sur le vrai
responsable de ces crimes,il se détendit en appuyant son dos contre le dossier de
sa chaise de bureau et ferma les yeux un moment pour réfléchir sereinement...
Le téléphone de son bureau le sortit soudain de
ses pensées,c'était sa secrétaire;Catherine Lefêvre qui lui faisait savoir que
monsieur Patrick Charcot avec qui il avait rendez-vous,était arrivé.
Il lui demanda d'attendre cinq minutes avant de
le faire rentrer,le temps qu'il remette un peu d'ordre dans ses papiers qui étaient
en désordres sur son bureau et qu'il reprenne un peu ses esprits après cette petite
déconnexion de la réalité.
Il avait reculé l'échéance le plus longtemps
possible,pour gérer et enquêter lui même sur tout ces événements dramatiques,mais
ce dernier rebondissement ne pouvait plus être traité en interne,il avait tout fait
jusqu'à maintenant pour retenir toutes les informations sur les décès antérieurs,
mais celui-ci avait malgré lui dépassé son service;d'un autre côté,il n'avait pas
non plus envie de partir seul à la recherche de ce criminel que rien ne semblait
arrêter,de toute façon il était dans l'obligation de signaler les faits à la police
pour toutes ces morts maintenant révélées suspects et criminels.
Il avait même devancé les choses et c'était
directement adressé à un inspecteur de police haut placé,qui était l'un de ses
meilleurs amis,depuis son adolescence.
Patrick Charcot et lui avait partagés plus d'une
soirée à refaire le monde,à sortir faire le con ensemble dans des nuits plutôt
courtes,c'était aussi avec lui qu'il avait rencontré sa femme,des choses qui
aujourd'hui donnait encore plus de valeur et d'importance à leurs amitiés,ils ne
s'étaient jamais perdu de vue et se voyaient régulièrement ou s'appelaient pour se
donner des nouvelles,Patrick Charcot avait aussi été très présent dans l'épreuve
qu'il avait connu avec ses enfants,avec la maladie et la mort de son épouse.
De tout cela il voulait que personne ne soit au
courant ici à l'hôpital,pour faciliter au maximum l'enquête qu'allait mener
l'inspecteur Patrick Charcot,plus il serait discret et plus de monde ne saurait qui
il était,ça donnerait plus de chance de coincer le responsable de toute cette
tragédie beaucoup plus vite.
On frappa à la porte et après avoir dit d'entrer;
il fit comme si il voyait l'inspecteur pour la première fois,se présenta à lui et
laissa l'inspecteur faire de même,tout ça pour être le plus crédible devant
Catherine Lefêvre sa secrétaire qui n'en perdait pas une miette et qui ne manquait
jamais d'en toucher deux où trois mots à quelques unes de ses collègues,sans avoir
le moindre soupçon de qui il s'agissait en vérité,la porte se referma derrière
Catherine Lefêvre et avec un large sourire de complicité,ils se firent enfin
l'accolade amicale,content que leurs petit jeu fonctionne bien.
Héléne Portal marchait dans le grand hall de
l'hôpital européen Georges Pompidou,Pour allait se restaurer au self qui se
trouvait en face de la grande crèche familiale,toujours dans l'hôpital;elle aimait
regarder les enfants qui sortaient de la crèche,du plus petit bébé,à l'enfant de 3
ans,qui s'apprêtaient à rejoindre la maternel,cette crèche était immense,bien
entretenue et dirigée,elle avait déjà eut l'occasion de la visité grâce à Karima
Liévin qui y avait sa petite nièce et qu'elle venait chercher de temps à autre.
Aujourd'hui elle ressentait une certaine
mélancolie,qu'elle ne s'expliquait pas et plus que jamais elle se sentait femme,en
regardant tout ces enfants aux bras de leurs parents;elle avait 30 ans et sentait
son horloge biologique la rattraper,elle voulait de tout son coeur être mère,mais
jusqu'à maintenant elle n'avait jamais trouvé le bon père pour ses futurs enfants,
elle ne savait pas si Joseph Tojeman avait envie d'avoir d'autres enfants,vu qu'il
avait déjà deux grands garçons en âges adultes,il avait aussi un âge ou on avait
plutôt envie d'être tranquille;mais elle ne pouvait s'empêcher de penser qu'il
était le père qu'elle voulait pour ses futurs enfants,elle essuya une larme qui
coulait sur sa joue et rentra dans le restaurant d'entreprise.
