mercredi 23 septembre 2009

A vous tous mes lecteurs, en avant première, l'introduction de mon premier roman

HUGO GALL

DE QUEL CÔTE DE NOTRE AMOUR...

Commençé le 24 : 11 : 2003 HEGP PARIS -

Terminé le 10 : 09 : 2009 HOTEL LE VERSEAU à LAGNY-SUR-MARNE

Reprit le 01 : 07 : 2009 HOTEL LE VERSEAU à LAGNY-SUR-MARNE

MES DEDICACES SPECIALES :

A mon père là-haut, dans les étoiles, avec Dieu et les anges, parti trop tôt, trop jeune à 27 ans,
mais qui m'a tant laissé en héritage, des sentiments et de l'amour .

A mon fils, la chair de mon sang, mon plus beau cadeau, que j'ai tant désiré et aimé, que Dieu
veille sur lui et qu'il accomplisse de belle chose dans sa vie et qu'il soit très heureux, sans oublié
une seule seconde que son père l'aime de tout son coeur et de toute son âme .

Aux enfants que l'on aime, que l'on éléve et qui un jour s'en vont sans que l'on sache pourquoi,
ou qui ne vous comprenne pas, ne vous aimes pas, tous les grands mystére de la vie à qui je
dirait simplement : même si les liens sont difficiles et étroits, les portes ne sont jamais fermées,
je vous laisse vous envoler et vous ouvrir comme de beaux papillons, qui un jour apprendrons
qui ils sont, pour ainsi mieux connaître leurs pères .

A mon grand-père paternel et son regard intense bleu si profond, de générosité, de tendresse et
d'amour, qui m'a tant donné, qui était la créme des hommes .

A ma grand-mère maternelle, qui m'a tellement marqué, par sa force de carractére, pour qui je
garde du respect et de l'amour réservé, que je qualifierai toujours de '' mama Italienne '', qui a
su tenir le mieux possible sa famille et ses traditions, malgrè certains dérapages et inégalités,
mais qu'a sa mort, se sont évaporés ...

A ceux que je garde à jamais dans mon coeur : Jean-P K, Valkyrie B, Papy et Mamy B, Phyl V S
Pierre MA, Serge V, Emile F; Martine M, Didier D, Régis ?; vous m'avez tant donné et apporté,
Je vous aime .

A tous les enfants, adolescents qui ont subit des violences physiques, psychiques, sexuelles, par
leurs parents, familles et qui les ont lâchements abandonnés, préférant l'ombre à la lumière
le mensonge à la vérité, les coupables aux victimes ...

Et tous ceux qui ont passés dans ma vie, m'ont aimé et compris, merci pour tout, je vous aimes,
Merci Seigneur de m'avoir permis d'aller jusqu'au bout de mes rêves ...
Lagny-Sur-Marne Le 08-09-2009 Hugo Gall l'auteur

Quelques mots de l'auteur :

J'ai aimé en tout point écrire se roman, créer et donner vie à ses
personnages, leurs donner un souffle, une âme, les décrires .
J'ai passé beaucoup de temps avec eux, ils sont à la fois un peu de moi
et beaucoup de toutes les personnes que j'ai rencontré dans ma vie, mais je les ait voulu,
fort, fragile, troublé, pour qu'ils ne soient pas parfait, comme personne ne l'ait sur cette terre .
Ils ont chancuns leurs vies d'avant, leurs bléssures, leurs félures, mais
ils ont aussi ce que chacuns de nous ont, des rêves, des envies, une aspiration à être meilleur
et surtout à découvrir toutes les belles choses qui nous entourent, l'air, le paysage, la nature,
l'affection et l'amour .

J'étais partis pour mêttre en avant deux hommes et une femme, laissant
un des personnages masculins prendre le plus de place, mais inconsciemment la personne de
Déborah c'est imposé à moi et à cette histoire, c'est alors tout naturellement qu'elle devient le
point central de cette histoire, le ciment entre tous les protagonistes, elle est celle du début et
de la fin .

Je vous remercie à l'avance de l'accueil que vous réserverez à ces héros
des temps modernes, ainsi qu'a mon romman, j'y ai mit tout mon coeur, toute mon âme et
beaucoup de moi même, merci à vous et bonne lecture et évasion .

Lagny-Sur-Marne le 08-09-2009 Hugo Gall l'auteur


De quel côté de notre amour ...