Écrit en janvier 2011,à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île de France,France,par Hugo Gall ( pseudo de Thierry Gallois )
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause de victimes de maltraitances,d'incestes,de violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs;accès:
Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
jeudi 14 avril 2011
Hommage à ANNIE GIRARDOT
" LA PORTE FERMÉE A CLÉ "
Elle a pris la clé sous la porte
Fermée définitivement la porte à clé
Pour aller où nos âmes nous emportent
Derrière le bleu du ciel remplis d'éternité
Elle a rejoint le paradis des artistes
Après s'être tant donnée sur grand écran
Sans zizanie pour un dernier tour de piste
Vers la voix lactée où s'arrête le temps
Elle ne fume plus,ne cause et ne vit plus
Les blessures et les souffrances ont enfin cessées
Comme le brouillard dans lequel elle était perdu
Entre cauchemar,réalité,absence et vérité
Elle a aimée des tendres poulets et Renato
Partie à la recherche de la cuisse de Jupiter
Connue et partagée la vie des frères de Rocco
Subit des traitements de choc comme l'enfer
Elle a enchantée beaucoup de nos soirées
Représentée si bien une femme comme les autres
Même en vieille fille,masquée ou déguisée
Pour finir à faire partie de chacun des nôtres
Elle a eu une fille et deux petits enfants
Qu'elle a chérie tout au long de sa vie
Mais n'a pu empêcher le docteur Françoise Gaillant
De sombrer dans le côté définitif de l'amnésie
Elle a écrit sa liste noire dans sa mémoire
Où se croisent les plus grands qu'elle a connue
Au détour d'un tournage lui apportant l'espoir
Avant qu'on l'oublie comme une sinistre inconnue
Elle a connue les hauts et les bas de son métier
Les fragilités,les trahisons,les silences et les mots
Comme les beaux jours d'été et les belles fraternités
Et aujourd'hui je lui dit:soit en paix chére Annie Girardot.
Écrit le jeudi 14 avril 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
En hommage à la grande et émouvante Annie Girardot,nous ne vous oublierons jamais Annie.
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause de victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
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Elle a pris la clé sous la porte
Fermée définitivement la porte à clé
Pour aller où nos âmes nous emportent
Derrière le bleu du ciel remplis d'éternité
Elle a rejoint le paradis des artistes
Après s'être tant donnée sur grand écran
Sans zizanie pour un dernier tour de piste
Vers la voix lactée où s'arrête le temps
Elle ne fume plus,ne cause et ne vit plus
Les blessures et les souffrances ont enfin cessées
Comme le brouillard dans lequel elle était perdu
Entre cauchemar,réalité,absence et vérité
Elle a aimée des tendres poulets et Renato
Partie à la recherche de la cuisse de Jupiter
Connue et partagée la vie des frères de Rocco
Subit des traitements de choc comme l'enfer
Elle a enchantée beaucoup de nos soirées
Représentée si bien une femme comme les autres
Même en vieille fille,masquée ou déguisée
Pour finir à faire partie de chacun des nôtres
Elle a eu une fille et deux petits enfants
Qu'elle a chérie tout au long de sa vie
Mais n'a pu empêcher le docteur Françoise Gaillant
De sombrer dans le côté définitif de l'amnésie
Elle a écrit sa liste noire dans sa mémoire
Où se croisent les plus grands qu'elle a connue
Au détour d'un tournage lui apportant l'espoir
Avant qu'on l'oublie comme une sinistre inconnue
Elle a connue les hauts et les bas de son métier
Les fragilités,les trahisons,les silences et les mots
Comme les beaux jours d'été et les belles fraternités
Et aujourd'hui je lui dit:soit en paix chére Annie Girardot.
Écrit le jeudi 14 avril 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
En hommage à la grande et émouvante Annie Girardot,nous ne vous oublierons jamais Annie.
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
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mardi 12 avril 2011
Deuxiéme roman,chapitre IV,suite
Dépression interdite:chapitre IV;questions élémentaires.
Jérome Pizzani c'était réveillé aux côtés de
celle qu'il aimait,presque heureux qu'elle soit là,mais aussi un peu désespéré
qu'elle n'eut pas acceptée sa demande de vivre ensemble,il devait se contenter de
vivre avec elle trois jours sur sept;il ne renoncerait pas cependant à lui
reformuler sa demande dans plusieurs mois,quand l'eau aurait coulé sous le pont et
là;il espérait bien qu'elle lui dirait enfin oui,pour l'instant,il lui fallait
prendre patience et prendre d'urgence un dolliprane dans sa salle de bain,car il
avait un mal de tête carabiné en se levant et ça l'empêchait de bien réfléchir
comme il voudrait,ensuite il allait prendre une bonne douche pour finir de bien le
réveiller,le tout suivie d'un bon exprésso bien strétto,comme aurait dit sa mère,
quand elle demandait un café dans un bar en Italie.
Il entendit Céline Belgrand s'étirer et
bailler avec énergie et il la regarda avec amour et désir,son corps était à demi
recouvert par les draps et la couette et elle portait une chemise de nuit en
dentelle blanche,qui la rendait encore plus désirable et sexy,mais à cet instant il
eut une poussée de mal de tête qui le fit tenir sa tête entre ses deux mains,en
même temps qu'il ressentait quelque chose de différent,quelque chose d'inhabituel
,qu'il n'arrivait pas à définir,il lui fallait vite prendre ses comprimés contre le
mal de tête avant qu'elle explose et se laisser ensuite recouvrir par les jets vifs
et chauds de la douche,il penserait après si il le pouvait et s'il y pensait
encore...
Olivier Masson,se resserrait tendrement contre
le corps viril et chaud de son amant,avec qui il avait passé toute la nuit,comme
chaque jour depuis leur premier rendez-vous,il aimait cet homme là et ce corps qui
lui donnait tant de plaisir et de bonheur,aujourd'hui il savait qu'il ne pourrait
plus se passer de lui,vivre sans lui,au fond de son âme il pensait très fort que
c'était l'homme de sa vie,il pensa aussi en cet instant à son amie Héléne et à sa
récente relation avec l'un des grands boss de l'hôpital,Joseph Tojeman,aussi
étonnant que cela pouvait paraître,ils semblaient avoir trouvés tous les deux en
même temps leurs moitiés,ce petit clin d'oeil avait une certaine ironie qui ne lui
déplaisait pas du tout,à ce moment là,il se lova plus sensuellement contre Fabrice
lepierric,le caressant avec précision et désir,ce qui le réveilla avec douceur et
l'envie qui se faisait soudain en lui,sous les gestes tendres et les démonstrations
de sentiments que lui prodiguait son complice;ne pouvant plus résister il saisi
Olivier par les épaules,mêla sa bouche à la sienne et l'étreignit avec de longs
baisers virils,avant de le prendre avec conviction et désir intense partagé,qui
sembla les laissèrent un moment suspendus dans le temps...
Héléne Portal se sentait heureuse et épanouie
,comme jamais elle ne l'avait été,mais elle était aussi atterrée par ce qui c'était
passé dans le service de celui qu'elle aimait,elle se sentait impuissante face à de
tel événement et le fait que cela se passe dans son lieu de travail,l'envahissait
d'une certaine peur et d'un regain de méfiance vis à vis de tous ses collègues,mis
à part son ami Olivier Masson,en qui elle avait toute confiance et dont elle savait
qu'il vivait au même moment qu'elle une belle relation amoureuse.
Ces derniers jours elle avait trouvée très
étrange l'attitude de Marianne Dufour,lorsqu'elles étaient ensemble dans la même
équipe et horaire,elle ne cessait de regarder partout,écrire des notes sur un
cahier qu'elle cachait sous le comptoir des urgences,mais elle avait quand même
réussit à la surprendre à ces dépends,cela l'intriguait énormément,mais Marianne
Dufour pouvait elle être cette meurtrière froide et sans sentiment,elle était peut-
être antipathique et peu amicale envers elle,mais Héléne ne pouvait pas se résoudre
à penser que cela faisait d'elle un assassin;il y avait aussi cette étrange
infirmière qui traînait souvent ici ces jours ci,une certaine Jeanne Dutilleul,une
forte femme,avec des lunettes excentriques en forme de papillon,qui se baladait
pour un oui et un non dans les urgences,posant des questions pas toujours discrètes
avec sa forte voix de ténor,faisant peur aux personnes âgées de son service de
gériatrie,dans lequel elle était sensée travailler,mais à la voir ainsi se promener
,on pouvait se demander si elle arrivait à le faire au moins une heure par jour.
Toutes ces suspicions qui finissaient par
s'immiscer en elle,la rendait malade et elle se demandait comment rester sereine et
faire le mieux son travail dans un tel climat de constante paranoïa et de stress ?