Introduction:

Dans les rues marchandes de Vancouver au Canada, elle

marchait doucement, respirant à grande bouffée cet air frais qui venait de l'océan pacifique, qui

longeait la ville, face à l'île du même nom; Vancouver; regardant une à une chaque boutique avec
une minutie toute particulière et observant plus précisément les vitrines dont elle appréciait

chaque décoration et détail, ici elle se sentait libre, respirer cet air là et vivre à cet endroit du

monde était pour elle un signe de grande liberté et un immense privilège qu'elle avait su

s'accorder au bon moment de sa vie, avec des gestes détachés et calmes, une façons posée et

sereine de se tenir, elle savourait enfin chaques instants de sa nouvelle vie à cet endroit du

globe, avec une délectation toute particuliére et tout cela durait depuis trois ans déjà !!!.

Elle était venu ici pour créer sa propre société d'art et de décoration, d'où son intérrésement à

tout ce qui se faisait dans ce domaine; les vitrines des magasins en étant un bon exemple pour y

puiser des idées et aussi des choses à ne pas faire.

Elle avait baptisée sa petite société RJJ et CO ''; Ce petit jeu de mot qui avait l'air si innocent,

était en fait un clin d'oeil à son passé, à tout ce qu'elle avait fuit, mais qui était resté dans son

coeur et qui représentait malgrès tout chaque seconde de sa vie d'avant et qui était aussi

finalement une partie intégrante d'elle même que quoiqu'elle fasse, elle ne pourrait jamais

dissocier et oublier.

Elle savait qu'il ne suffisait que d'un geste, où même d'un mot de sa part, pour que se passé

qu'elle avait volontairement voulu laisser derrière elle, redevienne une chose et un avenir actuel,

mais, même si ses deniers jours elle se mèttait à y repenser plus souvent, elle ne se croyait pas

encore prête à rejoindre ce qu'elle avait laissé des années auparavant, sans regarder en arrière,

pour ne pas tomber, ne pas céder; alors oui le moment viendrait, elle en était consciente, elle le

savait, mais pour cela, elle voulait avoir la certitude, qu'elle avait fait ce qu'elle avait à faire et

être enfin elle même, ce qu'aujourd'hui elle était enfin devenue et dans ces rues qu'elle

parcourait, elle en avait la certitude, elle était sereine et elle-même ...

Elle continuait à marcher avec une certaine nonchalance comme à contre courant de tout ces

gens qui passaient devant elle et dont elle ne distinguait finalement, que des ombres lointaines,

des formes indescriptibles, à cet instant là, elle était plongée dans un monde qui n'appartenait

plus qu'a elle, que seul ceux qui lui était très proche, aurrait pu comprendre et percer .

Elle continuait sa quêtte de nul part, quand au coin d'une rue, à un boutique qui faisait l'angle,

elle fût presque aimantée par la vitrine, qui l'arrêta net dans sa marche, elle se colla presque à la

surface vitrée de l'enseigne de ce magasin qui était en fait une grande librairie et marchand de

journaux en tout genre et en beaucoup de langue, elle cherchait dans toute cette décoration ce

pourquoi elle s'était arrêtée, où plus précisément ce qui l'avait poussée à venir s'aglutiner à cette

vitrine; car en plus c'était une des choses qu'elle ne se serait jamais permise de faire des années

auparavant, elle trouvait ça si ennuyeux les livres, de se plonger pendant des heures dans des

pages qui n'en finissaient pas, pour rien au monde à ce moment là, elle ne se serait arrêtée

devant une vitrine de librairie, mais depuis ce temps il s'était passé des choses importantes dans

sa vie et surtout une forte et belle rencontre avec un certain Benjamin, dit Ben, qui allait tout

bousculer dans sa vie, comme un raz-de-marée, avec d'ailleurs un autre du nom de Jerémy

dit Jerry, seulement pour ce qui était la litérrature et ce pourquoi elle était là, à cet instant, le

coupable était bien Ben, qui aimait beaucoup l'écriture et tout ces nids à poussière, qu'elle aimait

tant appeler avant, Ben était en passe de devenir un auteur romancier au moment de leurs

rencontrer et il mit tout en oeuvre pour soigner son incompétence et ses lacunes en matière

litérraire, il lui fit une telle éducation, qu'elle devint une lectrice assidue et presque érudite, qui

l'aurrait dit, surtout pas elle, ni sa mère qui pourtant avait bien plus qu'éssayée de lui faire lire

tant et tant de livres quand elle était petite, mais qu'elle laissait sur une table avaler la poussière,

grace à Ben, elle s'ouvrit enfin à des trèsors de connaissance, un or à porté de main, surtout la

sienne, tout ces livres étaient une immense richesse intellectuelle et culturelle, qui nourrissait

l'esprit, lui permettant de s'enrichir et de se nourrir, éveiller son âme et la grandir, changer les

choses d'une certaine manière, ses propres pensées, remplir son coeur et transformer

spirituellement son corps pour être plus à l'écoute de soi et surtout des autres .