Karima Lievin était étonnée par le comportement
de sa chef,depuis quelques jours,Mireille Dupuis,montrait une face cachée d'elle
même que personne n'avait jamais vu jusqu'alors,Karima la trouvait très nerveuse
,sans cesse agacée,sur le qui vive et de plus en plus mystérieuse,elle avait aussi
remarquée qu'entre le docteur Tojeman et elle,le torchon semblait brûler,il y avait
une surdose d'électricité et ils se fuyaient comme la peste pour ne pas se parler
ou le moins possible,avec une courtoisie de circonstance,dont ils faisaient l'un et
l'autre preuve avec le plus grand mal,deux trois mots par ci par là,des phrases
très courtes et sur des tons sans traces de la moindre politesse,ni d'estime,Karima
se demandait se qui avait bien pu les piquer et si cela avait un lien avec la série
de crime commis dans le service,le docteur Tojeman aurait-il des doutes sur la
culpabilité de Mireille Dupuis,la tenait elle pour responsable et au pire en avait-
il des preuves?
Karima se sentit soudain oppressé dans un tel
climat d'agressivité,sans compter que Mireille Dupuis lui parlait maintenant avec
irrespect et sur un ton qu'elle n'aimait pas du tout,si elle continuait sur sa
lancée,elle ne manquerait pas de la remettre à sa place,Karima était bien
gentille,mais pas une charmante idiote non plus,il fallait pas poussée mémère dans
les orties,elle n'avait pas de culotte,comme disait son mari,mais ce qui
l'intriguait en cet instant c'était vraiment ou était la part de vérité dans tout
ça,qui était coupable ou non,cette question était plus que jamais d'actualité et
tout le monde maintenant ce la posait et à juste titre,elle plus que personne
d'autre.
Écrit en janvier 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend le cause des victimes de maltraitances,incestes,violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
Jérome Pizzani c'était réveillé aux côtés de
celle qu'il aimait,presque heureux qu'elle soit là,mais aussi un peu désespéré
qu'elle n'eut pas acceptée sa demande de vivre ensemble,il devait se contenter de
vivre avec elle trois jours sur sept;il ne renoncerait pas cependant à lui
reformuler sa demande dans plusieurs mois,quand l'eau aurait coulé sous le pont et
là;il espérait bien qu'elle lui dirait enfin oui,pour l'instant,il lui fallait
prendre patience et prendre d'urgence un dolliprane dans sa salle de bain,car il
avait un mal de tête carabiné en se levant et ça l'empêchait de bien réfléchir
comme il voudrait,ensuite il allait prendre une bonne douche pour finir de bien le
réveiller,le tout suivie d'un bon exprésso bien strétto,comme aurait dit sa mère,
quand elle demandait un café dans un bar en Italie.
Il entendit Céline Belgrand s'étirer et
bailler avec énergie et il la regarda avec amour et désir,son corps était à demi
recouvert par les draps et la couette et elle portait une chemise de nuit en
dentelle blanche,qui la rendait encore plus désirable et sexy,mais à cet instant il
eut une poussée de mal de tête qui le fit tenir sa tête entre ses deux mains,en
même temps qu'il ressentait quelque chose de différent,quelque chose d'inhabituel
,qu'il n'arrivait pas à définir,il lui fallait vite prendre ses comprimés contre le
mal de tête avant qu'elle explose et se laisser ensuite recouvrir par les jets vifs
et chauds de la douche,il penserait après si il le pouvait et s'il y pensait
encore...
Olivier Masson,se resserrait tendrement contre
le corps viril et chaud de son amant,avec qui il avait passé toute la nuit,comme
chaque jour depuis leur premier rendez-vous,il aimait cet homme là et ce corps qui
lui donnait tant de plaisir et de bonheur,aujourd'hui il savait qu'il ne pourrait
plus se passer de lui,vivre sans lui,au fond de son âme il pensait très fort que
c'était l'homme de sa vie,il pensa aussi en cet instant à son amie Héléne et à sa
récente relation avec l'un des grands boss de l'hôpital,Joseph Tojeman,aussi
étonnant que cela pouvait paraître,ils semblaient avoir trouvés tous les deux en
même temps leurs moitiés,ce petit clin d'oeil avait une certaine ironie qui ne lui
déplaisait pas du tout,à ce moment là,il se lova plus sensuellement contre Fabrice
lepierric,le caressant avec précision et désir,ce qui le réveilla avec douceur et
l'envie qui se faisait soudain en lui,sous les gestes tendres et les démonstrations
de sentiments que lui prodiguait son complice;ne pouvant plus résister il saisi
Olivier par les épaules,mêla sa bouche à la sienne et l'étreignit avec de longs
baisers virils,avant de le prendre avec conviction et désir intense partagé,qui
sembla les laissèrent un moment suspendus dans le temps...