C'est ainsi que sous les bons conseils de Benjamin, elle découvrit un autre monde, celui

merveilleux des livres, de la belle litérrature, écrit par tant de bon auteurs et romanciers, de

plus ancestraux, aux plus récents et petits nouveaux qui n'étaient pas en reste par leurs talents,

elle apprit ce qu'était dévorer un livre, quand on le commençait et qu'on était passionné par

l'histoire et que l'on ne voulait pas arrêter de le lire tant que l'histoire n'était pas fini, chose

souvent impossible, mais au combien fascinante, oui elle avait apprit tout ça et s'en sentait si

heureuse, qu'elle lui en serait toujours redevable d'une certaine façon ...

Elle regardait les livres dans l'étalage de la vitrine, quand une pulsion qu'elle n'aurait pu définir,

la poussa à regarder d'un peu plus prés la couverture d'un des livres mit en valeur parmis toute

une sélection de roman, là à cet instant lorsqu'elle lu le titre du livre sous ses yeux, elle su en son

coeur, qui était l'auteur de ce livre, le livre avait pour titre '' de quel côté de notre amour ... '' et

son auteur était un certain Benjamin Corbernlet, à ce nom elle en fut certaine, c'était lui et ce

nom, quand elle y réffléchissait de plus près, était l'addition de trois des syllabes prisent dans

chacuns de leurs noms à tous les trois; elle en fut figée, avant de se sentir fière et si heureuse

pour lui, c'était son troisiéme roman en dehors d'un livre d'histoire qu'il avait aussi écrit et publié

sur une de ses passions, là, de l'autre côté du monde, elle en avait la primeur et cela lui chauffait

son coeur de tout un tas de merveilleux sentiments qu'elle semblait avoir oubliée, ou simplement

mit de côté, oui cela la réchauffait d'une chaleur intense qui n'avait rien à voir avec ce soleil de

mois de mai, qui lui chauffait le dos, mais tous ses bons moments et tout cet amour si fort qu'elle

avait véccus durant tant d'années, si intense en émotions, tendresses, complicités et beautées,

elle en avait été bercée, remplie, avant de s'en sentir saturé, cet à ce moment là, qu'elle choisie

de partir, tant elle se sentait mourir étouffée à petit feu, comme prise au piège, des années après

d'un grand bonheur intime, qui finalement l'avait privé d'une liberté qui ne lui était plus permise

de s'offrir et de pouvoir vivre, comme elle l'avait toujours voulu et même battue pour garder.

En cet instant précis, elle comprennait pourquoi elle avait été attirée comme un aimant, à lêcher

cette vitrine, elle avait désormais cette intuition en elle que le signale qui lui était parvenue et

dont quelques instant beaucoup plus tôt, elle en attendait encore la certitude, était arrivé jusqu'à

elle, là, maintenant; devant cette vitrine, face à ce livre révélateur, qui la ramenait à tant de bons

souvenirs; la femme de 40 ans qu'elle était devenue, se rendait soudain compte qu'il était tant,

qu'il était venu l'heure de rejoindre et de retrouver tout ce qu'elle avait laissé dérriére elle, des

années plus tôt, par un beau matin, aux premières heures du jour, il y avait trois ans déjà .

Tout ces signes qui étaient venus jusqu'a elle, devenait le signe précurseur et évident qu'il fallait

enfin rentrer; pour plus de certitude et par conviction personnelle, pour aussi ne pas avoir le

moindre regret, elle se décida à entrer dans la boutique, où elle acheta se livre tellement

providentiel, qu'elle prit dans ses bras avant de le serrer fort tout contre son coeur, comme on le

ferait avec un trésor inestimable; puis elle le retourna et en lu le résumé du dos, ou elle trouva

inscrit en gros carractéres soutenus par une couleur or, ces quelques mots de dédicace, qui

finirent par lever en elle, toutes les barrières de tous ses doutes qui l'avait envahit depuis si

longtemps : '' A Déborah et Jerémy '' .

Dés cet instant, il n'y eut plus d'intérrogation dans son esprit, l'heure de la capitulation et le

moment de rendre les armes, les armes de la colére, de la révolte d'une femme en manque de

liberté, était arrivé, aujourd'hui elle était sereine, en paix avec elle même, avec ses propres luttes

intérieures, ses bagares tiraillées entre ses besoins d'indépendance, la femme au foyer, la femme

amoureuse, de tout cela, elle en avait finalement bien fait le tour, pour enfin retrouvé cette

énergie, ce bien être, qui la carractérisait tant et qu'au moment où elle avait son petit nid amour

bien douillet, elle n'avait plus !!!.

Elle n'oubliait pas non plus, que lorsqu'elle décida de tout quitter pour venir ici, il y avait une

autre raison plus intime qui la poussait à prendre cette forte décision, elle devait aussi partir

sans avouer le secret qu'elle emmenait avec elle, car à cet instant, il était certain que si elle était

restée, elle n'aurrait pas pu faire autrement que de dire cette vérité et pour elle, tout aurrait été

fini, elle aurrait définitivement tombée dans une spirale destructrice qui l'aurrait anéantit, ainsi

que ceux qu'elle aimait, elle savait que c'était la meilleure des décisions qu'elle eut à prendre de

sa vie et elle en était très fiére et heureuse, ici elle avait du se battre, lutter contre elle même et

ses si grands changement de son corps, qui se battaient avec se grand mystére qui entourait son

départ et qu'elle avait si bien protégé et caché jusqu'à maintenant, ce qu'elle hantait aujourd'hui,

c'était de dévoiler se secret en revenant sur le lieu même ou elle l'avait emporté avec elle, même

si elle avait désormais très envie de retrouver tout cet affection et amour, elle avait peur de la

réation de ceux qui étaient concernés par son non dit quand ils l'apprendraient, il était quand

même important pour tout homme normalement constitué de savoir, ce qu'elle c'était refusé à

dire, elle pensait qu'ils comprendraient tous, les connaissants, elle en était même sur, mais cela

restait une incertitude, elle prennait conscience d'une certaine manière de l'ampleur de sa

désertion et du mal qu'elle avait occasionnée, mais elle ne regréttait vraiment rien, surtout d'être

venue dans se Canada qui lui avait fait tant de bien et guérie de ses souffrances intimement

féminine et hormonales, qui à chaque périodes charnières de sa vie de femme, l'avait laissée

destabilisée et méconnaissable, en plus avec se secret qu'elle avait emportée dans ce coin du

monde avec elle, elle ne c'était jamais sentie seule, même si la vie n'avait pas été facile au début

de son arrivée, aujourd'hui elle n'avait aucun regret et se sentait enfin vivre et ressentir avec

plaisir chaque joie de la vie, de sa vie ...

Maintenant plus que jamais; elle ressentait le besoin de revoir tous ses regards complices, ses

sourires, qui lui manquaient plus qu'elle ne l'aurait pensé; elle avait une forte envie de se sérrer

dans les bras de ceux qu'elle aimait, leur dire '' je vous aimes, vous m'avez manqué '' , de leur

avouer toutes les circonstances de son départ, il y avait tout juste trois ans et leur rendre le

secret qui leur appartenaient finalement autant qu'a elle, afin de le partager tous ensembles,

comme il aurrait du l'être, si toutes les choses de sa vie avaient été normal à se moment

là, mais pour elle cela resterait l'un des plus beaux cadeaux que la vie lui avait donnée et

qu'aujourd'hui elle raménerait avec elle comme pour rattrapper le temps qui avait passé, pour

aussi en partager le plaisir et toute la joie .

Elle essuya ses larmes, qui soudain n'arrêtaient plus de lui couler le long de ses joues, aveuglant

ses yeux magnifiques, serrant encore plus fort se livre sur son coeur, comme un trèsor précieux

au prix inestimable, elle était encore sous le coup de l'émotion qui avait envahit tout son corps, il

fallait qu'elle rentre maintenant chez elle et qu'elle reprenne ses esprit, qu'elle réffléchisse à ce

qu'elle devait faire en priorité et biensûr, plus que tout, elle devait lire se livre, aussi elle se hâtta

de rentrer le plus vite qu'elle pu à son appartement, puis de se jeter à coeur perdu dans la

lecture de se livre si inattendue .