Héléne Portal se sentait heureuse et épanouie
,comme jamais elle ne l'avait été,mais elle était aussi atterrée par ce qui c'était
passé dans le service de celui qu'elle aimait,elle se sentait impuissante face à de
tel événement et le fait que cela se passe dans son lieu de travail,l'envahissait
d'une certaine peur et d'un regain de méfiance vis à vis de tous ses collègues,mis
à part son ami Olivier Masson,en qui elle avait toute confiance et dont elle savait
qu'il vivait au même moment qu'elle une belle relation amoureuse.
Ces derniers jours elle avait trouvée très
étrange l'attitude de Marianne Dufour,lorsqu'elles étaient ensemble dans la même
équipe et horaire,elle ne cessait de regarder partout,écrire des notes sur un
cahier qu'elle cachait sous le comptoir des urgences,mais elle avait quand même
réussit à la surprendre à ces dépends,cela l'intriguait énormément,mais Marianne
Dufour pouvait elle être cette meurtrière froide et sans sentiment,elle était peut-
être antipathique et peu amicale envers elle,mais Héléne ne pouvait pas se résoudre
à penser que cela faisait d'elle un assassin;il y avait aussi cette étrange
infirmière qui traînait souvent ici ces jours ci,une certaine Jeanne Dutilleul,une
forte femme,avec des lunettes excentriques en forme de papillon,qui se baladait
pour un oui et un non dans les urgences,posant des questions pas toujours discrètes
avec sa forte voix de ténor,faisant peur aux personnes âgées de son service de
gériatrie,dans lequel elle était sensée travailler,mais à la voir ainsi se promener
,on pouvait se demander si elle arrivait à le faire au moins une heure par jour.
Toutes ces suspicions qui finissaient par
s'immiscer en elle,la rendait malade et elle se demandait comment rester sereine et
faire le mieux son travail dans un tel climat de constante paranoïa et de stress ?
Karima Lievin était étonnée par le comportement
de sa chef,depuis quelques jours,Mireille Dupuis,montrait une face cachée d'elle
même que personne n'avait jamais vu jusqu'alors,Karima la trouvait très nerveuse
,sans cesse agacée,sur le qui vive et de plus en plus mystérieuse,elle avait aussi
remarquée qu'entre le docteur Tojeman et elle,le torchon semblait brûler,il y avait
une surdose d'électricité et ils se fuyaient comme la peste pour ne pas se parler
ou le moins possible,avec une courtoisie de circonstance,dont ils faisaient l'un et
l'autre preuve avec le plus grand mal,deux trois mots par ci par là,des phrases
très courtes et sur des tons sans traces de la moindre politesse,ni d'estime,Karima
se demandait se qui avait bien pu les piquer et si cela avait un lien avec la série
de crime commis dans le service,le docteur Tojeman aurait-il des doutes sur la
culpabilité de Mireille Dupuis,la tenait elle pour responsable et au pire en avait-
il des preuves?
Karima se sentit soudain oppressé dans un tel
climat d'agressivité,sans compter que Mireille Dupuis lui parlait maintenant avec
irrespect et sur un ton qu'elle n'aimait pas du tout,si elle continuait sur sa
lancée,elle ne manquerait pas de la remettre à sa place,Karima était bien
gentille,mais pas une charmante idiote non plus,il fallait pas poussée mémère dans
les orties,elle n'avait pas de culotte,comme disait son mari,mais ce qui
l'intriguait en cet instant c'était vraiment ou était la part de vérité dans tout
ça,qui était coupable ou non,cette question était plus que jamais d'actualité et
tout le monde maintenant ce la posait et à juste titre,elle plus que personne
d'autre.
Écrit en janvier 2011 à Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,par Hugo Gall ( pseudo de T.G )
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jeudi 7 avril 2011
Le chemin d'un homme
" QUAND ON SERA GRAND "
Quand on ait un enfant
On rêve de partir à l'aventure
Sur un bateau traverser l'océan
Aller sur les routes dans une puissante voiture
Quand on ait un enfant
On voit les grands de sa hauteur
Sans percer les vérités de leurs sentiments
Qu'ils essayent de cacher dans leurs coeurs
Et puis le temps passe
Plus vite qu'on peut le dire
Avec des épreuves qui nous lassent
Changeant chaque instant l'avenir
Et puis l'innocence et la fraîcheur cassent
Le monde n'ait plus ce qu'on rêvait avant
Les codes et son inhumanité nous dépassent
Nous qui rêvions de quand on sera grand...
Quand on ait un enfant
On voudrait voir derrière l'horizon
Se battre contre les dragons et les vents
Devenir des nouveaux Christophe Colomb
Quand on ait un enfant
On rit devant Tintin et Milou et les Dupont
On se passionne pour Marco Polo et les continents
Oubliant bien trop souvent toutes nos leçons
Et puis le temps passe
Plus vite qu'on peut le dire
Avec des épreuves qui nous lassent
Changeant chaque instant l'avenir
Et puis l'innocence et la fraîcheur cassent
Le monde n'ait plus ce qu'on rêvait avant
Les codes et son inhumanité nous dépassent
Nous qui rêvions de quand on sera grand...
Quand on ait un enfant
On cherche d'où vient le bleu du ciel
Dans les yeux profond de sa maman
En croyant que son amour et vrai et éternel
Quand on ait un enfant
Le temps nous parait souvent si long
Nos peines disparaissent au gré de nos changements
Qui un jour laissera paraître ce que nous serons.
Écrit le jeudi 7 avril 2011,à la gare de Chelles 77500,attendant le train pour Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France.
merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
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Quand on ait un enfant
On rêve de partir à l'aventure
Sur un bateau traverser l'océan
Aller sur les routes dans une puissante voiture
Quand on ait un enfant
On voit les grands de sa hauteur
Sans percer les vérités de leurs sentiments
Qu'ils essayent de cacher dans leurs coeurs
Et puis le temps passe
Plus vite qu'on peut le dire
Avec des épreuves qui nous lassent
Changeant chaque instant l'avenir
Et puis l'innocence et la fraîcheur cassent
Le monde n'ait plus ce qu'on rêvait avant
Les codes et son inhumanité nous dépassent
Nous qui rêvions de quand on sera grand...
Quand on ait un enfant
On voudrait voir derrière l'horizon
Se battre contre les dragons et les vents
Devenir des nouveaux Christophe Colomb
Quand on ait un enfant
On rit devant Tintin et Milou et les Dupont
On se passionne pour Marco Polo et les continents
Oubliant bien trop souvent toutes nos leçons
Et puis le temps passe
Plus vite qu'on peut le dire
Avec des épreuves qui nous lassent
Changeant chaque instant l'avenir
Et puis l'innocence et la fraîcheur cassent
Le monde n'ait plus ce qu'on rêvait avant
Les codes et son inhumanité nous dépassent
Nous qui rêvions de quand on sera grand...
Quand on ait un enfant
On cherche d'où vient le bleu du ciel
Dans les yeux profond de sa maman
En croyant que son amour et vrai et éternel
Quand on ait un enfant
Le temps nous parait souvent si long
Nos peines disparaissent au gré de nos changements
Qui un jour laissera paraître ce que nous serons.
Écrit le jeudi 7 avril 2011,à la gare de Chelles 77500,attendant le train pour Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France.
merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
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mercredi 6 avril 2011
Les fables d'hugo
" L'ÂNE ET LA TORTUE "
De toute les histoires les plus impensables,un jour à ne pas y croire,à existé celle D'Auguste,âne adepte du rien faire du soir au matin et d'une infatigable et lente tortue,du nom de Marianne.
Ces deux spécimens,qui ne devaient jamais se rencontrer,dû au plus grand des hasard de les placer l'un en face de l'autre.
Il faut savoir que l'âne est un animal aussi oisif,qu'il est de mauvaise foi,quant à la tortue,elle égale sa lenteur,avec son tempérament têtu.
C'est ainsi que ce jour là,bien décidé à suivre son chemin,sans en changer son itinéraire,Marianne trouva sur sa route un impossible obstacle;c'était Auguste,qui avait décidé de faire son lit,sur la route,qui indépendemment de sa volonté,devait être ce jour,celle que devait suivre Marianne.
Dans l'impossibilité,soudain d'aller plus loin,notre bonne vieille tortue,s'obstina à ne pas vouloir changer de direction et de demander à cet intrus mal venue de bien vouloir partir dormir ailleurs et de la laisser suivre son chemin.