Elle eut finie par lire le livre de Ben, plutôt dévorer, eut été le mot exact, toute la nuit, toutes les

pages y étaient passées et repassées, au fur et à mesure elle c'était replongée dans ce qui avait

été son quotidien, chaque jour d'une vie d'amour était dans se livre, une grande part d'elle

même, un grand pan de sa vie, tout y était noir sur blanc, sans y être éronné, la vérité toute nue,

Ben l'avait écrit avec pudeur, avec ses mots à lui, sa profondeur d'âme, sa sensibilité qui le

carractérisait tant et qui faisait de lui cet être à part, cela ressemblait à une belle et délicate

poésie, tout y était si bien dit, raconté, comme un hymne à la vie, un ode à l'amour; on ne

pouvait pas faire autrement que d' y souscrire, elle encore plus que d'autre, puisqu'elle l'avait si

intensement véccus, comme chaques pages de se livre, d'ailleurs elle se dit que le titre aurait pu

être '' la vraie vie de Déborah '' , accompagné de la chanson titre de Michel Sardou '' Déborah '' .

Puisqu'elle en était à rendre hommage à des chanteurs qu'elle apréciait beaucoup, elle se

remémora pourquoi elle avait été poussée à venir dans cette belle région du monde au Canada,

où les hivers sont si vigoureux, mais les printemps et été plein de beautées, tout cela elle le

devait à un certain chanteur du nom de Roch Voisine, beau ténébreux, sexy et talentueux,

qu'elle adopta comme son chanteur préféré, à sa première chanson et tube, qui s'appellait en son

temps '' Héléne '', une belle chanson, comme il venait de cette région dans laquelle elle se trouvait

aujourd'hui, elle se mit à chercher tout se qui concernait et parlait de se pays et c'est ainsi qu'elle

en a tomba en amour, comme il disait ici, cette passion ne la quitta jamais, jusqu'à ce qu'elle la

réalise enfin, après elle apprécia aussi des chanteuses comme la grande Céline Dion, avec une

voix intense et magnifique et autant de chansons superbe comme ses préférées: s'il suffisait

d'aimer, l'amour existe encore, je t'aime encore, l'immensité, pour que tu m'aimes encore, etc;

puis aussi Isabelle boulay et sa douce voix : quelques pleures, ton histoire, tout au bout de nos

peines, dis-moi et la belle et chaleureuse Natasha St Pier avec : je n'ai que mon âme, tu

trouveras, mourir demain, tant que c'est toi, un ange frappe à ma porte, embrasse-moi, nos

rendez-vous manqués,etc; elle avait très appréciée ses chanteuses, qu'elle continuait à écouter et

apprécier, elles avaient d'une certaine manière contribuée à son envie de venir vivre ici, mais

Roch Voisine n'en restait pas moins le détonateur principale, dire qu'en ce temps là, elle en était

amoureuse, elle aurrait sautait dans ses bras si elle avait pu, elle l'aurrait même embrassée et

surement plus si il avait voulu, mais elle n'avait jamais pu l'approché et ses désirs étaient restés

de doux réveries de jeune fille tout juste sortie de l'adolescence, restait de belles chansons qui la

ramenait des années en arrière : comme, avant de partir, une femme parle avec son coeur, laisse

la rêver et tant d'autres qu'elle ne césserait pas d'écouter, comme une flirt de jeunesse, cela dit

elle le trouvait toujours aussi craquant .

Sa décision était maintenant prise et après avoir lu se livre, elle avait envie d'enttendre leurs

voix, de repprendre contact avec cet univers qui lui était si famillier, maintenant comme à son

habitude, une fois qu'elle avait prit sa décision, elle ne pouvait plus attendre, alors elle composa

un numéro de téléphone qu'elle gardait depuis toutes ses années ici et qu'elle n'avait jamais

utilisée jusqu'à maintenant, c'est ainsi qu'après quelques sonneries inffructueuses, elle fût mise

en relation avec un répondeur, qui aux premières intonations de la voix qui donnait le méssage,

elle reconnue et se retrouva propulsée des années en arriére, comme si rien ne c'était passé; au