:" dite donc mon cher ami,n'avez vous point d'autre endroit que cette route pour dormir?Car ici c'est mon chemin et je n'en dévierai ni à gauche,ni à droite,alors je vous pries,d'allé ailleurs chercher un autre lit et dépêchez vous,car le temps me presse et à cause de vous j'ai déjà perdu beaucoup trop de temps ".
Auguste nullement ennuyé par toutes ces bonnes paroles,se mis à bailler et à soupirer,laissant échapper quelques mots en direction de Marianne:
" dite moi mademoiselle lenteur,de quel droit dérangez vous les gens pendant leurs sommeil?Je n'ai point envie de me lever et ne compter pas sur moi pour vous satisfaire vieille carcasse.
Le soleil c'est levé,mais bientôt il se coucher et pour cela,je préfère rester dans mon lit,comme cela je ne serais point en retard pour dormir.
Aller dépêchez vous,vous allez être en retard,passez à côté et bonne route ".
Marianne commença à s'impatienter par tant de mépris et se mit à crier de toute sa voix : " vous êtes l'être le plus disgracieux que j'ai pu rencontrer et je vous conseil d'avaler des sacs entiers de carottes pour effacer votre caractère acariâtre et des moins accueillant.
Quant à dormir dans la vie,il y a des heures pour cela et d'autre pour travailler et vivre sa vie,alors maintenant ça suffit,levez vous et laisser moi vivre la mienne ".
Toujours aussi peu enthousiasme et peu enclin à le moindre bonne volonté,l'âne répondit d'un ton las à cette tortue qui l'importunait:
" que vous m'agacez avec votre morale,vous devriez la garder pour ceux qui l'écoute,car moi je n'en ai que faire.
Si les carottes comme vous dite,devraient me rendre plus aimable,vous vous devriez manger plus de salade,elle vous ferait peut être avancer plus vite et puis vous devriez aussi vous mordre la langue,comme cela je ne vous entendrez plus je pourrai retomber dans mon sommeil.
Maintenant ne comptais plus que je vous réponde,je suis bien trop las et de vous entendre parler ainsi m'épuise,alors faite comme bon vous semblera,mais ne compté pas sur moi;à bon entendeur,salut et bonne nuit ".
La tortue était à bout et n'en pouvait plus de ce grand fainéant mal embouché et elle chercha dans ses pensées une bonne parade qui ferait lever un tel infecte personnage et c'est ainsi qu'elle reprit la parole,sur de son coup:
" oh cher monsieur Auguste,jusque là je ne pouvais vous en parler,mais je n'y tiens plus et je vous l'avoue,j'ai voulu prendre votre place,car en dessous de vous se trouve le plus grand champs de carottes de toute la contrée.
Voyez comme je suis bonne envers vous,alors que vous m'avez bien fait attendre et ainsi eu à l'usure ".
Auguste notre grand fainéant d'âne,ne fit qu'un tour dans son esprit et sans plus réfléchir,guidé par sa grande gourmandise,il se leva d'un bond et sans se soucier de Marianne la tortue,il se mit à creuser,creuser,sur de déguster d'ici peu,de savoureuses carottes.
C'est ainsi que pendant ce temps,Marianne en profita pour s'éclipser,laissant à ce bon Auguste,le soin de comprendre tout seul,comment il avait été si bien berné.
Si notre tortue repris son chemin comme elle l'avait décidée,sans encombre jusqu'à son but,notre âne après avoir retourné pour rien toute la terre autour de lui,compris que la gourmandise est un vilain défaut et que le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt,ainsi qu'une tortue va peut-être lentement,mais qu'elle réfléchit vite.
C'est ainsi qu'Auguste prit pour lui ce jour là,ce proverbe qui disait:
" qui dort dîne ".
Écrit par Hugo Gall,Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,
avril 2011
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,d'incestes,de violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
Http://incesteetmaltraitanceplusjamais.blogspot.com
De toute les histoires les plus impensables,un jour à ne pas y croire,à existé celle D'Auguste,âne adepte du rien faire du soir au matin et d'une infatigable et lente tortue,du nom de Marianne.
Ces deux spécimens,qui ne devaient jamais se rencontrer,dû au plus grand des hasard de les placer l'un en face de l'autre.
Il faut savoir que l'âne est un animal aussi oisif,qu'il est de mauvaise foi,quant à la tortue,elle égale sa lenteur,avec son tempérament têtu.
C'est ainsi que ce jour là,bien décidé à suivre son chemin,sans en changer son itinéraire,Marianne trouva sur sa route un impossible obstacle;c'était Auguste,qui avait décidé de faire son lit,sur la route,qui indépendemment de sa volonté,devait être ce jour,celle que devait suivre Marianne.