premier bip d'usage, elle parla la gorge sérrée en disant ces quelques mots : « bonjours à tous,

c'est moi Déborah, j'espére que vous allez bien, que tout va bien, j'ai acheté le livre de Benjamin

et je l'ai beaucoup aimé et je pense que si vous voulez toujours de moi, alors il est temps pour moi

de rentrer et de vous retrouvez, je reviens dans trois jours; je serais très heureuse de vous

serrez dans mes bras et de vous apportez un merveilleux cadeaux que la vie m'a donnée et que

j'ai emporté avec moi quand je suis partie la dernière fois; mais il vous appartient autant qu'a

moi et nous le partagerons ensemble, je vous aimes; à très bientôt ''; puis elle raccrocha, le coeur

encore tout retourné et battant plus vite qu'il n'avait jamais battu ...

L'émotion était à son apogé, elle ne pouvait arrêter ses torrents de larmes qui la submergée, la

faisaient frissonner dans tout son corps, la laissant sans force et presque sans défense, mais elle

avait cette lumiére nouvelle dans son coeur, qui la rendait plus heureuse que jamais, grace à un

bonheur retrouvé et une nouvelle envie d'écrire un nouveau et inédit chapître de sa vie ...

Elle était pleine d'une toute nouvelle énergie et d'un enthousiasme digne d'une petite fille, excitée

à l'idée de vivre un instant magique de sa série préférée, mais cela ne l'empêchait pas d'avoir

certaines craintes et appréhensions qui la mettait dans le doute, elle ne méttait pas de côté de

son esprit qu'elle était quand même partie pendant trois ans, dans la fraicheur d'un petit matin,

sans prévenir personne, avec juste un mot de réconfort et de semi explication sur une table de

cuisine; certe elle avait gardée un contact minimum avec l'autre côté de l'Atlantique en France et

elle avait ses méssagers, qui sans nul doute lui transméttaient toutes les nouvelles dont elle avait

besoin de savoir, mais ce n'était jamais en direct , elle avait trop peur, qu'en entendant ses voix si

familière, elle ne revienne sur sa décision et ne resiste pas à l'appel du coeur et des sentiments,

mais pourtant elle avait eut se courage et cette force des années plus tôt,pour tout laisser

derrière elle et venir ici, dans une autre partir du monde qu'elle ne connaissait qu'a travers des

livres et documentaires et où elle ne connaissait personne, seulement le non d'un docteur réputé

et le nom d'un chanteur dont elle avait été éprise jeune fille et dont elle savait qu'il ne l'attendait

pas .

Plus le temps avançait et plus les questions allaient bon train, du style : allaient-ils lui pardonner

cette longue incartade, la repprendre comme avant, sans lui poser aucune question, sans

amertume et surtout sans aucun repproche ???, que de question dont elle n'aurait les réponses

qu'au moment de leurs retrouvailles; si son coeur obstinément connaissait les réponses, son côté

humaine, ne l'empêchait pas d'avoir de multiple crampe d'estomacet des nausées ...

Puis vint le moment de faire les bagages, qui furent fait en trois temps et trois mouvement, elle

n'emportait que le strict nécéssaire, car elle n'abandonnait rien, elle gardait tout ce qu'elle avait

construit ici, qui était une grande part d'elle même et de cette liberté pour laqu'elle elle c'était

tant battue et avait tant besoin au plus profond elle, cette vie ici était vital aujourd'hui dans son

équilibre et elle avait bien l'intention de continuer d'en profiter à sa manière, ne serait-ce pour se

ressourcer; fut-il ici cet endroit à l'autre bout de la terre, elle se dit aussi qu'ainsi ils auraient tous

un pied à terre au Canada, comme le chantait si bien Line Renaud '' ma cabanne au Canada '';

tout ça mettrait un peu de sel dans leurs existences, avec un petit goût d'aventure, qui n'était

biensûr pas pour lui déplaire .

Le départ approchait à pas de géant et elle ne pouvait faire autrement que de ressentir une

grande culpabilité pour ces années d'absences, elle c'était pourtant toujours promis qu'elle n'avait

rien à se repprocher, qu'elle était libre, commel'air, mais après avoir lu se beau livre, plein

d'émotion, de tendresse, d'amour cash, elle se sentait si petite et méprisable, que sa lutte de

libéralisation fémministe, lui semblait bien désuette, il était évident que rien ne changerait et

puis ce qui était fait était fait, il était impossible de revenir en arriére, mais elle sentait la douleur

qu'avait ressenti Ben à son départ, à travers tous ses mots, elle n'en était pas très fière, mais ce

qui comptait là, dans ces instants; c'était ce qu'elle avait dans le coeur; la vérité et l'amour qui ne

meurt jamais, ça elle le pensait très fort !!!.