Dans l'impossibilité,soudain d'aller plus loin,notre bonne vieille tortue,s'obstina à ne pas vouloir changer de direction et de demander à cet intrus mal venue de bien vouloir partir dormir ailleurs et de la laisser suivre son chemin.
:" dite donc mon cher ami,n'avez vous point d'autre endroit que cette route pour dormir?Car ici c'est mon chemin et je n'en dévierai ni à gauche,ni à droite,alors je vous pries,d'allé ailleurs chercher un autre lit et dépêchez vous,car le temps me presse et à cause de vous j'ai déjà perdu beaucoup trop de temps ".
Auguste nullement ennuyé par toutes ces bonnes paroles,se mis à bailler et à soupirer,laissant échapper quelques mots en direction de Marianne:
" dite moi mademoiselle lenteur,de quel droit dérangez vous les gens pendant leurs sommeil?Je n'ai point envie de me lever et ne compter pas sur moi pour vous satisfaire vieille carcasse.
Le soleil c'est levé,mais bientôt il se coucher et pour cela,je préfère rester dans mon lit,comme cela je ne serais point en retard pour dormir.
Aller dépêchez vous,vous allez être en retard,passez à côté et bonne route ".
Marianne commença à s'impatienter par tant de mépris et se mit à crier de toute sa voix : " vous êtes l'être le plus disgracieux que j'ai pu rencontrer et je vous conseil d'avaler des sacs entiers de carottes pour effacer votre caractère acariâtre et des moins accueillant.
Quant à dormir dans la vie,il y a des heures pour cela et d'autre pour travailler et vivre sa vie,alors maintenant ça suffit,levez vous et laisser moi vivre la mienne ".
Toujours aussi peu enthousiasme et peu enclin à le moindre bonne volonté,l'âne répondit d'un ton las à cette tortue qui l'importunait:
" que vous m'agacez avec votre morale,vous devriez la garder pour ceux qui l'écoute,car moi je n'en ai que faire.
Si les carottes comme vous dite,devraient me rendre plus aimable,vous vous devriez manger plus de salade,elle vous ferait peut être avancer plus vite et puis vous devriez aussi vous mordre la langue,comme cela je ne vous entendrez plus je pourrai retomber dans mon sommeil.
Maintenant ne comptais plus que je vous réponde,je suis bien trop las et de vous entendre parler ainsi m'épuise,alors faite comme bon vous semblera,mais ne compté pas sur moi;à bon entendeur,salut et bonne nuit ".
La tortue était à bout et n'en pouvait plus de ce grand fainéant mal embouché et elle chercha dans ses pensées une bonne parade qui ferait lever un tel infecte personnage et c'est ainsi qu'elle reprit la parole,sur de son coup:
" oh cher monsieur Auguste,jusque là je ne pouvais vous en parler,mais je n'y tiens plus et je vous l'avoue,j'ai voulu prendre votre place,car en dessous de vous se trouve le plus grand champs de carottes de toute la contrée.
Voyez comme je suis bonne envers vous,alors que vous m'avez bien fait attendre et ainsi eu à l'usure ".
Auguste notre grand fainéant d'âne,ne fit qu'un tour dans son esprit et sans plus réfléchir,guidé par sa grande gourmandise,il se leva d'un bond et sans se soucier de Marianne la tortue,il se mit à creuser,creuser,sur de déguster d'ici peu,de savoureuses carottes.
C'est ainsi que pendant ce temps,Marianne en profita pour s'éclipser,laissant à ce bon Auguste,le soin de comprendre tout seul,comment il avait été si bien berné.
Si notre tortue repris son chemin comme elle l'avait décidée,sans encombre jusqu'à son but,notre âne après avoir retourné pour rien toute la terre autour de lui,compris que la gourmandise est un vilain défaut et que le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt,ainsi qu'une tortue va peut-être lentement,mais qu'elle réfléchit vite.
C'est ainsi qu'Auguste prit pour lui ce jour là,ce proverbe qui disait:
" qui dort dîne ".
Écrit par Hugo Gall,Lagny-Sur-Marne,Marne La Vallée 77,Île De France,France,
avril 2011
Merci de vos encouragements,impressions,vous pouvez me joindre sur:georgelucienthierry@hotmail.fr
Je défend la cause des victimes de maltraitances,d'incestes,de violences conjugales,familiales,en consacrant un blog à ces fléaux destructeurs,accès:
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