Quand l'avion posa son train d'attérissage sur l'aéroport, D'Orly, elle sentit son coeur battre à

plus de cent à l'heure, elle sérrait les accoudoirs de son siège avec force et semblait avoir du mal

à les lâcher, mais les dés étaient désormais lancés et plus rien ne les arrêteraient, le verdict des

réponses qu'elle se posait, allait bientôt tomber sur elle, mais surtout se qu'elle attendait, c'était

de retournait chez elle, cette image la rassurait plus que les autres, car elle avait un sentiment de

bien être, de bonne odeur, qui la ratachait à sa maison, c'est finalement ce qu'elle s'éfforça de

garder en tête, jusqu'a son arrivée, pour rester la plus déttendue possible ...

Quand elle mit son pied sur le sol, elle se mit à penser au pape et à se qu'il faisait quand il arrivait

dans un autre pays en avion, alors elle se dit qu'elle était prête à se mettre à genoux et

embrasser le sol, elle ne voulait pas faire concurrence à ce souverain pontife, mais pour elle

c'était le signe d'un nouveau départ, qu'elle voulait sous les meilleurs hospices possibles.

Après être sortie de l'avion, avoir récupérée ses valises, elle avait encore un bon bout de chemin

à faire; le métro, puis le taxi jusqu'à la gare de Lyon et encore le train, le taxi, avant d'arriver à

son étape finale, cela lui laissait encore largement le temps des refflexions, mais maintenant elle

avait fait un grand pas, même si ses bras lui semblaient lourd et pesaient des tonnes,( à cause de

se merveilleux cadeaux qu'elle leurs apportait )elle était plus que jamais déterminée et sur d'elle.

Le voyage parru plus long qu'elle ne l'aurai imaginée et quand le taxi arriva devant la maison; le

soleil brillait de mille feu; elle regarda tout autour d'elle avant de payer le chauffeur; rien avait

changé, on aurait dit que c'était hier, qu'elle avait simplement fait un allez-retour, le chauffeur

descendit pour l'aider avec ses bagages, la voyant si encombrée, les bras déjà bien occupés, ce

qui le fit sourire tendrement, puis l'ayant bien remercié, elle s'avanca pas après pas, comme en

reconnaissance d'un térrain que l'on voit pour la première fois, devant le grand portail qu'elle

avait fermé des annés auparavant, elle mit un centiéme de seconde avant de l'ouvrir, il était

beaucoup plus léger que lorqu'elle l'avait prit dans l'autre sens, soudain tous les bons moments

passé ici lui revinrent à l'esprit, tous ses moments de sa vie, les week-end, les sorties, les

anniversaires, les noëls et jours de l'an, etc ...; quand elle regarda enfin devant elle, aprés avoir

franchi le portail d'entrée, une fois dans la grande cour, elle découvrit une grande banderolle,

attachée au mur de la maison sur laquelle il était écrit en grandes lettres bleues : '' bienvenue à

toi, Déborah, tu nous a manqué '' . A ces mots, elle en oublia tous ses derniers doutes et se mit à

pleurer de joie, là, devant ceux qu'elle aimait, qui lui tendait déjà les bras, sans aucune retenue, à

cet instant précis; elle se dit ''oui, tout est comme avant '' ; alors elle posa ce qu'elle portait dans

ses bras avec fragilité et douceur, qui était l'un des plus beaux cadeaux que la vie lui ai offert

quand elle était partie d'ici et qu'elle avait décidé d'emporter avec elle sans un mot, il y avait

trois an.

Oubliant alors tous ce qui pouvait encore la faire douter et comprenant qu'ils lui avaient déjà tout

pardonné, elle leurs fit partager ce magnifique trésor, exit les années de séparations et

d'absences, dès cet instant, la vie reprit bien vite son cours, doux, plein de tendresse, d'affection,

d'amour, gardant toujours à l'esprit, ses quelques vers de poésies dont ils avaient tous fait leurs

banières et leurs proverbes préférés : '' un jour sans amour et un jour sans lumière '' ...

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